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Saint-Michel-de-Rieufret

Saint-Michel-de-Rieufret (Sent Miquèu de Riufred en occitan gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Michel-de-Rieufret
Saint-Michel-de-Rieufret
La mairie (juin 2013)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes Convergence Garonne
Maire
Mandat
Jean-Bernard Papin
2020-2026
Code postal 33720
Code commune 33452
Démographie
Gentilé Saint-Michelois
Population
municipale
864 hab. (2020 en augmentation de 32,92 % par rapport à 2014)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 37′ 22″ nord, 0° 25′ 51″ ouest
Altitude Min. 19 m
Max. 66 m
Superficie 18,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Landes des Graves
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.saintmichel-de-rieufret.fr/

    Elle appartient à la Communauté de communes Convergence Garonne.

    Ses habitants sont appelés les Saint-Michelois[1].

    Géographie

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    Commune de l'aire d'attraction de Bordeaux et située dans la frange nord de la Haute-Lande-Girondine, en limite des Landes du Cernès, la commune fait partie du vignoble des Graves, mais la forêt domine le paysage. La topographie en est relativement plane et le sol est à dominante sableuse.

    La commune de Saint-Michel-de-Rieufret se trouve à 29 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 19 km au nord-ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 7,5 km au sud-ouest de Podensac, chef-lieu de canton[2].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes en sont Portets au nord, Arbanats au nord-nord-est sur environ 200 mètres, Virelade au nord-est, Illats à l'est, Landiras au sud, Saint-Morillon à l'ouest et Saint-Selve au nord-ouest. Les communes limitrophes sont Portets, Landiras, Arbanats, Illats, Saint-Morillon, Saint-Selve et Virelade.

    Communes limitrophes de Saint-Michel-de-Rieufret
    Saint-Selve Portets Arbanats Virelade
    Saint-Morillon Saint-Michel-de-Rieufret Illats
    Landiras

    Communications et transports

    Les principales routes départementales traversant le village sont la route départementale D109 qui mène à Saint-Selve au nord-ouest et à Illats au sud-est, la route départementale D115 qui mène à Portets vers le nord et à Guillos vers le sud-sud-ouest en permettant de rejoindre la route départementale D116 qui conduit à Landiras au sud, la route départementale D117 qui mène à Cabanac-et-Villagrains vers l'ouest-sud-ouest et à Cérons vers l'est, la route départementale D124 qui mène à Arbanats vers le nord-nord-est et la route départementale D117e1 qui mène à Podensac vers le nord-est.

    L'accès le plus proche à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse), dite autoroute des deux Mers et qui traverse le nord du territoire communal, est le no 2, dit de Podensac, qui est distant de km par la route vers le sud-est.

    L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 31 km vers le sud-est.

    Les gares SNCF les plus proches sont celle d'Arbanats, distante de km par la route vers le nord et celle de Podensac, distante de 7,5 km par la route vers le nord-est, sur la ligne Bordeaux - Sète du TER Nouvelle-Aquitaine. Sur la même ligne, la gare de Langon proposant plus de trafic se trouve à 19 km vers le sud-est.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 893 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cabanac et Vill », sur la commune de Cabanac-et-Villagrains, mise en service en 1984[9] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,1 °C et la hauteur de précipitations de 923 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 30 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[15].

    Hydrographie

    La commune est traversée par le Rieufret (de l'occitan gascon riu freid, qui signifie ruisseau froid). Il prend sa source sur la commune de Cabanac-et-Villagrains entre Landiras et Guillos aux alentours du lac de Troupins et se jette dans la Garonne à Virelade. Sur la commune de Landiras, il se nomme Batijean, puis Ruisseau de la Fontaine de Manine . À partir du Pas Bordelais jusqu'à sa sortie de la commune il est le Rieufret, où il reçoit les eaux du Baradot et enfin en direction de Virelade jusqu'à sa confluence avec la Garonne il se nomme la Barboue.

    Deux moulins à grains y étaient établis jusqu'au milieu du XXe siècle : le moulin de Manine sur la commune de Landiras, et le moulin de Barreyre sur la commune de Saint-Michel-de-Rieufret, aménagé sur un bief et dont subsistent quelques ruines.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Michel-de-Rieufret est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (97 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (70,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,6 %), zones urbanisées (3,2 %), mines, décharges et chantiers (2,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Michel-de-Rieufret est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Saint-Michel-de-Rieufret est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[24]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[25] - [26].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Michel-de-Rieufret.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 302 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 302 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 2].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1998, 1999, 2009, 2020 et 2021, par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Histoire

    La commune est reconnue dans les archives de l'archevêché depuis le XIe siècle sous le nom de Sancto Michaele de Rivo-Frigido.

    Rien n'exclut que la commune soit habitée depuis bien avant le Moyen Âge. L'église serait bâtie sur les fondations d'une église mérovingienne. Symétriquement à l'église par rapport au ruisseau, la configuration surélevée du site (un tuc en gascon) pose l'hypothèse de l'implantation d'un camp pré-gallo-romain.

    Sous l'empire romain, le territoire est inclus dans la Gaule aquitaine lors de la création des provinces romaines par Auguste en 27 av. J.-C..

    L'église, bâtie ou rebâtie au XVIe siècle, fut le lieu d'un pèlerinage relativement important en comparaison à la taille du village, consacré à l'archange saint Michel et qui coïncidait avec la tenue d'une foire annuelle réputée dans la Grande Lande. Une fabrique a administré les dons des fidèles jusqu'à la moitié du XIXe siècle. Témoignent de ces pèlerinages prospères trois grandes nefs et trois retables de la fin du XVIIe siècle, dus à la générosité des Montferrand, barons puis marquis de Landiras, et barons de Langoiran. Plusieurs campagnes de restauration d'objets classés conservés dans l'église ont eu lieu depuis les années 2000 (petite statue de saint Michel, grande taille en bois de l'Immaculée Conception, petite statue en pierre de saint Roch, grande bannière de procession), À la fin du XIXe siècle, la famille de Joseph de Carayon Latour contribue à la rénovation du sanctuaire et fait décorer et meubler deux nouvelles chapelles de transept dédiées à l'Education de la Vierge et à saint Joseph qui reçoivent deux grandes peintures (Education de la Vierge et Sainte-Famille, dons de l'Etat).

    La vie s'organise pendant des siècles autour du système agro-pastoral propre à cette grande zone humide avant de se couvrir de plantations de pin maritime. Une importante scierie était établie au milieu du XXe siècle. Saint-Michel-de-Rieufret appartient au pays de la Guyenne girondine. Pour l'état de la commune au XVIIIe siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[28].

    À la Révolution, la paroisse Saint-Michel-de-Rieufret forme la commune de Saint-Michel-de-Rieufret[29] et le territoire est inclus dans le canton de Podensac. Au XIXe siècle,la forêt des Landes est plantée, ici comme sur une grande partie des départements français des Landes et de la Gironde. Elle modifie durablement le paysage et les pratiques agricoles (forêt grandement monospécifique de pins maritimes).

    La population a doublé en 20 ans, des années 1980 aux années 2000, amorçant une nouvelle évolution du bourg vers une dynamique périurbaine (fermeture du café / station service, puis ouverture d'un commerce multi-service comprenant un bar et une épicerie avec dépôt de pain ; augmentation du nombre de véhicules par ménage, agrandissement de l'école…). Dans les années 2000, le bourg est mis en valeur (enterrement des lignes électriques, requalification pavée autour de l'église, construction d'une salle des fêtes, aménagement d'un rond-point, nouvelle station d'épuration). L'école est à nouveau agrandie pour satisfaire l'arrivée de nouveaux habitants. Dans les années 2020 se poursuit l'aménagement de cheminements doux sécurisés (piétons, vélos) le long des départementales D115 et D117 qui traversent le village.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1960 1983 Jean-Pierre Blancand
    mars 1983 1999 Henry Marche RPR
    1999 mars 2008 Christian Barbot Retraité
    mars 2008 2020 Marc Gauthier[30] PS Architecte
    2020 En cours Jean-Bernard Papin

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

    En 2020, la commune comptait 864 habitants[Note 7], en augmentation de 32,92 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    204158166214180228229229221
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    210219213203204198203227227
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    237247230198155160144166148
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    144141153278471498517522563
    2018 2020 - - - - - - -
    814864-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'économie locale est peu développée. Une épicerie / dépôt de pain permet un approvisionnement local. Divers artisans des secteurs secondaire et tertiaire (coiffeur, traiteur…) sont établis sur la commune. Le nord du territoire est occupé par des gravières desquelles sont extraits sables et graves. Avant la création de la Communauté de communes, la commune bénéficiait de recettes fiscales de deux aires de l'autoroute A 62 .

    Vie locale

    La commune est équipée d'une école et d'une salle des fêtes. Elle propose à ses habitants un programme annuel de rencontres et de concerts et participe depuis 2015 au festival Festes baroques en terres de Graves et du Sauternais[35].

    Elle est également dotée de quelques équipements sportifs (tennis, football, terrain de basket, terrain de pétanque). De nombreux chemins permettent la pratique de la randonnée pédestre ou cycliste.

    Plusieurs associations (gymnastique volontaire, tennis, MJC, chasse, pétanque, troisième âge…) participent à la dynamisation de la communauté.

    Le culte catholique est pratiqué à l'église.

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Michel (juin 2013)
      L'église Saint-Michel (juin 2013)
    • Sous le clocher, l'abri pour les pèlerins (juin 2013)
      Sous le clocher, l'abri pour les pèlerins (juin 2013)
    • Le clocher et sa tour d'accès (juin 2013)
      Le clocher et sa tour d'accès (juin 2013)
    • L'église est consolidée par d'imposants contreforts (juin 2013)
      L'église est consolidée par d'imposants contreforts (juin 2013)
    • Le monument aux morts  (juin 2013)
      Le monument aux morts (juin 2013)

    Personnalités liées à la commune

    • Clément Janequin, auteur de chansons « profanes », précurseur du chant baroque, est curé bénéficiaire de la paroisse de 1526 à 1530, alors qu'il appartient au chapitre de la cathédrale de Bordeaux.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 12 avril 2013.
    2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 27,1 km pour Bordeaux, 16,4 km pour Langon et km pour Podensac. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 19 août 2014.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Cabanac et Vill - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Michel-de-Rieufret et Cabanac-et-Villagrains », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Cabanac et Vill - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Michel-de-Rieufret et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Michel-de-Rieufret », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    24. « Le risque feux de forêts. », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le )
    25. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    28. Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), article 5.XII, pages 79-105
    29. Historique des communes, p. 56, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 12 avril 2013.
    30. Commune de Saint-Michel-de-Rieufret sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 12 avril 2013.
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. « Festes baroques », .
    36. « Inscription MH de l'église », notice no PA00083789, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 12 avril 2013.
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