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Charritte-de-Bas

Charritte-de-Bas est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Charritte-de-Bas
Charritte-de-Bas
La mairie de Charritte-de-Bas.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Christian Joncohalsa
2020-2026
Code postal 64130
Code commune 64187
DĂ©mographie
Gentilé Sarrikotar
Population
municipale
251 hab. (2020 en diminution de 3,46 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 34 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 17â€Č 41″ nord, 0° 52â€Č 51″ ouest
Altitude Min. 99 m
Max. 223 m
Superficie 7,40 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Mauléon-Licharre
(banlieue)
Aire d'attraction Mauléon-Licharre
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Montagne Basque
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Charritte-de-Bas
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Charritte-de-Bas
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Charritte-de-Bas
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Charritte-de-Bas

    Le gentilé est Sarrikotar[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Charritte-de-Bas se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe Ă  55 km par la route[Note 1] de Pau[3], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  32 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-prĂ©fecture, et Ă  km de MaulĂ©on-Licharre[5], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de MaulĂ©on-Licharre[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Lichos (1,2 km), Arrast-Larrebieu (2,6 km), Charre (2,8 km), EspĂšs-Undurein (3,0 km), Aroue-Ithorots-OlhaĂŻby (3,9 km), Moncayolle-Larrory-Mendibieu (4,2 km), Nabas (4,3 km), Etcharry (5,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, Charritte-de-Bas fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[9] - [10]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[11]. Elle se divise en Arbaille, Haute-Soule et Basse-Soule, dont fait partie la commune.

    Communes limitrophes de Charritte-de-Bas[12]
    Lichos
    Aroue-Ithorots-OlhaĂŻby Charritte-de-Bas Charre
    EspĂšs-Undurein

    Au sud-ouest, le territoire d'Ainharp n'est séparé que d'une centaine de mÚtres.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Charritte-de-Bas.

    La commune est drainée par le Saison, le Borlaas, un bras du Saison et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[13] - [Carte 1].

    Le Saison, d'une longueur totale de 72,2 km, prend sa source dans la commune de Larrau et s'Ă©coule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron Ă  Autevielle-Saint-Martin-Bideren, aprĂšs avoir traversĂ© 31 communes[14].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[15]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[16].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[15]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 359 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[18] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[19] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Gladie », sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein, mise en service en 1986[20] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[21] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 293,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[22]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă  38 km[23], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[24], Ă  13,4 °C pour 1981-2010[25], puis Ă  13,8 °C pour 1991-2020[26].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le Saison (cours d'eau) »[28], d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de trĂšs bonne qualitĂ© Ă  salmonidĂ©s[29] - [Carte 2].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 8] est recensĂ©e sur la commune[30] - [Carte 3] : le « rĂ©seau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Charritte-de-Bas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 9] - [32] - [33] - [34]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de MaulĂ©on-Licharre, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 8 communes[35] et 6 314 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[36] - [37].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de MaulĂ©on-Licharre dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[38] - [39].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (92,1 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (91,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (68,3 %), prairies (13 %), terres arables (10,8 %), forĂȘts (7,9 %)[40].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 4].

    Lieux-dits et hameaux

    12 quartiers composent la commune de Charritte-de-Bas[41] :

    • AltxĂŒrrĂŒt (Alchurrut sur les cartes IGN)
    • Aphezberri (Aphezberria sur les cartes IGN)
    • Azkonea (Dascon sur les cartes IGN)
    • Kharrika (le Bourg en français)
    • Elizaga
    • HegilĂŒz
    • Jauregi (Jauregia sur les cartes IGN)
    • Jauregiberri (Jauregiberria sur les cartes IGN)
    • Landabil
    • Ordokia (la Plaine en français)
    • Mañia
    • Zibaldoia.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Charritte-de-Bas est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne)[42]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[43].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou Ă  montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment le Saison. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1990, 1992, 2008, 2009 et 2014[44] - [42].

    Charritte-de-Bas est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2020, le premier plan de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2020-2030[45]. La rĂ©glementation des usages du feu Ă  l’air libre et les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[46] - [47].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Charritte-de-Bas.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[48]. 89,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 11] - [49].

    Toponymie

    L'Ă©glise trinitaire de Charritte-de-Bas.
    L'Ă©cole.
    Un lavoir.

    Attestations anciennes

    Le toponyme Charritte apparaĂźt[50] sous la forme Xarrite (1474, contrats d'Ohix[51]).

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Sarrikotapea[1].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1995 2008 Hubert Lagaronne UMP
    2008 2014 Laurent Etcheberry
    2014 En cours Christian Joncohalsa

    Intercommunalité

    La commune appartient Ă  sept structures intercommunales[52] :

    • la CommunautĂ© d'agglomĂ©ration du Pays Basque ;
    • le SIGOM ;
    • le syndicat AEP du Pays de Soule ;
    • le syndicat d'assainissement du Saison ;
    • le syndicat d’énergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
    • le syndicat de regroupement pĂ©dagogique de Charritte-de-Bas et de Lichos ;
    • le syndicat intercommunal de la vallĂ©e.

    Charritte-de-Bas accueille le siÚge du syndicat d'assainissement du Saison et du syndicat de regroupement pédagogique de Charritte-de-Bas et de Lichos.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[54].

    En 2020, la commune comptait 251 habitants[Note 12], en diminution de 3,46 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    394371410418372339354373407
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    376361360318368363363341337
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    331330327318300328319308313
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    318301291285273247242238240
    2014 2019 2020 - - - - - -
    260254251------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee Ă  partir de 2006[56].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dispose d'une Ă©cole primaire publique[57].

    Économie

    L'activité est essentiellement agricole (élevage et pùturages). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    La commune possĂšde une Ă©glise avec clocher-mur dit trinitaire ou souletin c'est-Ă -dire que la crĂȘte du mur, percĂ© de baies oĂč tintent les cloches, s'y achĂšvent par trois grandes pointes Ă  peu prĂšs d'Ă©gale hauteur, figurant la TrinitĂ©[58].

    Équipements

    La commune dispose d'une Ă©cole primaire.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[17].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[27].
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    11. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Charritte-de-Bas » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Charritte-de-Bas », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Charritte-de-Bas », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
    2. « Métadonnées de la commune de Charritte-de-Bas », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Charritte-de-Bas et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Charritte-de-Bas et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Charritte-de-Bas et Mauléon-Licharre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. « Communes les plus proches de Charritte-de-Bas », sur www.villorama.com (consulté le ).
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    9. « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    11. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
    12. Carte IGN sous GĂ©oportail
    13. « Fiche communale de Charritte-de-Bas », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
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    16. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
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    19. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
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