Ainharp
Ainharp est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Ainharp | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Oloron-Sainte-Marie | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays Basque | ||||
Maire Mandat |
Jean-Pierre Arhanchiague 2020-2026 |
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Code postal | 64130 | ||||
Code commune | 64012 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Ainharbear | ||||
Population municipale |
133 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 9,5 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 15âČ 41âł nord, 0° 55âČ 45âł ouest | ||||
Altitude | Min. 129 m Max. 426 m |
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Superficie | 14,07 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Mauléon-Licharre (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Montagne Basque | ||||
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation
La commune d'Ainharp se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].
Elle se situe à 61 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 39 km d'Oloron-Sainte-Marie[5], sous-préfecture, et à 9 km de Mauléon-Licharre[6], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[3].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : EspÚs-Undurein (4,1 km), Lohitzun-Oyhercq (4,2 km), Viodos-Abense-de-Bas (4,5 km), Mauléon-Licharre (5,4 km), Charritte-de-Bas (5,4 km), Berrogain-Laruns (5,6 km), Chéraute (6,0 km), Garindein (6,1 km).
Sur le plan historique et culturel, Ainharp fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[10] - [11]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[12]. Elle se divise en Arbaille, Haute-Soule et Basse-Soule, dont fait partie la commune.
Voies de communications et transports
La commune est desservie par les routes départementales 75, 242 et 344.
Lieux-dits et hameaux
Huit quartiers composent la commune d'Ainharp[14] :
- Arroaga
- Elizatea
- Esteka
- Estekaxiloa
- Lagardoi
- Leizeagamendi (Leiziagamendi sur les cartes IGN)
- Palazenea
- Lanbaraxiloa.
Hydrographie
La commune est drainée par le Lafaure, le Borlaas, le ruisseau Quihilliri et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 13,24 km de longueur totale[15] - [16].
Le Lafaure, d'une longueur totale de 16,7 km, prend sa source dans la commune de Lohitzun-Oyhercq et s'écoule du sud vers le nord. Il longe la commune sur une frange nord-ouest et en constitue la limite séparative, puis se jette dans le Saison à Espiute, aprÚs avoir traversé 5 communes[17].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[18]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[19].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[21] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[22] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'AĂŻcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[23] et qui se trouve Ă 11 km Ă vol d'oiseau[24] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 216,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[25]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă 43 km[26], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[27], Ă 13,4 °C pour 1981-2010[28], puis Ă 13,8 °C pour 1991-2020[29].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7]. Deux sites Natura 2000 ont Ă©tĂ© dĂ©finis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[31] - [Carte 1] :
- « la Bidouze (cours d'eau) », d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[32] ;
- « le Saison (cours d'eau) », d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de trÚs bonne qualité à salmonidés[33].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 8] est recensée sur la commune[34] - [Carte 2] : les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » (11 263,46 ha), couvrant 25 communes du département[35].
Urbanisme
Typologie
Ainharp est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9] - [36] - [37] - [38].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mauléon-Licharre, dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[39] - [40].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (66,1 % en 2018), en augmentation par rapport Ă 1990 (64,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (52,3 %), forĂȘts (30,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (13,8 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (3,3 %)[41].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 3].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Ainharp est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne)[42]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[43].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par une crue torrentielle ou Ă montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment le ruisseau Lafaure. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983 et 2009[44] - [42].
Ainharp est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2020, le premier plan de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2020-2030[45]. La rĂ©glementation des usages du feu Ă lâair libre et les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[46] - [47].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[48]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 11] - [49].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Ainharp apparaĂźt sous les formes Ayharp (1472[50], notaires de Labastide-Villefranche[51]), Ainharp (1479[52]), l'Espitau d'Anharp et Aynharp (1479[50] pour ces deux formes, contrats d'Ohix[53]), Aignharp (1608[50], insinuations du diocĂšse d'Oloron[54]) et Ayharp (1690[52]).
Ătymologie
Jean-Baptiste Orpustan propose deux lectures étymologiques, soit « bas des bruyÚres » à partir d'ilharr (« bruyÚre ») et -be (pour behere : « bas ») ou « hauteur au bas des rochers » (de gain, « haut » et har, « rocher ») que justifierait la position haute de ce village, sur la rive gauche du Saison.
Autres toponymes
Carricaburu, ferme dâAinharp, est indiquĂ© sous la graphie Carricaburue en 1479[50] (contrats d'Ohix[53]).
Habiague est une autre ferme de la commune, dont la rĂ©fĂ©rence est Ă©galement prĂ©sente dans les contrats dâOhix (1476[50]).
L'hydronyme Lafaure apparaßt sous les formes la Phaura en 1538[50] (réformation de Béarn[55]) et la Phaure et 1863[50].
Lambare est mentionné sous la forme lo bedat de Lambarre (1476[50], contrats d'Ohix[53]).
Le chemin Mercadieu, mentionnĂ© dans le dictionnaire de 1863[50], est indiquĂ© en 1479[50] dans les contrats dâOhix[53] sous les graphies lo cami Mercadieu et le cami deu Mercat. Il sâĂ©tendait sur Ainharp et EspĂšs-Undurein.
Histoire
Paul Raymond[50] note que la commune était un ancien prieuré du diocÚse d'Oloron et qu'on y trouvait un hÎpital pour les pÚlerins : Benta.
Politique et administration
Liste des maires
Source : mairie d'Ainharp 2011.
Intercommunalité
Ainharp appartient Ă la communautĂ© d'agglomĂ©ration du Pays Basque. Elle est membre du syndicat dâĂ©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques, de l'Agence publique de gestion locale et du syndicat intercommunal de la VallĂ©e[56].
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[58].
En 2020, la commune comptait 133 habitants[Note 12], en diminution de 5 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
La commune dispose d'une école élémentaire publique[61].
Ăconomie
L'activité est essentiellement agricole (maïs et élevage). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
Patrimoine religieux
La commune possÚde une église (église Saint-Jean-Baptiste) dont l'origine remonte au XIe siÚcle et un clocher-calvaire du XVIIe siÚcle. L'église est dédiée à saint Jean le Baptiste. Son cimetiÚre arbore des stÚles discoïdales datant de l'époque du clocher.
Le village se situe sur un chemin secondaire du pÚlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle[62] qui passait sur la grand-route des Ports de Cize, du prieuré de Saint-Palais à celui de Saint-Michel-le-Vieux, et disposait d'un hospice de pÚlerins, Benta, tout comme L'HÎpital-Saint-Blaise, Osserain, Pagolle, Roquiague, Haux, Larrau et Ordiarp.
Ăquipements
La commune dispose d'une Ă©cole primaire[63].
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[20].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[30].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Sites Natura2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Ainharp », sur www.geoportail.gouv.fr (consultĂ© le ).
- « ZNIEFF de type II sur la commune d'Ainharp », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux - Pyrénées-Atlantiques, Archives et Culture, (ISBN 978-2-35077-151-9).
- Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
- « Métadonnées de la commune d'Ainharp », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Ainharp et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Ainharp et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Ainharp et Mauléon-Licharre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Ainharp », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
- « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
- (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
- Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- « Fiche communale d'Ainharp », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- « Hydro » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
- Sandre, « le Lafaure ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
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