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Champagné-le-Sec

Champagné-le-Sec est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Champagné-le-Sec
Champagné-le-Sec
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes du Civraisien en Poitou
Maire
Mandat
Michaël Ecalle
2020-2026
Code postal 86510
Code commune 86051
DĂ©mographie
Gentilé Champenois
Population
municipale
202 hab. (2020 en diminution de 6,05 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 25 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 11â€Č 28″ nord, 0° 11â€Č 32″ est
Altitude Min. 126 m
Max. 144 m
Superficie 7,99 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Civray
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Champagné-le-Sec
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Champagné-le-Sec
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Champagné-le-Sec

    Ses habitants sont appelés les Champenois[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    Le village est situé à deux kilomÚtres au nord de Civray.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Champagné-le-Sec
    Chaunay
    Champagné-le-Sec Blanzay
    Linazay Saint-Pierre-d'Exideuil
    (en un quadripoint)

    GĂ©ologie et relief

    La région de Champagné-le-Sec présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées. Le terroir se compose[2] :

    • pour 20 % de Terres Rouges peu profondes (ce sont des sols acajou, siliceux, dĂ©rivĂ©s d’argiles ferrugineuses Ă  silex provenant d’épandages superficiels du Massif Central) sur les plateaux,
    • pour 80 % de groie moyenne de la Saintonge boisĂ©e et de groies profondes dans les plaines. Les groies sont des terres du sud-ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en gĂ©nĂ©ral de moins de 50 cm d’épaisseur – et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines et donc, propices Ă  la polyculture cĂ©rĂ©aliĂšre.

    En 2006, 80,6 % de la superficie de la commune Ă©tait occupĂ©e par l'agriculture, 15,9 % par des forĂȘts et des milieux semi-naturels et 3,7 % par des zones construites et amĂ©nagĂ©es par l'homme (voirie)[3]. La prĂ©sence de milieux naturels et semi-naturels riches et diversifiĂ©s sur le territoire communal permet d’offrir des conditions favorables Ă  l’accueil de nombreuses espĂšces pour l'accomplissement de leur cycle vital (reproduction, alimentation, dĂ©placement, refuge). ForĂȘts, landes, prairies et pelouses, cours d’eau et zones humides 
 constituent ainsi des cƓurs de biodiversitĂ© et/ou de vĂ©ritables corridors biologiques.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 872 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Civray », sur la commune de Civray, mise en service en 1990[10] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 859,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et Ă  44 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,5 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14] Ă  11,7 °C pour 1981-2010[15], puis Ă  12,2 °C pour 1991-2020[16].

    Voies de communications et transports

    Les gares et les haltes ferroviaires proches de la commune :

    Les aéroports les plus proches de Champagné-le-Sec sont :

    Urbanisme

    Typologie

    Champagné-le-Sec est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (80,5 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (80,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (65 %), forĂȘts (15,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (15,5 %), zones urbanisĂ©es (3,7 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de ChampagnĂ©-le-Sec est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[23]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[24].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Champagné-le-Sec.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[25]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[26]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (79,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 7] - [27].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[23].

    Toponymie

    Le nom du village proviendrait de l'appellation latine Terra Campaniacus, du nom des parents de saint Junien. Cet anthroponyme gallo-romain avec le suffixe latin de propriété -acum signifiant «domaine de" est devenu avec le temps « -ec » puis « -é ». Le suffixe "Le Sec" qualifie l'absence d'eau sur le territoire de la commune. Il n'y a pas, en effet, de fontaines, de sources ou de riviÚres[28].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Depuis 2015, Champagné-le-Sec est dans le canton de Civray (no 6) du département de la Vienne. Avant la réforme des départements, Champagné-le-Sec était dans le canton no 5 de Civray dans la 3e circonscription.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[29]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2014 Hubert Massonneau
    2014 En cours Jean Rocher

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relĂšve du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la SĂ©curitĂ© sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[31].

    En 2020, la commune comptait 202 habitants[Note 8], en diminution de 6,05 % par rapport Ă  2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    455386546517525538538554550
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    510504508472475447426382389
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    380348381319307303329330289
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    315284226228208201204221203
    2020 - - - - - - - -
    202--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, la densitĂ© de population de la commune Ă©tait de 26 hab./km2, 61 hab./km2 pour le dĂ©partement, 68 hab./km2 pour la rĂ©gion Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Champagné-le-Sec a connu une hausse de 10,5 % de sa population de 1999 à 2006.

    Les derniĂšres statistiques dĂ©mographiques pour la commune ont Ă©tĂ© fixĂ©es en 2009 et publiĂ©es en 2012. Il ressort que la mairie de ChampagnĂ©-le-Sec administre une population totale de 214 personnes. À cela il faut soustraire les rĂ©sidences secondaires (1 personne) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 213 habitants.

    La répartition de la population par sexe est la suivante :

    • en 1999: 49,5% d'hommes et 50,5% de femmes.
    • en 2006: 52,5% d'hommes et 47,5% de femmes.
    • en 2010: 57,7 % d'hommes pour 42,3 % de femmes.

    En 2006 :

    • Le nombre de cĂ©libataires Ă©tait de : 21,5 % dans la population.
    • Les couples mariĂ©s reprĂ©sentaient 65,7 % de la population et les divorcĂ©s 4,7 %.
    • Le nombre de veuves et veufs Ă©tait de 8,1 %.

    Économie

    Agriculture

    Selon la direction rĂ©gionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la ForĂȘt de Poitou-Charentes, il n'y a plus que 12 exploitations agricoles en 2010 contre 16 en 2000[34].

    Les surfaces agricoles utilisĂ©es ont lĂ©gĂšrement augmentĂ© et sont passĂ©es de 1 154 hectares en 2000 Ă  1 212 hectares en 2010[34].

    65 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre, orges et maïs), 21 % pour les oléagineux (colza et tournesol) et 8 % pour le fourrage[34].

    Les Ă©levages de chĂšvres (428 tĂȘtes en 2000) et de bovins (257 tĂȘtes en 2000) ont disparu en 2010[34].

    La transformation de la production agricole est de qualitĂ© et permet aux exploitants d’avoir droit, sous conditions, aux appellations et labels suivants :

    • Chabichou du Poitou (AOC)
    • Beurre Charente-Poitou (AOC)
    • Beurre des Charente (AOC)
    • Beurre des Deux-SĂšvres (AOC)
    • Veau du Limousin (IGP)
    • Agneau du Poitou-Charentes (IGP)
    • Porc du Limousin (IGP)
    • Jambon de Bayonne (IGP)

    Activité et emploi

    Le taux d'activité était de 66,4 % en 2006 et 63,1 % en 1999.

    Le taux de chĂŽmage en 2006 Ă©tait de 7,2 % et en 1999 il Ă©tait de 16,9 %.

    Les retraités et les pré-retraités représentaient 37,3 % de la population en 2006 et 25,5 % en 1999.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-LĂ©ger de ChampagnĂ©-le-Sec. Elle est de style roman. Elle date du XIIe siĂšcle. Elle a une curieuse couverture en pierres plates et une belle ornementation. Une corniche ornĂ©e entoure l'abside et le chevet. Le clocher en pierre s'Ă©lĂšve Ă  la jonction du chƓur et de la nef. Elle possĂšde de belles peintures du XIIIe, XVe et XVIe siĂšcles. Elles ont Ă©tĂ© restaurĂ©es entre 2000 et 2004. Elle est classĂ©e comme monument historique depuis 1985[35]. La place devant l'Ă©glise occupe l'emplacement de l'ancien cimetiĂšre. Elle est plantĂ©e de six tilleuls. Elle est limitĂ©e par un mur surmontĂ© de pierres tombales des XVIIe et XVIIIe siĂšcles. Deux tombes sont disposĂ©es le long de l'allĂ©e qui conduit Ă  la porte de l'Ă©glise.

    Personnalités liées à la commune

    • Saint Junien y est nĂ©. Fils de noble, il vit en ermite Ă  Chaunay avant de recevoir une terre de la part du roi Clotaire, Ă©poux de Radegonde (devenue ultĂ©rieurement une sainte). Sur cette terre, il bĂątit un monastĂšre sur le lieu dĂ©nommĂ© de nos jours MairĂ©-l'Escaut oĂč il est enterrĂ© le 13 aoĂ»t 587. Ses restes furent ensuite translatĂ©s Ă  l'abbaye Saint-Junien de NouaillĂ©-Maupertuis.
    • Roger Auvin (1908-2019), doyen des Français, y est nĂ©

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
    2. Chambre RĂ©gionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
    3. Observatoire régional de l'environnement de Poitou-Charentes
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Civray - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Champagné-le-Sec et Civray », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Civray - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Champagné-le-Sec et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Champagné-le-Sec », sur Géorisques (consulté le )
    24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
    25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
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    27. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    28. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Édition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
    29. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    35. « Eglise Saint-Léger », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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