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Viking 2

Viking 2 est la seconde mission du programme Viking. Elle consistait en un lancement d'un ensemble composĂ© d'un orbiteur et d'un atterrisseur, très proches de ceux utilisĂ©s pour Viking 1. L'atterrisseur Viking 2 opĂ©ra depuis la surface de Mars pendant 1 281 jours martiens et fut dĂ©sactivĂ© le , lorsque ses batteries tombèrent en panne. L'orbiteur continua de fonctionner jusqu'au , fournissant près de 16 000 images de la planète, prises au cours de 706 rĂ©volutions.

Mission Viking 2
Description de cette image, également commentée ci-après
Vue de la sonde Viking 2 avec son atterrisseur non largué.
Caractéristiques techniques
Masse au lancement 883 kg
Orbite
Orbite Orbite centrée sur Mars depuis le
PĂ©riapside 302 km
Apoapside 33 176 km
PĂ©riode 24 h
Excentricité 0,816299166

Mission

Le vaisseau complet fut lancĂ© le en utilisant une fusĂ©e Titan III Ă  dernier Ă©tage Centaur. Après un voyage de 333 jours vers Mars, la partie orbitale de la sonde commença Ă  transmettre des images de la planète avant mĂŞme son insertion en orbite. Cette insertion eut lieu le . L'apoapside Ă©tait de 33 000 km et le pĂ©riapside de 1 500 km, avec une rĂ©volution de 24,6 heures. Un premier transfert orbital fut rapidement opĂ©rĂ© sur un pĂ©riapside de 1 499 km, une pĂ©riode orbitale de 27,3 heures et une inclinaison de 55,2 degrĂ©s pour permettre l'observation du site d'atterrissage du module Viking 2 Lander. Les missions Viking Ă©taient en effet conçues pour que le module orbiteur retournât des vues du site martien de destination, prĂ©alablement au lâcher de l'atterrisseur. Ce premier transfert sur orbite d'inspection eut lieu le . Les prises de vues du site commencèrent et la zone d'atterrissage finale fut validĂ©e en utilisant Ă  la fois les images de Viking 2 et celles prises par l'orbiteur de la mission Viking 1.

Cliché de lever de soleil sur Mars (croissant de Mars), pris par Viking 2 Orbiter en approche de Mars.

L'essentiel de la mission Viking 2 était identique à celle de Viking 1. Les deux vaisseaux bénéficiaient du même équipement. Viking 2 se distingua toutefois de Viking 1 par le fait que son sismographe fonctionna et enregistra des secousses telluriques, alors que le sismographe de Viking 1 ne parvint jamais à fonctionner. De même que Viking 1, Viking 2 effectua une approche des satellites de Mars, mais se concentra sur Deimos.

Mission de l'orbiteur

La durée prévue de la mission initiale de Viking 2 était identique à celle de Viking 1, soit deux mois après mise en orbite. Cette prévision de fonctionnement initiale fut atteinte le , au début de la conjonction solaire. Le fonctionnement étant encore acquis à cette date, une mission étendue fut décidée et entamée le , après la fin de la conjonction.

Le , le pĂ©riapside de l'orbiteur fut descendu Ă  778 km et son inclinaison portĂ©e Ă  80 degrĂ©s. Les opĂ©rations prĂ©vues durant la mission Ă©tendue prĂ©voyaient le survol du satellite Deimos en , ainsi que la prise de vue photographique systĂ©matique de la surface de Mars. Ă€ cette fin, le pĂ©riapside fut baissĂ© Ă  300 km et la pĂ©riode de rĂ©volution portĂ©e Ă  24 heures le .

Finalement, l'orbiteur fut victime d'une fuite dans son système de propulsion qui lui fit dĂ©gazer dans l'espace l'azote sous pression utilisĂ© par son système de contrĂ´le d'attitude. Il fut alors placĂ© sur une orbite de 302 Ă— 33 176 km (pour retarder au maximum la date de sa chute sur Mars), puis dĂ©finitivement Ă©teint le .

Chronologie de la mission orbitale

Comme son prédécesseur, Viking 2 passa environ un mois après son arrivée à chercher et à valider le site d'atterrissage pour son module martien. La principale différence entre l'orbite de Viking 2 et celle de Viking 1 réside dans son inclinaison élevée, qui lui permit de mener des observations détaillées des régions polaires depuis une altitude relativement proche[1].

DateRévolutionÉvénement
0Insertion dans l'orbite de Mars.
2Ajustement de la période orbitale et de l'orbite. Début de translation vers l'ouest.
6Augmentation de la période orbitale pour augmenter la vitesse de déplacement.
16Baisse de la vitesse de déplacement en vue du largage de l'atterrisseur.
18Orbite synchrone au-dessus du site d'atterrissage.
25Atterrissage de VL-2 Ă  22 h 37 min 50 s UTC.
51Modification du plan orbital et inclinaison à 75°. Début d'une translation vers l'ouest.
123Baisse du pĂ©riapside Ă  800 km et inclinaison portĂ©e Ă  80°.
189Orbite synchrone au-dessus de VL-2.
235Modification de pĂ©riode : 13 rĂ©volutions durent 12 jours martiens (dĂ©signĂ©s « sols »).
404Modification orbitale pour approcher Deimos.
418Synchronisation de l'orbite avec Deimos.
432Modification de la pĂ©riode orbitale Ă  24 heures et baisse du pĂ©riapside Ă  300 km.
706Mise hors service de l'orbiteur.

Survol de Deimos

Vue de Deimos par Viking 2.

Les extensions des deux missions Viking furent mises Ă  profit pour explorer les deux principales lunes de Mars, Phobos et Deimos. Les deux orbiteurs, du fait mĂŞme de la gĂ©omĂ©trie de leurs orbites, Ă©taient en effet particulièrement bien placĂ©s pour survoler ces deux satellites[2]. Après la rĂ©duction du pĂ©riapside et la modification de l'orientation de la sonde, la sonde s'approcha de Deimos en . Elle prit ses premières images depuis une distance de 1 400 km, montrant un satellite avec un relief doux. Ce n'est que lorsque la sonde s'approcha Ă  seulement 14 km que les cratères apparurent[3]. L'association des donnĂ©es collectĂ©es par Viking 1, Viking 2 et Mariner 9 permit d'Ă©valuer prĂ©cisĂ©ment la masse des deux satellites de Mars[4].

Mission de l'atterrisseur

Viking 2 sur son site d'atterrissage.

L'atterrisseur — dĂ©signĂ© « VL-2 », pour « Viking Lander-2 » — et son bouclier thermique se sĂ©parèrent de l'orbiteur le Ă  19 h 39 min 59 s UTC. Au moment de la sĂ©paration, l'atterrisseur avait une vitesse orbitale de 4 km/s. Peu après la sĂ©paration, ses moteurs-fusĂ©es furent allumĂ©es pour entamer sa dĂ©sorbitation. Après quelques heures, Ă  approximativement 300 km d'altitude, l'atterrisseur fut rĂ©orientĂ© en vue de son entrĂ©e dans l'atmosphère martienne. Le bouclier, avec son revĂŞtement de protection thermique, ralentit le vaisseau par frottement sur les couches atmosphĂ©riques. La sonde atterrit sur Mars le Ă  22 h 58 min 20 s UTC — 9 h 49 min 5 s en temps local martien — dans une dĂ©pression situĂ©e Ă  4 000 m au-dessous du niveau moyen de la surface martienne et envoya les premières images en couleur du terrain[5], en noir et blanc puis en couleur. Le bras tĂ©lĂ©scopique de prĂ©lèvement d'Ă©chntillon de sol a Ă©tĂ© dĂ©gagĂ© de son enveloppe et le premier relevĂ© de mĂ©tĂ©orologique effectuĂ©, pour une tempĂ©rature entre -39° et -36°C avec un vent de 17 km/h[6].

Viking VL-2 atterrit Ă  environ 200 km Ă  l'ouest du cratère Mie de Utopia Planitia[7], sur le point de coordonnĂ©es planĂ©tographiques 48,269° N, 134,01° E, Ă  environ 4 600 miles de VL-1, avec une altitude de rĂ©fĂ©rence de 4,23 km. Sur les 85 kg de carburant embarquĂ©s par l'atterrisseur, 22 kg n'avaient pas Ă©tĂ© consommĂ©s et demeuraient dans les deux rĂ©servoirs du vaisseau après l'atterrissage. En raison d'une mauvaise identification radar d'un des rochers ou d'une surface particulièrement rĂ©flective, les propulseurs d'atterrissage restèrent allumĂ©s 0,4 seconde de trop. Ceci eut pour effet de fissurer la surface et de soulever un nuage de poussière non prĂ©vu. VL-2 Ă©tait posĂ© avec une jambe d'atterrissage posĂ©e sur un rocher, et penchait de 8,2 degrĂ©s. La camĂ©ra put nĂ©anmoins rĂ©aliser des prises de vues immĂ©diatement après l'atterrissage du vaisseau.

L'atterrisseur Viking 2 fonctionna pendant 1 281 sols (noms des jours martiens, lire aussi Mesure du temps sur Mars), soit 1 316 jours terrestres, contre 2 245 sols (2 306 jours terrestres) pour VL-1. Il fut mis hors service le , Ă  la suite de la dĂ©faillance de ses batteries.

Position du module d'atterrissage Viking 2 sur Mars

Le site d'atterrissage de Viking 2 se trouve Ă  6 725 km de Viking 1, Ă  5 275 km du site Cydonia Mensae (lieu-dit « le visage de Mars »), 4 705 km du volcan dit « Olympus Mons », 8 420 km du lieu-dit « CitĂ© des Inca »[note 1], 6 620 km de Mars 2, 6 375 km de Mars 3, 9 110 km de Mars 6.

Par rapport aux modules martiens des missions rĂ©centes, Viking 2 se trouve Ă  7 215 km de Mars Polar Lander, Ă  6 860 km de la sonde Mars Pathfinder (Viking 1 est Ă  moins de 1 000 km de cette sonde), et 6 970 km de Deep Space 2[8].

Position de Viking 2 par rapport aux autres sondes spatiales ayant atterri sur Mars.

État actuel des éléments de Viking 2

Photo de VL-2 prise par Mars Reconnaissance Orbiter, en 2006.

Après une sĂ©rie de dysfonctionnements des propulseurs de contrĂ´le d'altitude dus Ă  un manque de carburant, l'orbiteur Viking 2 a Ă©tĂ© placĂ© sur une orbite de 302 Ă— 33 176 km, qui devrait lui permettre de survoler Mars jusqu'en 2025[9]. Le module orbital fut Ă©teint le [10].

Le module d'atterrissage est toujours sur son site d'atterrissage d'Utopia Planitia, où il a été photographié par la sonde Mars Reconnaissance Orbiter en 2005. Les deux modules d'atterrissage Viking sont considérés aujourd'hui comme des monuments historiques et ont à ce titre reçus des noms de commémoration[note 2]. En 2001, l'administrateur de la NASA, Daniel Goldin, a donné à l'atterrisseur de Viking 2 le nom de « Gerald Soffen Memorial Station », en souvenir du responsable scientifique du projet Viking, Gerald A. Soffen[11].

RĂ©sultats de la mission Viking 2

Conditions observées sur le site d'atterrissage

Sur les images originales, le ciel martien apparaĂ®t d'un bleu plus pâle que celui de la Terre du fait de la faible densitĂ© de l'atmosphère. Pensant Ă  une erreur de calibrage semblable Ă  celle de Viking 1, la NASA l'a recolorĂ© (comme pour toutes les photographies qui suivirent dans la mission)[12], et le ciel apparaĂ®t dorĂ©navant comme lĂ©gèrement rosĂ©, tout comme la poussière. La surface est inĂ©gale et le sol est formĂ© de galets avec des rochers plus importants rĂ©partis dans le champ de visions. La plupart des roches sont de taille identique, nombre d'entre elles pourraient avoir de petites cavitĂ©s ou des bulles en surface causĂ©es par des fuites de gaz occasionnĂ©es durant leur entrĂ©e atmosphĂ©rique. Certains blocs pourraient marquer des traces d'Ă©rosion causĂ©es par le vent. De nombreux rochers semblent « perchĂ©s », comme si le vent avait dĂ©gagĂ© la poussière de leur base[13] - [14]. On observe de nombreuses petites dunes de sable, qui semblent toujours actives. La vitesse moyenne du vent est en effet estimĂ©e Ă  7 mètres par seconde (25 kilomètres par heure). Comme sur le site VL-1, il semblerait que le dessus du sol soit formĂ© d'une croute dure similaire aux dĂ©pĂ´ts dits « caliche » frĂ©quemment rencontrĂ©s dans le Sud-Ouest des États-Unis. Ce type de croĂ»tes est formĂ© par des solutions minĂ©rales qui migrent dans le sol, et s'Ă©vaporent lorsqu'elles parviennent Ă  la surface[15].

Analyses du sol

Le sol ressemble à ce qui peut être rencontré sur des surfaces produites à partir d'altérations des laves basaltiques. Le sol analysé contenait de grandes quantités de silicium et de fer, ainsi que des quantités notables de magnésium, d'aluminium, de soufre, de calcium et de titane. Des oligo-éléments, tels que le strontium et l'yttrium, ont été détectés. La quantité de potassium mesurée est 5 fois plus faible que la moyenne observée dans la croûte terrestre. Certains produits chimiques dans le sol contiennent du soufre et du chlore sous une forme semblable à celle que l'on rencontre après l'évaporation de l'eau de mer. Le soufre était plus concentré dans la croûte de surface du sol et également présent dans la couche superficielle immédiatement inférieure. Le soufre était présent sous forme de sulfates de sodium, de magnésium, de calcium et de fer. Il est possible que du sulfure de fer soit également présent[16]. On notera que les missions d'explorations des robots Spirit et Opportunity ont confirmé la présence des deux sulfates identifiés lors des missions Viking[17].

Recherche de vie

Viking devait rĂ©aliser des expĂ©riences biologiques dont la finalitĂ© Ă©tait de rechercher la vie sur Mars. Les trois systèmes utilisĂ©s pour les expĂ©rimentations pesaient 15,5 kg : on trouvait le système d'expĂ©rience pyrolytique (PR), le système d'expĂ©rience Ă©tiquetĂ©e et le système d'expĂ©rience Ă  base d'Ă©change de gaz (GEX). En plus des instruments d'expĂ©rimentation biologique, Viking transportait Ă©galement un Chromatographe de Gaz et un Spectromètre de Masse (GCMS) qui Ă©tait capable de mesurer la composition et l'abondance d'Ă©lĂ©ments organiques dans le sol martien[18].

Les résultats furent surprenants et considérés comme intéressants. Le GCMS donna un résultat négatif, tout comme le PR et le GEX, mais le dispositif d'expérimentation par échantillon étiqueté (LR) donna un résultat positif[19]. La scientifique de la mission Viking Patricia Straat déclara d'ailleurs sur ce sujet en 2009 : « Notre [LR] expérience fut une réponse définitive sur la question de la vie, mais de nombreuses personnes affirmèrent que ses résultats n'étaient que des faux positifs pour diverses raisons[20] ». La plupart des scientifiques considèrent que les données positives étaient en fait le fruit de réactions chimiques et non organiques du sol. Néanmoins, ce point de vue pourrait changer avec la découverte récente de glace près de la surface dans la zone d'atterrissage des Viking.

Aucun composé organique chimique ne fut trouvé dans le sol. Néanmoins, on sait maintenant que l'exploration des zones sèches de l'Antarctique n'a pas permis de détecter des organismes alors que l'on sait qu'il en existe pourtant dans les rochers. Viking aurait donc très bien pu mener ses expériences au mauvais endroit[21]. Ainsi les peroxydes qui peuvent oxyder les composés chimiques organiques[22]. Récemment, le vaisseau Phoenix a découvert des perchlorates dans le sol martien. Le perchlorate est un oxydant puissant et il pourrait être responsable de la destruction de la vie organique sur la surface martienne. Il est très probable que, s'il existe une forme de vie carbonée à la surface de Mars, elle ne se trouvera pas sur la surface du sol.

Études sismiques

Les scientifiques constatent rapidement que les données collectées par le sismomètre embarqué n'ont rien à voir avec des mouvements sismiques. Solidaire du pont de l'atterrisseur, l'instrument enregistre tous les mouvements mécaniques affectant celui-ci : rotation de l'antenne grand gain orientable, déplacement du bras robotique, fonctionnement du magnétophone et surtout action du vent qui fait vibrer la plateforme[23]. Seules les mesures faites de nuit, caractérisée par une diminution du vent et l'absence d'activité des instruments, sont éventuellement exploitables. Mais la faible sensibilité de l'instrument conjuguée avec les doutes sur l'origine des mouvements enregistrés ne permettent pas d'en tirer des données réellement utilisables[24].

Viking Lander 2 Galerie d'images

Image panoramique
Viking Lander 2 Camera 1 Utopia Planitia à midi (haute résolution avec couleur basse résolution).
Image panoramique
Viking Lander 2 Camera 2 GIVRE Panorama (couleur basse résolution) Sol 1028, 1030 et 1050 entre 11 h 34 et 12 h 40.
  • Viking Lander 2 Camera 2 Première image Couleur (couleur basse rĂ©solution) Sol 2, September 5, 1976 14 h 36.
    Viking Lander 2 Camera 2 Première image Couleur (couleur basse résolution) Sol 2, September 5, 1976 14 h 36.
  • Viking Lander 2 Camera 2 22G144 (couleur basse rĂ©solution) Sol 552 19 h 16.
    Viking Lander 2 Camera 2 22G144 (couleur basse résolution) Sol 552 19 h 16.
  • Viking Lander 2 Camera 1 GIVRE (couleur basse rĂ©solution) Sol 960 14 h 14.
    Viking Lander 2 Camera 1 GIVRE (couleur basse résolution) Sol 960 14 h 14.
  • Viking Lander 2 Camera 1 GIVRE HAUTE RÉSOLUTION (avec couleur basse rĂ©solution) Sol 959 14 h 39.
    Viking Lander 2 Camera 1 GIVRE HAUTE RÉSOLUTION (avec couleur basse résolution) Sol 959 14 h 39.
  • Viking Lander 2 Camera 2 GIVRE (couleur basse rĂ©solution) Sol 955 12 h 13.
    Viking Lander 2 Camera 2 GIVRE (couleur basse résolution) Sol 955 12 h 13.
  • Viking Lander 2 Camera 2 CIEL AU LEVER DU SOLEIL (couleur basse rĂ©solution) Sol 34 04 h 22.
    Viking Lander 2 Camera 2 CIEL AU LEVER DU SOLEIL (couleur basse résolution) Sol 34 04 h 22.
  • Viking Lander 2 Camera 2 CIEL AU LEVER DU SOLEIL (couleur basse rĂ©solution) Sol 631 04 h 00.
    Viking Lander 2 Camera 2 CIEL AU LEVER DU SOLEIL (couleur basse résolution) Sol 631 04 h 00.

Notes et références

Notes

  1. (en) « Mars Global Surveyor - Mars Orbiter Camera - "Inca City" is Part of a Circular Feature. », San Diego, Califormnie (États-Unis), NASA / Jet Propulsion Laboratory (JPL) / Malin Space Science Systems, (consulté le ).
  2. Le module de Viking 1 s'intitule désormais la « Thomas Mutch Memorial Station ».

Références

  1. (en) Viking Orbiter Imaging Team, « NASA SP-441: Viking Orbiter Views of Mars – Viking 2 », sur history.nasa.gov, NASA (consulté le ).
  2. Voir notamment cette réimpression qui décrit les orbites, extrait du Journal of Spacecraft and Rockets.
  3. (en) Dave Williams et Jay Friedlander, « Deimos - Viking 2 Orbiter – Mars' moon Deimos from 1,400 km (Description de la prise de vue Viking Orbiter 413B83 de Viking 2) », NSSDC, NASA Goddard Space Flight Center, (consulté le ).
  4. (en) D. E. smith, F.G. Lemoine et S. K. Fricke, « The Mass of Mars, Phobos and Deimos, From the Analysis of Mariner 9 and Viking Orbiter Data » [PDF], Lunary and Planetary Institue (consulté le ).
  5. Roy 1982, p. 557.
  6. Le Monde du 8 septembre 1976.
  7. (en) Gary Daines, « Sept. 3, 1976: Viking 2 Lands on Mars », NASA, (consulté le ).
  8. (en) « Mars Mileage Guide », NASA, NSSDC, (consulté le ).
  9. (en) « Space FAQ 08/13 - Planetary Probe History », Space Faqs, (consulté le ).
  10. NASA SP-441: VIKING ORBITER VIEWS OF MARS, The viking Mission.
  11. Communiqué sur space.com.
  12. (en) NASA, « On Mars: Exploration of the Red Planet. 1958-1978 The Colors of Mars », sur NASA Headquarters, {?} (consulté le ), p. 380-381.
  13. T. Mutch et al., « The Surface of Mars: The View from the Viking 2 Lander », Science, no 194, 1976, pp. 1277-1283.
  14. W. Hartmann, A Traveler's Guide to Mars, Workman Publishing, NY, 2003.
  15. R.A. Binder Arvidson et K. Jones, « La surface de Mars », Scientific American, no 238, 1976, pp. 76-89.
  16. B. Clark et al., « Inorganic Analysis of Martian Samples at the Viking Landing Sites » Science, no 194, 1976, pp. 1283-1288.
  17. Communiqué de la Nasa.
  18. « Life on Mars », sur msss.com (consulté le ).
  19. « Viking Data May Hide New Evidence For Life », sur spacedaily.com (consulté le ).
  20. « Notification », sur discovery.com (consulté le ).
  21. E. Friedmann, « Endolithic Microorganisms in the Antarctic Cold Desert », Science, no 215, 1982, pp. 1045–1052.
  22. W. Hartmann, A Traveler's Guide to Mars, Workman Publishing, NY, 2003.
  23. Le Monde du 20 octobre 1976.
  24. P. Labrot, « Viking fut la première (et la seule) mission à déposer un sismomètre sur Mars », Institut de physique du globe de Paris (consulté le )

Bibliographie

NASA
  • (en) NASA, Viking, (lire en ligne)
    Dossier de presse fourni par la NASA pour le lancement des sondes Viking.
Autre
  • (en) Paolo Ulivi et David M Harland, Robotic Exploration of the Solar System Part 1 The Golden Age 1957-1982, Chichester, Springer Praxis, , 534 p. (ISBN 978-0-387-49326-8).
  • Jean-RenĂ© Roy, L'astronomie et son histoire, Sillery/Paris, Dunod, , 665 p. (ISBN 2-225-77781-0 et 978-2-2257-7781-3, prĂ©sentation en ligne). Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article

Source

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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