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Saint-Julien-en-Born

Saint-Julien-en-Born est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).

Saint-Julien-en-Born
Saint-Julien-en-Born
L'Ă©glise de Saint-Julien-en-Born.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Landes
Arrondissement Dax
Intercommunalité Communauté de communes CÎte Landes Nature
Maire
Mandat
Gilles Ducout
2020-2026
Code postal 40170
Code commune 40266
DĂ©mographie
Gentilé Juliennois
Population
municipale
1 687 hab. (2020 en augmentation de 7,86 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 23 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 03â€Č 49″ nord, 1° 13â€Č 27″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 64 m
Superficie 72,93 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de CĂŽte d'Argent
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Saint-Julien-en-Born
Liens
Site web Site officiel

    Ses habitants s'appellent les Juliennois.

    Saint-Julien-en-Born est une vaste commune de 7293 hectares, située sur le littoral du département des Landes. C'est le village le plus méridional du pays de Born.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Commune bipolaire située dans le pays de Born, sur la CÎte d'Argent, constitué d'un bourg et d'une station balnéaire : Contis-Plage.

    Le bourg de Saint-Julien-en-Born situé à km de l'océan est traversé par la route des Lacs (CD 652) du nord au sud. Le village est accessible depuis l'axe autoroutier Bordeaux-Bayonne, via Onesse-et-Laharie et Mézos.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Bias, Lit-et-Mixe, MĂ©zos, Mimizan et Uza.

    Communes limitrophes de Saint-Julien-en-Born[1]
    Mimizan Bias
    Océan Atlantique Saint-Julien-en-Born Mézos
    Lit-et-Mixe Uza

    Hameaux et lieux-dits

    La station touristique de Contis qui constitue un hameau de la commune, reste de taille réduite (l'urbanisation couvre moins d'un km2) mais de nombreux restaurants et boutiques saisonniÚres reflÚtent l'importance du tourisme.

    La forĂȘt de pins maritimes couvre environ 80 % du territoire. On peut distinguer : la pinĂšde vallonnĂ©e installĂ©e Ă  l'arriĂšre du cordon dunaire et la pinĂšde plane du secteur dit du « Sable des Landes ».

    GĂ©ologie et relief

    L'environnement de la commune est marquĂ© par la plage, la dune, la forĂȘt, une plaine humide. La plage que l'on dĂ©couvre au bout d'une route sinueuse (la CD 41) s'Ă©tend sur environ km entre l'ocĂ©an Atlantique et la dune littorale.

    Transports en commun

    Pendant la période estivale un réseau de navette dessert la Communauté de communes CÎte Landes Nature reliant les bourgs aux plages.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 185 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Michel Escalus », sur la commune de Saint-Michel-Escalus, mise en service en 2008[8] et qui se trouve Ă  19 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 188,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Dax », sur la commune de Dax, mise en service en 1958 et Ă  42 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  14,3 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  14,5 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Julien-en-Born est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[20]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (81,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (87,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (50,6 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (29,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (9,3 %), terres arables (4,5 %), zones urbanisĂ©es (4,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (1,9 %), prairies (0,4 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Julien-en-Born est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par submersion marine. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1999 et 2009[26] - [24].

    Saint-Julien-en-Born est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[27] - [28].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont un recul du trait de cÎte et de falaises et des tassements différentiels[29].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Julien-en-Born.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 8,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 252 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 130 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 10 %, Ă  comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[24].

    Histoire

    Parmi les commanderies cÎtiÚres de la voie de Soulac, celle d'Orignac se singularise par sa dépendance à la collégiale royale de Roncevaux, lieu de passage obligé de nombreux pÚlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, alors que les autres sont placés sous l'autorité des hospitaliers et de l'Ordre du Temple, jusqu'à la dissolution de ces derniers. Situé non loin de Contis, au nord-ouest du bourg de Saint-Julien-en-Born, ce quartier s'organisait autour d'une chapelle et ce depuis au moins 1274[31].

    Politique et administration

    Le , Saint-Julien-en-Born a reçu la Marianne du civisme. En effet, lors des seconds tours des élections présidentielle et législatives, les Juliennois ont voté, en moyenne, à plus de 84 %. Ce fut la premiÚre commune du département dans la catégorie de 1000 à 3500 habitants.

    sources[32] - [33].

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    (...) (...) (...)
    1800 1813 Louis-Mathieu Turpin (1770-1813)
    (...) (...) (...)
    1830 1843 Numa Turpin Droite Fils de l'ancien maire Louis-Mathieu Turpin
    Conseiller général du canton de Castets (1834-1873)
    Maire de Lit-et-Mixe (1843-1848)
    Député (1848-1851)
    1843 1848 Jean Bonnecaze
    1848 1860 Antoine Magnes
    1860 1873 Numa Turpin Droite
    1873 1882 Jean Berque
    1882 1912 FĂ©lix Crouzet Fils d'Henri Crouzet
    1912 1913 Pierre Labat
    1913 1919 FĂ©lix Naureils
    1919 1921 Montauzié
    1921 1944 Eloi Neurisse PRRRS Conseiller général du canton de Castets (1928-1940)
    Octobre 1944 Mai 1945 Délégation spéciale
    président Charles Daret
    Mai 1945 Juillet 1951 Charles Daret
    1951 1977 André Darmanthé SFIO Conseiller général du canton de Castets (1945-1949)
    SĂ©nateur (1948-1955)
    1977 1983 Jean Delest instituteur
    1983 1989 Robert Lespez
    1989 1995 FĂ©lix Goffaux pharmacien
    1995 2008 Gilbert Darmanthé Instituteur
    mars 2008 En cours Gilles Ducout DVG Professeur des Ă©coles
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[35]. En 2020, la commune comptait 1 687 habitants[Note 6], en augmentation de 7,86 % par rapport Ă  2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7788048849291 0491 0841 1231 2121 318
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4091 5461 7801 8261 7541 7051 6901 6681 635
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6561 6141 6591 5361 4391 4061 3521 2841 321
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 2451 2321 2171 1871 2851 3161 4021 4271 567
    2018 2020 - - - - - - -
    1 6721 687-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee Ă  partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • L'abbĂ© Louis Mathieu Desbiey (1734-1817) et son frĂšre Guillaume (1725-1785). La maison qu'acheta Guillaume Desbiey entre 1765 et 1770, agrandie et transformĂ©e en 2004-2005 en cafĂ©-restaurant (« l'Auberge du Born »), existe toujours Ă  proximitĂ© de l'Ă©glise de Saint-Julien-en-Born.
    • Augustin Berque (1884-1947), petit-fils d'Augustin, (forgeron de Saint-Julien dont il fut Ă©lu maire en 1873) et fils de JoannĂšs (1853-1903), officier vĂ©tĂ©rinaire mort au Tonkin. Augustin Berque fit toute sa carriĂšre d'administrateur Ă  Alger et fut nommĂ© directeur des Affaires musulmanes auprĂšs du Gouvernement gĂ©nĂ©ral de l'AlgĂ©rie en 1937. Fin lettrĂ© et observateur du social, du religieux, de l'art et de la politique, il fut l'auteur des nombreux “Écrits sur l'AlgĂ©rie” sĂ©lectionnĂ©s et rĂ©Ă©ditĂ©s par Edisud en 1986, et en particulier de “L'AlgĂ©rie, terre d'art et d'histoire”, publiĂ© par le Gouvernement gĂ©nĂ©ral de l'AlgĂ©rie en 1937. Son Ă©pouse se rĂ©fugia Ă  Saint-Julien en 1954 avant d'y mourir.
    • Jacques Berque (1910 - 1995), mort Ă  Saint-Julien-en-Born oĂč il rĂ©sidait, sociologue orientaliste, titulaire de la chaire d'histoire sociale de l'Islam contemporain au CollĂšge de France de 1956 Ă  1981, auteur de nombreuses traductions, dont celle du Coran.
    • Augustin Berque (1942), fils de Jacques Berque, orientaliste, gĂ©ographe et philosophe, laurĂ©at en 2010 du Prix de la culture asiatique de Fukuoka (Japon) et en 2011 du Prix de la Fondation du Japon dĂ©livrĂ© par l'Empereur.
    • Emmanuel (1950) et Maximilien Berque (1950-2021), fils de Jacques Berque, frĂšres jumeaux, navigateurs de l'extrĂȘme, photographes et cinĂ©astes, ont Ă©crit Les mutins de la mer publiĂ© chez Robert Laffont et produit deux films : Les jumeaux de la mer ainsi que Huis clos sous les Ă©toiles qui a remportĂ© le prix Alain Bombard Ă  Dijon, l'Ancre d'Or au festival de Toulon, le Prix Georges de Caunes Ă  Vallauris, le Grand Prix du Public Ă  La Rochelle, ainsi que la Palme d'Or Ă  l'Ocean Festival de San Francisco. En 2010, Le Prix du film de mer 2010 de La Corderie Royale de Rochefort.
    • StĂ©phane CastaignĂšde(1969) a vĂ©cu Ă  Saint-Julien-en-Born et y a jouĂ© jusqu'en juniors puis il est parti Ă  Union sportive dacquoise puis Ă  Marmande. Il alla Ă  Clermont et aprĂšs au Stade montois. Ce fut un joueur international qui joua 7 matchs en Ă©quipe de France. Il Ă©tait demi de mĂȘlĂ©e.

    Sports et loisirs

    Saint-Julien-en-Born possĂšde plusieurs associations sportives et culturelles :

    • Le rugby Ă  XV qui est le plus populaire Ă  Saint-Julien avec son Ă©quipe Landes Ocean Rugby Club en entente avec le club de Lit et Mixe, qui devient Champion de France de 2e sĂ©rie 2017.
    • Le basket-ball, uniquement fĂ©minin, qui comprend une entente avec Lit et Mixe.
    • Le judo.
    • La boule juliennoise (club de pĂ©tanque).
    • Le Saint-Julien Tennis Club.
    • La gymnastique d'entretien.
    • L'harmonie municipale.
    • La tour d'argent (club d'Ă©checs).
    • Une pinasse pour Contis (Estele de la ma : une des deux derniĂšres pinasse de cĂŽte de la cĂŽte landaise ; pĂȘche en mer Ă  la senne).

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Michel Escalus - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Julien-en-Born et Saint-Michel-Escalus », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Michel Escalus - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Julien-en-Born et Dax », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    21. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    24. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Saint-Julien-en-Born », sur Géorisques (consulté le )
    25. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    27. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le )
    28. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    29. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
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