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Montaut (Ariège)

Montaut est une commune française, située dans le département de l'Ariège en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du pays de l'Aguanaguès ou plaine d'Ariège, parfois appelé basse Ariège, ou piémont ariégeois.

Montaut
Montaut (Ariège)
L'église Saint-Michel.
Blason de Montaut
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Pamiers
Intercommunalité Communauté de communes des Portes d'Ariège Pyrénées
Maire
Mandat
Yannick Jousseaume
2020-2026
Code postal 09700
Code commune 09199
Démographie
Gentilé Montaltiens
Population
municipale
695 hab. (2020 en diminution de 2,25 % par rapport à 2014)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 11′ 18″ nord, 1° 38′ 41″ est
Altitude 280 m
Min. 241 m
Max. 295 m
Superficie 35,03 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Pamiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Portes d'Ariège
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Montaut
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Montaut
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Montaut
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Montaut

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Crieu, le Galage, le Raunier, l'Estaut, le ruisseau du Cazeret, le Galageot, le ruisseau du Tor et par divers autres petits cours d'eau. Nom inconnuLa commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Montaut est une commune rurale qui compte 695 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 1 425 habitants en 1856. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Pamiers. Ses habitants sont appelés les Montautois ou Montautoises.

    Jusqu'au XIXe siècle, le village est aussi connu sous le nom de Montaut-de-Crieu.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château de Peyroutet-Vadier, inscrite en 1993.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Montaut se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 25 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, à km de Pamiers[2], sous-préfecture, et à km de Saverdun[3], bureau centralisateur du canton des Portes d'Ariège dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saverdun[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Le Vernet (3,4 km), Villeneuve-du-Paréage (3,7 km), Bonnac (4,8 km), Le Carlaret (6,6 km), Trémoulet (6,9 km), Bézac (7,1 km), Gaudiès (7,2 km), La Bastide-de-Lordat (7,4 km).

    Sur le plan historique et culturel, Montaut fait partie du pays de l'Aguanaguès ou plaine d'Ariège, parfois appelé basse Ariège, ou piémont ariégeois. Ce pays, dont l'origine remonte probablement à l'époque carolingienne s'applique à la plaine de Pamiers et, par extension, à celle de Saverdun[5].

    Montaut est limitrophe de sept autres communes.

    Carte de la commune de Montaut et de ses proches communes.

    Montaut est située sur une colline à 280 m d'altitude, dominant le Crieu et les alentours d'où l'on distingue très nettement son clocher caractéristique octogonal en briques rouges, datant du XIIe siècle.

    Géologie et relief

    La commune est située dans le Bassin aquitain, le deuxième plus grand bassin sédimentaire de la France après le Bassin parisien, la totalité du territoire étant recouverte par des formations superficielles. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans les feuilles « n°1035 - Saverdun » et « n°1057 - Pamiers » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[7] - [8] et leurs notices associées[9] - [10].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 35,03 km2[11] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 35,26 km2[8]. L'altitude du territoire varie entre 241 m et 295 m[14].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Montaut.

    La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par le Crieu, la Galage, le Raunier, l'Estaut, le ruisseau du Cazeret, le Galageot, le ruisseau du Tor, le ruisseau Forgis et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 53 km de longueur totale[16] - [17].

    Le Crieu, d'une longueur totale de 34,8 km, prend sa source dans la commune de Ventenac et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Ariège à Saverdun, après avoir traversé 14 communes[18].

    La Galage, d'une longueur totale de 19,3 km, prend sa source dans la commune de Pamiers et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Ariège à Cintegabelle, après avoir traversé 6 communes[19].

    Le Raunier, d'une longueur totale de 11,8 km, prend sa source dans la commune de Montaut et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Vif à Mazères[20].

    L'Estaut, d'une longueur totale de 19,5 km, prend sa source dans la commune de Coussa et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Vif à Belpech, après avoir traversé 11 communes[21].

    Le ruisseau du Cazeret, d'une longueur totale de 10,1 km, prend sa source dans la commune de Montaut et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Vif en limite des communes de Calmont et de Mazères[22].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[23]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[24]. À l'est du département, l’influence méditerranéenne accentue les contrastes saisonniers, le climat y est plus sec[25].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[23].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 793 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[27] complétée par des études régionales[28] - [29] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pamiers Lycagri », sur la commune de Pamiers, mise en service en 1985[30] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[31] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 785,8 mm pour la période 1981-2010[32]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, dans le département de la Haute-Garonne, mise en service en 1922 et à 46 km[33], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[34], à 14,1 °C pour 1981-2010[35], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[36].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 6] est recensée sur la commune[37] : les « basse plaine de l'Ariège et de l'Hers » (7 048 ha), couvrant 14 communes dont 13 dans l'Ariège et 1 dans la Haute-Garonne[38].

    Urbanisme

    Typologie

    Montaut est une commune rurale[Note 7] - [39]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2] - [40].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pamiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3] - [I 4].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (97,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,3 %), prairies (10,1 %), mines, décharges et chantiers (2,9 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %), forêts (1,5 %), eaux continentales[Note 9] (1,1 %), zones urbanisées (0,9 %)[41].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Hameaux

    Balayer, Couzinet, Commelongue, Crieu, Fourram, Janissou, Hôpital, Lansac, Peyroutet, Vernou, Vernezes...

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 374, alors qu'il était de 365 en 2013 et de 347 en 2008[I 5].

    Parmi ces logements, 78,7 % étaient des résidences principales, 3,6 % des résidences secondaires et 17,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,8 % des appartements[I 5].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Montaut en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,6 %) inférieure à celle du département (24,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 72,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (71,7 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 6].

    Le logement à Montaut en 2018.
    Typologie Montaut[I 5] Ariège[I 7] France entière[I 8]
    Résidences principales (en %) 78,7 65,7 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,6 24,6 9,7
    Logements vacants (en %) 17,7 9,7 8,2

    Voies de communication et transports

    Accès avec l'autoroute A66 (Villefranche-de-Lauragais/Pamiers) et les routes départementales D 29, D 624, D 30 et D 414, ainsi que par la gare du Vernet-d'Ariège sur la ligne de Portet-Saint-Simon à Puigcerda (frontière).

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Montaut est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[42] - [43].

    Risques naturels

    Zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Montaut.

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle d'un cours d'eau[44].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Montaut[45]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[46].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses par une infrastructure routière ou ferroviaire ou par une canalisation de transport de gaz concerne la commune. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[47].

    Histoire

    Un certain Vadier, originaire de Pamiers, possédait des domaines sur Montaut. Vers 1785, Vadier voulut convertir certaines de ses terres en seigneurie, par engagement. Il accusa d'autres propriétaires, notamment Cazes, qui lui avait refusé la main de sa fille, et Dardigna, d'avoir fait échouer son projet, et il conçut contre eux une haine terrible[48]. Devenu député aux États généraux de 1789, puis en , président et doyen du Comité de sûreté générale, organe policier et répressif de.. la Terreur, il use et abuse de ses pouvoirs illimités. Ainsi, après le 22 prairial an II (), les débats publics étant supprimés au Tribunal révolutionnaire, il fait traduire ceux dont il veut se venger : à peine la loi votée, plusieurs habitants de Montaut et précisément ceux qui se sont opposés à l'érection de ses terres en seigneurie[49] sont renvoyés au tribunal révolutionnaire et exécutés.

    Émile Lefèvre, notaire passionné d'agriculture, fonda sur sa propriété la ferme-école du domaine de Royat qui fonctionne de 1849 à 1928. Elle a acquis une grande notoriété en étant à l'origine de la taille de la vigne dite en cordon de Royat et de la méthode de vinification dite par gravité[50].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Montaut est membre de la communauté de communes des Portes d'Ariège Pyrénées[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Pamiers. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[51].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Pamiers, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Portes d'Ariège pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la deuxième circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[52].

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[53] - [54].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    aôut 1945 1950 Germain Ail
    mars 1950 1959 Henri Carretié Exploitant agricole
    mars 1959 1962 Elie Séguéla Douanier
    1962 2008 Georges Courthieu DVG Retraité exploitant agricole
    mars 2008 2018 Monique Gagneux DVG Retraitée enseignement public
    septembre 2018 En cours Yannick Jousseaume Retraité de l'agriculture
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[56].

    En 2020, la commune comptait 695 habitants[Note 10], en diminution de 2,25 % par rapport à 2014 (Ariège : +0,9 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7246548191 0281 0721 1671 2421 3251 333
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4251 4041 4201 3181 3511 2191 2941 2561 205
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1051 0841 091946918888903852861
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    782646551538554582667668678
    2014 2019 2020 - - - - - -
    711696695------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[57] puis Insee à partir de 2006[58].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[59] 1975[59] 1982[59] 1990[59] 1999[59] 2006[60] 2009[61] 2013[62]
    Rang de la commune dans le département 38 45 48 49 46 42 43 43
    Nombre de communes du département 340 328 330 332 332 332 332 332

    Enseignement

    Une école primaire publique fonctionne sur la commune. Montaut fait partie de l'académie de Toulouse.

    Culture et festivités

    Association Culturelles Padènes Compagnies (Festival Théâtre, Atelier théâtre enfants adolescents, Atelier dessin enfants adolescents, Festival de musique celtique et occitan 1er week-end de juin)

    Activités sportives

    Pétanque, randonnée pédestre, football

    Écologie et recyclage

    Une usine de méthanisation de déchets agricoles fonctionnera en continu au printemps 2021. Le digestat sera ensuite utilisé comme engrais organique[63].

    La collecte et le traitement des déchets des ménagés et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du SMECTOM du Plantaurel[64] - [65].

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 292 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 705 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 450 â‚¬[I 10] (19 820 â‚¬ dans le département[I 11]).

    Emploi

    Taux de chômage
    Division200820132018
    Commune[I 12]6,8 %8,4 %6,3 %
    Département[I 13]8,9 %11,1 %11,2 %
    France entière[I 14]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 452 personnes, parmi lesquelles on compte 80,7 % d'actifs (74,4 % ayant un emploi et 6,3 % de chômeurs) et 19,3 % d'inactifs[Note 12] - [I 12]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Pamiers, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2] - [I 15]. Elle compte 97 emplois en 2018, contre 82 en 2013 et 90 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 341, soit un indicateur de concentration d'emploi de 28,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 62 %[I 16].

    Sur ces 341 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 62 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 17]. Pour se rendre au travail, 88,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,3 % les transports en commun, 4,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 18].

    Activités hors agriculture

    66 établissements[Note 13] sont implantés à Montaut au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14] - [I 19].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre%%
    Ensemble66
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    2537,9 %(12,9 %)
    Construction812,1 %(14,2 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1015,2 %(27,5 %)
    Information et communication23 %(1,8 %)
    Activités immobilières69,1 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    23 %(13,2 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    46,1 %(14,4 %)
    Autres activités de services913,6 %(8,8 %)

    Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,9 % du nombre total d'établissements de la commune (25 sur les 66 entreprises implantées à Montaut), contre 12,9 % au niveau départemental[I 20]. Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[66] :

    • SARL Maconnerie Prome Freres, construction de maisons individuelles (238 k€)
    • A Paradis Peche, enseignement de disciplines sportives et d'activités de loisirs (16 k€)

    Agriculture

    La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Plaine de l'Ariège »[67]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la production de céréales et oléoprotéagineux[68].

    198820002010
    Exploitations594337
    Superficie agricole utilisée (ha)2 68527292566

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 59 lors du recensement agricole[Note 16] de 1988 à 43 en 2000 puis à 37 en 2010[68], soit une baisse de 37 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 48 % de ses exploitations[70]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 2 685 ha en 1988 à 2 566 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 46 à 69 ha[68].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et bâtiments

    • Le cÅ“ur du village est fortifié, l'accès se faisant à l'origine par un porche récemment rénové.
    • Louis XIII signe la démolition du château le (réalisée par Galinier, capitaine, en 1635) : il n'en reste que quelques ruines.
    • Excavation (puits, silo ?) découverte en 2010.
    • Église Saint-Michel, du XVe. L’une de ses chapelles renferme les reliques de saint Eudoce, centurion romain martyr. Cloche de 1533 et orgue mécanisé à l'aide de rouleaux pointés exécuté vers 1830-1840 (protégé le ) ; clocher octogonal.
    • Domaine de Peyroutet-Vadier (XVIIe, XVIIIe), privé : maison ayant appartenu à Marc-Guillaume-Alexis Vadier, député du tiers état à la Convention qui vota la mort du roi, créateur du département de l'Ariège. Le domaine est inscrit à l'inventaire des monuments historiques par arrêté du 1er avril 1993.
    • Vestiges du château et clocher de l'église Saint-Michel.
      Vestiges du château et clocher de l'église Saint-Michel.
    • Clocher de l'église Saint-Michel.
      Clocher de l'église Saint-Michel.
    • Le château d'eau.
      Le château d'eau.
    • La plaine de la basse Ariège vue depuis Montaut.
      La plaine de la basse Ariège vue depuis Montaut.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Montaut

    Son blasonnement est :

    Écartelé : au 1er de gueules à trois pals d’or, au 2e d’azur à un monde d’argent, au 3e d’or à un château de gueules et au 4e d’argent à deux vaches passantes de sable posées l’une sur l’autre.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12] - [13]
    3. Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[26].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    13. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    14. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[69].
    • Cartes
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    Site de l'Insee

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    Autres sources

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    21. Sandre, « l'Estaut »
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    70. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Ariège » (consulté le ).
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