AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Berrogain-Laruns

Berrogain-Laruns [bÉ›ÊÉ”ÉĄÉ›Ìƒ laÊĆ“Ìƒs] est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.

Berrogain-Laruns
Berrogain-Laruns
L’église de Berrogain.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Thierry Perrot
2020-2026
Code postal 64130
Code commune 64115
DĂ©mographie
Gentilé Berrogaintar
Population
municipale
160 hab. (2020 en diminution de 4,76 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 60 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 14â€Č 45″ nord, 0° 51â€Č 48″ ouest
Altitude Min. 117 m
Max. 290 m
Superficie 2,68 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Mauléon-Licharre
(banlieue)
Aire d'attraction Mauléon-Licharre
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Montagne Basque
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Berrogain-Laruns
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Berrogain-Laruns
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Berrogain-Laruns
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Berrogain-Laruns

    Le gentilé est Berrogaintar[1] - [2].

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Berrogain-Laruns se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].

    Elle se situe Ă  55 km par la route[Note 1] de Pau[4], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  30 km d'Oloron-Sainte-Marie[5], sous-prĂ©fecture, et Ă  km de MaulĂ©on-Licharre[6], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de MaulĂ©on-Licharre[3].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Viodos-Abense-de-Bas (1,4 km), ChĂ©raute (1,5 km), Moncayolle-Larrory-Mendibieu (2,7 km), EspĂšs-Undurein (2,8 km), MaulĂ©on-Licharre (2,9 km), Garindein (5,2 km), Arrast-Larrebieu (5,5 km), Ainharp (5,6 km).

    Sur le plan historique et culturel, Berrogain-Laruns fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[10] - [11]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[12]. Elle se divise en Arbaille, Haute-Soule et Basse-Soule, dont fait partie la commune.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Berrogain-Laruns.

    La commune est drainée par le Saison et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[14] - [Carte 1].

    Le Saison, d'une longueur totale de 72,2 km, prend sa source dans la commune de Larrau et s'Ă©coule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron Ă  Autevielle-Saint-Martin-Bideren, aprĂšs avoir traversĂ© 31 communes[15].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[16]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[17].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[16]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 359 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[19] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[20] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Gladie », sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein, mise en service en 1986[21] et qui se trouve Ă  16 km Ă  vol d'oiseau[22] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 293,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[23]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă  39 km[24], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[25], Ă  13,4 °C pour 1981-2010[26], puis Ă  13,8 °C pour 1991-2020[27].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le Saison (cours d'eau) »[29], d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de trĂšs bonne qualitĂ© Ă  salmonidĂ©s[30] - [Carte 2].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 8] est recensĂ©e sur la commune[31] - [Carte 3] : le « rĂ©seau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Berrogain-Laruns est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 9] - [33] - [34] - [35]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de MaulĂ©on-Licharre, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 8 communes[36] et 6 314 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[37] - [38].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de MaulĂ©on-Licharre dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[39] - [40].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (76 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (76,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (50,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (24,1 %), forĂȘts (23,3 %), terres arables (1,7 %), zones urbanisĂ©es (0,7 %)[41].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 4].

    Lieux-dits et hameaux

    Trois quartiers composent la commune de Berrogain-Laruns[42] :

    Berrogain
    • Berrogaine
    Laruns
    • LarĂŒntze
    • Zibiri

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par la route départementale 2.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Berrogain-Laruns est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne)[43]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[44].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou Ă  montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment le Saison. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2014[45] - [43].

    Berrogain-Laruns est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2020, le premier plan de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2020-2030[46]. La rĂ©glementation des usages du feu Ă  l’air libre et les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[47] - [48].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Berrogain-Laruns.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[49]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 11] - [50].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Berrogain apparaĂźt sous les formes Berroganh (1466[51], contrats d'Ohix[52]), Berroganhe (1508[51], titres de Bayonne[53]), berrogayn et berroguainh (1690[1].
    Berrogaine provient du basque berro, broussaille, et gaine, hauteur. Jean-Baptiste Orpustan[1] confirme l’étymologie « haut des broussailles »

    Le toponyme Laruns apparaĂźt sous les graphies laruns (1096[1]), leruntz (1303[1]), Laruntz (1383[51], contrats de Luntz[54] et 1396[1]), Leruntz (1386[51], notaires de Navarrenx[55]) et laruns (1690[1]).
    Laruns pourrait provenir du basque larre, lande. Jean-Baptitste Orpustan propose, quant à lui, un composé plus ancien *laharr-un-tz, « lieu de ronceraie »[1].

    Autres toponymes

    Goynex est une ferme de la commune, mentionnée en 1520[51] dans la coutume de Soule[56]) et 1863, dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque.

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Berrogaine-LarĂŒntze[2].

    Histoire

    Paul Raymond[51] note que « la deguerie[57] de Laruns, dépendance de la Barhoue, formait un des sept vics de la Soule ».

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1995 2008 Jean-Baptiste Gonzalez DVG[58]
    2008 2014 Thierry Perrot

    Intercommunalité

    Berrogain-Laruns appartient Ă  six structures intercommunales[59] :

    • la communautĂ© de communes de Soule-Xiberoa ;
    • le SIGOM ;
    • le syndicat AEP du Pays de Soule ;
    • le syndicat d'assainissement du Pays de Soule ;
    • le syndicat d’énergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal pour le soutien Ă  la culture basque.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[61].

    En 2020, la commune comptait 160 habitants[Note 12], en diminution de 4,76 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    148154139176196229208180183
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    183172143150169149142152141
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    15015812811711211110785131
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    126116139128142136112105166
    2018 2020 - - - - - - -
    159160-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[62] puis Insee Ă  partir de 2006[63].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'activité est essentiellement tournée vers l'agriculture (maïs et élevage). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Un gaztelu zahar (place forte protohistorique) se dresse Ă  279 m, au lieu-dit Larleta.

    Patrimoine religieux

    Chapelle de Laruns et son cimetiĂšre attenant

    La commune compte deux chapelles, l'une Ă  Berrogain et l'autre Ă  Laruns. L'une d'entre elles possĂšde un clocher trinitaire.

    ÉvĂ©nements sportifs

    La commune se situe sur le trajet de la 16e Ă©tape du Tour de France 2007 qui eut lieu le 25 juillet. Le parcours de 218 kilomĂštres reliait Orthez Ă  Gourette - col d'Aubisque.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[18].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[28].
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    11. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Berrogain-Laruns » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Berrogain-Laruns », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Berrogain-Laruns », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallĂ©es, communes et hameaux (monographie), Pessac, Presses universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'Ă©tudes linguistiques et littĂ©raires basques », [Ă©d. revue et corrigĂ©e] (1re Ă©d. ), 244 p., 21 cm (ISBN 2867813964 et 9782867813962, OCLC 72757865, BNF 40190262, prĂ©sentation en ligne).
    2. Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
    3. « Métadonnées de la commune de Berrogain-Laruns », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Berrogain-Laruns et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Berrogain-Laruns et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. Stephan Georg, « Distance entre Berrogain-Laruns et Mauléon-Licharre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    7. « Communes les plus proches de Berrogain-Laruns », sur www.villorama.com (consulté le ).
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
    9. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    10. « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    11. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    12. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
    13. Carte IGN sous GĂ©oportail
    14. « Fiche communale de Berrogain-Laruns », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    15. Sandre, « le Saison ».
    16. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    17. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    18. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    19. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    20. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    21. « Station Météo-France Saint-Gladie - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    22. « Orthodromie entre Berrogain-Laruns et Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    23. « Station Météo-France Saint-Gladie - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    24. « Orthodromie entre Berrogain-Laruns et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    25. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    26. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    27. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    28. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
    29. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Berrogain-Laruns », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « site Natura 2000 FR7200790 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « Liste des ZNIEFF de la commune de Berrogain-Laruns », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    33. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    34. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    35. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    36. « Unité urbaine 2020 de Mauléon-Licharre », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    37. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    38. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    39. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mauléon-Licharre », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    40. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    41. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
    42. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Berrogain-Laruns », sur Géorisques (consulté le )
    43. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    44. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    45. « Plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr, (consultĂ© le )
    46. « RĂ©glementation-usages du feu Ă  l’air libre - obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement - dĂ©partement 64 », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr date=16 septembre 2022 (consultĂ© le )
    47. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    48. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    49. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    50. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
    51. Contrats retenus par Ohix, notaire de Soule - Manuscrit du XVe siÚcle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    52. Titres de Bayonne - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques et de la mairie de Bayonne
    53. Contrats retenus par Luntz, notaire de Béarn - Manuscrit du XIVe siÚcle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    54. Notaires de Navarrenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    55. Coutume de Soule de 1520, imprimée à Pau en 1760
    56. La deguerie ou degairie rassemblait plusieurs paroisses. Elles se réunissaient en assemblée générale ou Igourbe qui désignait chaque année par tirage au sort un degan. Philippe Veyrin, Les Basques, page 156 - Arthaud, 20 décembre 1975 (ISBN 2700300386).
    57. « Annuaire des Mairies des Pyrénées-Atlantiques », sur Annuaire des Mairies et Institutions de France, 2006-2007 (consulté le ).
    58. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    59. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    60. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    61. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    62. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.