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RĂ©alisations et productions du groupe Schneider et Cie

Les réalisations et productions du groupe Schneider et Cie sont diversifiées et nombreuses car la société Schneider et Cie, créée en , premier groupe industriel français d’importance internationale. Cette société a assuré, pendant près de 150 ans, son développement par l’adaptation régulière des outils de production au marché, et par la création d’un système social environnant qui permet de soutenir son expansion.

La nature diversifiée des activités de ses usines et sites engendre la production d'une grande variété de produits et services, au fur et à mesure de son développement : Productions Sidérurgiques ; Constructions Mécaniques ; Locomotives ; Construction Navale ; Ponts, Charpentes Métalliques, Appareils de levage ; Armement ; Matériels Électriques ; Équipements divers ; Ensembles clé en mains ou ces produits, réalisés au début sur le site industriel du Creusot, se répartissent ensuite dans les différentes usines de la Société et de ses filiales. Certaines de ces productions sont concentrées dans une période particulière de l'histoire de la Société pour disparaître complètement ensuite. La liste qui suit donne les périodes de haute activité pour certaines de ces productions à titre indicatif, ainsi que le lieu de production.

Liste des productions

Productions Sidérurgiques

Les productions sidérurgiques commencent en , dès le début d’existence de Schneider et Cie, et continuent tout au long de sa vie.

Ces productions sidérurgiques soutiennent toutes les autres activités : constructions mécaniques, Locomotives, constructions navales, ponts et charpentes métalliques, armement, matériels électriques, etc.

Fontes

Aciers

Constructions MĂ©caniques

Les activités de constructions mécaniques couvrent un panel de productions (machines à vapeur[6], appareils moteurs pour la navigation[7], toutes machines d’atelier[6], chaudronnerie[8], composants pour Centrales Nucléaires, matériels de mines[9]…) qui viennent en soutien aussi bien aux activités sidérurgiques que pour la production de matériel ferroviaire et naval, ou la production d’armes.

Ces activités s’étalent sur toute la durée d’existence de la société, en s’appuyant sur ses bureaux d’études de l'usine du Creusot, puis des bureaux d'études de ses autres usines et filiales, et la capacité d’inventer et de construire leurs propres machines-outils spécifiques.

Machines Ă  vapeur fixes

  • Machines Corliss-Schneider[10] - [11]
  • Machines Ă  vapeur surchauffĂ©e (distribution Ă  soupapes) système Schneider.
  • Machines Ă  vapeur Ă  grande vitesse, horizontales et verticales pour la commande directe des dynamos.
  • Machines Ă  vapeur Ă  grande vitesse, Ă  graissage forcĂ© (système Schneider-Allen).
  • Machines Ă  vapeur pour forges
  • Machines Ă  vapeur pour locomotives

Moteurs d'avion et Avions

  • 1000 moteurs d'avion de combat (1916)
  • AlfĂ©rium : alliage d'aluminium de forge pour hĂ©lices
  • Avions de combat : AvimĂ©ta 88 et 121 (Ă©checs)
  • Avions de transport : AvimĂ©ta 132 et 92 (Ă©checs)

Moteurs et appareils pour la navigation fluviale et maritime

  • Machines Ă  vapeur de toutes puissances
  • Turbines et turbines Ă  engrenages
  • Moteurs Ă  pĂ©trole lourd Ă  2 temps et Ă  4 temps pour cargos et sous-marins
  • Lignes d'arbres
  • HĂ©lices
  • Chaudières Ă  vapeur, type marine Ă  petits tubes
  • Pièces dĂ©tachĂ©es pour machines

Autres machines d'ateliers

Chaudronnerie

Chaudières : chaudières tubulaires à foyers intérieurs ; chaudières multitubulaires horizontales et verticales (système Schneider) ; chaudières type Kestner ; chaudières à bouilleurs ; chaudières de tous systèmes ; et chaudières pour la Marine.

Matériel de mines et d'usines

Cages, wagons, bennes, brouettes, lavoirs, cheminées, conduites d'eau, d'air et de gaz, réservoirs, formes à sucre, chevalements, etc.

Locomotives

Le marché des locomotives constitue le premier débouché de la société, motivé par les débuts du développement du chemin de fer, inventé en Angleterre[20], et dont le potentiel permet d’espérer un développement en France, puis à l’étranger.

La société imagine donc dès le début de construire des locomotives (à vapeur, puis électriques, puis Diesel). Leur production commence en , pour se terminer en , et concerne le site du Creusot. Au total, 5841 locomotives sont produites, dont 21 % pour l’exportation (1207 locomotives) :

Locomotives Ă  Vapeur

Au total 4959 locomotives à vapeur de à , dont 1012 locomotives pour l’exportation :

Locomotives Ă©lectriques

Au total 769 locomotives électriques de à , dont 12 % pour l’exportation (94 locomotives) :

  • : locomotive d’essai courant continu 550 V
  • : locomotive d’essai courant alternatif (première locomotive Ă  redresseur du monde)
  • : première commande, de la Compagnie du Midi, pour 1 locomotive d’essai courant monophasĂ© 12 000 V
  • : 30 locomotives pour le RĂ©seau d’État, courant continu 1 500 V
  • : crĂ©ation du MTE (MatĂ©riel de Traction Électrique), par Schneider et Cie, Jeumont et Schneider-Westinghouse (SW - Le MatĂ©riel Électrique)
  • : 30 locomotives pour l’AlgĂ©rie, courant continu 3 000 V
  • : record mondial de vitesse (Ruban Bleu de la Traction Ferroviaire) 183 km/h (locomotive 2D2 704, courant continu 1 500 V)
  • : record mondial de vitesse (Ruban Bleu de la Traction Ferroviaire) 331 km/h (locomotive BB 9004, courant continu 1 500 V)
  • AnnĂ©es fastes[22] :: 40, : 96, : 100, : 66, : 67

Locomotives Diesel

Au total 113 locomotives Diesel, de à , dont 89 % pour l’exportation (101 locomotives) :

  • 1912 : 1 locotracteur prototype
  • 1932 : première locomotive Diesel-Ă©lectrique, pour le PLM
  • 1954 : premières locomotives Diesel-hydrauliques pour la SociĂ©tĂ© Minière de Droitaumont
  • De 1956 Ă  1970 (pĂ©riode faste) : 111 locomotives (87 locomotives Diesel-Ă©lectriques, 24 locomotives Diesel-hydrauliques)

Construction Navale

La construction navale civile[28] - [29] est l’activité de départ des Chantiers de Chalon-sur-Saône (Le Petit Creusot) créés par Schneider et Cie en 1839[30], et dont l’implantation fluviale en bord de Saône permet la production des unités[31] à partir des matériaux (tôles, forgés…) et des moteurs fabriqués à l’usine du Creusot[30].

Les fabrications militaires[29] - [32] - [33] commencent en 1885 à Chalon, avec les études et l’exécution de torpilleurs et contre-torpilleurs pour la Marine (moteurs fabriqués au Creusot, coques et armement exécutés à Chalon). Les premiers sous-marins sont produits à partir de 1910.

Lorsqu’il s’agit de navires trop grands pour la situation fluviale de Chalon, Schneider et Cie coopèrent avec les Chantiers de construction de Bordeaux.

La construction navale cesse son activité à Chalon en 1957.

Constructions civiles

Constructions militaires

  • De 1855 Ă  1914 :
    • Torpilleurs
    • Contre-torpilleurs
    • Canonnières
    • Avisos
    • De 1855 Ă  1904 : 86 torpilleurs, dont 26 pour l’exportation (Japon, SaĂŻgon, Bulgarie)
  • Sous-marin FerrĂ© produit par Schneider pour la marine PĂ©ruvienne - 1912.
    De 1908 à 1939 : 19 sous-marins, dont 5 pour l’exportation (Pérou, Grèce, Japon)

Ponts. Charpentes métalliques. Appareils de levage

Le développement continu des chemins de fer à partir de 1850 nécessite la production de ponts métalliques[36] - [37] et de charpentes[38] de gares.

Schneider et Cie crée ainsi à Chalon-sur-Saône une activité « Ponts » en 1853[39], et une activité « Charpentes » en 1857, compensant une baisse d’activité de la construction navale. Ces activités perdurent jusqu’en 1972.

En 1860, la technique des charpentes permet également d’introduire à Chalon la fabrication d’appareils de levage[40] - [41], dont la structure métallique est identique[42].

Ponts métalliques

  • 1853 : Premiers ponts pour la Compagnie des Chemins de Fer Paris-Lyon (gare de Lyon-Vaise)
  • De 1853 Ă  1972 : production de 140 000 tonnes d’élĂ©ments mĂ©talliques de ponts fixes de toutes portĂ©es et de tous genres, ponts tournants, ponts dĂ©montables pour le gĂ©nie militaire, ponts de chevalets, passerelles, garde-corps, piles mĂ©talliques… :
    • De 1855 Ă  1880 : 60 ponts, dont 20 pour l’exportation
    • De 1880 Ă  1920 : 77 ponts, dont 66 pour l’exportation
    • De 1920 Ă  1972 : 9 ponts
  • Ponts « de circonstance » :
    • 1915 – 1916 : Ponts militaires (ponts d’ordonnance du GĂ©nĂ©ral Marcille[43], ponts lĂ©gers du Colonel Pfund)
    • 1969 – 1972 : Ponts civils (toboggans)
  • RĂ©alisations remarquables :

Charpentes métalliques

  • 1857 : Premières charpentes mĂ©talliques (charpente de 400 t pour les hangars et entrepĂ´ts de Bercy)
  • De 1857 Ă  1911 : production de plus de 66 000 t de charpentes, planchers et poutres, dont 24,1 % pour l’exportation (15 930 t)

Appareils de levage

  • De 1860 Ă  1911 : production de 4 300 t, dont 42 % pour l’exportation (1 800 t)
  • Grues locomobiles Ă  vapeur
  • Grues hydrauliques de toutes puissances
  • Grues locomobiles Ă©lectriques
  • Grues Ă  portique
  • Grues de bord
  • Grues flottantes de toutes puissances
  • Bigues
  • Ponts roulants de toutes puissances, actionnĂ©s par transmissions mĂ©caniques ou Ă©lectriques
  • Cabestans Ă©lectriques
  • Transbordeurs Ă©lectriques
  • VĂ©rins hydrauliques
  • Treuils Ă  vapeur ou Ă©lectriques pour mines

Armement

De 1871 (au lendemain de la défaite de 1870 contre la Prusse)[48] à 1888, le Creusot fabrique des éléments de canons ébauchés en acier, dont l'usinage final et l’assemblage sont le plus souvent réservés aux arsenaux d’État.

Les premiers ateliers d'artillerie autonomes sont créés par Schneider et Cie au Creusot en 1887. Des canons de tous calibres y sont étudiés, produits et livrés complets.

La production d’armement[49] se développe ensuite dans des ateliers rachetés par Schneider et Cie au Havre (1897), puis à Harfleur (1905). La production de munitions génère également des chiffres d’affaire importants, et est répartie dans un grand nombre d’usines sur le territoire.

La fin de la guerre 1914-1918 se traduit par une contraction du marché militaire, et marque le déclin de ces productions d’armement.

Matériel d’armement

  • Canons, obusiers, mortiers (de bord, de cĂ´te, de forteresse, de siège, de place, de dĂ©barquement, de campagne et de montagne), dont les principaux sont :
    • Canon Schneider de 75mm - 1912.
      Canons Schneider de 75 mm[50] de montagne, de campagne, et de bord
    • Canon Schneider de 76,2 mm de dĂ©barquement, et de bord
    • Canon Schneider de 100 mm de bord
    • Mortier Schneider de 105 mm de montagne
    • Canon Schneider de 105 mm de campagne
    • Obusier Schneider de 105 mm de campagne
    • Canon Schneider de 106,7 mm (4.2 ″) de campagne
    • Canon Schneider de 120 mm de campagne
    • Obusier Schneider de 120 mm de campagne
    • Canon Schneider de 149,1 mm de forteresse
    • Canon Schneider de 150 mm de bord et de siège
    • Obusier Schneider de 150 mm de campagne
    • Canon Schneider de 152 mm de bord
    • Obusier de 155C.
      Obusier Schneider de 152.4 mm (6 ″) de siège
    • Canon Schneider de 155 mm de siège
    • Obusier Schneider de 200 mm de cĂ´te
    • Obusier Schneider de 203,2 mm (8 ″) de siège
    • Mortier Schneider de 228,6 mm (9 ″) de siège
    • Canon Schneider de 240 mm de cĂ´te
    • Mortier Schneider de 260 mm de siège
    • Mortier Schneider de 279.4 mm (11″) de siège
    • Obusier Schneider de 293 mm de cĂ´te
    • Canon Schneider de 381 mm de bord
  • Char blindĂ© et chenillĂ© CA1 (1916)[51]
  • Tubes lance-torpilles aĂ©riens et sous-marins
  • AffĂ»ts, voitures, pièces dĂ©tachĂ©es, enveloppes d'obus Ă  balles
  • Plaques de blindage de toutes Ă©paisseurs
  • Tourelles de bord et de terre, Ă  manĹ“uvre Ă©lectrique et Ă  bras
  • Ouvrages cuirassĂ©s de divers types pour fortifications

Munitions

Matériels électriques

La production de matériels électriques[52] commence à partir de 1888, d’abord sur le site du Creusot[53], puis sur le site de l’usine de Champagne sur Seine, créée en 1903 par Schneider et Cie.

Cette production dépend en grande partie de techniques étrangères, par acquisitions de licences auprès de divers constructeurs, tels que Ganz en 1890, la Compagnie Suisse de l’Industrie Électrique en 1896, et Westinghouse en 1929.

Machines

  • Dynamos gĂ©nĂ©ratrices et Ă©lectromoteurs Ă  courant continu de toutes puissances
  • Dynamos spĂ©ciales pour Ă©lectrochimie et Ă©lectromĂ©tallurgie
  • Alternateurs de toutes puissances pour Ă©clairage et transport de force
  • Moteurs Ă  courants alternatifs
  • Transformateurs et tout matĂ©riel Ă©lectrique Ă  courant continu et Ă  courants alternatifs
  • Groupes Ă©lectrogènes de toutes puissances

Équipements

  • Installations complètes de stations centrales d'Ă©nergie Ă©lectrique par la vapeur, le gaz pauvre et par chutes d'eau
  • Transport et distribution d'Ă©nergie Ă  toutes distances, Ă  basse et haute tension
  • Installations d'Ă©clairage Ă©lectrique
  • Équipements Ă©lectriques de navires de guerre et de commerce
  • Équipements Ă©lectriques de sous-marins
  • Équipements Ă©lectriques d'appareils de manutention
  • Équipements Ă©lectriques de machines-outils
  • Commutatrices
  • Tableaux de distributions, appareillage

Produits réfractaires

Pour faire face à ses propres besoins, Schneider et Cie crée en 1842 sur le site de Perreuil une usine de production de produits réfractaires[54] - [30] et de briques, nécessaires pour tous les fours et hauts-fourneaux du site du Creusot. Ces produits sont ensuite proposés à d’autres clients.

  • Produits rĂ©fractaires de toutes formes et de toutes dimensions pour hauts-fourneaux, forges, aciĂ©ries, usines Ă  gaz, verreries, fabriques d'appareils de chauffage et, d'une façon gĂ©nĂ©rale, pour toutes industries employant ces produits :
    • Briques de toutes qualitĂ©s.
    • Coulis rĂ©fractaires.
    • Briques silice.
    • Briques magnĂ©sie.
    • Tuyères et pièces spĂ©ciales pour aciĂ©ries.

Équipements de Travaux Publics

Les équipements de Travaux Publics[55] - [56], produits principalement sur le site de Chalon-sur-Saône, sont un prolongement naturel de la production des ponts et charpentes métalliques[57].

Équipements Industriels

La production d’équipements Industriels complexes commence de se développer sous l’impulsion de Charles Schneider, au sein de Schneider et Cie, puis au sein de la SFAC (1949) puis de Creusot-Loire (1970).

Ces équipements industriels sont produits par la société ou ses filiales, chargées de la négociation et la réalisation de marchés concernant des ensembles industriels complexes (filiales telles que ENSA, Framatome, Creusot-Loire Entreprises, MTE, Société Industrielle Delattre-Levivier, SECIM, Rateau-Schneider, Neyrpic…). Le groupe assure par exemple la conception, la réalisation, la maîtrise d'œuvre et la formation du personnel d'usines vendues clés en mains[60].

Les domaines d’activité et de production sont diversifiés, et couvrent par exemple :

  • SidĂ©rurgie – MĂ©tallurgie (laminoirs…)
  • Chaudières nuclĂ©aires : première commande en 1959 (centrale PWR de Chooz)
  • MatĂ©riels industriels de papeterie, cartonnerie
  • Engrais
  • Cimenteries
  • Chimie
  • PĂ©trochimie
  • MatĂ©riels hydrauliques (turbines, pompes)
  • MatĂ©riels ferroviaires

Notes et références

  1. Schneider & Cie – Produits et fabrications, Imprimerie Frazier-Soye, Paris, 1914, page 4.
  2. Schneider & Cie – Produits et fabrications, Imprimerie Frazier-Soye, Paris, 1914, page 5.
  3. Agnès d’Angio, Schneider et Cie et la naissance de l'ingénierie : Des pratiques internes à l'aventure internationale : 1836-1949, Paris, CNRS Editions, 2000, page 54.
  4. Tristan de la Broise et Felix Torrès, Schneider, l'histoire en force, Paris, Editions Jean-Pierre de Monza, 1996, page 64..
  5. Agnès D' Angio, Schneider & Cie et les travaux publics : 1895-1949, Paris Genève Paris, École des chartes Diff. Droz Diff. H. Champion, coll. « Mémoires et documents de l'Ecole des chartes » (no 45), 1995, page 270..
  6. Schneider & Cie – Produits et fabrications, Imprimerie Frazier-Soye, Paris, 1914, page 7.
  7. Schneider & Cie – Produits et fabrications, Imprimerie Frazier-Soye, Paris, 1914, page 14.
  8. Schneider & Cie – Produits et fabrications, Imprimerie Frazier-Soye, Paris, 1914, page 8.
  9. Schneider & Cie – Produits et fabrications, Imprimerie Frazier-Soye, Paris, 1914, page 9.
  10. Les machines Corliss-Schneider ont obtenu la médaille d’or à l’Exposition universelle de Paris en 1889.
  11. Agnès d’Angio, Schneider et Cie et la naissance de l'ingénierie : Des pratiques internes à l'aventure internationale : 1836-1949, Paris, CNRS Editions, 2000, page 50..
  12. Thermodyn, de Schneider Ă  GE, Editions Thermodyn s.a.s., 2005, page 75.
  13. Thermodyn, de Schneider Ă  GE, Editions Thermodyn s.a.s., 2005, page 89.
  14. Thermodyn, de Schneider Ă  GE, Editions Thermodyn s.a.s., 2005, page 77.
  15. Thermodyn, de Schneider Ă  GE, Editions Thermodyn s.a.s., 2005, page 80.
  16. Thermodyn, de Schneider Ă  GE, Editions Thermodyn s.a.s., 2005, page 123..
  17. Tristan de la Broise et Felix Torrès, Schneider, l'histoire en force, Paris, Editions Jean-Pierre de Monza, 1996, page 33..
  18. Agnès d’Angio, Schneider et Cie et la naissance de l'ingénierie : Des pratiques internes à l'aventure internationale : 1836-1949, Paris, CNRS Editions, 2000, pages 24 et 49..
  19. Exemple : participation à la réalisation de l'ascenseur du pilier Nord de la Tour Eiffel.
  20. Tristan de la Broise et Felix Torrès, Schneider, l'histoire en force, Paris, Editions Jean-Pierre de Monza, 1996, page 29..
  21. Charles Contassot, Historique des fabrications des locomotives aux usines du Creusot, Académie François Bourdon, Le Creusot, 2003, page 23.
  22. Charles Contassot, Historique des fabrications des locomotives aux usines du Creusot, Académie François Bourdon, Le Creusot, 2003, page 75.
  23. Charles Contassot, Historique des fabrications des locomotives aux usines du Creusot, Académie François Bourdon, Le Creusot, 2003, page 125.
  24. Charles Contassot, Historique des fabrications des locomotives aux usines du Creusot, AFB, , pages 25 Ă  29
  25. Charles Contassot, Historique des fabrications des locomotives aux usines du Creusot, Académie François Bourdon, Le Creusot, 2003, page 37.
  26. Agnès d’Angio, Schneider et Cie et la naissance de l'ingénierie : Des pratiques internes à l'aventure internationale : 1836-1949, Paris, CNRS Editions, 2000, page 20.
  27. Charles Contassot, Historique des fabrications des locomotives aux usines du Creusot, Académie François Bourdon, Le Creusot, 2003, pages 34 et 38.
  28. Lucien Gandrey et Jean-Claude Mallard, 1839-1972 – 133 ans dans l’histoire industrielle de Chalon-sur-Saône – Bateaux, Ponts métalliques construits aux Chantiers Schneider, Université pour tous de Bourgogne (centre de Chalon-sur-Saône), Académie François Bourdon (Le Creusot), 2009, pages 35 et suivantes.
  29. Schneider & Cie – Chantiers de Chalon-sur-Saône – Constructions navales, Imprimerie Lahure, Paris, 1911, pages 5 et suivantes.
  30. Agnès d’Angio, Schneider et Cie et la naissance de l'ingénierie : Des pratiques internes à l'aventure internationale : 1836-1949, Paris, CNRS Editions, 2000, page 21.
  31. Tristan de la Broise et Felix Torrès, Schneider, l'histoire en force, Paris, Editions Jean-Pierre de Monza, 1996, page 34.
  32. Lucien Gandrey et Jean-Claude Mallard, 1839-1972 – 133 ans dans l’histoire industrielle de Chalon-sur-Saône – Bateaux, Ponts métalliques construits aux Chantiers Schneider, Université pour tous de Bourgogne (centre de Chalon-sur-Saône), Académie François Bourdon (Le Creusot), 2009, pages 67 et suivantes.
  33. Schneider & Cie - Chantiers de constructions navales - Torpilleurs et contre-torpilleurs, Imprimerie R.Monod.Poirré & Cie, Paris, pages 3 et suivantes.
  34. Schneider & Cie – Produits et fabrications, Imprimerie Frazier-Soye, Paris, 1914, pages 13-14.
  35. « Aigle (yacht) — Wikimanche », sur www.wikimanche.fr (consulté le )
  36. Lucien Gandrey et Jean-Claude Mallard, 1839-1972 – 133 ans dans l’histoire industrielle de Chalon-sur-Saône – Bateaux, Ponts métalliques construits aux Chantiers Schneider, Université pour tous de Bourgogne (centre de Chalon-sur-Saône), Académie François Bourdon (Le Creusot), 2009, pages 111 et suivantes.
  37. Schneider & Cie – Chantiers de Chalon-sur-Saône – Ponts métalliques, Imprimerie Lahure, Paris, 1911, pages 5 à 13.
  38. Schneider & Cie – Chantiers de Chalon-sur-Saône – Charpentes métalliques, grosse chaudronnerie et emboutis, appareils de levage, Imprimerie Lahure, Paris, 1911, pages 5 à 11.
  39. Agnès d’Angio, Schneider et Cie et la naissance de l'ingénierie : Des pratiques internes à l'aventure internationale : 1836-1949, Paris, CNRS Editions, 2000, page 29.
  40. Schneider & Cie – Produits et fabrications, Imprimerie Frazier-Soye, Paris, 1914, page 11.
  41. Schneider & Cie – Chantiers de Chalon-sur-Saône – Charpentes métalliques, grosse chaudronnerie et emboutis, appareils de levage, Imprimerie Lahure, Paris, 1911, pages 23 à 26.
  42. Agnès d’Angio, Schneider et Cie et la naissance de l'ingénierie : Des pratiques internes à l'aventure internationale : 1836-1949, Paris, CNRS Editions, 2000, page 33.
  43. Agnès D' Angio, Schneider & Cie et les travaux publics : 1895-1949, Paris Genève Paris, École des chartes Diff. Droz Diff. H. Champion, coll. « Mémoires et documents de l'Ecole des chartes » (no 45), 1995, page 83.
  44. Schneider & Cie – Le Pont Alexandre III à Paris – Pont roulant de montage – Montage des arcs, Editions Ch. Béranger, Paris, 1900, pages 1 à 6.
  45. Agnès D' Angio, Schneider & Cie et les travaux publics : 1895-1949, Paris Genève Paris, École des chartes Diff. Droz Diff. H. Champion, coll. « Mémoires et documents de l'Ecole des chartes » (no 45), 1995, page 80.
  46. Grande Forge
  47. Agnès D' Angio, Schneider & Cie et les travaux publics : 1895-1949, Paris Genève Paris, École des chartes Diff. Droz Diff. H. Champion, coll. « Mémoires et documents de l'Ecole des chartes » (no 45), 1995, page 43.
  48. Tristan de la Broise et Felix Torrès, Schneider, l'histoire en force, Paris, Editions Jean-Pierre de Monza, 1996, page 47.
  49. Schneider & Cie – Produits et fabrications, Imprimerie Frazier-Soye, Paris, 1914, page 16.
  50. Agnès d’Angio, Schneider et Cie et la naissance de l'ingénierie : Des pratiques internes à l'aventure internationale : 1836-1949, Paris, CNRS Editions, 2000, page 60.
  51. 1er char de combat utilisé par l’armée française.
  52. Schneider & Cie – Produits et fabrications, Imprimerie Frazier-Soye, Paris, 1914, page 10.
  53. Agnès d’Angio, Schneider et Cie et la naissance de l'ingénierie : Des pratiques internes à l'aventure internationale : 1836-1949, Paris, CNRS Editions, 2000, page 66.
  54. Schneider & Cie – Produits et fabrications, Imprimerie Frazier-Soye, Paris, 1914, page 17.
  55. Schneider & Cie – Produits et fabrications, Imprimerie Frazier-Soye, Paris, 1914, page 15.
  56. Schneider & Cie – Chantiers de Chalon-sur-Saône – Travaux publics, Matériel d’Entreprise, Outillage Maritime et Fluvial, Imprimerie Lahure, Paris, 1911, pages 5 à 9.
  57. Agnès D' Angio, Schneider & Cie et les travaux publics : 1895-1949, Paris Genève Paris, École des chartes Diff. Droz Diff. H. Champion, coll. « Mémoires et documents de l'Ecole des chartes » (no 45), 1995, pages 262 et 307.
  58. Agnès d’Angio, Schneider et Cie et la naissance de l'ingénierie : Des pratiques internes à l'aventure internationale : 1836-1949, Paris, CNRS Editions, 2000, page 36.
  59. Agnès D' Angio, Schneider & Cie et les travaux publics : 1895-1949, Paris Genève Paris, École des chartes Diff. Droz Diff. H. Champion, coll. « Mémoires et documents de l'Ecole des chartes » (no 45), 1995, page 57.
  60. Régis F. Derrieux-Cecconi, Les espaces de la firme : le cas de Creusot-Loire, Espace géographique, tome 2, n°1, 1973, pages 22 et 23.

Bibliographie

  • Agnès D' Angio, Schneider & Cie et les travaux publics : 1895-1949, Paris Genève Paris, École des chartes Diff. Droz Diff. H. Champion, coll. « MĂ©moires et documents de l'École des chartes » (no 45), 1995, 396 p. (ISBN 978-2-900791-13-4).
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