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Saint-Pierre-d'Exideuil

Saint-Pierre-d'Exideuil est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).

Saint-Pierre-d'Exideuil
Saint-Pierre-d'Exideuil
L'église Saint-Pierre et son cimetière.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes du Civraisien en Poitou
Maire
Mandat
Jean-Marie Peigné
2020-2026
Code postal 86400
Code commune 86237
Démographie
Gentilé Exidoliens
Population
municipale
768 hab. (2020 en augmentation de 5,93 % par rapport à 2014)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 09′ 06″ nord, 0° 16′ 15″ est
Altitude Min. 100 m
Max. 147 m
Superficie 19,32 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Civray
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Pierre-d'Exideuil
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Saint-Pierre-d'Exideuil
Liens
Site web saintpierredexideuil.fr

    Géographie

    La D 148 dans la traversée du bourg.

    À l'extrême sud-ouest du département de la Vienne, la commune de Saint-Pierre-d'Exideuil s'étend sur près de 20 km2. Son territoire est traversé au sud par la Charente qui y déploie ses méandres.

    L'altitude minimale, 100 mètres, se trouve au sud-est, juste en aval du château de Léray, là où la Charente quitte la commune et entre sur celle de Saint-Saviol. L'altitude maximale avec 147 mètres est localisée au sud-ouest, en bordure de la commune de Civray, au bois de Fosse-Billon.

    Le bourg de Saint-Pierre-d'Exideuil, en rive droite de la Charente et traversé par les routes départementales 35 et 148, se situe, en distances orthodromiques, deux kilomètres à l'est de Civray et quinze kilomètres au nord-nord-est de Ruffec.

    La commune est également desservie par les routes départementales 1 et 103 au sud, 7 au nord-est et 104 à l'ouest.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Pierre-d'Exideuil
    Champagné-le-Sec
    (en un quadripoint)

    Linazay

    Blanzay Savigné
    Saint-Saviol Saint-Pierre-d'Exideuil
    Saint-Gaudent Civray

    Géologie et relief

    La région de Saint-Pierre-d'Exideuil présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de vallées. Le terroir se compose[1] :

    • pour 26 % de terres rouges plus ou moins profondes situées sur les plateaux. Ce sont des sols de couleur acajou, siliceux, dérivés d’argiles ferrugineuses à silex provenant d’épandages superficiels du Massif central.
    • pour 65 % de groies profondes dans les plaines. Les groies sont des terres du sud-ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en général de moins de 50 cm d’épaisseur – et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines et donc, propices à la polyculture céréalière.
    • pour 5 % de calcaire dans les vallées,
    • pour 4 % par l'agglomération.

    En 2006, 78,6 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture, 17,7 % par des forêts et des milieux semi-naturels et un peu moins de 4 % par des zones construites et aménagées par l'homme (voirie)[2].

    La présence de milieux naturels et semi-naturels riches et diversifiés sur le territoire communal permet d’offrir des conditions favorables à l’accueil de nombreuses espèces pour l'accomplissement de leur cycle vital (reproduction, alimentation, déplacement, refuge). Forêts, landes, prairies et pelouses, cours d’eau et zones humides, dunes et plages… constituent ainsi des cœurs de biodiversité et/ou de véritables corridors biologiques.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 871 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Civray », sur la commune de Civray, mise en service en 1990[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 859,4 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 48 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Pierre-d'Exideuil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,1 %), zones agricoles hétérogènes (19,4 %), forêts (17,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,1 %), prairies (4 %), zones urbanisées (2,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Pierre-d'Exideuil est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Charente. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2010 et 2017[24] - [22].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Pierre-d'Exideuil.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[25]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[26]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[27]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [28].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[22].

    Risque technologique

    La commune est en outre située en aval du barrage Mas-Chaban, un ouvrage de classe A[Note 8] situé dans le département de la Charente et construit pour constituer une réserve d’eau de 14 millions de m3. Le PPI a été approuvé en 1999. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[30].

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie de Saint-Pierre-d’Exideuil.
    Liste des maires successifs[31]
    Période Identité Étiquette Qualité
    ? mars 2001 Yves Friolaud
    mars 2001 en cours (réélu en 2008) Jean-Marie Peigné PS

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

    En 2020, la commune comptait 768 habitants[Note 9], en augmentation de 5,93 % par rapport à 2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    682628622719603770708774788
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    787786751732711710726746706
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    698733709696661682717706726
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    704695706714766796790789741
    2018 2020 - - - - - - -
    767768-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 41 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Économie

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[36], il n'y a plus que 18 exploitations agricoles en 2010 contre 20 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont paradoxalement augmenté de 22 % et sont passées de 2 010 hectares en 2000 à 2 466 hectares en 2010 dont 615 sont irrigables[36]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[37].

    44 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orge et maïs), 25 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 21 % pour le fourrage et 6 % reste en herbes[36].

    Huit exploitations en 2010 (contre six en 2000) abritent un élevage de bovins (1 042 têtes en 2010 contre 663 en 2000)[36]. C’est un des troupeaux de bovins les plus importants de la Vienne qui rassemblent 48 000 têtes en 2011[38].

    Les élevages de caprins, d'ovins et de volailles ont disparu au cours de cette décennie[36]. La disparition de l'élevage d'ovins est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[38]. Pour l'élevage de caprins, cette disparition est révélatrice de l’évolution qu’a connu, en région Poitou-Charentes, cet élevage au cours des deux dernières décennies : division par trois du nombre d’exploitations, augmentation des effectifs moyens par élevage (38 chèvres en 1988, 115 en 2000), division par dix des chèvreries de 10 à 50 chèvres qui représentaient 50 % des troupeaux en 1988, et multiplication par six des élevages de plus de 200 chèvres qui regroupent, en 2000, 45 % du cheptel. Cette évolution a principalement pour origine la crise de surproduction laitière de 1990-1991 qui, en parallèle des mesures incitatives, a favorisé des départs d’éleveurs en préretraite[39].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil et religieux

    Les arbres remarquables

    Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[43], il y a deux arbres remarquables sur le territoire de la commune qui sont un tilleul à grandes feuilles situé près de l'église et un tilleul à petites feuilles qui se trouve au lieu-dit le Petit Plomb.

    Voir aussi

    Articles de Wikipédia

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    8. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[29].
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Chambre régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
    2. Observatoire régional de l'environnement de Poitou-Charentes
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Civray - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Pierre-d'Exideuil et Civray », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Civray - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Pierre-d'Exideuil et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Pierre-d'Exideuil », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Pierre-d'Exideuil », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    28. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    29. Article R214-112 du code de l’environnement
    30. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    31. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    37. Agreste – Bulletin no 7.
    38. Agreste – Bulletin no 12 de mai 2013
    39. Agreste – Bulletin no 11 de décembre 2005
    40. « Église », notice no PA00105704, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 28 février 2011.
    41. « Château de Léray », notice no PA00105703, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 28 février 2011.
    42. « Moulin Minot », notice no IA86000058, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 28 février 2011.
    43. Poitou-Charentes Nature, 2000
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