Landiras
Landiras (prononcé [lɑ̃diʁas] ; Landiràs[1], L'Andiran(s) ou Landiran(s)[2] en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).
Landiras | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Langon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Convergence Garonne | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marc Pelletant 2020-2026 |
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Code postal | 33720 | ||||
Code commune | 33225 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Landiranais | ||||
Population municipale |
2 190 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 37 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 34′ 06″ nord, 0° 24′ 51″ ouest | ||||
Altitude | Min. 13 m Max. 83 m |
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Superficie | 59,75 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Landes des Graves | ||||
Législatives | Neuvième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.landiras.fr/ | ||||
Ses habitants sont appelés les Landiranais[3].
Géographie
Localisation
- Carte dynamique
- Carte Openstreetmap
- Carte topographique
- Carte avec les communes environnantes
Commune de l'aire d'attraction de Bordeaux située entre la forêt des Landes (aire boisée de 5 000 ha) et le vignoble des Graves (superficie de vignes 300 ha), la commune se trouve, par la route, à 37 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 15 km à l'ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 12 km au sud-sud-ouest de Podensac, chef-lieu de canton[4].
Communes limitrophes
Les communes limitrophes en sont Illats au nord-est, Pujols-sur-Ciron à l'est, Budos au sud-est, Balizac au sud, Origne à l'extrême sud-ouest, Guillos à l'ouest-sud-ouest, Cabanac-et-Villagrains à l'ouest-nord-ouest, Saint-Morillon à l'extrême nord-ouest sur à peine 500 mètres et Saint-Michel-de-Rieufret au nord.
Hydrographie
La commune est arrosée par le Tursan et l'Arec ainsi que par la Barboue affluent de la Garonne.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sauternes », sur la commune de Sauternes, mise en service en 1896[11] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[12] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 825,2 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 36 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[15], à 13,8 °C pour 1981-2010[16], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[17].
Urbanisme
Typologie
Landiras est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [18] - [19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,7 %), cultures permanentes (7,1 %), zones urbanisées (2,9 %), prairies (1,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communications et transports
La commune est traversée, dans le village, par la route départementale D11 qui mène vers le nord-nord-est à Illats et au-delà à Podensac et vers le sud à Balizac et au-delà à Saint-Symphorien au sud-ouest et à Villandraut au sud-est ainsi que par la route départementale D116 qui mène vers l'ouest-nord-ouest à Cabanac-et-Villagrains et vers l'est à Pujols-sur-Ciron et au-delà à Langon. La petite route départementale D125 qui commence au sud du village mène vers le sud-ouest à Guillos.
L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est celui de 2 Podensac distante de 7 km vers le nord-est.
L'accès 1 Bazas à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 25 km vers le sud-est.
La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 13 km vers le nord-est, de Barsac sur la Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine. Celle de Langon, offrant plus de trafic, se trouve à 15 km vers l'est.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Landiras est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1991, 1995, 1999, 2009 et 2020[26] - [24].
Landiras est exposée au risque de feu de forêt. Un incendie important s'est notamment produit en 2022. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[27]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[28] - [29].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[30].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 72 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 003 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 986 sont en en aléa moyen ou fort, soit 98 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[24].
Toponymie
Landiras étant dans le domaine nord-gascon, la plupart des lieux-dits anciens y sont explicables par le gascon, par exemple Arnauton, le Pichou, Larrigade, lou Haougueyrot, les Courraous, Brocas, Junqueyre, l'Agréou, la Mouliasse, la Suscouze, Couyala, les Courrèges[33].
Histoire
Pour la situation de la commune au XVIIIe siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[34].
À la Révolution, la paroisse Saint-Martin de Landiras forme la commune de Landiras. En l'an IX (1800-1801), la commune de Guillos est rattachée à celle de Landiras qui devient Landiras-et-Guillos. En 1850, la commune de Landiras est rétablie par démembrement de celle de Landiras-et-Guillos[35].
En juillet 2022, la commune est touchée par un incendie de grande ampleur. Au 18 juillet la préfecture annonce près de 9 500 hectares de forêt brûlée, la propagation rapide du feu pousse les autorités à évacuer toute la population de Landiras à cause des risques trop élevés pour la santé et la sécurité des habitants[36].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Landiras appartient à l'arrondissement de Langon et au canton des Landes des Graves depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle faisait partie du canton de Podensac.
Pour l’élection des députés, la commune fait partie de la neuvième circonscription de la Gironde, représentée depuis 2017 par Sophie Mette (LREM-MoDem).
Intercommunalité
De 2003 à 2016, Landiras faisait partie de la communauté de communes de Podensac. Lors de la dissolution de cette dernière, la commune a intégré la communauté de communes Convergence Garonne.
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[37].
Liste des maires
Jumelages
Dippach (Luxembourg) depuis 1973[42]
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[44].
En 2020, la commune comptait 2 190 habitants[Note 7], en diminution de 2,45 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
NB : la chute de la population entre les recensements de 1846 et 1851 est due à la création (ou plutôt recréation) de la commune de Guillos en 1850.
Pyramide des âges
En 2019, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,2 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (35,9 %). Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (24,4 %) est inférieur au taux départemental (24,9 %).
En 2019, la commune comptait 1 079 hommes pour 1 116 femmes, soit un taux de 50,84 % de femmes, inférieur au taux départemental (52,06 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Située au centre du village, l’église Saint-Martin, construite initialement aux XIIe et XIIIe siècles, a été augmentée d'un bas-côté nord au XVIe siècle, d'un clocher-porche au XVIIIe siècle, d'un bas-côté sud au XIXe siècle et de voûtes de nef au XIXe siècle. Elle a été classée monument historique en 1907 pour son chevet, en 1984 pour son transept, et inscrite en totalité en 2004[48].
- Église Saint-Martin de Lassats de Landiras. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[49].
- Château de Landiras : Les vestiges de cet édifice fortifié se trouvent au nord de Landiras, sur la route départementale D116. Le château, qui date du XIIIe siècle a été détruit et entièrement reconstruit au XIVe siècle. Les vestiges visibles aujourd'hui sont constitués d'une courtine de plan carré à trois angles abattus, renforcés de tours polygonales ; d'un ouvrage d'entrée sur l'enceinte de la basse-cour et de douves avec pont.
- Le logis a été restauré au XVIIe siècle par l’adjonction de cheminées et le percement de nouvelles ouvertures. Un nouvel logis était construit au XIXe siècle à l'extérieur des vestiges.
- Monument aux morts[50] : Le monument, érigé en 1921, est l’œuvre du sculpteur bordelais M. Lagrange. Sur chacune des quatre faces, une volée droite donne accès au soubassement. Sur la face antérieure du dé du piédestal une plaque en saillie porte l'inscription AUX / MORTS / POUR LA / PATRIE ; la guirlande qui la surmonte retombe de chaque côté.
- Les dates 1914-1918 et 1939-1945 sont gravées verticalement de part et d'autre. Les noms des soldats sont inscrits sur deux plaques de marbre apposées sur les faces latérales du dé du piédestal (Guerre 1914-1918), sur une plaque de marbre sur la base du piédestal (Guerre 1939-1945) et sur une plaque de marbre sur le côté gauche du soubassement (Guerre d'Algérie).
- L'église Saint-Martin.
- Le clocher-porche de l'église.
- Le chevet de l'église.
- La nef.
- Le monument aux morts face à la mairie.
Personnalités liées à la commune
- Sainte Jeanne de Lestonnac (1556-1640), marquise de Montferrand[Note 8], baronne de Landiras, fondatrice et première supérieure de l'ordre de la Compagnie de Marie[51].
- Jules Koundé (1998), footballeur international français[52].
Héraldique
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Les armes de Landiras se blasonnent ainsi : Écartelé, au premier et au quatrième de gueules aux quatre pals d'or, à la bordure de sable chargée de douze besants d'argent, au deuxième et au troisième d'argent à la croix de gueules chargée de cinq étoiles d'or ; sur le tout, d'azur au lion d'or à la queue léopardée armé et lampassé de gueules. |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site officiel de la commune
- Résultats du recensement de la population de Landiras sur le site de l'INSEE, consulté le .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Landiras », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Landiras sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Il s'agit d'un château aujourd'hui en ruine, situé à proximité de l'ancienne chapelle de Brax (XIIIe siècle, elle-même en désuétude, dans une forêt sur la route de Cabanac-et-Villagrains.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Site de l'Insee
Autres sites
- Landiras sur Toponimiaoc.webs.com, consulté le 19 mars 2012.
- Landiras sur Gasconha.com, consulté le 9 février 2010.
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 17 mars 2012.
- Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 33,2 km pour Bordeaux, 13,2 km pour Langon et 10,5 km pour Podensac. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 19 mars 2012.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Sauternes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Landiras et Sauternes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Sauternes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Landiras et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Landiras », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Le risque feux de forêts. », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le )
- « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Landiras », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Lòcs / Lieux-dits gascons de Landiras - Gasconha.com », sur www.gasconha.com (consulté le ).
- Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), article 5.XXXII, pages 204-208 et pages 128-131
- Historique des communes, p. 28, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 11 avril 2013.
- Arnaud Dejeans, « Incendies en Gironde : à Landiras, « Les pompiers se battent avec acharnement » », Sud Ouest, (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consulté le )
- Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- Décès de Louis Gertoux, président national de 1981 à 1987, sur aitf.fr
- Annuaire des Mairies de Gironde (33)
- Commune de Landiras sur le site de l'des Maires de France, consulté le 18 mars 2012.
- « Jean-Marc Pelletant se succède à lui-même », Sud Ouest, (lire en ligne).
- Jumelage sur le site officiel de la commune, consulté le 19 mars 2012.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Gironde (33) », (consulté le ).
- « Classement et inscription de l'église Saint-Martin », notice no PA00083142, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 19 mars 2012.
- « Eglise paroissiale Saint-Martin dite église Saint-Martin de Lassats », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Description du monument aux morts », notice no IA33001058, base Palissy, ministère français de la Culture.
- paroissepodensac.free.fr Sainte Jeanne de Lestonnac.
- « Originaire de Landiras, Jules Koundé fait partie de la liste de Didier Deschamps pour l'Euro 2020 », sur actu.fr (consulté le )