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Rue de l'Université (Paris)

La rue de l’Université est située à Paris dans le 7e arrondissement.

7e arrt
Rue de l’Université
Voir la photo.
Rue de l'Université au carrefour de l'avenue Rapp.
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Situation
Arrondissement 7e
Quartier Saint-Thomas-d'Aquin
Invalides
Gros-Caillou
Début 20, rue des Saints-Pères
Fin 11, allée Paul-Deschanel
Morphologie
Longueur 2 785 m
Largeur 10,50 Ă  15 m
GĂ©ocodification
Ville de Paris 9557
DGI 9527
GĂ©olocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue de l’Université
GĂ©olocalisation sur la carte : 7e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 7e arrondissement de Paris)
Rue de l’Université
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Situation et accès

La rue longue de 2 785 m et de largeur variable, entre 10,50 mètres et 15 mètres, est plane et parallèle Ă  la Seine dont elle n'est distante que de quelques centaines de mètres.

Elle débute, à l'est, à hauteur du carrefour avec la rue des Saints-Pères et prend une direction ouest-nord-ouest, croise le boulevard Saint-Germain puis reprend plein ouest à hauteur du palais Bourbon, franchit l'esplanade des Invalides, croise le boulevard de la Tour-Maubourg puis l’avenue Bosquet et l’avenue Rapp ; elle oblique alors un peu vers le sud, croise l’avenue de La Bourdonnais avant de finir en impasse sur l’allée Paul-Deschanel sur le square nord-est de la tour Eiffel.

Origine du nom

La rue de l’Université lors des inondations de janvier 1910.

Au XIIe siècle, l'université de Paris fit l'acquisition d'un territoire situé le long de la Seine, à l'ouest de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés à qui il appartenait auparavant. Ce territoire fut dénommé « Pré-aux-Clercs » (première mention en 960) : soit parce que les étudiants (appelés autrefois « clercs ») venaient s'y détendre pendant leurs périodes de repos, soit parce que la « montre » ou revue des sujets du roi de la Basoche s'y déroulait chaque année (cette association ne fut reconnue qu'en 1303).

Le Pré-aux-Clercs était également le théâtre de nombreux duels.

En 1639, l'Université revendit le Pré-aux-Clercs et celui-ci fut loti pour devenir un nouveau quartier de Paris dont la rue principale prit le nom de « rue de l'Université ». Par la suite, avec les extensions successives de la ville, cette rue fut prolongée jusqu'au Champ-de-Mars, traversant au passage l'esplanade des Invalides. La rue longeait un bras de la Seine jusqu'au rattachement de l'île des Cygnes à la fin du XVIIIe siècle.

Historique

Jusqu'en 1838, la rue de l'Université était composée de deux parties distinctes[1] :

Un arrêté préfectoral du prescrit la réunion de ces deux parties sous la seule et même dénomination de « rue de l'Université ».

Le 7 juin 1918, durant la première Guerre mondiale, un obus lancé par la Grosse Bertha explose au no 102 rue de l'Université[2].

Première partie, comprise entre les rues des Saints-Pères et d'Iéna

Plusieurs plans lui donnent indifféremment les noms de « rue de l'Université » et « rue de la Sorbonne ». Jaillot pense que cette double dénomination lui avait été assignée par le peuple, qui confondait assez ordinairement la Sorbonne avec l'Université.

En 1529, ce n'était encore qu'un chemin nommé le « chemin des Treilles », parce qu'il conduisait à l'île des Treilles, dite depuis île Maquerelle ou île des Cygnes.

L'Université ayant aliéné le Pré-aux-Clercs en 1639, on commença des constructions sur ce chemin, qui prit alors le nom de « rue de l'Université ».

En 1650, la moitié seulement était bâtie.

Une dĂ©cision ministĂ©rielle du 15 florĂ©al an V (), signĂ©e BĂ©nĂ©zech, et une ordonnance royale du , ont fixĂ© la moindre largeur de cette partie de rue Ă  10,50 mètres[1].

Seconde partie, comprise entre la rue d'Austerlitz et l'avenue de La Bourdonnais

« SĂ©ance du 15 juillet 1793. — Sur le rapport des administrateurs du dĂ©partement des travaux publics, concernant l'alignement Ă  donner nu prolongement de la rue de l'UniversitĂ©, depuis l'Esplanade des Invalides jusqu'au champ de la FĂ©dĂ©ration ; le corps municipal après avoir vu le plan prĂ©sentĂ© par les dits administrateurs, et avoir entendu le procureur de la commune, arrĂŞte que le cĂ´tĂ© gauche de la rue de l'UniversitĂ© sera prolongĂ© en ligne droite jusqu'Ă  la distance de 179 toises 2 pieds de l'angle droit de la rue Saint-Jean, oĂą il formera un coude, et se dirigera Ă©galement sur une ligne droite jusqu'Ă  l'angle extĂ©rieur du mur du fossĂ© qui borde le champ de la FĂ©dĂ©ration, et que le cĂ´tĂ© droit dudit prolongement de rue suivra la mĂŞme direction, Ă  36 pieds du cĂ´tĂ© opposĂ© carrĂ©ment et parallèlement ; autorise en consĂ©quence les administrateurs des travaux publics Ă  donner des alignements conformĂ©ment Ă  cette direction. SignĂ© Pache et Coulombeau[3]. »

Une dĂ©cision ministĂ©rielle du 8 brumaire an X (), signĂ©e Chaptal, fixe la largeur de cette partie, Ă  12 mètres, depuis l'esplanade des Invalides jusqu'Ă  la rue de la Vierge. Pour le surplus, cette mĂŞme largeur est adoptĂ©e par le ministre de l'IntĂ©rieur Champagny, le . Une ordonnance royale du fixe Ă  11,65 mètres la moindre largeur de cette voie publique.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

  • No 6.
    No 6.
  • No 8.
    No 8.
  • No 21 : hĂ´tel de Bragelonne, Ă©galement appelĂ© « hĂ´tel de La Salle », est construit en 1639 pour Thomas de Bragelonne, premier prĂ©sident du Parlement de Metz, puis amputĂ© par le percement de la rue SĂ©bastien-Bottin. L'ambassadeur amĂ©ricain en France Albert Gallatin y rĂ©sida en 1816. En 1818, Ă  son retour d'exil, CambacĂ©rès acheta cet hĂ´tel Ă  son ami le gĂ©nĂ©ral Antoine François AndrĂ©ossy et y rĂ©sida jusqu'Ă  sa mort en . En 1921, l'hĂ´tel appartient au duc de la Salle de Rocheinaure[10].
    L'hĂ´tel a abritĂ© des services du ministère de l'Économie et des Finances (Direction gĂ©nĂ©rale des douanes et des droits indirects et Dette publique) avant d'ĂŞtre cĂ©dĂ© en 2007 (ou 2005 ?) Ă  un fonds d'investissement (Carlyle) qui le vendit en 2012 Ă  la sociĂ©tĂ© de GĂ©rard LhĂ©ritier, Aristophil, spĂ©cialisĂ©e dans l’expertise et la commercialisation de manuscrits. Ă€ la suite de dĂ©boires financiers, la sociĂ©tĂ© est placĂ©e sous l’autoritĂ© d’un administrateur judiciaire, GĂ©rard Philippot, et l’hĂ´tel particulier remis en vente au dĂ©but de 2015 avant d'ĂŞtre cĂ©dĂ©, en juillet de la mĂŞme annĂ©e, Ă  la foncière LFPI Reim dĂ©tenue par des caisses de retraite pour un peu plus de 30 millions d'euros[11].
  • No 23 : hĂ´tel construit pour Jean Levasseur, secrĂ©taire du Roi, au milieu du XVIIe siècle (Direction gĂ©nĂ©rale des douanes et des droits indirects).
  • No 24 : hĂ´tel de SĂ©necterre. HĂ´tel de rapport construit par Thomas Gobert (vers 1630 – vers 1708) en 1685. L’hĂ´tel est acquis en 1772 par le comte de SĂ©necterre, qui lui laisse son nom. Il est remaniĂ© en 1777 par Nicolas Ducret et Denis-Claude LiĂ©geon. Sur rue, deux bâtiments sont rĂ©unis en 1837 par l'architecte MoitiĂ© pour le baron Nougarède de Fayet. En 1908, l'hĂ´tel est acquis par la mairie de Paris, qui en laisse la jouissance au ministère du Commerce et de l'Artisanat, qui l'utilise comme siège. En octobre 2013, la branche Haute Couture de la Maison Yves Saint-Laurent dirigĂ©e alors par le crĂ©ateur Hedi Slimane s'y installe après une complète rĂ©novation de deux ans[12] - [13].
  • No 33 : hĂ´tel Le Vayer, bâtiment Ă©levĂ© après 1845 dans le style Louis XV par Henry Froelicher pour le comte Aymar de NicolaĂŻ, marquis de Bercy, sur l'emplacement d'un hĂ´tel Ă©difiĂ© avant 1717 pour le prĂ©sident François Duret (appelĂ© successivement « hĂ´tel de Cosnac », 1730, « de Nesle », 1745 et « de Montesquiou »). A servi de siège Ă  la Commission de rĂ©cupĂ©ration artistique, chargĂ©e des opĂ©rations de rĂ©cupĂ©ration d'Ĺ“uvres d'art, livres et archives, sortis du territoire national par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale.
  • No 33.
    No 33.
  • No 39.
    No 39.
  • No 43.
    No 43.
  • No 51.
    No 51.
  • No 34 bis : Arsène Lupin y demeure sous le nom de duc de Charmerace[14].
  • No 37 : Studio 37, bâtiment universitaire destinĂ© Ă  la recherche sur le son et l'image, l'enregistrement, la musicologie des annĂ©es 1950 et l'Ă©chantillonnage (sample) sonore et vidĂ©o. LouĂ© Ă  la RTF, il fonctionne jour et nuit jusqu'en 1964 et son transfert Ă  la Maison de la Radio (la RTF devient l'ORTF)[15].
  • No 41 : c'est ici, Ă  son domicile parisien que meurt subitement le , l'Ă©crivain Alphonse Daudet, comme le signale un panneau en façade.
  • No 43 : en 1856, cet hĂ´tel, dĂ©crit comme « neuf » et composĂ© de trois appartements, est Ă  louer[16] ; en 1881, il est Ă  nouveau Ă  louer pour 12 000 francs par an ; situĂ© « entre cour et jardin », il comprend trois grands salons « magnifiquement dĂ©corĂ©s », une grande salle Ă  manger, cinq chambres de maĂ®tres, salle de bains, petit jardin, Ă©curie et remise pour 4 chevaux et 4 voitures, 10 chambres de domestiques[17]. Plusieurs membres de la noblesse ont habitĂ© Ă  cette adresse, dont un duc et un vicomte de Noailles, le premier dans les annĂ©es 1870[18] et le second dans les annĂ©es 1920[19].
  • No 44 : en 1834, Aux deux bottes uniques, monsieur Mourey, bottier brevetĂ©.
  • No 46 : le gĂ©nĂ©ral Claude-François de Malet y habitait lors de son coup d'État.
  • No 51 : hĂ´tel de Longueil (dit aussi de Maisons, d'Angervilliers, de Soyecourt, Pozzo di Borgo), construit par Pierre Cailleteau dit Lassurance Ă  partir de 1706 pour le prĂ©sident François Duret qui le revend en 1707 Ă  Claude de Longueil, marquis de Maisons. L'intĂ©rieur est transformĂ© en 1749-1751 par Pierre Mouret pour Louis-Armand de Seiglières de Belleforière, marquis de Soyecourt. Boiseries du grand salon sculptĂ©es par Jacques Verberckt peut-ĂŞtre avec l'aide de Jean Liottier. Portail de 1783-1784 longtemps attribuĂ© Ă  Claude-Nicolas Ledoux. L'hĂ´tel est remaniĂ© au XIXe siècle par Joseph-Antoine Froelicher pour la famille Pozzo di Borgo. Il est aujourd'hui divisĂ© en appartements. Karl Lagerfeld y a longtemps vĂ©cu[20]. RĂ©sidence de Philippe Pozzo di Borgo, il a Ă©tĂ© vendu le Ă  l'État Gabonais pour environ 100 millions d'euros dans des circonstances douteuses. Le prĂ©sident du Gabon Ali Bongo serait le principal bĂ©nĂ©ficiaire de la transaction[21] - [22]. L'hĂ´tel particulier dispose d'un site de prĂ©sentation[23].
  • No 53 : emplacement de l'ancien hĂ´tel d'Auvergne, puis de Tencin et de Mailly, construit en 1705 par Pierre Cailleteau dit Lassurance.
  • No 60 : l'architecte Charles FrĂ©dĂ©ric ChassĂ©riau y a rĂ©sidĂ© entre 1820 et 1830.
  • No 69 : emplacement de l'ancien hĂ´tel de Chalais. Construit en 1786 par Jean-Baptiste Louis Élisabeth Le Boursier pour Élie Charles de Talleyrand-PĂ©rigord, prince de Chalais et la princesse, nĂ©e Marie-Caroline de Poyanne de Baylens, sur un terrain acquis de l'architecte Florentin Gilbert. La nĂ©gociation ne fut conclue qu'en alors que le prince avait obtenu son permis de construire dès le . Le plan et l'Ă©lĂ©vation sur rue ont Ă©tĂ© conservĂ©s. Le portail Ă©tait encadrĂ© de colonnes doriques nichĂ©es. En 1807, il est acquis par le marĂ©chal Soult, duc de Dalmatie. L'hĂ´tel de Dalmatie est rĂ©amĂ©nagĂ© par Trou dit Henry. Il est dĂ©truit dans le cadre du percement du boulevard Saint-Germain en 1868, sous Haussmann.
  • No 78 : hĂ´tel Hocquart, construit en 1754 dans un style Louis XV tardif rappelant les constructions de Contant d'Ivry par l'architecte Jean Damun, de mĂŞme que l'hĂ´tel semblable du 75, rue de Lille (anciennement rue de Bourbon) qui lui fait face et en est sĂ©parĂ© par leurs jardins. Cette opĂ©ration faisait partie d'une spĂ©culation immobilière montĂ©e sur des terrains ayant appartenu Ă  Jules Hardouin-Mansart, entre la rue de Bourbon et la rue de l'UniversitĂ©, par le banquier Pierre Salle, Pierre-Louis Brunet et Le Franc de Jettonville. L'avant-corps central de l'Ă©lĂ©vation sur jardin, Ă  trois pans, est ornĂ© de pilastres ioniques. Après avoir abritĂ© le siège de la Compagnie du Midi, l'hĂ´tel a Ă©tĂ© restaurĂ© dans les annĂ©es 1980 pour la compagnie La PrĂ©voyance vie par l'architecte Francis Chirot et le dĂ©corateur Jean Prudhomme-BenĂ©. Abrite le bureau de reprĂ©sentation de Taipei en France.
  • No 82 : Alphonse de Lamartine y a rĂ©sidĂ© de 1837 Ă  1853.
  • No 83 : Ă  cet emplacement s'Ă©levait une maison dans laquelle mourut Turgot en 1781[7].
  • No 90 : Albert Ier de Monaco y est nĂ© en 1848.
  • No 91 : hĂ´tel de La Rochefoucauld-Montbel (Arthur / Jules de La Rochefoucauld-Montbel).
  • No 93 : hĂ´tel de La Rochefoucauld (Aymery / Gabriel / Anne de La Rochefoucauld).
  • No 95 : lĂ©gation de Norvège dans les annĂ©es 1900[24].
  • No 98 : hĂ´tel abritant les locaux du CEVIPOF, Centre de recherches politiques de Sciences Po (laboratoire de la Fondation nationale des sciences politiques, associĂ© au CNRS depuis 1968).
  • No 78.
    No 78.
  • No 98.
    No 98.
  • No 100.
    No 100.

Plaques commémoratives

  • Lamartine rĂ©sida au no 82 de 1837 Ă  1853. C'est lĂ  que vint l'acclamer le peuple de Paris, le 25 fĂ©vrier 1848, après son discours en faveur du drapeau tricolore.
    Lamartine résida au no 82 de 1837 à 1853. C'est là que vint l'acclamer le peuple de Paris, le 25 février 1848, après son discours en faveur du drapeau tricolore.
  • L'industriel FĂ©lix Hubin fit construire l'immeuble au no 106 en 1909.
    L'industriel FĂ©lix Hubin fit construire l'immeuble au no 106 en 1909.
  • Conrad Busken Huet mourut au no 107 le 1er mai 1886.
    Conrad Busken Huet mourut au no 107 le .
  • Turgot passa les dernières annĂ©es de sa vie au no 108 et y mourut le 18 mars 1781.
    Turgot passa les dernières années de sa vie au no 108 et y mourut le .
  • Le rĂ©sistant AndrĂ© DhĂ´me est touchĂ© par balles au no 131 le 23 aoĂ»t 1944, pendant la LibĂ©ration de Paris, avant de mourir le lendemain (la plaque se situe au no 129).
    Le résistant André Dhôme est touché par balles au no 131 le , pendant la Libération de Paris, avant de mourir le lendemain (la plaque se situe au no 129)[32].

Notes, sources et références

  1. FĂ©lix et Louis Lazare, Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments.
  2. [bpt6k4605797h/f6.item lire en ligne] sur Gallica
  3. Registre du corps municipal, tome 40, p. 6670.
  4. Dominique Paulvé, « Charmeuse de métal », Vanity Fair, no 28, octobre 2015, p. 154-159.
  5. Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, t. 2, p. 582.
  6. Françoise Magny (dir.), Le Faubourg Saint-Germain : Rue de l'Université, Paris, Institut Néerlandais / Délégation à l'action artistique de la Ville de Paris, , p. 23-33.
  7. Jean-Paul Clébert, Promenade dans les rues de Paris. La rive gauche et la Seine, Club des Libraires de France, 1958, p. 212.
  8. Le permis de construire est daté de 1770. Michel Gallet, Les Architectes parisiens du XVIIIe siècle : dictionnaire biographique et critique, Paris, Éditions Mengès, , 494 p. (ISBN 2-8562-0370-1), p. 164.
  9. M. Gallet, op. cit., p. 164.
  10. « Lieux de mémoire américains à Paris », sur usembassy.gov (consulté le ).
  11. Carole Papazian, « À Paris, l’hôtel de La Salle a été vendu un peu plus de 30 millions d’euros », Le Figaro, immobilier.lefigaro.fr, 10 juillet 2015.
  12. FashionNetwork com FR, « Saint Laurent installe ses ateliers Rive Gauche », sur FashionNetwork.com (consulté le )
  13. « Yves Saint Laurent fait son retour à la Couture », sur journalduluxe.fr (consulté le ).
  14. Jean-Bernard Litzler, « Sur les traces du «vrai» Arsène Lupin, à travers Paris », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  15. Louis Mesuret, « 37, rue de l’Université, au cœur de l’élaboration d’une recherche sur le son et l’image, Ina, La Documentation française, 2010.
  16. Le Siècle, 3e colonne, 19 janvier 1856, sur RetroNews.
  17. Le Monde illustré, 3e colonne, 11 juin 1881, sur RetroNews.
  18. Guide du libraire-bouquiniste, 1873-1874, sur Gallica.
  19. Revue d’histoire diplomatique, 1er janvier 1921, sur Gallica.
  20. « Hôtel Pozzo Di Borgo », germainpire.info (consulté le ).
  21. « http://blogs.mediapart.fr/blog/paul-okili-boyer/090811/gabonle-pozzo-di-borgo-le-grand-vol-du-clan-bongo »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
  22. « Gabon : les dessous de l’achat de l’hôtel Pozzo Di Borgo à Paris », Le blog de Benoît Illassa : Une passion pour le Bénin (consulté le ).
  23. http://www.ruedeluniversite.com « Copie archivée » (version du 15 juillet 2015 sur Internet Archive).
  24. Annuaire diplomatique et consulaire de la République française, Berger-Levrault, 1907, p. 473.
  25. Natacha Coquery, « Les hôtels parisiens du XVIIIe siècle : une approche des modes d'habiter », Revue d’Histoire Moderne & Contemporaine, vol. 38, no 2,‎ , p. 220 (DOI 10.3406/rhmc.1991.1587, lire en ligne, consulté le )
  26. Jean-Aymar Piganiol de LaForce, Description historique de la ville de Paris et de ses environs. Tome huitième, chez Humaire, (lire en ligne), p 172,173
  27. Eugène (1857-1927) Photographe Atget, « Hôtel de Locmaria - 1730 : Rue de l'Université 102 : [photographie] / [Atget] », sur Gallica, 1900-1901 (consulté le )
  28. Marion Joseph et Laure Kermanac'h, « Où les candidats ont installé leur QG de campagne 2012 », lefigaro.fr, 10 janvier 2012.
  29. Farid Chenoune, « Le bal de Magic-City », dans Nicolas Liucci-Goutnikov, Over the Rainbow, Centre Pompidou (ISBN 9782844269539).
  30. Renaud Belleville, « Nicolas Sarkozy a loué son QG de campagne (à l’ombre de la Tour Eiffel) », lopinion.fr, 31 juillet 2016.
  31. Liste générale des représentants du Peuple composant le corps législatif.
  32. « DHÔME André, Léon, Lucien », maitron-fusilles-40-44.univ-paris1.fr, consulté le 11 juillet 2018.

Bibliographie

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