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Saint-Saviol

Saint-Saviol est une commune du centre-ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).

Saint-Saviol
Saint-Saviol
Gare de Saint-Saviol.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes du Civraisien en Poitou
Maire
Mandat
Daniel Deschamps
2020-2026
Code postal 86400
Code commune 86247
Démographie
Gentilé Saint-Saviolais
Population
municipale
535 hab. (2020 en augmentation de 2,69 % par rapport à 2014)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 08′ 01″ nord, 0° 14′ 38″ est
Altitude Min. 97 m
Max. 143 m
Superficie 10,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Civray
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Saviol
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Saint-Saviol

    Géographie

    Les habitants du village sont appelés les Saint-Saviolais et les Saint-Saviolaises.

    Les hameaux de la commune sont : Fayolle, Les poiriers, Le ravary, La croix Bardon, Le bourg, Les hommes guillaume, La gare, Les audonneries, Peusec, Roche papillon, La grosse borne, Le grand pas, Chalbret, Bessigny, La roche, Bonnevie, L'échelle, La barretière, Chez boisson, La bescent, Reffoux, Creuillère, Comporté, Le breuil, Puypousin.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La région de Saint-Saviol présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de vallées. Le terroir se compose[1] :

    • pour 57 % par des groies moyennes de la Saintonge boisée et des groies profondes dans les plaines. Les groies sont des terres du sud-ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en général de moins de 50 cm d’épaisseur – et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines et donc, propices à la polyculture céréalière.
    • pour 12 % de calcaire dans les vallées et les terrasses alluviales,
    • pour 30 % de Terres Rouges plus ou moins profondes sur les plateaux. Ce sont des sols acajou, siliceux, dérivés d’argiles ferrugineuses à silex provenant d’épandages superficiels du Massif Central.

    En 2006, 84 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture, 9 % par des forêts et des milieux semi-naturels et 7 % par des zones construites et aménagées par l'homme (voirie)[2].

    Hydrographie

    La commune est traversée par la Charente sur une longueur de 4,3 km.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 907 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Civray », sur la commune de Civray, mise en service en 1990[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 859,4 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 50 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[15].

    Voies et transports

    La commune a une gare qui est desservie par la ligne SNCF: Paris-Bordeaux-Hendaye.

    Les autres gares et haltes ferroviaires proches de la commune sont:

    Les aéroports les plus proches de la commune sont:

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Saviol est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,1 %), zones agricoles hétérogènes (16,6 %), forêts (8,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,3 %), zones urbanisées (4,6 %), prairies (4,4 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Saviol est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Charente. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1995, 1999 et 2010[24] - [22].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Saviol.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[25]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[26]. 99,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [27].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[22].

    Risque technologique

    La commune est en outre située en aval du barrage Mas-Chaban, un ouvrage de classe A[Note 8] situé dans le département de la Charente et construit pour constituer une réserve d’eau de 14 millions de m3. Le PPI a été approuvé en 1999. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[29].

    Toponymie

    Le nom vient de saint Saviol, un archidiacre du Ve siècle[30].

    En 1793, le bourg prend le nom de Saviol et, en 1801, il retrouve le nom de Saint-Saviol.

    Histoire

    Le territoire converti au christianisme est organisé par Faviol ou Saviol. C’était le premier archidiacre du pagus de Brioux-sur-Boutonne au Ve siècle. Saviol habitait à Mazières-sur-La Beronne, entre Brioux-sur-Boutonne et Melle (Deux-Sèvres), dans l’actuel département des Deux-Sèvres, où il est inhumé. La région est un lieu de passage important comme le rappelle le trésor de plusieurs pièces de monnaie à l’effigie du Richard Cœur de Lion, donc de la fin du XIIe siècle, retrouvé en 1837 lors de la construction de la route Limoges à Nantes.

    Le bourg et le chevet de l’église sont détruits pendant la guerre de Cent Ans.

    Les guerres de religion et les dragonnades donnent lieu à de nombreuses violences.

    Au XIXe siècle, une ligne de chemin de fer reliait la commune de Saint-Saviol à celle de Lussac-les-Châteaux en desservant Civray (Vienne). Cette voie unique était longue de 64 km. Elle fut construite en plusieurs étapes par la Compagnie PO (Paris-Orléans). La première étape : la section Saint-Saviol-Civray-Charroux (Vienne), longue de 17 km a été inaugurée le . La deuxième portion : Charroux-Le Vigeant-Lussac-les-Châteaux, longue de 47 km, fut mise en service cinq ans plus tard soit le .

    En 1948, pour célébrer le centenaire de la Révolution française de 1848 et de la Deuxième République, un arbre de la liberté est planté (un tilleul)[31].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Depuis 2015, Saint Saviol est dans le canton de Civray (no 6) du département de la Vienne. Avant la réforme des départements, Saint Saviol était dans le canton no 5 de Civray dans la 3e circonscription.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[32] - [33]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1793 Jacques Poitevin
    1793 an III André Dussouil
    an III an XII Touzalin
    an XIII 1821 Cyprien Desvignes
    1821 1868 François Baillot
    1868 1888 Jean-Baptiste Guillaud-Vallée
    1888 1896 Pierre Dussouil
    1896 1898 Jean Toulat
    1898 1925 Eugène Mady
    1925 1943 Élie Naffrechoux
    1943 1959 Émile Rousseau
    1959 1961 Clotaire Hiver
    1961 1977 René Duboux
    1977 mars 2001 Robert Neveux
    mars 2001 mars 2008 Pierre Roullet
    mars 2008 Bertrand Geoffret[33]

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

    En 2020, la commune comptait 535 habitants[Note 9], en augmentation de 2,69 % par rapport à 2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    889428462479496589624633633
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    624581573551541604568609567
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    591597581549560510536464474
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    499526540585526467454455497
    2015 2020 - - - - - - -
    527535-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 42 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Les dernières statistiques démographiques pour la commune de Saint-Saviol ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie administre une population totale de 489 personnes. À cela il faut soustraire les résidences secondaires (7 personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 482 habitants.

    La répartition par sexe de la population est la suivante:

    • en 1999 : 52 % d'hommes et 48 % de femmes.
    • en 2005 : 51,5 % d'hommes et 48,5 % de femmes
    • en 2010 : 54 % d'hommes pour 46 % de femmes.

    En 2005:

    • Le nombre de célibataires était de : 21,6 % dans la population,
    • Les couples mariés représentaient 63,6 % de la population et les divorcés 5,6 %.
    • Le nombre de veuves et veufs était de 9,2 % à Saint-Saviol.

    Enseignement

    La commune de Saint-Saviol dépend de l'Académie de Poitiers (Rectorat de Poitiers) et son école primaire publique dépend de l'Inspection Académique de la Vienne. L’école fait partie d’un Regroupement Pédagogique Intercommunal : la Maternelle et la CP sont à Saint-Saviol puis le CE1 à CM2 à Saint-Macoux.

    Économie

    Agriculture

    Selon la Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt de Poitou-Charentes[38], il n'y a plus que 7 exploitations agricoles en 2010 contre 11 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont augmenté de 6 % et sont passées de 574 hectares en 2000 à 612 hectares en 2010 dont 118 sont irrigables[38]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares.

    39 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement et maïs), 23 % pour les oléagineux (2/3 en colza et 1/3 en tournesol), 21 % pour le fourrage et 13 % reste en herbes[38].

    Les élevages de bovins, d'ovins et de volailles ont disparu au cours de cette décennie[38]. La disparition de l'élevage de moutons est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[39].

    Industrie et services

    L’entreprise Poitou Entreposage est l’un des principaux employeurs de la commune. Les toits de ses entrepôts sont équipés d’une grande surface de panneaux solaires, constituant la plus grande centrale photovoltaïque[40]. Deux autres employeurs importants de la commune sont la société SICOB (producteur de charpente industrialisée)[41] et la laiterie coopérative Terra Lacta[42].

    La gare de Saint-Saviol est la seconde du département en volume de fret (stockage de 3 millions de quintaux de céréales).

    Activité et emplois

    Le taux d'activité était de 67 % en 2005 et 62,7 % en 1999.

    Le taux de chômage en 2005 était de 7,3 % et en 1999 il était de 9,4 %.

    Les retraités et les pré-retraités représentaient 32,6 % de la population en 2005 et 24,2 % en 1999.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    • L'église Saint-Saviol date du XIIIe et du XIVe siècle. La porte de la façade nord est précédée d'un porche à galerie qui date du XVIIIe siècle. C'est un exemple rare d'architecture dans le Civraisien. Le chevet qui est plat, est percé d'une fenêtre ogivale. Il a été refait au XIVe siècle. L'édifice a été agrandi ensuite en 1788. Dans l'église, il est possible de voir une belle dalle funéraire de pierre du XIVe siècle de Aimery Brothier, chevalier de l'ordre du Temple.

    Patrimoine civil

    • Château de Fayolle qui date de la fin XVe siècle et du début du XVIIIe siècle.
    • Château de la Feuilleterre qui a été construit au cours de la première moitié du XIXe siècle. Cette construction a remplacé un château édifié au cours du XVIe siècle. Seul le pigeonnier Nord, couvert de tuiles plates, rtémoigne de cette première construction.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Sources

    Notes et références

    1. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
    2. Observatoire régional de l'environnement de Poitou-Charentes
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Civray - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Saviol et Civray », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Civray - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Saviol et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Saviol », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    28. Article R214-112 du code de l’environnement
    29. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    30. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes, édition FLOHIC, 2002, (ISBN 2-84234-128-7).
    31. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 226.
    32. Archives municipales
    33. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    39. Agreste – Bulletin no 12 de mai 2013
    40. « SICOB », sur www.sicob.fr (consulté le ).
    41. « Gertrude - Laiterie coopérative de Saint-Saviol - Inventaire Général du Patrimoine Culturel (1.3.3 (Build: 103)) », sur gertrude-diffusion.poitou-charentes.fr (consulté le ).

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    8. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[28].
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
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