Pagolle
Pagolle est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Pagolle | |||||
Vue du village depuis la route de Juxue. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Bayonne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays Basque | ||||
Maire Mandat |
Pierre Etcheber 2020-2026 |
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Code postal | 64120 | ||||
Code commune | 64441 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Pagolar | ||||
Population municipale |
261 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 16 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 13âČ 31âł nord, 0° 59âČ 21âł ouest | ||||
Altitude | Min. 130 m Max. 648 m |
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Superficie | 15,90 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre | ||||
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation
La commune de Pagolle se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 72 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 72 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 17 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[2].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Musculdy (3,6 km), Juxue (4,7 km), Arhansus (5,2 km), Ordiarp (5,7 km), Lohitzun-Oyhercq (5,9 km), Saint-Just-Ibarre (6,3 km), Ainharp (6,3 km), Uhart-Mixe (6,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Pagolle fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[9] - [10]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[11]. Elle se divise en Haute-Soule, Basse-Soule et Arbaille, dont fait partie la commune.
Hydrographie
La commune est drainée par Ispatchoury erreka, Larramendiko erreka et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[13] - [Carte 1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[15].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[17] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[18] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'AĂŻcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[19] et qui se trouve Ă 13 km Ă vol d'oiseau[20] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 216,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[21]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă 49 km[22], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[23], Ă 13,4 °C pour 1981-2010[24], puis Ă 13,8 °C pour 1991-2020[25].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[27], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste rĂ©seau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[28] - [Carte 2].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 8] est recensée sur la commune[29] - [Carte 3] : les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » (11 263,46 ha), couvrant 25 communes du département[30].
Urbanisme
Typologie
Pagolle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9] - [31] - [32] - [33]. La commune est en outre hors attraction des villes[34] - [35].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (61,6 % en 2018), en augmentation par rapport Ă 1990 (59,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (38,8 %), forĂȘts (25 %), prairies (22,8 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (13,4 %)[36].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 4].
Voies de communication et transports
Le centre de Pagolle est traversé par la route départementale D 302, route reliant les anciennes routes nationales RN 133 (aujourd'hui D933) et RN 618 (aujourd'hui D 918) entre Uhart-Mixe et Musculdy.On peut également accéder à Pagolle par Juxue.
Pagolle est située à 16 km de Saint-Palais et à 14 km de Mauléon.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Pagolle est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne)[37]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[38].
Pagolle est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2020, le premier plan de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2020-2030[39]. La rĂ©glementation des usages du feu Ă lâair libre et les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[40] - [41].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[42]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 10] - [43].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1990, 2009 et 2014[37].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Pagolle apparaĂźt[44] sous les formes Grangia de Paguola et Pagaule (respectivement 1178 et XIIIe siĂšcle, collection Duchesne volume CXIV[45]), Nostre-Done de Paguole et Pagola (respectivement vers 1460 et vers 1470, contrats d'Ohix[46]) et Pagole (1479[47]).
Ătymologie
Jean-Baptiste Orpustan[47] indique que Pagolle provient de phag(a)-ola, « cabane des hĂȘtres ».
Autres toponymes
Le toponyme Mehaltzu apparaßt[44] sous la forme Méhalçu (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[44]) et désigne un mont entre les communes de Juxue et de Pagolle.
L'Euskaltzaindia recommande la forme Mehaltzu et il est typographié Mehalçu sur les cartes IGN. On peut trouver également la forme Mehalzu.
Histoire
Autrefois, Pagolle possédait un prieuré-hÎpital dépendant du diocÚse d'Oloron. Ce prieuré était desservi par les Prémontrés installé à l'abbaye d'Arthous. Le prieuré de Pagolle avait été offert en 1178 (Grangia de Paguola) par le vicomte de Soule à l'abbaye d'Arthous.
La paroisse de Pagolle dépendait de la déguerie (ou vic) de PeyriÚde[48] (incluant également Aussurucq, Ordiarp, Musculdy, Garindein et Suhare) dans la messagerie[49] des Arbailles.
à la fin de l'ancien régime en 1790, Pagolle dépendait du canton de Domezain. Le canton, composé de communes souletines, fut ensuite englobé au canton de Saint-Palais en Basse-Navarre
Le , le quartier « Pagolle-Oyhana » est dĂ©tachĂ© de la commune de Juxue pour ĂȘtre rattachĂ© Ă Pagolle[50]. La commune, historiquement souletine, se retrouva alors traversĂ©e par la frontiĂšre historique entre la Basse-Navarre et la Soule. Linguistiquement, le quartier « Pagolle-Oyhana » parlait le bas-navarrais oriental et la commune de Pagolle le souletin[51].
Rattachée à la Basse-Navarre dans les « listes de communes » des provinces basques en circulation au début du XXIe siÚcle, Pagolle est en réalité une commune traversée par la frontiÚre entre la Soule et la Navarre. La partie occidentale du territoire communal se trouve en effet en Basse-Navarre, mais la partie orientale est souletine, la frontiÚre ayant été précisée définitivement en ce secteur en 1475[52].
Politique et administration
Intercommunalité
Pagolle appartient Ă cinq structures intercommunales[53] :
- la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
- le syndicat AEP du pays de Soule ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal pour le fonctionnement des Ă©coles d'Amikuze ;
- le syndicat intercommunal pour le soutien Ă la culture basque.
Pastoralisme
De par son histoire, Pagolle a la particularité d'appartenir à deux commissions syndicales[54] :
- la commission syndicale de l'Oztibarre ;
- la commission syndicale du pays de Soule.
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[56].
En 2020, la commune comptait 261 habitants[Note 11], en diminution de 8,74 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
Pagolle est un village essentiellement agricole.
L'activité principale est l'élevage extensif de brebis laitiÚres (races locales manex et basco-béarnaises) dont le lait est destiné à la confection de l'Ossau-iraty, Pagolle étant située dans la zone de l'AOC.
Outre la production laitiÚre, la vente d'agneaux (viandes) est également un débouché. On trouve également quelques élevages bovins (viandes). Les élevages bovins laitiers et les élevages de moutons destinés à la boucherie ont quasiment disparu.
Culture locale et patrimoine
Pagolle a organisĂ© la pastorale souletine en 1982 (titre : Pette BasabĂŒrĂŒ Ă©crit par le pĂšre Junes Casenave).
Festivités
- FĂȘtes le dernier week-end de septembre ou le premier week-end d'octobre.
- Historiquement, les fĂȘtes se dĂ©roulaient le dimanche suivant l'Assomption.
Patrimoine civil
Un gaztelu zahar est situé, au lieu-dit Mehaltzu, à 648 mÚtres d'altitude.
Patrimoine religieux
L'Ă©glise de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie[59] date de la fin du Moyen Ăge et a Ă©tĂ© rebĂątie en 1893.
Personnalités liées à la commune
- Juan MarĂa Bordaberry, nĂ© Ă Montevideo le , et dĂ©cĂ©dĂ© dans cette mĂȘme ville le , homme d'Ă©tat Uruguayen. Il fut prĂ©sident de l'Uruguay entre le et le , puis demeura chef de l'Ătat Ă la suite du coup d'Ătat, et devint ainsi le premier dictateur du pays, jusqu'en 1976. Son grand-pĂšre Jacques dit Santiago Bordaberry (1844-1926) Ă©tait natif de Pagolle, de la maison Ekilarrondoa.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[16].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[26].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Pagolle » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Pagolle », sur www.geoportail.gouv.fr.
- « ZNIEFF de type II sur la commune de Pagolle », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
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- « Métadonnées de la commune de Pagolle », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Pagolle et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Pagolle et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Pagolle et Saint-Palais », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Pagolle », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
- « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
- (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
- Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
- Carte IGN sous GĂ©oportail
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- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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- Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothÚque impériale - BibliothÚque nationale de France
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- (es) Pagolle sur l'encyclopédie Auñamendi