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Sainte-CĂ©cile-d'Andorge

Sainte-Cécile-d'Andorge est une commune française située dans le nord du département du Gard en région Occitanie.

Sainte-CĂ©cile-d'Andorge
Blason de Sainte-CĂ©cile-d'Andorge
Blason
Sainte-CĂ©cile-d'Andorge
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Gard
Arrondissement AlĂšs
Intercommunalité AlÚs Agglomération
Maire
Mandat
Jacques Pepin
2020-2026
Code postal 30110
Code commune 30239
DĂ©mographie
Population
municipale
572 hab. (2020 en stagnation par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 30 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 15â€Č 10″ nord, 3° 58â€Č 37″ est
Altitude Min. 200 m
Max. 835 m
Superficie 19,09 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine La Grand-Combe
(banlieue)
Aire d'attraction AlĂšs
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de La Grand-Combe
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Sainte-CĂ©cile-d'Andorge
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Sainte-CĂ©cile-d'Andorge

    ExposĂ©e Ă  un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par le Gardon d'AlĂšs et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les CĂ©vennes, la commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© de deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Sainte-CĂ©cile-d'Andorge est une commune rurale qui compte 572 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 1 425 habitants en 1866. Elle est dans l'unitĂ© urbaine de La Grand-Combe et fait partie de l'aire d'attraction d'AlĂšs. Ses habitants sont appelĂ©s les Sainte-CĂ©ciliens ou Sainte-CĂ©ciliennes.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Sainte-Cécile-d'Andorge est une commune située dans le nord-ouest du Gard, et elle est limitrophe de la LozÚre.

    Elle est située au nord de l'ancienne ville miniÚre de La Grand-Combe dans la Vallée Longue.

    Communes limitrophes

    Sainte-CĂ©cile-d'Andorge est limitrophe des communes suivantes :

    Hydrographie

    L'Andorge arrose l'ouest de la commune et fait la limite départementale.

    Le Gardon d'AlÚs, dont les sources sont en LozÚre et qui s'achÚve dans la plaine d'AlÚs, arrose la commune et coule dans la Vallée longue.

    Deux barrages y ont Ă©tĂ© construits : le barrage de Sainte CĂ©cile en 1967 pour lutter contre les crues naturelles jugĂ©es dĂ©vastatrices, en amont du barrage des Camboux construit lui en 1957 afin d'alimenter en eau la centrale thermique du Fesc, qui alimentait elle-mĂȘme en Ă©nergie les puits des mines de La Grand-Combe.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[1].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 4,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 14,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 17,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 357 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 4,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[4] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[5] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « GĂ©nolhac », sur la commune de GĂ©nolhac, mise en service en 1974[6] et qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[7] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 633 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[8]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Lanas Syn », sur la commune de Lanas, dans le dĂ©partement de l'ArdĂšche, mise en service en 1990 et Ă  46 km[9], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,6 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10], Ă  13,5 °C pour 1981-2010[11], puis Ă  13,9 °C pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[13] - [14]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhĂ©sion du Parc national des CĂ©vennes[Note 4]. Ce parc national, crĂ©Ă© en 1967, est un territoire de moyenne montagne formĂ© de cinq entitĂ©s gĂ©ographiques : le massif de l'Aigoual, le causse MĂ©jean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont LozĂšre, les vallĂ©es cĂ©venoles ainsi que le piĂ©mont cĂ©venol[15].

    La commune fait partie de la zone de transition des CĂ©vennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu rĂ©serve de biosphĂšre par l'UNESCO en 1985 pour la mosaĂŻque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversitĂ© exceptionnelle, avec 2 400 espĂšces animales, 2 300 espĂšces de plantes Ă  fleurs et de fougĂšres, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[16] - [17].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensĂ©e sur la commune[18] : le « Gardon d'AlĂšs Ă  la Grand-Combe » (179 ha), couvrant 8 communes dont 7 dans le Gard et 1 dans la LozĂšre[19] et une ZNIEFF de type 2[Note 6] - [18] : les « Hautes vallĂ©es des Gardons » (73 898 ha), couvrant 48 communes dont 27 dans le Gard et 21 dans la LozĂšre[20].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Sainte-CĂ©cile-d'Andorge.
    • Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-CĂ©cile-d'Andorge est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [21] - [I 1] - [22]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de La Grand-Combe, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 4 communes[I 2] et 9 567 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3] - [I 4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'AlĂšs, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[I 5] - [I 6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (95,5 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (97,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (93,6 %), zones urbanisĂ©es (1,9 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (1,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1,5 %), eaux continentales[Note 9] (0,9 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,2 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Sainte-CĂ©cile-d'Andorge est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage, et Ă  un risque particulier : le risque de radon[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) d'AlĂšs, regroupant 37 communes autour d'AlĂšs, un des 31 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin RhĂŽne-MĂ©diterranĂ©e[26], retenu au regard des risques de dĂ©bordements de la CĂšze et des Gardons. Parmi les derniĂšres crues significatives qui ont touchĂ© le territoire figurent celles de 1958 et de septembre 2002. Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[27] - [28]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1995, 2008, 2011 et 2015[29] - [24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sainte-Cécile-d'Andorge.

    La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[30]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 8,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 297 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 45 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 15 %, Ă  comparer aux 90 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[32].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1983[24].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[33].

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Sainte-CĂ©cile-d'Andorge, un ouvrage de classe A[Note 10] dotĂ© d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[35].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Sainte-CĂ©cile-d'Andorge est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[36].

    Histoire

    La commune compte quelques vestiges préhistoriques sous forme de tumuli et de gravures préhistoriques notamment au hameau des Ponchets.

    La commune avec son habitat dispersé datant du XIIIe siÚcle et ses mas en schiste est encore préservée de l'urbanisation. Le clocher à tour de son église date du XIIe siÚcle .

    Cette commune situĂ©e en pays protestant est restĂ©e fidĂšle au catholicisme durant la guerre des Camisards (1702 - 1705), ce qui lui a valu un Ă©pisode tragique. Le le village de Sainte-CĂ©cile-d’Andorge et celui de Saint-Julien-des-Points sont incendiĂ©s par Rolland et Jouanny : 800 Ă  900 camisards se vengent contre le village papiste de Sainte-CĂ©cile-d’Andorge Ă©pargnĂ© par la dĂ©vastation des Hautes CĂ©vennes le mois prĂ©cĂ©dent. Les habitants se rĂ©fugient dans leur Ă©glise transformĂ©e en forteresse. Neuf habitants qui n’ont pu atteindre Ă  temps l’église sont tuĂ©s, les autres seront sauvĂ©s. Quelques jours plus tard, l'abbĂ© Vidal, curĂ© de Sainte-CĂ©cile mĂšnera une expĂ©dition punitive et meurtriĂšre contre la paroisse voisine de Blannaves entiĂšrement rĂ©formĂ©e. L'historien Robert Sauzet relate ces Ă©vĂšnements dans un ouvrage qui fait place Ă  la minoritĂ© religieuse des catholiques intitulĂ©e LES CÉVENNES CATHOLIQUES. Histoire d'une fidĂ©litĂ©. XVIe-XXe siĂšcle''

    Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Andorge-le-Gardon[37].

    Durant la révolution industrielle, la commune profite du voisinage de deux compagnies houillÚres importantes, la Compagnie de Portes et Sénéchas, et celle de la Grand-Combe[38]. Plusieurs chemins de fer vont la traverser (et la désenclaver) dont celui de Paulin Talabot : le PLM, future ligne des Cévennes, passe en effet dÚs 1867 dans la commune dont la gare accueille durant leurs excursions cévenoles deux amoureux célÚbres, Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre comme le raconte la premiÚre dans les mémoires d'une jeune fille rangée.

    Aujourd'hui la commune qui compte prÚs de 560 habitants contre 470 il y a vingt ans, s'est tournée résolument vers le tourisme. Elle participe à la restauration partielle d'un autre chemin de fer, l'ancien CFD qui reliait Sainte-Cécile-d'Andorge à Florac (1909-1968) au sein d'une association intercommunale "le TAC" (train de l'Andorge en Cévennes) et de la future voie verte appelée dans un premier temps "Transcévenole" puis maintenant "Ligne verte".

    Un chemin de fer atypique traverse aussi le territoire de la commune. Les plans inclinés de Portes et Sénéchas qui reliaient les mines de La VernarÚde à la gare terminus de la Levade, à La Grand-Combe, furent construits en 1859 par le financier Jules MirÚs (1809-1871) alors propriétaire de la Compagnie de Portes. Ce roulage minier qui fonctionna de 1859 à 1867 utilisait la gravité. Dans le systÚme "bis automoteur" conçu et développé par l'ingénieur Paul-Adrien Bourdaloue dans la région de La Grand-Combe, les wagons pleins qui descendent font remonter les wagons vides grùce à un systÚme de cùbles. Ainsi étaient en partie solutionnées les difficultés de transport liées au relief cévenol[39].

    La municipalité a fait restaurer en 2003-2004 les ouvrages d'art qui composaient ce systÚme original et en a fait des sentiers de randonnée (la tour des PinÚdes et la tour du Simonet). La tour du Simonet accueille des expositions temporaires sous le nom d'écogalerie d'art du Simonet.

    Les habitants de Sainte-Cécile-d'Andorge portent le sobriquet collectif de "cambaluts", en occitan "ceux qui ont de longues jambes". Ces derniers auraient en effet développé une agilité particuliÚre en raison du relief accidenté et des nombreux cours d'eau qu'ils devaient souvent franchir à gué[40].

    HĂ©raldique

    Blason de Sainte-CĂ©cile-d'Andorge Blason
    D'or au pal losangé d'argent et de sable.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1988 ? André Vieljeuf
    mars 1989 2001 GĂ©rard Bernon
    mars 2001 En cours Jacques PĂ©pin UMP-LR Professeur

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[42].

    En 2020, la commune comptait 572 habitants[Note 11], en stagnation par rapport Ă  2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    600597603697672670690682869
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9041 0391 4259941 0751 0501 1801 1591 186
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1911 0941 0381 009926819853874852
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    773620499476483490543575580
    2020 - - - - - - - -
    572--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee Ă  partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 251 mĂ©nages fiscaux[Note 12], regroupant 520 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 19 650 â‚Ź[I 7] (20 020 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 8]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 9]6,3 %9,9 %12,3 %
    DĂ©partement[I 10]10,6 %12 %12 %
    France entiĂšre[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  363 personnes, parmi lesquelles on compte 69,7 % d'actifs (57,4 % ayant un emploi et 12,3 % de chĂŽmeurs) et 30,3 % d'inactifs[Note 13] - [I 9]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement et de la France, alors qu'en 2008 la situation Ă©tait inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'AlĂšs, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 3] - [I 12]. Elle compte 58 emplois en 2018, contre 58 en 2013 et 51 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 211, soit un indicateur de concentration d'emploi de 27,5 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 51,5 %[I 13].

    Sur ces 211 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 48 travaillent dans la commune, soit 23 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 90,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2 % les transports en commun, 3,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Activités hors agriculture

    29 Ă©tablissements[Note 14] sont implantĂ©s Ă  Sainte-CĂ©cile-d'Andorge au . Le tableau ci-dessous en dĂ©taille le nombre par secteur d'activitĂ© et compare les ratios avec ceux du dĂ©partement[Note 15] - [I 16]. Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 37,9 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (11 sur les 29 entreprises implantĂ©es Ă  Sainte-CĂ©cile-d'Andorge), contre 30 % au niveau dĂ©partemental[I 17].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations2215113
    SAU[Note 16] (ha)2572191428

    La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard[44]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Trois exploitations agricoles ayant leur siÚge dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 18] (22 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 28 ha[46] - [Carte 5] - [Carte 6].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Gardon d'AlĂšs prĂšs de Sainte-CĂ©cile-d'Andorge
      Gardon d'AlĂšs prĂšs de Sainte-CĂ©cile-d'Andorge
    • Viaduc sur l'Andorge
      Viaduc sur l'Andorge
    • Le lac de Sainte-CĂ©cile-d'Andorge
      Le lac de Sainte-CĂ©cile-d'Andorge
    • Église Sainte-CĂ©cile de Sainte-CĂ©cile-d'Andorge
      Église Sainte-CĂ©cile de Sainte-CĂ©cile-d'Andorge
    • La statue de Notre-Dame de Lourdes

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[34].
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    12. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    13. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    14. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    15. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    16. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    17. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    18. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[45].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
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    Autres sources

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    40. André Bernardy, éditions ateliers Henri Peladan, UzÚs,1962
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