AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Bias (Landes)

Bias est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département des Landes en région Nouvelle-Aquitaine.

Bias
Bias (Landes)
La maison de l'airial et l'Ă©glise Saint-Michel.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
Intercommunalité Communauté de communes de Mimizan
Maire
Mandat
Elisabeth Etcheverria
2020-2026
Code postal 40170
Code commune 40043
DĂ©mographie
Gentilé Biassuts
Population
municipale
766 hab. (2020 en augmentation de 9,43 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 37 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 08â€Č 49″ nord, 1° 13â€Č 39″ ouest
Altitude Min. 20 m
Max. 70 m
Superficie 20,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mimizan
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de CĂŽte d'Argent
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Bias
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Bias
GĂ©olocalisation sur la carte : Landes
Voir sur la carte topographique des Landes
Bias
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Bias
Liens
Site web bias40.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    Commune situĂ©e dans la forĂȘt des Landes sur la route nationale 652 entre Mimizan et Lit-et-Mixe.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont MĂ©zos, Mimizan et Saint-Julien-en-Born.

    Communes limitrophes de Bias[1]
    Mimizan
    Bias MĂ©zos
    Saint-Julien-en-Born

    Hydrographie

    L'Ă©tang de Bourg le Vieux est sur la commune. Son exutoire est le ruissseau de TirelagĂŒe.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 144 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Michel Escalus », sur la commune de Saint-Michel-Escalus, mise en service en 2008[8] et qui se trouve Ă  28 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 188,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Dax », sur la commune de Dax, mise en service en 1958 et Ă  51 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  14,3 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  14,5 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Bias est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mimizan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (91,9 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (94,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (54,9 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (37 %), zones urbanisĂ©es (4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,8 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (1,3 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Bias est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].

    Bias est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[23] - [24].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bias.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. Aucune partie du territoire de la commune n'est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 555 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, aucun n'est en alĂ©a moyen ou fort, Ă  comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2006 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes port de Byars en 1254[27], de Bias, de Bios in Borno en 1274, Biartz en 1311, Le Bias en 1638[28].

    Le toponyme, d'origine aquitaine, est basé sur le radical basque behar (bearr)[29] élargi par un suffixe locatif -tz. Sens du toponyme : chemin, route (du latin via).

    La graphie occitane restituée est Biarç /bjas/.

    Histoire

    Le 27 mars 1274 acte de reconnaissance du prieur de Mimizan par le Roi d’Angleterre. Sur cet acte rĂ©digĂ© en latin, on peut lire que le prieur de Mimizan recevait une dĂ©cime des revenus de Monte Sancti Michaeli de Biars. C’est-Ă -dire le mont ou la montagne de Saint-Michel-de-Biars ou le mont Biars[30].

    En 1311, les rĂŽles Gascons[27] indiquent que les habitants de la paroisse de Biartz doivent payer pour l’annĂ©e un impĂŽt par livre de cire.

    La localitĂ© de Bias se situait Ă  environ deux kilomĂštres Ă  l'ouest de son emplacement actuel avant d'ĂȘtre submergĂ©e par le petit Ă©tang de Bourg le Vieux. C'est lĂ  que passait la voie romaine littorale[31]. L'ancien bourg est abandonnĂ© par ses habitants en 1772 en raison de l'avancĂ©e du sable repoussant les eaux de l'Ă©tang[32]. L'Ă©glise primitive Saint-Michel, dĂ©pendant du prieurĂ© Sainte-Marie de Mimizan, est dĂ©molie et reconstruite Ă  son emplacement actuel en 1770, puis en 1904[33].

    Le 14 juillet 2017, Julien Biremont, prĂ©sident du ComitĂ© des FĂȘtes, et Alain Cousquer, maire, ouvrent la premiĂšre Feria qui se dĂ©roule sur trois jours. S'inspirant des fĂȘtes traditionnelles de Dax, les FĂȘtes de Bias proposent un programme riche en animations pour un village de 750 habitants. En trois ans elles voient leur frĂ©quentation augmenter de façon significative, devenant un Ă©vĂ©nement incontournable du canton durant l'Ă©tĂ©. Pour la premiĂšre fois, lors de l'Ă©dition 2019, un encierro est organisĂ© lors de l'ouverture des fĂȘtes.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement Ă©tant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[34].

    Liste des maires

    La mairie en .
    La mairie en .

    Comme dans de nombreuses communes, la liste des maires successifs est affichée à l'entrée de la mairie[35] - [36].

    Bias et les trois communes voisines de Aureilhan, Lit-et-Mixe et Pontenx-les-Forges ont la particularitĂ© que — pendant un siĂšcle (1850-1950) — tous les maires de ces quatre communes appartenaient aux seules trois familles Berque, Gaston et Sargos[37].

    De graves dissensions se font jour à partir de 2008 au sein du conseil municipal, ce qui bloque les affaires de la commune. Le maire est mis en minorité mais il reste en place et ne transmet au préfet que les délibérations qui lui conviennent[38]. Compte tenu de cette situation, le préfet des Landes demande la dissolution du conseil municipal. Celle-ci est validée par le Conseil des ministres en [39]. L'ex-maire quitte la mairie en emportant plusieurs documents appartenant à la commune qu'il refuse de rendre malgré les injonctions du préfet. En , les conseillers municipaux doivent intenter une action en justice contre l'ancien maire[40].

    Cette dissolution entraßne de nouvelles élections[38]. Elles sont organisées le pour le premier tour, par une délégation de trois personnes nommées par le préfet des Landes. Deux listes s'opposent : celle de l'ancien maire René Teulé, et celle de l'ex-premier adjoint, Alain Cousquer. La liste de ce dernier l'emporte dÚs le premier tour. Lors de la premiÚre réunion du conseil municipal qui suit cette élection, le , Alain Cousquer est élu maire à l'unanimité des voix[41].

    Le , Alain Cousquer annonce publiquement qu'il démissionnera prochainement de ses fonctions de maire de Bias. De plus à la suite de la démission de cinq conseillers municipaux, une élection municipale partielle complémentaire est organisée le [42] - [43].

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1790 1795 Pierre Berque Marchand
    1795 1803 Jean Gaston (pÚre) Propriétaire
    1803 1809 Jean Gaston (fils) Propriétaire
    1809 1821 Antoine Dupouy
    1821 1832 Jean-Marie Berque
    1832 1835 Étienne Froustey
    1835 1860 Barthélémy Berque Fabricant de résine
    1860 1885 Jean-Pierre Alphonse Sargos[44]
    1885 1892 Jacques Berque Propriétaire
    1892 1896 Simon Gaston Aubergiste
    1896 1900 Joseph Dousse
    1900 1944[45] Henri Sargos Industriel, maire de Mimizan (1891-1900)
    Fils de l'ancien maire Jean-Pierre Alphonse Sargos, frÚre de Pierre « Léon » Sargos (1855-1944) maire de Lit-et-Mixe[46] et oncle Roger Sargos (1886-1966) maire d'Aureilhan[47],
    Chevalier de l'ordre national de la LĂ©gion d'honneur[48]
    1944 1945 René Duvignau
    1945 1965 Louis Lassalle
    1965 1977 Simon Lassalle
    1977 1995 Raoul Duvignau DVD Vice-président fondateur du District (communauté de communes de Mimizan)
    1995 31 décembre 2000[Note 7] Vincent Daret Vice-président du District (communauté de communes de Mimizan)
    31 janvier 2001 Monique Froustey L'intérim est assuré par la Maire-adjointe Monique Froustey
    2001 Vincent Daret
    2001 12 mai 2011[39] René Teulé DVG Vice-président de la communauté de communes de Mimizan
    12 mai 2011 11 juin 2011 Jacques Malicet L'intérim est assuré par une délégation spéciale nommé par le préfet[52]
    11 juin 2011 24 juillet 2017[Note 8] Alain Cousquer[41] DVG Vice-président de la communauté de communes de Mimizan[54]
    3 août 2017 Alain Biremont DVG L'intérim est assuré par le Maire-adjoint Alain Biremont
    3 aoĂ»t 2017[53] En cours Élisabeth Etcheverria FN Vice-prĂ©sidente de la communautĂ© de communes de Mimizan[55]

    DĂ©mographie


    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[57].

    En 2020, la commune comptait 766 habitants[Note 9], en augmentation de 9,43 % par rapport Ă  2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    118106107122147154169173180
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    190194246222218205196224244
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    244233252244240235215229251
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    248269320395505514673719709
    2018 2020 - - - - - - -
    761766-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[58] puis Insee Ă  partir de 2006[59].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Vie pratique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • GĂ©rard Gaston, Bias en Born, 2014, 234 pages (ISBN 978-1-29181-865-9)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Par arrĂȘtĂ© du ministre de l'intĂ©rieur en date du , Vincent Daret, maire de la commune de Bias est suspendu de ses fonctions pour une durĂ©e d'un mois Ă  compter de la notification de l'arrĂȘtĂ© Ă  l'intĂ©ressĂ©[49], au motif que lors du rĂ©fĂ©rendum du , il avait refusĂ© d'organiser le scrutin pour protester contre le mutisme de la prĂ©fecture sur le dossier des caravanes des gens du voyage[50]. Vincent Daret dĂ©clare « Cette dĂ©cision est ridicule. Avec mon conseil municipal, nous allons envoyer une lettre au ministre de l'IntĂ©rieur lui indiquant qu'au lieu de taper sur les doigts des maires, il ferait mieux d'assurer l'ordre public »[51].
    8. Le , le préfet des Landes accepte la démission d'Alain Cousquer, maire[53].
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Michel Escalus - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Bias et Saint-Michel-Escalus », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Michel Escalus - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Bias et Dax », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Bias », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    23. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le )
    24. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    25. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. Yves Renouard, RĂŽles gascons : 1307-1317, t. IV, Paris, Imprimerie nationale, , 712 p. (lire en ligne), pp. 548, 598..
    28. Carte de Classun.
    29. BĂ©nĂ©dicte Boyrie-FĂ©niĂ©, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes des Landes et bas-Adour, Pau, Éditions Cairn, , 288 p. (ISBN 2-35068-011-8, prĂ©sentation en ligne), p. 62..
    30. Recueil d'actes relatifs Ă  l'administration des rois d'Angleterre en Guyenne au XIIIe siĂšcle :, vol. LXXV, , 475 p. (lire en ligne), p. 311.
    31. On a pensé qu'elle avait laissé son nom au village (vias signifiant voies en latin) mais les formes anciennes du toponyme réfutent cette idée.
    32. Les chemins de Saint-Jacques dans les Landes, Francis Zapata, Jean-Pierre Rousset, Ă©ditions Sud-Ouest, 2002, p 177
    33. Gérard GASTON, Bias en Born, , 233 p. (ISBN 978-1-291-81865-9, présentation en ligne).
    34. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    35. « Les maires de Bias », sur le site de l'association FranceGenWeb (consulté le ).
    36. GĂ©rard Gaston, Bias en Born, 2014, p. 122-123 (ISBN 978-1-29181-865-9) [lire en ligne].
    37. GĂ©rard Gaston, Bias en Born, 2014, p. 158 (ISBN 978-1-29181-865-9) [lire en ligne].
    38. Jean-Louis Hugon, « Déjà le quatriÚme vote », sur le site du quotidien Sud Ouest, (consulté le ).
    39. Jean-François Renaut, « Les ministres dissolvent le Conseil municipal de Bias (Landes) », sur le site du quotidien Sud Ouest, (consulté le ).
    40. ProcÚs-verbal de la réunion du conseil municipal du , [lire en ligne].
    41. « Bias (40) : Alain Cousquer élu maire », sur le site du quotidien Sud Ouest, (consulté le ).
    42. Jean-Louis Hugon, « Landes : les électeurs de Bias vont devoir revoter », sur le site du quotidien Sud Ouest, (consulté le ).
    43. « Commune de BIAS : élection municipale partielle complémentaire les 2 et 9 juillet 2017 », sur le site de la préfecture des Landes, (consulté le ).
    44. Olivier Sargos, « Généalogie des Sargos », sur geneanet.org (consulté le ).
    45. GĂ©rard Gaston, Bias en Born, 2014, p. 152 (ISBN 978-1-29181-865-9) [lire en ligne].
    46. Base Léonore, « Dossier de chevalier de la légion d'honneur de Pierre « Léon » Sargos », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
    47. « Les maires de Mimizan », sur le site de l'association FranceGenWeb (consulté le ).
    48. Base Léonore, « Dossier de légion d'honneur de Jean Henri Sargos », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
    49. ArrĂȘtĂ©s du portant suspension des fonctions de maire.
    50. « Trois maires suspendus un mois - Grand Sud : Lot-Landes - Ils avaient boycottĂ© le rĂ©fĂ©rendum de septembre 2000 », sur le site du quotidien La DĂ©pĂȘche du Midi, (consultĂ© le ).
    51. Dominique Chapuis, « Une vingtaine de maires suspendus de leur fonction par l’État », sur le site du quotidien Les Échos, (consultĂ© le ).
    52. Isabelle Wackenier, « Installation de la délégation exceptionnelle », sur le site du quotidien Sud Ouest, (consulté le ).
    53. « Démission de Monsieur Alain Cousquer », sur le site de la commune, (consulté le ).
    54. Mathilde Fraigneau, « La liste d’Alain Cousquer », sur le site du quotidien Sud Ouest, (consultĂ© le ).
    55. Patrick Garnero, Annuaire de l'intercommunalité et des EPL de France, p. 125, 2016 (ISBN 978-2-35258-735-4) [lire en ligne].
    56. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    57. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    58. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    59. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.