Morey-saint-denis (AOC)
Le morey-saint-denis[2] - [5] est un vin français d'appellation d'origine contrôlée produit sur une partie de la commune de Morey-Saint-Denis, dans le Vignoble de la côte de Nuits.
Côte de Nuits | |
Le vignoble de Morey-Saint-Denis. | |
Désignation(s) | Côte de Nuits |
---|---|
Appellation(s) principale(s) | morey-saint-denis |
Type d'appellation(s) | AOC |
Reconnue depuis | 1936 |
Pays | France |
Région parente | vignoble de Bourgogne |
Sous-région(s) | vignoble de la côte de Nuits |
Localisation | Côte-d'Or |
Climat | tempéré océanique à tendance continentale |
Ensoleillement (moyenne annuelle) |
??? |
Sol | argilo-calcaire |
Superficie plantée | 111,54 hectares en 2011, dont 39,45 ha en premier cru[1] - [2] |
Cépages dominants | pinot noir pour les rouges et chardonnay pour les blancs |
Vins produits | 96 % rouges et 4 % blancs |
Production | 3 633 hectolitres en moyenne, dont 3 432 hl de rouge et 1 595 hl de premiers crus[3] - [2] |
Rendement moyen à l'hectare | 40 à 58 pour les rouges (40 à 56 pour les premiers crus), 45 à 64 pour les blancs (45 à 62 pour les premiers crus)[4] |
Histoire
Antiquité
L’édit de l'empereur romain Domitien, en 92, interdisait la plantation de nouvelles vignes hors d’Italie ; il fit arracher partiellement les vignes en Bourgogne afin d’éviter la concurrence. Le vignoble résultant suffisait aux besoins locaux[6]. Mais Probus annula cet édit en 280[7]. En 312, un disciple d'Eumène[8] rédigea la première description du vignoble de la Côte d'Or[9].
Moyen Âge
Dès le début du VIe siècle, l’implantation du christianisme avait favorisé l’extension de la vigne par la création d’importants domaines rattachés aux abbayes. Ainsi l'abbaye de Cîteaux (créée en 1098) avec des plantations en Côte-d'Or[10]. Apparaît au XIe siècle le Clos Saint-Denis par les chanoines de Vergy. Le vignoble du Clos de Tart doit son nom aux religieuses de l'abbaye du village de "Tart-le-Haut" en 1145[11]. L'origine du Clos des Lambrays remonte à 1365[12]. En l'an 1395, Philippe le Hardi décida d’améliorer la qualité des vins et interdit la culture du gamay au profit du pinot noir dans ses terres[10]. Enfin en 1416, Charles VI fixa par un édit les limites de production du vin de Bourgogne[13]. En 1422, d'après les archives, les vendanges eurent lieu en Côte de Nuits au mois d'août[14]. À la mort de Charles le Téméraire, le vignoble de Bourgogne fut rattaché à la France, sous le règne de Louis XI.
Période moderne
En 1636, le village de Morey Saint-Denis est complètement incendié lors de la guerre de trente ans[15]. La famille Marey-Monge s'empare du Clos de Tart à la Révolution française. Aussi, en 1700, l'intendant Ferrand rédigea-t-il un « Mémoire pour l'instruction du duc de Bourgogne » lui indiquant que dans cette province les vins les meilleurs provenaient des « vignobles [qui] approchent de Nuits et de Beaune[16]. »
XIXe siècle
Dans les décennies 1830-1840, la pyrale survint et attaqua les feuilles de la vigne. Elle fut suivie d'une maladie cryptogamique, l'oïdium[17]. Le millésime 1865 a donné des vins aux teneurs naturelles en sucres très élevées et des vendanges assez précoces[14]. À la fin de ce siècle arriva deux nouveaux fléaux de la vigne. Le premier fut le mildiou, autre maladie cryptogamique, le second le phylloxéra. Cet insecte térébrant venu d'Amérique mis très fortement à mal le vignoble[17]. Après de longues recherches, on finit par découvrir que seul le greffage permettrait à la vigne de pousser en présence du phylloxéra.
XXe siècle
Le mildiou provoqua un désastre considérable en 1910. En 1932, le Clos de Tart est repris par la maison "Mommessin"[11] lors d'une vente aux enchères. Pendant ce temps, Henri Gouges avait rejoint au niveau national le combat mené par le sénateur Joseph Capus et le baron Pierre Le Roy de Boiseaumarié qui allait aboutir à la création des appellations d'origine contrôlée. Il devint le bras droit du baron à l'INAO[18]. Ainsi l'AOC Morey Saint-Denis est créé en 1936[2]. Les grands crus de Clos Saint-Denis et Clos de la Roche sont eux aussi créés en cette année 1936[19]. Le grand cru Clos de Tart est créé en 1939[19]. Apparition de l'enjambeur dans les années 1960-70, qui remplace le cheval. Beaucoup plus tardivement, le grand cru du Clos des Lambrays est créé en 1981[19], après avoir été un "premier cru" de l'AOC. Les techniques en viticulture et œnologie ont bien évolué depuis 50 ans (vendange en vert, table de triage, cuve en inox, pressoir électrique puis pneumatique, etc.).
Situation géographique
Le vignoble de Morey-Saint-Denis, situé sur la commune de Morey-Saint-Denis, sur la route des Grands Crus en Bourgogne. Ce vignoble se situent entre les vignobles de Gevrey-Chambertin et de Chambolle-Musigny/Vougeot, sur la côtes de Nuits, à 17 km de Dijon et 7 km de Nuits-Saint-Georges.
Géologie et orographie
Les sols sont calcaires, et comportent irrégulièrement des roches, des marnes, des sables, des limons rouges et des gros cailloux concassés. Vignoble orienté plein Est.
Climat
C'est un climat tempéré à légère tendance continentale. Valeurs climatique de Dijon, car Morey-Saint-Denis est situé en dessous de cette ville.
Pour la ville de Dijon (316 m), les valeurs climatiques jusqu'à 1990 :
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | −1 | 0,1 | 2,2 | 5 | 8,7 | 12 | 14,1 | 13,7 | 10,9 | 7,2 | 2,5 | −0,2 | 6,3 |
Température moyenne (°C) | 1,6 | 3,6 | 6,5 | 9,8 | 13,7 | 17,2 | 19,7 | 19,1 | 16,1 | 11,3 | 5,6 | 2,3 | 10,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 4,2 | 7 | 10,8 | 14,7 | 18,7 | 22,4 | 25,3 | 24,5 | 21,3 | 15,5 | 8,6 | 4,8 | 14,8 |
Précipitations (mm) | 49,2 | 52,5 | 52,8 | 52,2 | 86,3 | 62,4 | 51 | 65,4 | 66,6 | 57,6 | 64,2 | 62 | 732,2 |
Vignoble
Présentation
Il produit des vins de Bourgogne parmi les plus côtés. Il bénéficie de cinq appellations grands crus et vingt premiers crus[21] - [2] :
- 35,45 hectares classés en grand cru AOC, du nord au sud :
- clos-de-la-roche (13,41 ha) ;
- clos-saint-denis (5,99 ha) ;
- clos-des-lambrays (7,04 ha) ;
- clos-de-tart (7,51 ha) ;
- bonnes-mares (1,5 ha, le reste se trouve sur Chambolle-Musigny) ;
- 38,22 hectares classés en morey-saint-denis premier cru rouge AOC (1 556 hectolitres) ;
- 1,23 hectare classé en morey-saint-denis premier cru blanc AOC (39 hectolitres) ;
- 68,39 hectares classés en appellation village AOC morey-saint-denis rouge (1 876 hectolitres) ;
- 3,7 hectares classés en appellation village AOC morey-saint-denis blanc (162 hectolitres).
Climats classés premiers crus
Aux Charmes, Aux Cheseaux, Clos Baulet, Clos des Ormes, Clos Sorbés, Côte Rôtie, La Bussière, La Riotte, Le Village, Les Blanchards, Les Chaffots, Les Charrières, Les Chénevery, Les Faconnières, Les Genavrières, Les Gruenchers, Les Millandes, Les Ruchots, Les Sorbés, Monts Luisants.
Encépagement
Le pinot noir compose exclusivement les vins rouges de l'AOC. Il est constitué de petites grappes denses, en forme de cône de pin[22] composées de grains ovoïdes, de couleur bleu sombre[22]. C'est un cépage délicat, qui est sensible aux principales maladies et en particulier au mildiou, au rougeot parasitaire, à la pourriture grise (sur grappes et sur feuilles), et au cicadelles[23]. Ce cépage, qui nécessite des ébourgeonnages soignés, a tendance à produire un nombre important de grapillons[23]. Il profite pleinement du cycle végétatif pour mûrir en première époque. Le potentiel d'accumulation des sucres est élevé pour une acidité juste moyenne et parfois insuffisante à maturité. Les vins sont assez denses, puissants, riches, colorés, de garde[24]. Ils sont moyennement tanniques en général.
Le chardonnay compose les vins blancs de l'AOC. Ses grappes sont relativement petites, cylindriques, moins denses que celles du pinot noir[25], constituées de grains irréguliers, assez petits, de couleur jaune doré[25]. De maturation de première époque comme le pinot noir, il s'accommode mieux d'une humidité de fin de saison avec une meilleure résistance à la pourriture s'il n'est pas en situation de forte vigueur. Il est sensible à l'oïdium et à la flavescence dorée. Il débourre un peu avant le pinot noir, ce qui le rend également sensible aux gelées printanières. Les teneurs en sucre des baies peuvent atteindre des niveaux élevés tout en conservant une acidité importante, ce qui permet d'obtenir des vins particulièrement bien équilibrés, puissants et amples, avec beaucoup de gras et de volume[23].
Méthodes culturales
Travail manuel
Ce travail commence par la taille, en « guyot simple », avec une baguette de cinq à huit yeux et un courson de un à trois yeux[26]. Le tirage des sarments suit la taille. Les sarments sont enlevés et peuvent être brûlés ou mis au milieu du rang pour être broyés. On passe ensuite aux réparations. Puis vient le pliage des baguettes. Éventuellement, après le pliage des baguettes, une plantation de nouvelles greffes est réalisée. L'ébourgeonnage peut débuter dès que la vigne a commencé à pousser. Cette méthode permet, en partie, de réguler les rendements[26]. Le relevage est pratiqué lorsque la vigne commence à avoir bien poussé. En général, deux à trois relevages sont pratiqués. La vendange en vert est pratiquée de plus en plus dans cette appellation. Cette opération est faite dans le but de réguler les rendements et surtout d'augmenter la qualité des raisins restants[26]. Pour finir avec le travail manuel à la vigne, se réalise l'étape importante des vendanges.
Travail mécanique
L'enjambeur est d'une aide précieuse. Les différents travaux se composent du broyage des sarments, réalisé lorsque les sarments sont tirés et mis au milieu du rang. De trou fait à la tarière, là où les pieds de vignes sont manquants, en vue de planter des greffes au printemps. De labourage ou griffage, réalisé dans le but d'aérer les sols et de supprimer des mauvaises herbes. De désherbage fait chimiquement pour tuer les mauvaises herbes. De plusieurs traitements des vignes, réalisés dans le but de les protéger contre certaines maladies cryptogamiques (mildiou, oïdium, pourriture grise, etc.) et certains insectes (eudémis et cochylis)[26]. De plusieurs rognages consistant à reciper ou couper les branches de vignes (rameaux) qui dépassent du système de palissage. Des vendanges mécaniques se réalisant avec une machine à vendanger ou une tête de récolte montée sur un enjambeur.
Rendements
Les rendements sont de 40 à 58 pour les rouges (40 à 56 pour les premiers crus) et de 45 à 64 pour les blancs (45 à 62 pour les premiers crus)[4].
Vins
Titres alcoométriques volumique minimal et maximal
Vinification et élevage
Voici les méthodes générales de vinification de cette appellation. Il existe cependant des petites différences de méthode entre les différents viticulteurs et négociants.
Vinification en rouge
La récolte des raisins se fait à maturité et de façon manuelle ou mécanique. La vendange manuelle est le plus souvent triée, soit à la vigne soit à la cave avec une table de tri, ce qui permet d'enlever les grappes pourries ou insuffisamment mûres[26]. La vendange manuelle est généralement éraflée puis mise en cuve. Une macération pré-fermentaire à froid est quelquefois pratiquée. La fermentation alcoolique peut démarrer, le plus souvent après un levurage. Commence alors le travail d'extraction des polyphénols (tanins, anthocyanes) et autres éléments qualitatifs du raisin (polysaccharides, etc.)[26]. L'extraction se faisait par pigeage, opération qui consiste à enfoncer le chapeau de marc dans le jus en fermentation à l'aide d'un outil en bois ou aujourd'hui d'un robot pigeur hydraulique. Plus couramment, l'extraction est conduite par des remontages, opération qui consiste à pomper le jus depuis le bas de la cuve pour arroser le chapeau de marc et ainsi lessiver les composants qualitatifs du raisin. Les températures de fermentation alcoolique peuvent être plus ou moins élevées suivant les pratiques de chaque vinificateur avec une moyenne générale de 28 à 35 degrés au maximum de la fermentation[26]. La chaptalisation est réalisée si le degré naturel est insuffisant : cette pratique est réglementée[26]. À l'issue de la fermentation alcoolique suit l'opération de décuvage qui donne le vin de goutte et le vin de presse. La fermentation malolactique se déroule après mais est dépendante de la température. Le vin est soutiré et mis en fût ou cuve pour son élevage. L'élevage se poursuit pendant plusieurs mois (12 à 24 mois)[26] puis le vin est collé, filtré et mis en bouteilles.
Vinification en blanc
Comme pour le rouge, la récolte est manuelle ou mécanique et peut être triée. Les raisins sont ensuite transférés dans un pressoir pour le pressurage. Une fois le moût en cuve, le débourbage est pratiqué généralement après un enzymage. À ce stade, une stabulation préfermentaire à froid (environ 10 à 12 degrés pendant plusieurs jours) peut être recherchée pour favoriser l'extraction des arômes[26]. Mais le plus souvent, après 12 à 48 heures, le jus clair est soutiré et mis à fermenter[26]. La fermentation alcoolique se déroule avec un suivi tout particulier pour les températures qui doivent rester à peu près stables (18 à 24 degrés)[26]. La chaptalisation est aussi pratiquée pour augmenter le titre alcoométrique volumique si nécessaire. La fermentation malolactique est réalisée en Fûts ou en cuves. Les vins sont élevés « sur lies », en fûts, dans lesquels le vinificateur réalise régulièrement un « bâtonnage », c'est-à-dire une remise en suspension des lies[26]. Cette opération dure pendant plusieurs mois au cours de l'élevage des blancs. À la fin, la filtration du vin est pratiquée pour rendre les vins plus limpides[26]. La mise en bouteille clôture l'opération.
Terroir et vins
Très colorés, puissants, aux arômes et saveurs intenses évoquant entre autres le cassis, mûre, myrtille, prunelle, cerise, musc, réglisse...
Gastronomie, garde et température de service
La puissance des vins de Morey-Saint-Denis s'associe avec une cuisine corsée et élaborée : gibiers, viande rouge grillée, gigot de mouton, bœuf bourguignon, civet de lapin, coq au vin, fromages puissants, époisses, etc. (cuisine bourguignonne)
Les vins de Morey-Saint-Denis sont des vins de longue garde (10 à 20 ans et plus pour les exceptions selon le millésime).
Économie
Structure des exploitations
Il existe des domaines de tailles différentes. Ces domaines mettent tout ou une partie de leurs propres vins en bouteilles et s'occupent aussi de le vendre. Les autres, ainsi que ceux qui ne vendent pas tous leurs vins en bouteilles, les vendent aux maisons de négoce.
Les maisons de négoce achètent leurs vins, en général, en vin fait (vin fini) mais parfois en raisin ou en moût[27]. Elles achètent aux domaines et passent par un courtier en vin qui sert d'intermédiaire moyennant une commission de l'ordre de 2 % à la charge de l'acheteur.
Commercialisation
La commercialisation de cette appellation se fait par divers canaux de vente : dans les caveaux du viticulteur, dans les salons des vins (vignerons indépendants, etc.), dans les foires gastronomiques, par exportation, dans les Cafés-Hôtels-Restaurants (C.H.R), dans les grandes et moyennes surfaces (G.M.S).
Photos du vignoble de Morey-Saint-Denis
- Vignoble voisin de Gevrey-Chambertin
Bibliographie
- Hubert Duyker : Grands vins de Bourgogne, édition : Fernand Nathan, Paris, 1980, 200 pages, (ISBN 2-09-284 562-4)
- Christian Pessey : Vins de Bourgogne (Histoire et dégustations), édition : Flammarion, Paris, 2002, Histoire (91 pages) et Dégustations (93 pages) (ISBN 2-08-011017-9)
- Le Figaro et La Revue du Vin de France : Les vins de France et du monde (20 volumes), no 6 (Chablis), 96 pages, Édité par La société du Figaro, Paris, 2008, (ISBN 978-2-8105-0060-4)
- Le Figaro et La Revue du Vin de France : Les vins de France et du monde (20 volumes), no 11 (Côtes de Beaune), 96 pages, Édité par La société du Figaro, Paris, 2008, (ISBN 978-2-8105-0065-9)
- Marcel Lachiver, Vins, vignes et vignerons. Histoire du vignoble français, Éd. Fayard, Paris, 1988, pp. 289, 367, 368, 372, 374. (ISBN 2-213-02202-X)
Notes et références
- Un hectare = 10 000 m² = 24 ouvrées.
- Site du BIVB Morey Saint-Denis - Fiche de l'appellation [PDF]
- Un hectolitre (hl) = 100 litres = 133 bouteilles ; moyenne des récoltes sur cinq ans entre 2007 et 2011.
- « Site de la CAVB (page : Cahier des charges de l'AOC) », consulté le 20 novembre 2018 [PDF]
- Références sur la façon d'orthographier les appellations d'origine
- Marcel Lachiver, op. cit., p. 37-38.
- Henri Cannard : AOC Mercurey, Le vignoble d'hier, p. 27.
- Marcel Lachiver, op. cit., p. 39.
- Les plaintes des vignerons du Pagus Arebrignus in Docteur Morelot, Statistique de la vigne dans le département de la Côte-d'Or, Dijon-Paris, 1831., consulté le 25 novembre 2008.
- Le Figaro et La Revue du vin de France (2008) : Vins de France et du monde (Bourgogne : Chablis), L'histoire, p. 26.
- Hubert Duyker (édition "Fernand Nathan") : Grands vins de Bourgogne (p. 63 : Morey Saint-Denis)
- Hubert Duyker (édition "Fernand Nathan") : Grands vins de Bourgogne (p. 61 : Morey Saint-Denis)
- Site du BIVB : Historique, consulté le 24 novembre 2008.
- La Revue du vin de France no 482S : Le Millésime 2003 en Bourgogne, p. 109
- Hubert Duyker (édition "Fernand Nathan") : Grands vins de Bourgogne (p. 58 : Morey Saint-Denis)
- Marcel Lachiver, op. cit., p. 370.
- Le Figaro et La Revue du vin de France (2008) : Vins de France et du monde (Bourgogne : Côte de Beaune), L'histoire, p. 26.
- Constant Bourquin, op. cit., p. 94.
- Site du BIVB : Grand cru de Morey Saint-Denis
- Archives climatologiques mensuelles - Dijon (????-1990)
- La superficie cultivée est celle de 2011 tandis que les volumes produits sont une moyenne sur cinq ans entre 2007 et 2011.
- Christian Pessey, Vins de Bourgogne, La vigne et le vin « Pinot noir », p. 12
- Catalogue des variétés et clones de vigne cultivés en France ENTAV, Éditeur
- Christian Pessey, Vins de Bourgogne, La vigne et le vin « Pinot noir »,p. 13
- Christian Pessey, Vins de Bourgogne, La vigne et le vin « Chardonnay », p.13
- Conduite et gestion de l'exploitation agricole, cours de viticulture du lycée viticole de Beaune (1999-2001). Baccalauréat professionnel option viticulture-œnologie.
- Le Figaro et La Revue du Vin de France (2008) : Vins de France et du monde, Bourgogne : Côte de Beaune, (Le négoce), p. 24.
Voir aussi
Liens externes
Articles connexes
- Vignoble de Bourgogne
- Vignoble de la côte de Nuits
- Morey-Saint-Denis
- Les autres appellations de la commune : clos-de-la-roche, clos-saint-denis, clos-des-lambrays, clos-de-tart et bonnes-mares