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Navire-citerne

Un navire-citerne (en anglais : tanker) est un type de navire de charge utilisé pour le transport de liquides en vrac, dans de grandes citernes ou cuves.

Les principaux types de navires citernes transportent du pétrole, des produits chimiques ou encore du gaz. Ils peuvent aussi transporter de l'huile, du vin ou encore du sucre liquide.

Description

Les navires citernes peuvent aller de quelques centaines de tonnes pour les navires desservant de petits ports et installations cÎtiÚres à des centaines de milliers de tonnes pour les navires longues distances. Au-delà des océans et mers, des navires citernes opÚrent sur les riviÚres et fleuves avec une capacité de quelques dizaines de tonnes. Une grande variété de produits sont transportés par ces "tankers" (terme anglais)[1]:

Le Thomas W. Lawson (1902) converti en 1906 est le premier navire-citerne du monde.

Le tanker est un concept relativement nouveau datant des derniĂšres annĂ©es du XIXe siĂšcle. Avant cela, la technologie ne permettait pas de transporter des liquides en vrac. Le marchĂ© n'Ă©tait Ă©galement pas orientĂ© vers le transport en vrac. De nombreux navires transportaient une large variĂ©tĂ© de produits et tous Ă©taient donc conditionnĂ©. Les liquides Ă©taient chargĂ©s dans des tonneaux le plus souvent d'oĂč le terme tonnage qui provient du volume de tonneaux transportĂ©. MĂȘme l'eau douce, vitale Ă  la survie des matelots Ă©tait stockĂ©e dans ces tonneaux. Le transport de liquide en vrac a posĂ© de nombreux problĂšmes techniques:

  • La cale: Sur les bateaux en bois, la cale n'Ă©tait pas suffisamment Ă©tanche Ă  l'eau, Ă  l'huile ou Ă  l'air pour empĂȘcher les liquides de fuiter ou de se perdre. le dĂ©veloppement du mĂ©tal et de l'acier pour construire des cales ont rĂ©solu ce souci.
  • Chargement et dĂ©chargement: Les vrac liquides doivent ĂȘtre pompĂ©s. Le dĂ©veloppement de pompes efficaces et d'une tuyauterie Ă©tait vital au dĂ©veloppement des navires citernes. Des installations portuaires ont Ă©galement Ă©tĂ© nĂ©cessaires, de mĂȘme qu'un marchĂ© destinĂ© Ă  recevoir ces produits. Les tonneaux pouvaient ĂȘtre dĂ©chargĂ©s Ă  l'aide d'une grue ordinaire. De plus, les tonneaux ayant un volume faible, la quantitĂ© permet de s'adapter au marchĂ©.
  • StabilitĂ©: Une grande quantitĂ© de liquide Ă  bord d'un navire affecte sa stabilitĂ©, particuliĂšrement lorsque le liquide se dĂ©place Ă  l'intĂ©rieur de la cale en rĂ©ponse au mouvement du bateau. L'effet Ă©tait nĂ©gligeable dans des tonneaux mais peut provoquer un chavirement si la citerne est Ă©gale Ă  la largeur du navire. Ce problĂšme a Ă©tĂ© rĂ©solu par la division en diffĂ©rents compartiments[4].

Les navires citernes ont Ă©tĂ© utilisĂ©s au dĂ©part par l'industrie pĂ©troliĂšre pour acheminer le pĂ©trole raffinĂ© aux consommateurs. Ils sont alors transfĂ©rĂ©s dans de larges rĂ©servoirs sur la cĂŽte puis divisĂ©s pour ĂȘtre livrĂ©s dans de multiples lieux. L'utilisation des tankers Ă©tait moins coĂ»teuse que le transport en fĂ»ts, en barils, puis le stockage dans des entrepĂŽts. La brasserie Guinness a elle aussi utilisĂ© des navires citernes pour transporter leur stout Ă  travers la mer d'Irlande[5]. Des produits spĂ©ciaux requiĂšrent des transports diffĂ©rents, ce qui a menĂ© Ă  la spĂ©cialisation des navires comme les chimiquiers, les pĂ©troliers, les gaziers dĂ©veloppĂ© pour prendre en charge respectivement des produits chimiques dangereux, du pĂ©trole et du gaz naturel liquĂ©fiĂ© (GNL). Ces variantes sont capables de transporter un seul et unique produit ou bien des chargements mixtes comme diffĂ©rents produits chimiques ou pĂ©troles raffinĂ©s.

Parmi les pétroliers, on distingue les supertankers conçus pour transporter le pétrole en passant par la corne d'Afrique ou bien le Moyen Orient. Le Supertanker Seawise Giant[6], déconstruit en 2010 était long de 458 mÚtres et 69 mÚtres de large. Ces navires géants sont l'une des trois méthodes préférées par les grandes entreprises pétroliÚres pour transporter leurs produits avec les réseaux de pipelines et ferroviaires.

Malgré une régulation trÚs stricte[7], les tankers sont impliqués dans de nombreuses catastrophes environnementales résultant de marée noire: Amoco Cadiz, Braer, Erika, Exxon Valdez, Prestige et Torrey Canyon en sont quelques exemples[8].

Les acteurs Majeurs

Les chantiers navals

Les navires citernes sont construits et assemblĂ©s dans les chantiers navals. Les plus grands tankers au monde ayant jamais Ă©tĂ© construits (Knock Nevis(3), Pierre Guillaumat, Prairial, Batillus, Bellamya) permettaient de transporter plus de 550 000 tpl. Plusieurs d'entre eux ont Ă©tĂ© construits sur les Chantiers de l’Atlantique (ce n'est pas le cas du Knock Nevis).

Naviguant sous pavillon belge, les navires Europe et Oceania (Euronav) sont actuellement les plus grands pétroliers en service au monde avec plus de 440 000 tpl.

Les armateurs

Les armateurs sont les propriétaires des navires. Ils arment le bateau, c'est-à-dire qu'ils mettent à disposition un équipage, fournissent le matériel, le ravitaillement, tout ce qui est nécessaire à l'expédition maritime.

leurs revenus proviennent de la location des navires Ă  l’affrĂ©teur.

Les affréteurs

Les affrĂ©teurs sont pour la plupart des grandes compagnies pĂ©troliĂšres et gaziĂšres privĂ©es dites « majors » et d’autres compagnie Ă©tatiques ou indĂ©pendantes. Ce sont des opĂ©rateurs pouvant affrĂ©ter des navires citernes sur toute route maritime. La majoritĂ© des sociĂ©tĂ©s sont Ă  la fois armateurs et affrĂ©teurs de navire citerne.

Les sociétés de classification

Les sociĂ©tĂ©s de classification comme Lloyd’s Register, Bureau Veritas, China Classification Society ou encore American Bureau of Shipping, travaillent en relation avec les armateurs et les assureurs. Leur tĂąche consiste Ă  inspecter et Ă  certifier l’aptitude des navires Ă  prendre la mer. Ces sociĂ©tĂ©s classifient les navires selon certains critĂšres (ex : construction, coque, etc.), dĂ©livrent des certificats pour l’assurance et publient des registres.

Les sociétés de ship management[9]

Elles supervisent pour le compte de tiers la gestion de navires ou de flottes, en phase de construction (ex : supervision technique) ou d’exploitation (ex : services, logistique, Ă©quipages).

Les assureurs

Les assureurs se divisent en deux groupes :

  • les assureurs « corps du navire citerne » assurent le navire ;
  • les Protecting and Indemnity Clubs assurent la responsabilitĂ© civile pour pollution du transporteur.

Les courtiers d’affrùtements

Les courtiers sont chargés par les armateurs de leur trouver des affréteurs sur le marché des matiÚres premiÚres. La plupart de ces contrats sont conclus à New York ou à Londres[10].

Les types de navires citernes

NomDescriptionIllustration
PĂ©troliers[1] Navires citernes transportant du pĂ©trole ; les transporteurs de pĂ©trole brut sont les plus grands, dĂ©passant 100 000 tonnes et atteignant de grandes dimensions ; les transporteurs de produits raffinĂ©s sont plus petits. Certains pĂ©troliers sont convertis en FPSO ou en FSO.

Plus de 3 500 pĂ©troliers sont en opĂ©ration actuellement, pour un port en lourd total de 383 millions de tonnes ; ils forment 36,7 % du tonnage de commerce, la plus grande proportion.

Le supertanker AbQaiQ
Chimiquiers[3] Pouvant transporter une grande variété de produits, ils disposent de nombreuses citernes et de tuyautages séparés, ainsi que de systÚmes de chauffage. Ils sont soumis à des normes de sécurité drastiques. Leurs cuves sont faites en acier inoxydable. Il existe les pétroliers / chimiquiers (transportant des dérivés du pétrole), les chimiquiers parcellaires (transportant différentes cargaisons dans de nombreuses petites cuves) et les chimiquiers spécialisés comme les phosphoriquiers ou les soufriers.

Environ 1 700 chimiquiers sont en opĂ©ration actuellement, pour un port en lourd total de 8,8 millions de tonnes, soit 0,8 % du tonnage mondial.

Le Fiona Swan Ă  Lorient
Gaziers[2] Ces navires transportent soit du gaz naturel (les mĂ©thaniers), soit du gaz de pĂ©trole liquĂ©fiĂ© (GPL), Ă  basse tempĂ©rature (−160 °C) ou Ă  haute pression, dans des citernes spĂ©cialement conçues. Ils reprĂ©sentent la quintessence de l'ingĂ©nierie maritime au vu de leur complexitĂ©.

Environ 150 navires sont en opération, pour un port en lourd total de 26,9 millions de tonnes, soit 2,6 % du tonnage mondial de commerce.

Le méthanier LNG Rivers à Brest.
Asphaltiers[11] Un asphaltier également nommé Bitumier, est un chimiquier destiné au transport exclusif d'asphalte ou de bitume. Celui-ci est transporté dans des cuves chauffées entre 180 et 250 °C afin de le maintenir à l'état liquide visqueux. Il est transporté dans des citernes indépendantes de la coque construites avec des aciers spéciaux capables de conserver leur élasticité lors de la dilatation des métaux induite par ces fortes températures.

Les seuls matiÚres transportés dans ces conditions particuliÚres hormis l'Asphalte et le Bitume sont la Créosote de Bois, le Goudron, le Goudron de Houille et ses distillats.

Le Lagan, Ă  Belfast

On trouve encore d'autres navires-citernes spécialisés dans d'autres produits comme les huiliers, les pinardiers pour le vin, etc., totalisant un port en lourd de 1,2 million de tonnes (0,1 % du tonnage mondial).

Capacité

Article connexe : Taille des navires.

Les navires citernes utilisés pour transporter des combustibles liquides sont classifiés en fonction de leurs capacités.

En 1954, Shell a dĂ©veloppĂ© le systĂšme d'Ă©valuation average freight rate assessment (AFRA) qui classifie les tankers en fonction de leurs tailles. Au dĂ©but, ils ont divisĂ© ceux-ci en trois catĂ©gories: Les multi-usages pour les navires citernes de moins de 25 000 tonnes ; Les navires Ă  portĂ©e moyenne entre 25 000 et 40 000 tonnes et les longue portĂ©e au-dessus de 45 000.

Cette liste est restĂ©e la mĂȘme jusqu'au annĂ©es 1970 oĂč la taille des navires a augmentĂ©, obligeant une extension du systĂšme d'Ă©valuation oĂč les tonnes deviennent des tonnes de port en lourd (TPL)[12]:

    • Les Jumbo de 5 000 tonnes des annĂ©es 1950 ;
    • les Panamax jusqu'Ă  79 000 tonnes, dans les annĂ©es 1960 ;
    • les Aframax entre 80 000 et 120 000 tonnes ;
    • les Suezmax de 150 000 tonnes ;
    • les Malaccamax de 300 000 tonnes de port en lourd[13] ;
    • les VLCC pour Very Large Crude Carriers, Ă  partir de 200 000 tonnes, dĂšs la fin des annĂ©es 1960 ;
    • les ULCC pour Ultra Large Crude Carriers, au-dessus de 300 000 tonnes, dans les annĂ©es 1970. Les plus gros (550 000 tonnes de port en lourd) sont aussi les plus grandes structures mobiles construites par l'homme[14].

Statistiques

Flotte mondiale par principales catégories de navires-citernes, 2016-2018[15] - [16]
2016 2017 2018 Variation en pourcentage, 2017-2018
PĂ©troliers 505 736 534 855 561 079 + 4,74
Gaziers 54 530 59 819 64 317 + 7,19
Chimiquiers 41 295 43 225 44 597 + 4,07

Risques

Sept risques principaux peuvent affecter les navires citernes :

Les marées noires

Les marĂ©es noires sont gĂ©nĂ©rĂ©es par le dĂ©versement gĂ©nĂ©ralement accidentel dans le milieu marin du contenu d’un pĂ©trolier ou d’une installation de production Ă  la suite d’un accident. Avec des consĂ©quences trĂšs nĂ©fastes d'un point de vue Ă©cologique (et Ă©conomique), elles jalonnent l'histoire du transport maritime d'hydrocarbures. Citons parmi elles :

  • le Torrey Canyon dans les eaux britanniques en 1967 (119 000 tonnes dĂ©versĂ©es sur les cĂŽtes britanniques et françaises)
  • l'Amoco Cadiz dans les eaux françaises en 1978 (223 000 tonnes dĂ©versĂ©es)
  • l'Atlantic Empress au large de TrinitĂ©-et-Tobago en 1979 (la collision avec un autre navire est responsable de 287 000 tonnes dĂ©versĂ©es, ce qui en fait la plus grosse marĂ©e noire causĂ©e par des navires)
  • l'Exxon Valdez dans les eaux amĂ©ricaines en 1989 (37 000 tonnes dĂ©versĂ©es)
  • l'Erika dans les eaux françaises en 1999 (prĂšs de 18 000 tonnes dĂ©versĂ©es)
  • le Prestige dans les eaux espagnoles en 2002 (63 000 tonnes dĂ©versĂ©es)

Selon l’ITOPF (International Tanker Owners Pollution Federation), le nombre de grosses marĂ©es noires (plus de 700 tonnes dĂ©versĂ©es dans la mer) impliquant des navires pĂ©troliers a Ă©tĂ© divisĂ© par plus de 7 entre les annĂ©es 1970 (24,5 marĂ©es noires de cette ampleur par an en moyenne) et les annĂ©es 2000 (3,2 par an en moyenne). Entre 2010 et 2018, 17 marĂ©es noires dans le monde provoquĂ©es par des navires pĂ©troliers ont entraĂźnĂ© le dĂ©versement de plus de 700 tonnes de pĂ©trole dans la mer(2).

En pratique, ces événements trÚs médiatisés car spectaculaires ne sont globalement pas aussi fréquents que les déballastages[17].

Les dégazages et les déballastages

Le terme « dégazage » est souvent utilisé, à tort, pour évoquer la pratique du déballastage. En réalité ces deux termes ont une signification différente :

  • le dĂ©gazage dĂ©signe la ventilation et l'Ă©vacuation des gaz produits par les hydrocarbures dans les citernes d'un navire: ces gaz nocifs doivent ĂȘtre Ă©liminĂ©s pour permettre aux hommes de pĂ©nĂ©trer dans les citernes
  • le dĂ©ballastage dĂ©signe quant Ă  lui le dĂ©chargement des eaux de lestage du navire, des rĂ©sidus de cargaison liquide et des rĂ©sidus de fonctionnement

Ces deux pratiques sont réglementées et doivent se dérouler dans les installations portuaires. Elles sont cependant souvent assimilées au déversement de polluants en mer. Afin de ne pas en payer le coût, certains navires vident en effet le contenu de leurs citernes et de leurs cuves directement dans les mers et les océans.

La piraterie

Depuis dĂ©jĂ  plusieurs annĂ©es, les actes de piraterie Ă  l’encontre de pĂ©troliers, se multiplient dans le dĂ©troit de Malacca mais aussi dans le golfe d’Aden, deux routes majeures pour le transport du pĂ©trole. Ces zones Ă  risques sont sous haute surveillance des forces militaires.

En 2019, les tensions autour du détroit d'Ormuz ont à nouveau mis en exergue les enjeux associés à la liberté de circulation des navires pétroliers.

Les tensions internationales

Les Ă©nergies fossiles comme le pĂ©trole et le gaz, principales marchandises transportĂ©es par navires citernes sont au cƓur de fortes tensions au moyen orient, notamment dans le dĂ©troit d’Ormuz, golfe d’Aden, golfe Persique et le golfe d’Oman.

Un Ă©vĂšnement qui placĂ© les navires citernes au centre de l’attention a Ă©tĂ© l’attaque du pĂ©trolier Front Altair, un Aframax de 111 000 tonnes du groupe norvĂ©gien Frontline et du Kokuka Courageaous un mĂ©thanier japonais de 27 000 tonnes de la compagnie BSM Ship Management (Singapour) en .

Selon l’Irna, les deux incidents ont eu lieu Ă  une heure d’intervalle, Ă  25 milles nautiques et 28 milles nautiques de Bandar-Ă© Jask[18].


Galerie


  • Le superpĂ©trolier Batillus
    Le superpétrolier Batillus
  • Le chimiquier Fiona Swan
    Le chimiquier Fiona Swan
  • Le mĂ©thanier LNG Rivers
    Le méthanier LNG Rivers

Notes et références

  1. Michel Durand, « Les pétroliers », sur L'Antenne - Les transports et la logistique au quotidien (consulté le )
  2. Michel Durand, « Les gaziers », sur L'Antenne - Les transports et la logistique au quotidien (consulté le )
  3. Michel Durand, « Les chimiquiers », sur L'Antenne - Les transports et la logistique au quotidien (consulté le )
  4. « PLUS GROS NAVIRES DU MONDE - C'est Pas Sorcier » (consulté le )
  5. « GUINNESS BOATS », sur www.irishships.com (consulté le )
  6. Annabel Fenwick Elliott, « The fascinating story of the largest ship ever built », sur Mail Online, (consulté le )
  7. DIRM NAMO, « Qualifications navires citernes », sur www.dirm.nord-atlantique-manche-ouest.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le )
  8. « Navires pĂ©troliers », sur Connaissance des Énergies, 29 juil. 2010 - 12:00 (consultĂ© le )
  9. Rabah HELAL, « Le contrat de ship management », MĂ©moire,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  10. « Navires pĂ©troliers », sur Connaissance des Énergies, 29 juil. 2010 - 12:00 (consultĂ© le )
  11. « Entrée en flotte du plus grand bitumier du monde », sur Mer et Marine, (consulté le )
  12. « Oil tanker sizes range from general purpose to ultra-large crude carriers on AFRA scale - Today in Energy - U.S. Energy Information Administration (EIA) », sur www.eia.gov (consulté le )
  13. « Transport maritime - Europétrole », sur www.euro-petrole.com (consulté le )
  14. (en) Michael Osborne et R. Keith Michel, Ship Design and Construction, Chapitre "Oil Tankers"
  15. Par la conférence des nations unies sur le commerce et le développement CNUCED, « Etude sur les transports maritimes 2018 », sur unctad.org/fr,
  16. par la conférence des nations unies sur le commerce et le développement CNUCED, « Etude sur les transports maritimes 2017 », sur unctad.org/fr,
  17. « Le dernier grand pĂ©trolier simple coque bon pour la casse », Le marin - Ouest France,‎ (lire en ligne)
  18. « PĂ©troliers attaquĂ©s en mer d’Oman : des explosions et des zones d’ombre », Nouvel Obs,‎ (lire en ligne)

Voir aussi

Bibliographie

  • Dictionnaire Gruss de Marine, Éditions Maritimes et d'Outre-Mer

Articles connexes

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