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Victor de Persigny

Jean-Gilbert Victor Fialin, duc de Persigny, né le à Saint-Germain-Lespinasse (France) et mort le à Nice, est un homme politique français du Second Empire.

Victor de Persigny
Illustration.
Photographie du duc de Persigny dans les années 1850 par Pierre-Louis Pierson.
Fonctions
Ministre de l'Intérieur
–
(10 mois et 10 jours)
Président Napoléon III
Gouvernement Gouvernement Louis-Napoléon Bonaparte (2)
Prédécesseur Charles de Morny
Successeur Lui-mĂŞme (Second Empire)
–
(2 ans, 5 mois et 1 jour)
Monarque Napoléon III
Gouvernement Gouvernement Napoléon III (3)
Prédécesseur Lui-même (Deuxième République)
Successeur Adolphe Billault
–
(2 ans, 6 mois et 28 jours)
Monarque Napoléon III
Gouvernement Gouvernement Napoléon III (3)
Prédécesseur Adolphe Billault
Successeur Paul Boudet
Ministre du Commerce et de l'Agriculture
–
(10 mois et 7 jours)
Président Napoléon III
Gouvernement Gouvernement Louis-Napoléon Bonaparte (2)
Prédécesseur Noël Lefebvre-Duruflé
Successeur Lui-mĂŞme (Second Empire)
–
(6 mois et 21 jours)
Monarque Napoléon III
Gouvernement Gouvernement Louis-Napoléon Bonaparte (3)
Prédécesseur Lui-même (Deuxième République)
Successeur Pierre Magne
Sénateur français
–
(17 ans, 8 mois et 4 jours)
LĂ©gislature Second Empire
Député français
–
(2 ans, 6 mois et 19 jours)
Circonscription Nord
Législature Assemblée nationale législative
Groupe politique Bonapartiste
–
(2 mois et 9 jours)
Circonscription Loire
Législature Assemblée nationale législative
Successeur Jacques Delmas de Grammont
Maire de Chamarande
–
(15 ans)
Prédécesseur M. Robineau
Successeur Georges Frédéric Vatier
Président du conseil général de la Loire
–
(13 ans)
Prédécesseur Charles-Wangel Bret
Successeur Pierre-Frédéric Dorian
Conseiller général de la Loire
Élu dans le canton de Saint-Haon-le-Châtel
–
(9 ans)
Prédécesseur Camille Bouquet d'Espagny
Successeur Charles Cherpin
Ambassadeur de France en Allemagne
–
(moins d’un an)
Prédécesseur Napoléon-Hector Soult de Dalmatie
Successeur Emmanuel Arago
Ambassadeur de France en Angleterre
–
(3 ans)
Prédécesseur Alexandre Colonna Walewski
Successeur Aimable PĂ©lissier
–
(1 an)
Prédécesseur Aimable Pélissier
Successeur Charles de Flahaut
Biographie
Nom de naissance Jean-Gilbert Victor Fialin
Date de naissance
Lieu de naissance Saint-Germain-Lespinasse (France)
Date de décès
Lieu de décès Nice (France)
SĂ©pulture Saint-Germain-Lespinasse
Nationalité française
Parti politique Bonapartisme autoritaire
Père Antoine Fialin
Mère Anne Girard de Charbonnières
Conjoint Eglé Ney de La Moskowa
Enfants Lyonette Fialin de Persigny
Jean Fialin de Persigny
Marie-Eugènie Fialin de Persigny
Marguerite Fialin de Persigny
Thérèse Fialin de Persigny
Diplômé de École royale de cavalerie de Saumur

Signature de Victor de Persigny

Biographie

Jean-Gilbert Victor Fialin est le fils d'Antoine Fialin (1777-1810), receveur des finances et d'Anne Girard de Charbonnières (1771-1843)[1] - [2].

Son père, ayant fait de mauvaises affaires, abandonne sa femme et ses deux enfants pour s'engager dans les armées impériales qui envahissent l'Espagne pendant la guerre d'indépendance espagnole. Devenu maréchal-des-logis-chef, il est admis à l'hôpital royal de Salamanque où il meurt le , par suite de fièvres.

Le jeune Jean-Gilbert, orphelin de père, est Ă©levĂ© par son oncle maternel, monarchiste convaincu. Il obtient une bourse et entre au collège royal de Limoges. Il fait le choix d'une carrière militaire, est admis Ă  l'École royale de cavalerie de Saumur, le , et au bout de deux annĂ©es sort major de promotion. IntĂ©grĂ© au 4e rĂ©giment de hussards avec le grade de marĂ©chal des logis, dans la compagnie de ThĂ©ophile-Joachim-RenĂ© Guillard de Kersausie dit le « capitaine Kersausie Â» (1798-1874), rĂ©publicain, carbonaro et membre de la Conspiration La Fayette[3] - [4].

Il prit part, avec lui, au mouvement insurrectionnel de à Vannes où ils arborent le drapeau tricolore. Le rôle joué par son régiment en soutenant la révolution de Juillet fut regardé comme de l'insubordination. Jean-Gilbert Victor Fialin ne peut rester dans l'armée, il est mis en congé de réforme puis en congé définitif le .

Jean-Gilbert Victor Fialin décide de monter à Paris et de se lancer dans le journalisme. Il collabore à plusieurs journaux dont Le Courrier français et Le Spectateur Militaire. Il décide à cette époque de se présenter sous le nom de vicomte de Persigny, du nom d’une terre noble qu’avait possédée son grand-père près de Cremeaux et titre que ses ancêtres auraient selon lui porté autrefois.

À cette même époque, il se convertit au bonapartisme, notamment après la lecture du Mémorial de Sainte-Hélène. À l’époque, le bonapartisme est cependant loin de constituer une force politique crédible. Apanage des rescapés de la Grande Armée, rêve de quelques jeunes romantiques isolés dans la société bourgeoise de la monarchie de Juillet, l’Empire appartient davantage à l’histoire qu’à l'avenir.

L'aventure bonapartiste

En 1834, alors qu'il voyage pour son journal dans le pays de Bade, il rencontre Jérôme Bonaparte, roi de Westphalie, frère de Napoléon Ier. À la suite de cette entrevue, il fonde la revue bonapartiste L’Occident Français, qui n’aura qu’un seul numéro. L’année suivante, en 1835, il fait la rencontre décisive de Louis-Napoléon Bonaparte, alors en exil à Arenenberg en Suisse. Il va dès lors être son compagnon d’exil et son aide de camp. Le futur Napoléon III est une véritable révélation pour lui. Ses sentiments politiques trouvent un cadre, le bonapartisme ; son incroyable énergie, un but : la restauration de l’Empire ; sa soif de fidélité, un homme, Louis-Napoléon.

La tentative de Strasbourg

Le , secondĂ© par le colonel Vaudrey, commandant le 4e rĂ©giment d'artillerie[5], il tente de gagner la garnison de Strasbourg Ă  la cause bonapartiste. Après avoir soulevĂ© la garnison, le but est de marcher sur Paris. Si les soldats du rĂ©giment d’artillerie de Strasbourg se soulèvent, les autres rĂ©giments ne se rallient pas et dĂ©sarment les apprentis comploteurs. Tandis que le roi Louis-Philippe fait preuve de clĂ©mence en envoyant Louis-NapolĂ©on Bonaparte en exil aux États-Unis, Jean-Gilbert Victor Fialin de Persigny, qui a rĂ©ussi Ă  s'Ă©chapper, ne baisse pas les bras : il inonde la presse d’articles et de communiquĂ©s, recrute de nouveaux partisans, rĂ©colte des fonds, jette les bases d’un embryon de parti.

La tentative de Boulogne

En 1840, la conjoncture lui semble favorable à une nouvelle tentative de complot : Adolphe Thiers et son cabinet viennent de décider le retour des cendres de l'île Sainte-Hélène. Louis-Napoléon Bonaparte qui est à Londres et Jean-Gilbert Victor Fialin de Persigny affrètent un navire dont ils confient le commandement à un ancien corsaire, compagnon de Surcouf. Avec une cinquantaine de leurs partisans dont le général de Montholon, ils débarquent à Boulogne-sur-Mer dont ils tentent en vain de rallier la garnison. Mais la confrontation tourne mal. Des coups de feu sont échangés, deux personnes sont tuées et la petite bande bonapartiste est arrêtée. Jean-Gilbert Victor Fialin de Persigny est condamné à vingt ans de détention à la citadelle de Doullens, peine rapidement atténuée, en 1843, pour raison de santé : atteint d’ophtalmie, il est transféré à l’hôpital militaire de Versailles. Il est libéré par la révolution française de 1848.

Pendant son emprisonnement, il écrit un ouvrage De la destination et de l'utilité permanente des Pyramides, publié en 1845, dans lequel il propose une hypothèse originale sur la fonction des pyramides d'Égypte en sus de leur usage de tombeaux.

« M. Fialin de Persigny utilisa les loisirs forcés que lui fit sa condamnation pour adresser, en 1844, à l'Académie des sciences un mémoire contenant ses idées particulières sur le but véritable que se proposèrent les Égyptiens en élevant les montagnes de pierre vulgairement appelées pyramides. Selon lui, ce furent là bien moins des monuments de l'orgueil des rois que des monuments d'utilité publique ; et ces gigantesques constructions étaient en réalité destinées à protéger la vallée du Nil contre l'invasion des sables du désert... Nous confesserons humblement notre incompétence sur cette grave question d'archéologie... et de physique[6]. »

L'exercice du pouvoir

Photographie du duc de Persigny dans les années 1860 par Eugène Disdéri.

En 1848, il dirige la campagne qui amène l’élection à la présidence de Louis-Napoléon Bonaparte. Infatigable, il reconstitue ses réseaux, finance des journaux et sillonne la France, n’ayant de cesse que la nouvelle de la candidature de celui à qui il a voué sa vie soit connue dans le plus reculé des hameaux. Le 10 décembre 1848, Louis-Napoléon Bonaparte est ainsi élu premier président de la République française avec près de 75 % des voix.

Il est élu représentant le 13 mai 1849 à l'Assemblée législative par deux départements : la Loire qui l'élit septième sur neuf, et le Nord qui l'élit sixième sur vingt-quatre. Il opte pour le Nord et est remplacé dans la Loire, le , par le général Delmas de Grammont. La même année, il est ambassadeur en Allemagne pendant un an.

Il commence à organiser, à l’Assemblée législative, un parti bonapartiste, parti du président. Victor de Persigny est membre du comité de la rue de Poitiers. Lors du coup d'État du 2 décembre 1851, il est à la tête du 42e régiment de ligne où il est chargé avec le colonel Espinasse de la prise du Palais Bourbon par la troupe, ce qui ouvre les portes du pouvoir à Louis-Napoléon Bonaparte.

Le nouveau régime dans lequel il s’apprête à jouer un rôle éminent se met en place. Le , il est nommé ministre de l’Intérieur, poste qu'il conserve jusqu’en . En cette qualité, le lendemain du coup d'État, il est un des plus ardents partisans politiques du rétablissement de l'Empire. Il paraît que Victor de Persigny demande aux préfets de faire crier « Vive l'Empereur » au lieu de « Vive le Président » lors des visites officielles de Louis-Napoléon Bonaparte. Il occupe aussi les fonctions de ministre du Commerce et de l'Agriculture de à . Puis il est ambassadeur à Londres de 1855 à 1858 et de 1859 à 1860. Il est rappelé au ministère de l'intérieur de 1860 à 1863. Il y contrôle la presse et décide de la ligne des journaux officieux du régime comme Le Constitutionnel ou Le Pays. Ses idées, comme celles du prince Napoléon, cousin de l'empereur, sont favorables aux révolutionnaires italiens bien qu'en 1859 il se soit prononcé contre la guerre d'Italie ; il presse l'empereur de leur abandonner Rome. C'est Victor de Persigny qui trouvera les moyens pour financer les travaux haussmanniens à Paris.

Il Ă©pouse, le Ă  Paris, EglĂ© Ney de La Moskowa (1832-1890)[7], petite-fille du marĂ©chal Ney et du banquier Jacques Laffitte, de vingt-quatre ans sa cadette. Ă€ cette occasion, il reçoit 500 000 francs et le titre de comte, il est ensuite appelĂ© au SĂ©nat le puis maire de Chamarande (Seine-et-Oise)[8], oĂą il a achetĂ© en 1858 le château du dernier marquis de Talaru.

Son caractère autoritaire lui dresse en rival Charles de Morny auquel il a succĂ©dĂ© en 1852. L'impĂ©ratrice EugĂ©nie le dĂ©teste car il avait dĂ©sapprouvĂ© son choix comme impĂ©ratrice ; on prĂŞte Ă  Jean-Gilbert Victor Fialin de Persigny cette dĂ©claration faite Ă  l'empereur en 1850 : « Ce n’est pas la peine d’avoir risquĂ© le coup d’État avec nous pour Ă©pouser une lorette ! ».

Victor de Persigny fut président de la Société de géographie de 1862 à 1863.

Il prépare les élections de mai 1863 avec despotisme en s'employant à obtenir une chambre docile. Seuls les candidats qu'il avalise peuvent se déclarer « indépendants ». En même temps, il éloigne les candidats catholiques et ne représente pas plusieurs députés. Il ne prévoit ni ne prévient le succès électoral de l'opposition. Il conseille alors à Napoléon III de gouverner sans chambre mais, tenu responsable de la défaite, il est écarté. On médit alors de lui ainsi : « Il finira sur la paille car il a déjà sa litière (sali Thiers) ».

Il est élevé duc de Persigny par décret impérial du .

L'attachement Ă  sa terre natale

Victor de Persigny devient président du conseil général de la Loire en 1858 : il assume cette charge jusqu'en 1870. Il y déploie une extraordinaire énergie. Le percement du canal du Forez, la création de la Société historique et archéologique du Forez (La Diana), la mise en place d’un fonds de secours pour les victimes des débordements de la Loire, la poursuite de l’essor industriel du département, le transfert de la préfecture de Montbrison à Saint-Étienne sont autant d’actes à mettre à son crédit.

En 1862, il convainc le maire de Roanne Charles Bouiller de faire construire un nouvel hĂ´tel de ville ; Édouard Corroyer rĂ©alise le projet, qui s'achève en 1874. Il prĂ©side, en 1864 Ă  Roanne, l’inauguration de l’église Notre-Dame-des-Victoires et fait obtenir Ă  cette ville une chambre de commerce. Il est aussi Ă  l’origine de l’obtention par la ville de la croix de la LĂ©gion d’honneur. Jean-Gilbert Victor Fialin de Persigny permet en outre Ă  la ville de Roanne de rĂ©cupĂ©rer, par dĂ©cret, les archives du duchĂ© de Roannais[9].

Le déclin

En 1870, la guerre franco-prussienne et la reddition du général Bazaine provoquent la chute de l’Empire et viennent mettre un terme à sa carrière.

Abandonnant la politique, il se consacre à la rédaction de ses « Mémoires » qui ne seront publiés qu'après sa mort en 1896. Homme courageux, assumant et revendiquant même tout l’héritage de l’Empire, y compris celui du coup d’état du , après cette vie « politiquement correcte » et malgré sa disgrâce auprès de l’impératrice, il ne renia jamais son prince et il eut l’amertume d'assister à la fin du rêve pour lequel il avait vécu et combattu.

Victor de Persigny meurt Ă  l'hĂ´tel du Luxembourg (actuel hĂ´tel MĂ©ridien) sur la promenade des Anglais Ă  Nice le .

Il est inhumé au cimetière de Saint-Germain-Lespinasse le . Le lendemain des funérailles arrive ce télégramme de Napoléon III, exilé en Angleterre : « Mon Cher Persigny, J'apprends avec peine l'état de votre santé. J'espère que vous pourrez triompher de la maladie mais en attendant votre guérison, je tiens à vous dire que j'oublie ce qui a pu nous diviser pour ne me souvenir que des preuves de dévouement que vous m'avez données pendant de longues années. Croyez à ma sincère amitié »[10].

Son tombeau au cimetière de Saint-Germain-Lespinasse[11] ayant été gravement endommagé par la tempête de 1999 a été reconstruit à l'identique grâce à une subvention exceptionnelle émanant du conseil général de la Loire[12] et du ministre de l'Intérieur[13].

La succession de sa veuve, comtesse de V.S., donne lieu à une vente mobilière aux enchères publiques du 4 au à l'hôtel Drouot à Paris avc l'expert Charles Manheim.

En conclusion

Napoléon III aurait dit de lui : « L’Impératrice est légitimiste, Morny est orléaniste, le prince Napoléon est républicain et je suis moi-même socialiste. Il n’y a qu’un seul bonapartiste, c’est Persigny, et il est fou. ». L'homme est plus complexe que cette boutade, c'était notamment un spécialiste de cette nouveauté du temps, les campagnes électorales.

Les papiers personnels de Victor de Persigny et de la famille Persigny sont conservés aux Archives nationales à Pierrefitte-sur-Seine sous la cote 44AP1 à 44AP30[14].

Descendance

De son mariage avec Eglé Ney de La Moskowa sont nés cinq enfants :

Iconographie

Une mĂ©daille posthume Ă  l'effigie de Victor de Persigny a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e par le graveur Louis-Charles Bouvet (1808-1887). Un exemplaire en est conservĂ© au musĂ©e Carnavalet (ND 0412)[16].

DĂ©corations

Décoration française

Décorations étrangères

Notes et références

  1. « Victor Fialin de Persigny », sur roglo.eu (consulté le )
  2. « Jean Gilbert Victor FIALIN - Arbre généalogique Bernard GUINARD - Geneanet », sur Geneanet (consulté le )
  3. « KERSAUSIE Théophile, Joachim, René Guillard de [parfois KERSOSI] - Maitron », sur maitron-en-ligne.univ-paris1.fr (consulté le )
  4. (en) « Kersausie, Joachim René Theophile Guillard de », sur encyclopedia2.thefreedictionary.com (consulté le ).
  5. Régiment de Napoléon Bonaparte à Toulon en 1793.
  6. Michel Lévy, Dictionnaire de la conversation et de la lecture, page 397. Volume 14, Michel Lévy frères, Paris, 1857.
  7. Fille de Napoléon Joseph Ney et d'Albine Marguerite Lafitte.
  8. « Francegenweb.org - votre service benevole d'assistance genealogique », sur francegenweb.org (consulté le ).
  9. Elles sont actuellement conservées à la médiathèque municipale de Roanne.
  10. Cité d'après Pascal Clément, Persigny, L'homme qui a inventé Napoléon III.
  11. Collectif Sarka-SPIP, « SAINT-GERMAIN-LESPINASSE (42) : cimetière - Cimetières de France et d'ailleurs », sur www.landrucimetieres.fr (consulté le )
  12. Présidé alors par Pascal Clément.
  13. Dirigé à l'époque par Jean-Pierre Chevènement.
  14. « Fonds Persigny (1398-1945) », sur archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le )
  15. Il est le dernier Ă  porter ce titre.
  16. « Gilbert Victor Fialin, duc de Persigny (1808-1872), ministre de l'Intérieur (1852 et 1860-1863) | Paris Musées », sur parismuseescollections.paris.fr (consulté le )

Sources

Bibliographie

  • Joseph Delaroa, Le duc de Persigny et les doctrines de l'empire, Victor Fialin duc de Persigny, Plon, 1865.
  • Paul Hadol, La mĂ©nagerie impĂ©riale composĂ©e des ruminants, amphibes, carnivores et autres budgĂ©tivores qui ont dĂ©vorĂ© la France pendant vingt ans, s.l.n.d. (1870-1871). Dans ce recueil de caricatures, Victor de Persigny est reprĂ©sentĂ© sous la forme d'un singe.
  • Catalogue des objets d'art, de curiositĂ© et d'ameublement dĂ©pendant de la succession de M. le duc de Persigny, provenant du château de Chamarande, et dont la vente aux enchères publiques aura lieu... les lundi 6, mardi 7 et mercredi , 1872.
  • Jean-Gilbert Victor Fialin de Persigny, MĂ©moires, Ă©ditĂ©s par le comte Henri de Laire d'Espagny (1831-1920), Plon-Nourrit, 1896.
  • Georges Goyau, Un roman d'amitiĂ© entre deux adversaires politiques, Falloux et Persigny, Flammarion, 1928.
  • Paul ChrĂ©tien, Le duc de Persigny (1808-1872), thèse, Imprimerie Boisseau, Toulouse, 1943.
  • HonorĂ© Farat, Persigny, un ministre de NapolĂ©on III, Hachette, 1957.
  • Caroline Wahl, Fonds Persigny, AP44, Centre historique des Archives nationales, 2002 (lire en ligne).

Liens externes

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