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Uza

Uza est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).

Uza
Uza
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Landes
Arrondissement Dax
Intercommunalité Communauté de communes CÎte Landes Nature
Maire
Mandat
Jean-Jacques Leblond
2020-2026
Code postal 40170
Code commune 40322
DĂ©mographie
Population
municipale
203 hab. (2020 en augmentation de 26,09 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 16 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 02â€Č 02″ nord, 1° 11â€Č 57″ ouest
Altitude Min. 12 m
Max. 44 m
Superficie 12,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de CĂŽte d'Argent
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Uza
Liens
Site web http://www.uza40.fr/

    Les habitants d'Uza se nomment les Uzaquois.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Commune située dans le Pays de Born, à 12 km de la cÎte landaise, 18 km au sud de Mimizan, 35 km au nord-nord-ouest de Dax et 58 km à l'ouest de Mont-de-Marsan (à vol d'oiseau).

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont LĂ©vignacq, Lit-et-Mixe, MĂ©zos et Saint-Julien-en-Born.

    Communes limitrophes d’Uza[1]
    Saint-Julien-en-Born MĂ©zos
    Uza LĂ©vignacq
    Lit-et-Mixe

    Hydrographie

    L'étang de la forge d'Uza est un plan d'eau artificiel d'environ 6 ha propriété des « Domaines d'Uza »[2].

    La commune est traversée par les cours d'eau suivants :

    • ruisseau du Vignac, alimentant l'Ă©tang prĂ©citĂ©
    • ruisseau de la Coste Heince, affluent droit du ruisseau prĂ©citĂ©
    • le courant, exutoire de l'Ă©tang de la forge d'Uza
    • ruisseau du pas du Kaa, affluent droit du courant

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 210 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Michel Escalus », sur la commune de Saint-Michel-Escalus, mise en service en 2008[9] et qui se trouve Ă  16 km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 188,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Dax », sur la commune de Dax, mise en service en 1958 et Ă  38 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  14,3 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  14,5 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Uza est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (82,5 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (90,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (42,9 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (39,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (13,9 %), zones urbanisĂ©es (3,6 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Uza est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    Uza est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[24] - [25].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[26].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Uza.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 18,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 135 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 24 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 18 %, Ă  comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 2].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999.

    Toponymie

    Uza vient du gascon Busar, signifiant fougeraie[28].

    Histoire

    L'ancien quartier d'Uza est érigé en commune en 1872, par prélÚvement territorial des communes de Lévignacq, Lit-et-Mixe et Saint-Julien-en-Born[2].

    En arrivant Ă  Uza depuis Saint-Julien-en-Born, se trouve sur le cĂŽtĂ© droit le chĂąteau construit sur une ancienne motte fĂ©odale. Ce chĂąteau passe durant le Moyen Age dans les mains de plusieurs familles, avant que son hĂ©ritiĂšre, Isabeau de Montferrand, n’épouse messire de Lur en 1396. Les Lur sont vicomte d'Uza[29]. Trois siĂšcles plus tard, la famille de Lur s’allie Ă  celle de Saluces. Les Lur-Saluces bĂątissent Ă  partir de cette Ă©poque leur fortune sur l’exploitation des forges et des terres qu’ils possĂšdent autour du chĂąteau. Ce dernier est de nos jours de style italien. La chapelle leur appartient Ă©galement[30].

    L'activitĂ© sidĂ©rurgique se dĂ©veloppe autour de la forge d'Uza, exploitĂ©e Ă  partir de 1759 par Henri de Lur-Saluces et sa sƓur Marie, Ă©pouse du comte de Rostaing. En 1981 le travail de la forge cesse. On peut encore de nos jours en apercevoir certains vestiges. L'Ă©tang, destinĂ© jadis Ă  alimenter les forges, est riche aujourd'hui d'une faune et d'une flore remarquables.

    Uza compte une aspergeraie biologique[31], qui a vu le jour aprĂšs la tempĂȘte Klaus qui a dĂ©truit le massif forestier familial pluricentenaire en 2009. Elle produit 90 tonnes d'asperge des Sables des Landes par an, partiellement exportĂ©es, et assure des revenus permettant l'entretien des diffĂ©rents massifs forestiers de la famille Lur-Saluces.

    • Aspergerais biologique d'Uza, production d'asperges des Sables des Landes (IGP), domaine de Lur-Saluces
      Aspergerais biologique d'Uza, production d'asperges des Sables des Landes (IGP), domaine de Lur-Saluces

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1988 ? Raymond Demarcq PS
    mars 2001 2008 Bertrand Marraud Des Grottes
    mars 2008 2014 Rémy Jumel Commerçant retraité
    mars 2014 En cours Jean-Jacques Leblond DVG Artiste retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1872. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[33]. En 2020, la commune comptait 203 habitants[Note 6], en augmentation de 26,09 % par rapport Ă  2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    613644586570558551587578521
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    451436398372332347354313307
    1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2020 -
    234184160160160159195203-
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee Ă  partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Jean-Jacques Fénié et Jean-Jacques Taillentou, Lacs, étangs et courants du littoral aquitain : Au temps des galups et des vaches marines, éditions Confluences, , 159 p. (ISBN 2-914240-79-1), p. 152
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Saint-Michel Escalus - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Uza et Saint-Michel-Escalus », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Saint-Michel Escalus - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Uza et Dax », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques prÚs de chez moi - commune d'Uza », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    24. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le )
    25. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    26. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    28. Jean-Jacques et BĂ©nĂ©dicte FĂ©niĂ©, Dictionnaire des Landes, Éditions Sud Ouest, , 349 p. (ISBN 978-2-87901-958-1).
    29. Alain Garric, « Généalogie des Lur-Saluces (vicomtes d'Uza) », sur geneanet.org (consulté le ).
    30. Paroisse Saint-Joseph du Born, annuaire paroissial 2008
    31. « Le domaine d'Uza - Domaine d'Uza », sur Domaine d'Uza (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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