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Reignac (Charente)

Reignac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Reignac
Reignac (Charente)
Le bourg et l'église fortifiée Saint-Pierre.
Blason de Reignac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté de communes des 4B Sud-Charente
Maire
Mandat
Daniel Sauvaitre
2020-2026
Code postal 16360
Code commune 16276
Démographie
Gentilé Reignacais
Population
municipale
741 hab. (2020 en augmentation de 7,08 % par rapport à 2014)
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 25′ 24″ nord, 0° 10′ 55″ ouest
Altitude Min. 66 m
Max. 140 m
Superficie 22,14 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Barbezieux-Saint-Hilaire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Charente-Sud
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Reignac
Géolocalisation sur la carte : France
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Reignac
Géolocalisation sur la carte : Charente
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Reignac
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Reignac

    Ses habitants sont les Reignacais et les Reignacaises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Reignac est une commune du Sud Charente située à km au sud de Barbezieux et 37 km au sud-ouest d'Angoulême, non loin de la Charente-Maritime.

    Le bourg de Reignac est aussi à km au nord-est de Baignes, chef-lieu de son canton, 20 km à l'est de Jonzac, 32 km au sud de Cognac et 72 km au nord-est de Bordeaux[2].

    La route principale traversant la commune du nord au sud est la route nationale 10, entre Angoulême et Bordeaux, dont l'échangeur au sud de Barbezieux n'est qu'à km du bourg. Le bourg est situé sur la D 14, route de Barbezieux à Baignes qui part de cet échangeur, et la D 127 de Montchaude à Condéon. La D 731, route de Chalais et Brossac à Barbezieux et Cognac, traverse le nord-est de cette commune assez étendue[3].

    Hameaux et lieux-dits

    La commune compte de nombreuses fermes et de petits hameaux, comme Chez Saillant, le Rambeau, la Châtaigneraie au nord, Chez Desmard, Venelle à l'est, les Oliviers, les Chaussades (en limite avec Le Tâtre) au sud, Peurché à l'ouest, etc.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune est située dans le calcaire du Bassin aquitain, comme une grande partie sud et ouest du département de la Charente. Elle est occupée dans une grande partie nord par le Campanien (Crétacé supérieur), calcaire crayeux, qui occupe une grande partie du Sud Charente et constitue la Champagne charentaise[4]. Le quart sud de la commune ainsi que quelques sommets au centre sont occupés par du sable kaolinique et galets du Tertiaire, terrains pauvres et boisés de la Double[5] - [6] - [7].

    Le relief de la commune est celui de bas plateaux descendant doucement vers le nord, et de quelques buttes au nord-est. Son point culminant est à une altitude de 140 m, situé sur une de ces buttes, au bois de la Pivette. Le point le plus bas est à 66 m, situé le long du ruisseau de Condéon sur la limite orientale. Le bourg, situé dans la vallée du Trèfle, est à 105 m d'altitude[3].

    Réseau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Reignac.

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par le Trèfle, le ruisseau de Condéon, le Trèfle et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[9] - [Carte 1].

    Le Trèfle, affluent de la Seugne qui passe à Jonzac et sous-affluent de la Charente, naît au sud de la commune puis coule vers le nord et passe au bourg.

    Le Petit Trèfle, affluent du Trèfle qui passe à Lamérac, naît à l'ouest de la commune.

    Le ruisseau de Condéon, affluent du Beau qui passe à l'est de Barbezieux pour se jeter dans le Né, passe en limite orientale de commune[3].

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en Å“uvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Reignac est une commune rurale[Note 1] - [12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13] - [14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Barbezieux-Saint-Hilaire, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15] - [16].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,7 %), forêts (20,9 %), cultures permanentes (19,4 %), zones agricoles hétérogènes (15,6 %), zones urbanisées (0,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,4 %), prairies (0,4 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Reignac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

    Risques naturels

    Reignac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été élaboré pour la période 2017-2026, faisant suite à un plan 2007-2016[20]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du règlemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 3] - [20] - [21] - [22].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Reignac.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain[23].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 52,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 354 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 138 sont en en aléa moyen ou fort, soit 39 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Rinac en 1167-1188[27], Riniaco en 1302, Riniac[28], Rinaco, Reginaco[29].

    L'origine du nom de Reignac remonterait à un nom de personne gallo-romain Renius du gaulois Renos, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Reniacum, « domaine de Renius »[30] - [31].

    Histoire

    L'église a été fortifiée au XVe siècle, postérieurement à sa construction au XIIe siècle. Elle était primitivement le prieuré Saint-Pierre dépendant de l'abbaye de Lesterps, de l'ordre augustinien[32].

    Au sud de la commune, le domaine du Tastet était un fief possédé au XVIIe siècle par les Grimouard de Sainte-Croix, puis échut aux Fradin par mariage au XVIIIe siècle. Ceux-ci émigrèrent à la Révolution[33]. Il fut également la possession de la famille Grassin au XVIIIe siècle, par l'intermédiaire de Jean Grassin (né en 1762), « sieur du Tastet », notaire royal et procureur fiscal du marquisat de Barbezieux[34].

    Au début du XXe siècle, l'industrie était représentée par quelques petits moulins, tuileries et fabriques de poterie. Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la ligne de Châteauneuf à Saint-Mariens par Barbezieux, et la gare était située près du bourg[33].

    Administration

    La nouvelle mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Pierre-François-Jacques Piet
    avant 1988 ? Michel Norbert
    1995 2008 Jacky Chaignaud
    2008 En cours Daniel Sauvaitre
    Réélu pour le mandat 2020-2026 [35]
    UMP-LR Agriculteur,
    président de la Fédération UMP-LR de Charente jusqu'en 2018,
    conseiller régional depuis 2015

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

    En 2020, la commune comptait 741 habitants[Note 4], en augmentation de 7,08 % par rapport à 2014 (Charente : −0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    1 2041 2591 2731 2031 2141 2721 3201 2341 221
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 2231 1251 0771 0041 0091 003925876829
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    921885807780747745685742651
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    636618605606582620666733741
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,8 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 371 hommes pour 382 femmes, soit un taux de 50,73 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3
    90 ou +
    0,8
    9,1
    75-89 ans
    8,0
    18,4
    60-74 ans
    17,1
    19,9
    45-59 ans
    20,6
    20,0
    30-44 ans
    18,1
    16,9
    15-29 ans
    15,6
    15,4
    0-14 ans
    19,8
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1
    90 ou +
    2,5
    8,9
    75-89 ans
    11,8
    20
    60-74 ans
    20,3
    21
    45-59 ans
    20,8
    16,9
    30-44 ans
    16,2
    15,6
    15-29 ans
    13,7
    16,6
    0-14 ans
    14,7

    Économie

    Agriculture

    La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[42].

    Équipements, services et vie locale

    La salle des fêtes.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    L'église paroissiale Saint-Pierre du XIIe siècle, remaniée et fortifiée au XVe siècle. La nef romane dont la croisée comporte une coupole sur pendentifs est augmentée d'une chapelle à croisées d'ogives et d'une chapelle gothique qui communique avec d'abside qui possède une arcature[32] - [43].

    Dans la nef est noté 1538. Les murs sont ornés de peintures murale et sur le mur ouest de la nef existe des restes d'une litre funéraire : des armoiries avec leurs tenants[44].

    Le chevet a été fortifié par construction d'une galerie crénelée sous le toit et percement de nombreuses meurtrières.

    Elle est classée monument historique depuis 1970[45].

    • L'église Saint-Pierre
    • La façade.
      La façade.
    • Vue du cimetière.
      Vue du cimetière.
    • Vue latérale.
      Vue latérale.
    • Le chevet.
      Le chevet.

    Patrimoine civil

    Le logis.
    • Deux moulins l'un du XVIIIe siècle l'autre du début du XIXe siècle
    • Deux anciennes tuileries de la fin du XVIIIe siècle
    • Trois fermes du XVIIIe siècle[46]
    • Au lieu-dit le Logis un manoir du XVIIe siècle et son pigeonnier[47] - [48].
    • Logis de Breuillac, des XVIIe et XVIIIe siècles[48]

    Voie verte

    L'ancienne voie ferrée de Châteauneuf à Saint-Yzan a été aménagée en voie verte en 2004. Celle-ci va de Barbezieux à Clérac, en Charente-Maritime. Au nord de Barbezieux, elle a été prolongée jusqu'à Saint-Médard qui en marque l'extrémité goudronnée en 2015[3]. La liaison jusqu'à Châteauneuf est à l'étude[49] - [50].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Reignac
    Blason de Reignac Blason
    D'azur à trois abeilles d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Reignac » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Michel Vigneaux, Aquitaine occidentale, Paris, Masson, , 223 p. (ISBN 2-225-41118-2, lire en ligne), p. 48, 79
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Barbezieux », sur Infoterre, (consulté le )
    8. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    9. « Fiche communale de Reignac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    10. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    12. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. « Les risques près de chez moi - commune de Reignac », sur Géorisques (consulté le )
    19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    20. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    21. « Arrêté portant classement de massifs forestiers et obligation de débroussaillement. », sur www.charente.gouv.fr, (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Reignac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    27. Paul-François-Étienne Cholet (préf. L.Clouzot), Cartulaire de l'abbaye de Saint-Étienne de Baigne, Niort, L.Clouzot, , 382 p. (lire en ligne), p. 119
    28. Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, Cartulaire du prieuré Notre-Dame de Barbezieux (1201-1300), , 426 p. (lire en ligne), p. 113,212
    29. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 312
    30. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 560.
    31. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    32. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 277
    33. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 279
    34. (en) « Family tree of Jean Grassin (1) », sur Geneanet (consulté le )
    35. « Welcome to nginx! », sur cafeyn.co (consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Reignac (16276) », (consulté le ).
    41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
    42. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    43. Abbayes, prieurés et commanderies de l'ancienne France, Poitou, Charentes, Vendée, François Semur, 1984, pas d'ISBN
    44. « Église de Reignac (notice) », notice no IA00041244, base Mérimée, ministère français de la Culture
    45. « Église de Reignac », notice no PA00104464, base Mérimée, ministère français de la Culture
    46. « Reignac », base Mérimée, ministère français de la Culture
    47. « Le Logis », notice no IA00041250, base Mérimée, ministère français de la Culture
    48. Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 570
    49. AF3V, « Voie verte de la Galope Chopine », (consulté le )
    50. AF3V, « Voie verte de Haute-Saintonge », (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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