Montjoie-en-Couserans
Montjoie-en-Couserans est une commune française située dans le nord-ouest du département de l'Ariège, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat.
Montjoie-en-Couserans | |
L'église fortifiée de Montjoie. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Ariège |
Arrondissement | Saint-Girons |
Intercommunalité | Communauté de communes Couserans-Pyrénées |
Maire Mandat |
Ginette Busca 2020-2026 |
Code postal | 09200 |
Code commune | 09209 |
Démographie | |
Gentilé | Montjoliens |
Population municipale |
1 010 hab. (2020 ) |
Densité | 34 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 00′ 09″ nord, 1° 09′ 36″ est |
Altitude | 450 m Min. 393 m Max. 677 m |
Superficie | 29,63 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Saint-Girons (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton des Portes du Couserans |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Volp, le Baup, le ruisseau de badech, le ruisseau de birosse et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un espace protégé (les « ruisseaux à écrevisses : l'Artix, le Moulicot et le Volp ») et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Montjoie-en-Couserans est une commune rurale qui compte 1 010 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons. Ses habitants sont appelés les Montjoliens ou Montjoliennes.
Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église Notre-Dame-de-l'Assomption, classée en 1901, et la Porte de ville, inscrite en 1965.
Géographie
Localisation
- Carte dynamique
- Carte Openstreetmap
- Carte topographique
- Carte avec les communes environnantes
La commune de Montjoie-en-Couserans se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 37 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, à 2 km de Saint-Girons[2], sous-préfecture, et à 2 km de Saint-Lizier[3], bureau centralisateur du canton des Portes du Couserans dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Girons[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Saint-Lizier (1,8 km), Saint-Girons (2,2 km), Lorp-Sentaraille (3,4 km), Eycheil (3,7 km), Montesquieu-Avantès (3,9 km), Gajan (4,4 km), Taurignan-Vieux (4,7 km), Encourtiech (5,0 km).
Sur le plan historique et culturel, Montjoie-en-Couserans fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne), que rien ne prédisposait à rejoindre les anciennes dépendances du comté de Foix[5].
Montjoie-en-Couserans est limitrophe de neuf autres communes. Les communes limitrophes sont Contrazy, Encourtiech, Gajan, Lescure, Montardit, Montesquieu-Avantès, Rivèrenert, Saint-Girons et Saint-Lizier.
Géologie et relief
La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 à −66,0 Ma. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans les feuilles « n°1056 - Le Mas d'Azil » et « n°1074 - Saint-Girons » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[7] - [8] et leurs notices associées[9] - [10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 29,63 km2[11] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 29,92 km2[8]. Son relief est relativement accidenté puisque la dénivelée maximale atteint 284 mètres. L'altitude du territoire varie entre 393 m et 677 m[14].
La superficie de la commune est de 2 963 hectares ; son altitude varie de 393 à 677 mètres[15].
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[16]. Elle est drainée par le Volp, le Baup, le ruisseau de badech, le ruisseau de birosse, un bras du Baup, riou tort, le ruisseau de Honta, le ruisseau de la devèze, le ruisseau de la Prade, le ruisseau de perri, le ruisseau des Bains, le ruisseau des Baudis, le ruisseau de Tachoué, le ruisseau de Vignoise, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 36 km de longueur totale[17] - [18].
Le Volp, d'une longueur totale de 40,3 km, prend sa source dans la commune de Lescure et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Cazères, après avoir traversé 13 communes[19].
Le Baup, d'une longueur totale de 20,1 km, prend sa source dans la commune de Rimont et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Salat à Saint-Lizier, après avoir traversé 6 communes[20].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[21]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[22]. À l'ouest du département, le climat océanique, avec ses entrées d’air atlantique, apporte des perturbations qui arrosent les reliefs[23].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[21].
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[25] complétée par des études régionales[26] - [27] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949[28] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[29] - [Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[30], à 12,3 °C pour 1981-2010[31], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[32].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[33] - [34].
La commune fait partie du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, créé en 2009 et d'une superficie de 245 973 ha, qui s'étend sur 138 communes du département. Ce territoire unit les plus hauts sommets aux frontières de l’Andorre et de l’Espagne (la Pique d'Estats, le mont Valier, etc) et les plus hautes vallées des avants-monts, jusqu’aux plissements du Plantaurel[35].
Un autre espace protégé est présent sur la commune : les « ruisseaux à écrevisses : l'Artix, le Moulicot et le Volp », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 9,8 ha[36].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[37] :
- l'« aval du ruisseau du Baup et affluents » (106 ha), couvrant 6 communes du département[38] ;
- les « collines de l'ouest du Séronais, du Mas-d'Azil à Saint-Lizier » (7 543 ha), couvrant 11 communes du département[39] ;
- le « cours du Volp » (204 ha), couvrant 15 communes dont 11 dans l'Ariège et 4 dans la Haute-Garonne[40] ;
- le « massif de l'Arize, versant nord » (12 354 ha), couvrant 23 communes du département[41] ;
et deux ZNIEFF de type 2[Note 7] - [37] :
- les « coteaux de l'est du Saint-Gironnais » (15 037 ha), couvrant 18 communes du département[42] ;
- le « massif de l'Arize » (42 110 ha), couvrant 40 communes du département[43].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Montjoie-en-Couserans est une commune rurale[Note 8] - [44]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2] - [45].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 70 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3] - [I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (65,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (35,2 %), forêts (33,6 %), zones agricoles hétérogènes (20,3 %), terres arables (9,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1 %), zones urbanisées (0,1 %)[46].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux
La commune est vaste et compte plusieurs villages et hameaux dont les principaux sont : Audinac-les-Bains, Baliard, les Baudis, Belloc, les Gabats, Lara…
- Bâtiment thermal d'Audinac autrefois.
- Église Saint-Hilaire-et-Sainte-Eulalie de Lara avec vue sur le mont Valier.
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 660, alors qu'il était de 625 en 2013 et de 583 en 2008[I 5].
Parmi ces logements, 76,9 % étaient des résidences principales, 12,3 % des résidences secondaires et 10,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,8 % des appartements[I 5].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Montjoie-en-Couserans en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (12,3 %) inférieure à celle du département (24,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 6].
Voies de communication et transports
Accès avec les routes départementales D 117, D 218 et D 627.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Montjoie-en-Couserans est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[47] - [48].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, le Volp, ou ruissellement d'un versant[49].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Montjoie-en-Couserans[50]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[51].
Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques (PPR) inondation et mouvement de terrain approuvé le 18 avril 2011[52].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses par une infrastructure routière ou ferroviaire ou par une canalisation de transport de gaz concerne la commune. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[53].
Toponymie
« Montjoie » serait un dérivé du germanique mundgawi (« protection du territoire ») qui aurait été mal traduit par le latin mons gaudii (« mont de la joie »)[54]. L'oïl montjoie est attesté au sens de « monticule servant d’observatoire, tas de pierre ou édicule pour indiquer le chemin ou pour garder un souvenir glorieux »[55] et sa traduction en occitan montjòia prend le sens de « bloc de pierre servant de borne ou de limite ou consacrant un souvenir ».
Montjoie-en-Couserans pourrait être issue de Mons Jovis, « Mont de Jupiter ». Les Gaulois vénéraient leurs ancêtres et si celui-ci était roi ou héros, il devenait un demi-dieu et ses descendants lui rendaient un culte. Pour que ses pouvoirs agissent mieux, il était utile de posséder sa tombe qui était vénérée, et où les Celtes passaient la nuit pour recueillir ses oracles. Ils associèrent l’adoration d’un dieu à la vénération d’un très ancien tumulus, et c’est ce qui dut avoir lieu au Lendit. Cet ancêtre divinisé n'est pas connu mais on peut noter qu'il est possible que ce dieu ait été assimilé à Jupiter car le lieu fut appelé Mons Jovis, « mont de Jupiter[54] ».
Histoire
La bastide de Montjoie fut fondée en 1268 par Alphonse de Poitiers, prince de sang royal, frère de saint Louis et grand bâtisseur, en contrat de paréage avec l'Évêque de Couserans.
Henri-Louis Duclos (1815-1900) dans son livre de référence « Histoire des Ariégeois » relate un événement ayant eu lieu durant les guerres de religion, peu avant 1618. « A l’approche des Protestants qui venaient d’envahir la ville de Saint-Lizier, la population du village de Montjoie, le curé en tête, vint se réfugier dans le château de Seignan. Le malheureux desservant avait oublié les hosties consacrées dans le tabernacle de son église, et en fit part au châtelain du lieu, M. de Castéras Seignan ; Celui-ci n'écoutant que sa foi et ses principes religieux, demanda l'absolution et se précipita vers l'église. A peine avait-il pris les hosties que les Huguenots entrèrent dans le temple et poignardèrent le noble seigneur sur les marches de l'autel… C'est de là que viennent les droits de la maison de Castéras Seignan d'être enterrés dans la partie gauche du sanctuaire ».
Le même auteur affirme que les archives du village de Montjoie furent brûlées en 1793.
Des années 1860 jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, la station thermale d'Audinac était réputée pour ses eaux sulfatées, calciques et légèrement magnésiennes. Réquisisionné en octobre 1941, l'hôtel thermal hébergera le centre d'éducation Bayard pour y regrouper des jeunes élèves des écoles militaires préparatoires jusqu'en juin 1944.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Montjoie-en-Couserans est membre de la communauté de communes Couserans-Pyrénées[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Lizier. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[56].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Girons, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Portes du Couserans pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la deuxième circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[57].
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[58] - [59].
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[61].
En 2020, la commune comptait 1 010 habitants[Note 10], en diminution de 5,78 % par rapport à 2014 (Ariège : +0,9 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Avec une population communale supérieure à 1 000 habitants, la commune de Montjoie-en-Couserans n'a cependant pas d'école primaire, la majorité des jeunes élèves sont scolarisés à l'école Oscar-Auriac de Saint-Lizier.
Culture et festivités
- L'association Les Amis du patrimoine religieux et communal de Montjoie-en-Couserans Å“uvre depuis 2006[68].
- La commune dispose d'une vaste salle des fêtes située entre Montjoie et Audinac. Elle peut être mise à disposition selon disponibilité. Des salles plus modestes existent dans certains villages éloignés comme aux Baudis.
- Comité des fêtes.
Activités sportives
- ''Les Crins en Soi'' : équitation personnalisée de pleine nature, randonnée équestre, relation au cheval, Hameau de Seillé
- randonnée pédestre, notamment vers la table d'orientation au Tuc de Montcalivert (677 m), lequel est une promenade appréciée dans le Saint-Gironnais.
Écologie et recyclage
Une aire de covoiturage est aménagée aux abords de la RD 117 conduisant de Saint-Girons à Foix[69].
La déchetterie la plus proche se trouve à Saint-Girons au lieudit « Palétès ».
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 489 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 1 065 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 460 €[I 10] (19 820 € dans le département[I 11]).
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 12] | 3,9 % | 8,8 % | 7,8 % |
Département[I 13] | 8,9 % | 11,1 % | 11,2 % |
France entière[I 14] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 607 personnes, parmi lesquelles on compte 76,3 % d'actifs (68,6 % ayant un emploi et 7,8 % de chômeurs) et 23,7 % d'inactifs[Note 12] - [I 12]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Girons, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2] - [I 15]. Elle compte 109 emplois en 2018, contre 101 en 2013 et 110 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 432, soit un indicateur de concentration d'emploi de 25,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,4 %[I 16].
Sur ces 432 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 66 travaillent dans la commune, soit 15 % des habitants[I 17]. Pour se rendre au travail, 88,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,9 % les transports en commun, 1,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 18].
Activités hors agriculture
79 établissements[Note 13] sont implantés à Montjoie-en-Couserans au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14] - [I 19].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 79 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 4 | 5,1 % | (12,9 %) |
Construction | 19 | 24,1 % | (14,2 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 17 | 21,5 % | (27,5 %) |
Activités financières et d'assurance | 1 | 1,3 % | (2,8 %) |
Activités immobilières | 3 | 3,8 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 19 | 24,1 % | (13,2 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 5 | 6,3 % | (14,4 %) |
Autres activités de services | 11 | 13,9 % | (8,8 %) |
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24,1 % du nombre total d'établissements de la commune (19 sur les 79 entreprises implantées à Montjoie-en-Couserans), contre 13,2 % au niveau départemental[I 20]. Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[70] :
- SAS de la Pierre D'angle, location de terrains et d'autres biens immobiliers (631 k€)
- SARL Parisud, location de terrains et d'autres biens immobiliers (321 k€)
- SARL Bijoux Passion, commerce de détail d'articles d'horlogerie et de bijouterie en magasin spécialisé (266 k€)
- France Sapin Bio, production de sapins de Noël et de sirop de bourgeons de sapin, à Bello (232 k€)
- Alphaco - Apc, travaux d'installation électrique dans tous locaux (88 k€)
Quelques autres établissements :
- Camping : 115 emplacements pour tentes, camping-cars, etc. et nombreux habitats légers de loisirs différents à Audinac-les-Bains.
- Restaurant La ferme de Gaya, Téoulé, après le village de Baliard.
- Épicerie itinérante Le Château ambulant propose ses produits biologiques et locaux depuis Montjoie. Sur la place de 17 h à 19 h le mardi.
- Clinique vétérinaire du Chat perché avec possibilité d'hospitalisation de chevaux à la ferme de Saint-Ignan.
Agriculture
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région sous-pyrénéenne »[71]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et le polyélevage[72].
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Exploitations | 70 | 55 | 42 |
Superficie agricole utilisée (ha) | 1 816 | 1689 | 1647 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 70 lors du recensement agricole[Note 16] de 1988 à 55 en 2000 puis à 42 en 2010[72], soit une baisse de 40 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 48 % de ses exploitations[74]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 816 ha en 1988 à 1 647 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 26 à 39 ha[72].
Culture locale et patrimoine
Montjoie-en-Couserans
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption, église fortifiée à clocher-mur, classée monument historique depuis 1901[75].
- Porte de ville, inscrite au titre des monuments historiques depuis 1965[76].
- Oratoire dédié à la Vierge Marie.
- Le village vu depuis le tuc de Montcalivert.
- Oratoire dédié à la Vierge Marie.
- Le centre-village avec vue sur l'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
- La campagne et le tuc de la Courate vue depuis la route de Saint-Lizier (ancienne voie romaine).
- Route de Gilou.
- Porte de ville de Montjoie-en-Couserans inscrite au titre des monuments historiques.
Hameau de Baliard
- Église Saint-Étienne de Baliard.
- Église Saint-Étienne.
- Le hameau de Baliard.
Hameau Les Baudis
Hameau de Lara
- L'église Saint-Hilaire-et-Sainte-Eulalie de Lara, statue du Christ en croix et monument aux morts.
- Hameau de Lara.
Hameau de Maubresc
- Le Tuc de Montcalivert est le point culminant de la commune à 677 m.
- Le Tuc de Montcalivert et le hameau de Maubresc.
- Croix au sommet du Tuc de Montcalivert.
Personnalités liées à la commune
- Roger Tort (1918-1975), évêque de Montauban, né au hameau des Baudis.
- Roger Fauroux (1926-2021), ministre et ancien maire de Saint-Girons, a résidé sur la commune.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Montjoie-en-Couserans sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12] - [13]
- Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[24].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[73].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune de Montjoie-en-Couserans » (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Montjoie-en-Couserans - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Montjoie-en-Couserans - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Ariège - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Montjoie-en-Couserans » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Montjoie-en-Couserans » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 en Ariège » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Montjoie-en-Couserans » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 en Ariège » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Montjoie-en-Couserans » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Montjoie-en-Couserans » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 en Ariège » (consulté le ).
Autres sources
- Stephan Georg, « Distance entre Montjoie-en-Couserans et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Montjoie-en-Couserans et Saint-Girons », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Montjoie-en-Couserans et Saint-Lizier », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Montjoie-en-Couserans », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 300-301.
- Carte IGN sous Géoportail.
- « Carte géologique de Montjoie-en-Couserans » sur Géoportail (consulté le 22 avril 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Montjoie-en-Couserans », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
- « Notice associée à la feuille n°1056 - Le Mas d'Azil de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- « Notice associée à la feuille n°1074 - Saint-Girons de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Montjoie-en-Couserans », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Montjoie-en-Couserans », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- « Carte hydrographique de Montjoie-en-Couserans » sur Géoportail (consulté le 29 octobre 2021).
- Sandre, « le Volp »
- Sandre, « le Baup »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- [PDF]« Plan Local d’Urbanisme d’Allières – Rapport de présentation », sur wxs-gpu.mongeoportail.ign.fr, (consulté le ), p. 125
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- [PDF]« Le changement climatique dans les Pyrénées : impacts, vulnérabilités et adaptation. », sur opcc-ctp.org (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Girons - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Montjoie-en-Couserans et Lorp-Sentaraille », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- [PDF]« Le Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises - Diagnostic - partie 1. », sur https://www.parc-pyrenees-ariegeoises.fr (consulté le )
- « les « ruisseaux à écrevisses : l'Artix, le Moulicot et le Volp » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Montjoie-en-Couserans », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF l'« aval du ruisseau du Baup et affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « collines de l'ouest du Séronais, du Mas-d'Azil à Saint-Lizier » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « cours du Volp » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif de l'Arize, versant nord » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « coteaux de l'est du Saint-Gironnais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif de l'Arize » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Liste des risques par commune.
- « Les risques près de chez moi - commune de Montjoie-en-Couserans », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Montjoie-en-Couserans », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Plans de Préventions des Risques naturels - Base de données actualisée à septembre 2020 », sur georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Anne Lombard-Jourdan, Montjoie et Saint-Denis ! Le centre de la Gaule aux origines de Paris et de Saint-Denis, Paris, Presses du CNRS, , 392 p. (ISBN 2-87682-029-3), p. 64.
- « Étymologie Montjoie », wiktionnaire (consulté le ).
- « communauté de communes Couserans-Pyrénées - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de l'Ariège (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- .
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Montjoie-en-Couserans. L'église de Baliard en manque de fonds pour sa rénovation », La Dépêche du midi,‎ (lire en ligne).
- « Montjoie-en-Couserans. Aménagement d'une nouvelle aire de covoiturage », La Dépêche du midi,‎ (lire en ligne).
- « Entreprises à Montjoie-en-Couserans », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Montjoie-en-Couserans - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Ariège » (consulté le ).
- « Église », notice no PA00093889, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église », notice no PA00093890, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Montjoie-en-Couserans. Remise à neuf de l'église des Baudis », La Dépêche du midi,‎ (lire en ligne).