AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Marineland d'Antibes

Le parc Marineland, aussi couramment appelĂ© Marineland d’Antibes, est un parc Ă  thĂšmes français situĂ© sur la CĂŽte d'Azur, Ă  Antibes (Alpes-Maritimes). FondĂ© en 1970 par Roland de La Poype, il est aujourd’hui la propriĂ©tĂ© de la multinationale espagnole Parques Reunidos, dont le principal actionnaire sont les fonds d'investissement EQT Partners et Elliott Management. Depuis 2017, son directeur est Pascal Picot.

Marineland d’Antibes
Image illustrative de l’article Marineland d'Antibes

Ouverture 1970
Domaine Marineland d’Antibes
Superficie 26 hectares
Pays Drapeau de la France France
DĂ©partement Alpes-Maritimes
Commune Antibes
Propriétaire Parques Reunidos
Type de parc Parc Ă  thĂšmes marin
Nombre de visiteurs 850 000[1] (2017)
Site web www.marineland.fr
CoordonnĂ©es 43° 36â€Č 54″ nord, 7° 07â€Č 32″ est
GĂ©olocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
(Voir situation sur carte : Alpes-Maritimes)
Marineland d’Antibes
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Marineland d’Antibes

Étendu sur 26 hectares, il se compose d'un parc zoologique marin comprenant notamment un delphinarium et plusieurs aquariums, d'un parc aquatique (Aquasplash), d'un parc de jeux pour enfants (Kid's Island), d'un minigolf (Aventure Golf) et d'un hĂŽtel trois Ă©toiles (Marineland Hotel). Le delphinarium est l'un des quatre existant en France et l'un des deux Ă  prĂ©senter des orques en Europe.

Il est membre permanent de l'Association européenne des zoos et aquariums (EAZA) et participe à plusieurs programmes européens pour les espÚces menacées (EEP).

Avec 850 000 visiteurs annuels, c'est le site touristique le plus visité de la région Provence-Alpes-CÎte d'Azur. Son parc zoologique est quant à lui l'un des cinq les plus visités de France et le plus fréquenté des zoos privés[Note 1].

C'est un acteur économique important qui emploie plus de 150 salariés permanents. En 2014, son chiffre d'affaires était de 37,3 millions d'euros, avec un résultat net de 5,5 millions d'euros.

Depuis les années 2010, il est de plus en plus critiqué par les opposants à la captivité des cétacés, qui estiment que les delphinariums ne permettent pas d'assurer des conditions de vie satisfaisant les besoins propres à ces espÚces.

Historique

Années 1970

En 1970, Roland de La Poype, un industriel de la plasturgie issu de la noblesse française, ancien pilote de chasse de la Seconde Guerre mondiale et passionné du monde marin, crée le Marineland d'Antibes sur la CÎte d'Azur avec pour mission de faire connaßtre la vie des grands animaux marins alors difficilement accessibles à un large public.

Premier logo du Marineland.

En 2000, son fondateur affirme : « J’ai crĂ©Ă© Marineland pour mieux faire connaĂźtre les animaux marins et mieux les dĂ©fendre face aux massacres dont ils Ă©taient victimes »[2]. Il souhaitait « ouvrir grand les portes d'un univers animalier fascinant, proposer une vĂ©ritable leçon de sciences naturelles et faire en sorte que tous, petits et grands repartent en ayant appris quelque chose »[3].

La spĂ©cificitĂ© de ce zoo marin repose sur son alimentation en eau de mer, qui reprĂ©sente une complexitĂ© technique importante. Le systĂšme d’alimentation du parc en eau de mer est une installation technique qui pompe l’eau de mer et la recycle dans chaque bassin toutes les deux heures Ă  travers plusieurs filtres dont la capacitĂ© dĂ©passe deux millions de litres par heure. Le systĂšme est rendu possible grĂące, entre autres, Ă  l’implantation du parc Ă  300 mĂštres de la mer. Ce systĂšme a Ă©voluĂ© jusqu’à permettre aujourd’hui une connexion avec la mer Ă  600 m au large, Ă  68 m de fond. Il permet une alimentation optimale en eau de mer avec une tempĂ©rature constante (14 °C) et une meilleure qualitĂ© d’eau tout au long de l’annĂ©e.

À sa crĂ©ation, le Marineland prĂ©sente un couple d'orques, Calypso et Clovis, en provenance respectivement du zoo de Cleethorpes (Angleterre) et de l'aquarium de Seattle (États-Unis). CapturĂ©es sauvages dans le dĂ©troit de Juan de Fuca, sur la cĂŽte ouest de l'AmĂ©rique du Nord, elles sont mortes peu de temps aprĂšs leur arrivĂ©e au Marineland, en et en [4].

Quelques années plus tard , un nouveau couple d'orques vient les remplacer : Kim, un mùle prélevé en , et Betty, une femelle prélevée en , fraßchement arrivés d'Islande.

Années 1980

L'orque mùle Kim meurt le à l'ùge estimé de 11 ans. Le , l'orque mùle Kim II, et l'orque femelle Freya, rejoignent l'orque femelle Betty, aprÚs avoir été eux aussi capturés au large de l'Islande en . La dominante Betty meurt le à l'ùge estimé de 12 ans. En 1990, c'est une orque femelle, Sharkane, et une orque mùle, Tanouk, capturés en Islande en , qui font leur arrivée au parc, qui héberge dÚs lors deux couples d'épaulards reproducteurs[4].

En 1982, un bassin pour éléphants de mer est créé.

Entre 1985 et 1989, le parc se diversifie et ouvre différents parcs à thÚmes, ainsi qu'un Musée de la Marine, présentant la plus grande collection privée d'Europe. Les parcs créés sont Aquasplash, la Jungle des Papillons et Adventure Golf[5].

En 1985, le 2e bassin des orques (actuellement bassin des dauphins) est construit.

Années 1990

Le tunnel de l'Aquarium des requins et raies, construit en 1996.

1990 marque l'ouverture de la Petite Ferme Provençale[5], la création d'un service pédagogique et la premiÚre naissance de dauphins[6].

Le , une premiÚre naissance viable survient chez les épaulards, avec la venue au monde de l'orque Shouka, une femelle née des amours de Sharkane et Kim II[7].

Fin 1995, l'orque mĂąle Tanouk est transfĂ©rĂ© au Japon. 1996 marque une Ă©tape importante dans le dĂ©veloppement du parc, avec la crĂ©ation de Sharks, un aquarium des requins et raies de 2 millions de litres, avec un tunnel de 30 m de long qui le traverse. C'est cet aquarium qui permettra la reproduction des requins gris (Carcharhinus plumbeus) en captivitĂ©. Le marque la venue au monde de l'orque Valentin, un mĂąle nĂ© des amours de Freya et Kim II. En 1998, Marineland crĂ©e le Centre de Recherche pour les CĂ©tacĂ©s (CRC), qui a pour vocation d’étudier et de protĂ©ger les mammifĂšres marins de MĂ©diterranĂ©e

En 1999, des Aquariums et des récifs tropicaux sont construits.

Années 2000

Les bassins des orques construits en 2000.

La 2e Ă©tape importante pour le dĂ©veloppement du parc est la construction du nouveau bassin des orques en 2000, 44 millions de litres d'eau de mer rĂ©partis en 5 lieux de vie[8]. Cette annĂ©e-lĂ  voit aussi le dĂ©but du travail dans l'eau des soigneurs avec les orques, pendant le dressage et pendant les spectacles, grĂące Ă  l'arrivĂ©e d’une soigneuse du Sea World Orlando, oĂč cette forme de travail est expĂ©rimentĂ©e depuis quelques annĂ©es. Le marque la venue au monde de l'orque Wikie, une femelle nĂ©e des amours de Sharkane et Kim II. Cette nouvelle naissance porte le nombre d'Ă©paulards Ă  sept : le grand mĂąle Kim II, les femelles adultes Freya et Sharkane, les jeunes mĂąles Valentin et Inouk, leur sƓur aĂźnĂ©e Shouka et Wikie, la plus jeune[7].

En 2005, le bassin Lagon, qui permet aux visiteurs d'interagir avec les dauphins, est construit. Le , Kim II le grand mùle orque meurt à l'ùge estimé de 25 ans[9].

En , un conflit survient entre le directeur gĂ©nĂ©ral, Mike Riddell, et les actionnaires, pour l'essentiel des membres de la famille du propriĂ©taire et fondateur Roland de La Poype, conduisant au licenciement du directeur, Ă  la tĂȘte du parc depuis 25 ans[10]. Il est alors provisoirement remplacĂ© par Jean-François de Chambrun, un ami de Roland de la Poype. Les actionnaires dĂ©cident alors de vendre le parc et sont approchĂ©s par la Compagnie des Alpes. En fĂ©vrier, Ă  la suite du recours d'un voisin, la cour d'appel d'Aix-en-Provence ordonne la dĂ©molition d'une partie des extensions du parc, dont le tunnel de l'Aquarium des requins, pour non-conformitĂ©[10].

Au printemps, le directeur gĂ©nĂ©ral provisoire Ă©voque deux candidats possibles pour la reprise de l'entreprise : les multinationales espagnoles Aspro-Ocio et Parques Reunidos[11]. Durant l'Ă©tĂ©, c'est le groupe Parques Reunidos, qui gĂšre alors 72 parcs dans 11 pays, qui achĂšte le Marineland d'Antibes. Le montant exact de la transaction n'est pas communiquĂ© mais la presse parle de 40 millions d'euros, loin des 70 millions Ă©voquĂ©s dĂ©but 2006[10] - [11]. Ce groupe gĂšre des parcs d'attractions, des parcs zoologiques, des parcs aquatiques et des stations tĂ©lĂ©phĂ©riques. Une nouvelle Ă©quipe dirigeante arrive alors Ă  la tĂȘte du Marineland avec comme directeur gĂ©nĂ©ral Bernard Giampaolo, ayant travaillĂ© au Club Med et chez Pierre et Vacances, comme directeur animalier un ancien soigneur du parc, l'anglais Jon Kershaw, et comme directeur de la restauration Christophe Carasena, ayant travaillĂ© Ă  Disneyland Paris[8].

Ancien logo du parc.

En 2007, un bassin pour les otaries de Steller est créé.

En 2009, est agrandi Antarctica pour accueillir des manchots subantarctiques : les manchots royaux et les gorfous sauteurs. La mĂȘme annĂ©e, un espace vĂ©tĂ©rinaire Ă  demeure s'installe au parc, facilitant aussi les travaux de recherche. Le , la femelle orque Sharkane meurt Ă  l'Ăąge estimĂ© de 24 ans.

Années 2010

En 2010, Marineland accueille une nouvelle espĂšce : un couple d'ours polaires dans un espace de 2 200 m2 amĂ©nagĂ© avec des grottes de glace et de l'eau de mer pour permettre une participation au programme europĂ©en de reproduction (EEP) et coordonnĂ© par l'EAZA[12]. Cette mĂȘme annĂ©e, l'espĂšce menacĂ©e des tortues caouannes donne naissance pour la premiĂšre fois au parc. Le marque la venue au monde de l'orque Moana, un mĂąle nĂ© par insĂ©mination artificielle de Wikie et d'Ulises.

Le marque la venue au monde de l'orque Keijo, un mùle né des amours de Wikie et Valentin. Les animaux vedettes du parc forment à ce moment-là un groupe de six individus : la matriarche Freya entourée de son fils Valentin, son neveu Inouk, sa niÚce Wikie, et ses petits-fils Moana et Keijo. En 2014, le Marineland d'Antibes lance un investissement de 30 millions d'euros pour créer une offre d'hébergement et de restauration. Cette année-là, le parc zoologique marin s'étend sur 10 hectares. En septembre, trois mois aprÚs la diffusion du film Blackfish à la télévision française, une manifestation contre la captivité des cétacés rassemble environ 300 personnes devant le parc[13] - [14].

En janvier et , deux Tursiops meurent, la jeune femelle Mila-Tami (8 ans) d’une occlusion gastrique due Ă  des vĂ©gĂ©taux, et le grand mĂąle Éclair (25 ans) d'un cancer de la prostate. Leur mort ne sera rĂ©vĂ©lĂ©e par le parc qu'en , aprĂšs la manifestation des opposants Ă  la captivitĂ© des cĂ©tacĂ©s[15].

Un hÎtel 3 étoiles de 95 chambres ouvre pendant l'été 2015, intitulé Marineland Resort[16]. Il est renommé Marineland Hotel en 2017. Le , la femelle orque Freya meurt à l'ùge estimé de 35 ans. Elle était la derniÚre de la génération des épaulards du parc issus des captures islandaises. Le , une manifestation contre la captivité des cétacés se tient devant l'entrée du Marineland, rassemblant prÚs de 500 personnes, dont John Hargrove, un ancien soigneur du Marineland ayant aussi travaillé pour SeaWorld, et Richard O'Barry, l'ancien dresseur des dauphins de la série Flipper[17] - [18]. En , entre 400 et 500 personnes se rassemblent à nouveau devant le parc pour protester[19] - [20].

Dans la nuit du 3 au le parc subit les inondations qui frappent les Alpes-Maritimes[21]. SituĂ© prĂšs du fleuve cĂŽtier de la Brague, un des principaux cours d'eau en crue, il est balayĂ© par une vague d'eau boueuse de 1,5 Ă  2,5 m, submergeant certains bassins[22]. Dans un premier temps, le directeur, Bernard Giampaolo, parle de « casse animale » et affirme que le parc a Ă©tĂ© touchĂ© « Ă  plus de 90 % sur toutes les installations techniques », le parc est en effet privĂ© d'Ă©lectricitĂ© et d'arrivĂ©e d'eau[23]. Alors que les bassins sont boueux et que les systĂšmes de filtration ne fonctionnent plus, le directeur affirme Ă  BFM TV que « les dauphins qui sont en mer aujourd'hui ont la mĂȘme qualitĂ© d'eau que nos dauphins ou nos orques dans nos bassins »[24], alors que les cĂ©tacĂ©s sauvages peuvent parcourir de longues distances pour s'Ă©loigner des eaux cĂŽtiĂšres troublĂ©es par l'eau des crues sur quelques kilomĂštres[25]. Un communiquĂ© de presse affirme que « les mammifĂšres marins sont sains et saufs, ils se portent bien »[26]. Une semaine plus tard, le , le parc publie son premier bilan et dĂ©plore la mort de quatre tortues, de quelques raies, de poissons, de lapins, de cochons d'Inde, de poules, de chĂšvres et de moutons, tout en rĂ©affirmant que les autres animaux, dont les cĂ©tacĂ©s, sont sains et saufs[27].

Le , le parc publie un nouveau communiquĂ© de presse annonçant la mort du grand mĂąle orque Valentin, Ă  l'Ăąge de 19 ans[28]. Selon Marineland, l'autopsie pratiquĂ©e par ses vĂ©tĂ©rinaires conclut Ă  une mort par torsion intestinale, dont la survenue pourrait ĂȘtre liĂ©e au stress subi pendant les inondations. Le groupe d'orques du parc se retrouve rĂ©duit Ă  quatre individus : le grand mĂąle Inouk, sa sƓur et nouvelle matriarche Wikie et ses deux jeunes fils Moana et Keijo[29].

Trois associations opposĂ©es Ă  la captivitĂ© des cĂ©tacĂ©s (RĂ©seau-CĂ©tacĂ©s, C'est Assez ! et La Dolphin Connection) demandent l'ouverture d'une enquĂȘte au prĂ©fet et aux services vĂ©tĂ©rinaires des Alpes-Maritimes[30]. Une inspection de la Direction dĂ©partementale de la protection des populations (DDPP) est alors menĂ©e le au sein du Marineland et la presse rapporte alors les propos de la directrice de ce service, Sophie BĂ©ranger-Chervet : « Le bassin a Ă©tĂ© submergĂ© par une vague. Elle Ă©tait chargĂ©e de matiĂšres polluantes, vraisemblablement du gasoil, qui venait d’on ne sait oĂč. Peut-ĂȘtre des villas environnantes. Cela a polluĂ© l’eau des orques. »[31], dĂ©plorant au passage une gestion dĂ©sorganisĂ©e[32]. La prĂ©sence d'hydrocarbures dans le bassin des orques est ensuite dĂ©mentie par l'intĂ©ressĂ©e qui affirme que ses propos ont Ă©tĂ© mal interprĂ©tĂ©s, et que ses services n'ont de toute façon fait aucune analyse d'eau lors de leur inspection[33]. La Protection Civile Urbaine d'Antibes aurait indiquĂ© plus tard que la pollution provenait d'une copropriĂ©tĂ© voisine.

Le , le directeur Bernard Giampaolo est mutĂ© au parc d'attractions Mirabilandia, en Italie, aprĂšs 9 ans Ă  la tĂȘte du Marineland. Jesus Fernandez Moran, le directeur de la division zoologique de Parques Reunidos, assure l'intĂ©rim Ă  la direction[34]. Les conditions de captivitĂ© des orques du Marineland et l'impact des inondations sur sa faune en gĂ©nĂ©ral ont fait l'objet de questions Ă©crites, de la part du sĂ©nateur Jean-Vincent PlacĂ©, Ă  la ministre de l’Écologie SĂ©golĂšne Royal, dĂ©but novembre, au SĂ©nat[35] - [36].

Le , une deuxiÚme manifestation se tient devant le parc, sous la forme d'une marche silencieuse. PrÚs de 300 personnes sont rassemblées pour protester contre la captivité des cétacés et rendre hommage aux victimes humaines et animales des intempéries[37] - [38].

Le John Kershaw, le directeur animalier, annonce sur RTL que les spectacles d'orques changeraient de forme dÚs la réouverture du parc. Ils ne se feront plus sur de la musique rock ou disco mais sur une musique de documentaire animalier, et les soigneurs, qui sont aussi les dresseurs, ne seront plus applaudis à la fin des représentations[39]. Cette décision intervient deux semaines et demie aprÚs l'annonce d'une décision similaire par le SeaWorld de San Diego.

Le journal Le Point, qui avait dĂ©noncĂ© l'omerta rĂ©gnant au sein du parc Ă  la suite des intempĂ©ries d'octobre[32], dĂ©clare en avoir effectuĂ© des analyses d'eau en amont et en aval d'un cours d'eau traversant Marineland, la MaĂŻre, et que celles-ci rĂ©vĂšlent une pollution de l'eau par le parc[40]. Les analyses montrent des taux de chlorures et d'hydrocarbures anormalement Ă©levĂ©s en aval du parc, dans ce cours d'eau se jetant dans la Brague, qui se jette ensuite dans la mer. Les journalistes rĂ©vĂšlent Ă©galement la prĂ©sence d'une pompe relarguant des effluents sur une rive de ce cours d'eau. Ces rĂ©vĂ©lations jettent le doute sur l'absence d'hydrocarbures dans le bassin des orques, rempli d'eau de mer et pouvant donc ĂȘtre Ă  l'origine des chlorures retrouvĂ©s dans le cours d'eau, ainsi que sur la cause de la mort de l'orque Valentin. Le parc admet alors avoir reversĂ© dans la Brague les eaux polluĂ©es de l'inondation, arguant que c'est de la crue de ce fleuve qu'elles provenaient, mais dĂ©ment avoir nettoyĂ© le bassin des orques via cette pompe. Les rĂ©sultats d'analyses montrĂ©s dans la vidĂ©o du journal Le Point[40] (Ă  partir de 3:00) montrent un taux de chlorure de 408 mg/litre. Or l'eau de mer a une salinitĂ© de 30 000 Ă  40 000 mg/litre[41]. L'eau prĂ©levĂ© par Le Point ne peut donc pas ĂȘtre de l'eau de mer. Quelques jours plus tard, un dĂ©lĂ©guĂ© EELV demande un audit du site sur les conditions de captivitĂ© des animaux et sur les mesures prises Ă  la suite des inondations, et appelle Ă  une reconversion du parc[42].

DĂ©but mars, le parc communique sur l'arrivĂ©e Ă  sa tĂȘte d'Arnaud Palu, le nouveau directeur, en fonction depuis le [43]. Celui-ci Ă©tait jusqu'alors PDG de Majid Al Futtaim Leisure & Entertainment une sociĂ©tĂ© basĂ©e Ă  DubaĂŻ aux Émirats arabes unis[44], filiale du groupe Majid Al Futtaim (en) spĂ©cialisĂ©e dans le divertissement et exploitant notamment le Ski DubaĂŻ ainsi que de nombreux centres de divertissement familial Magic Planet.

AprÚs 5 mois de travaux de rénovation, le parc rouvre le avec un nouveau positionnement se voulant axé sur la pédagogie. Lors de cette réouverture, Jean Leonetti, député-maire d'Antibes (LR), et Christian Estrosi, maire de Nice et président du Conseil régional de PACA (LR), sont présents et apportent leur soutien face à la plainte déposée pour maltraitance[45]. Le parc change de logo.

En , l'ONG internationale Sea Shepherd assigne en justice le parc devant le tribunal correctionnel pour « maltraitance animale » et « pollution volontaire »[46] - [47]. La premiÚre audience de consignation est prévue pour le [48]. La plainte porte uniquement sur les conditions de vie des animaux et la façon dont le parc a géré les conséquences des intempéries d'[49]. La plainte est jugée irrecevable pour défaut de rÚglement de la caution[50].

En , un grand dauphin mĂąle, AlizĂ©, meurt Ă  24 ans d'une maladie rĂ©nale chronique, selon le parc[51]. DĂ©but juillet une dizaine de militants indĂ©pendants sautent dans le bassin des dauphins pour y dĂ©ployer des banderoles contre la captivitĂ© des cĂ©tacĂ©s. Le lendemain, une manifestation organisĂ©e par le collectif Sans Voix Paca qui manifeste tous les mois devant le parc, rassemble environ 550 personnes[52]. En dĂ©cembre, Arnaud Palu, directeur du parc, annonce sa dĂ©mission aprĂšs un peu moins d'un an Ă  sa tĂȘte[53]. Il est remplacĂ© par Pascal Picot en [54].

En 2018, le parc inaugure un Cinéma interactif en 5 dimensions, sur le thÚme d'une aventure polaire. A l'été 2018, le parc propose une exposition temporaire de 100 photographies de la nature lauréates du 53Úme concours annuel Wildlife Photographer of the Year du Musée d'histoire naturelle de Londres[1], puis une exposition des plus belles photos prises dans le parc par les visiteurs à l'occasion du concours « Objectif Marineland »[55].

À l'occasion de la Route du Rhum 2018, Marineland apporte son soutien Ă  la skippeuse en solitaire, Alexia Barrier, et son association « 4myplanet » en apportant en temps rĂ©el des informations au grand public sur les espĂšces marines rencontrĂ©es par la navigatrice au cours de son pĂ©riple[56]. L’objectif est de proposer un dialogue avec les enfants sur la biodiversitĂ© marine et la prĂ©servation de ses richesses naturelles via un Livret PĂ©dagogique pour animer des ateliers d’éveil. Les enfants peuvent ainsi bĂ©nĂ©ficier d’informations pour Ă©changer entre eux et avec leurs enseignants[57].

À l'Ă©tĂ© 2019, le parc inaugure une nouvelle exposition thĂ©matique : « Associations riment avec Protection », mettant Ă  l'honneur des associations Ɠuvrant pour la protection de la faune et la flore marine (Polar Bear International, Les Aquanautes et l'Association Marineland) au travers d'un parcours photographique. L'exposition propose au visiteur une rĂ©flexion sur les espaces marins et sur les actions individuelles qui peuvent ĂȘtre mises en Ɠuvre pour les prĂ©server[58].

Années 2020

En , le parc voit la naissance de triplés ours blancs, issus des amours de Flocke et Raspoutine. Cette portée est la deuxiÚme du couple (aprÚs l'oursonne, Hope, en 2014). Les portées d'ours blancs sont fréquemment gémellaires, mais elles concernent rarement des triplés : seulement 2,4 % des naissances[59]. Les oursons sortent de leur taniÚre, aprÚs 3 mois passés au chaud contre leur mÚre, en [60] - [61], pendant le confinement lié à la Covid 19. Ils sont nommés Yuma, Tala et Indiana. Le , Lotty l'aßnée des dauphins, meurt à l'ùge estimé de 40 ans[62].

Dans le cadre de la lutte contre la Covid 19, les établissements recevant du public ferment leurs portes en . Marineland ferme les siennes pendant 3 mois, et les rouvre le [63] - [64] - [65], en mettant en place les mesures sanitaires adaptées. Les parcs annexes (Aquaplash, Kid's Island et Adventure Golf) rouvrent le .

Pendant cette période, le parc accueille la naissance de deux bébés dauphins : Luà, fille de Nala[66] et Ollie, fille de Malou[67].

Installations et faune présentée

Otarie et soigneuse-dresseuse en représentation.
La zone Antartica, avec les manchots royaux, les manchots papous, les gorfous sauteurs et les gorfous dorés.

Le Marineland regroupe des représentants de plusieurs types d'animaux marins : poissons, reptiles, mammifÚres, oiseaux et invertébrés :

Parmi les oiseaux marins on y trouve 3 espĂšces de manchots : manchots de Humboldt (Spheniscus humboldti), manchots royaux (Aptenodytes patagonicus) et gorfous sauteurs (Eudyptes chrysocome), ainsi qu'une espĂšce de flamant, le flamant des Caraibes (Phoeniconaias ruber)[68].

Le Marineland assure la reproduction des espĂšces du parc, dont plusieurs sont classĂ©es comme vulnĂ©rables par l'Union internationale pour la conservation de la nature : orques (dont une par insĂ©mination artificielle)[69], grands dauphins, otaries Ă  criniĂšre, otaries de Californie[70], requins gris[71], manchots de Humboldt[72], gorfous sauteurs, coraux, et manchots royaux pour certains dans le cadre de programmes europĂ©ens pour les espĂšces menacĂ©s (EEP). Nombre de ces espĂšces sont des sujets d’études scientifiques, permettant d’alimenter les donnĂ©es sur le monde animal, d’amĂ©liorer les conditions de gestion des animaux dans les parcs, ou d’appliquer les connaissances obtenues dans le domaine de la conservation en milieu naturel[73]. Selon le parc, plus de 60 % de ses animaux sont nĂ©s sur place et 80 % sont issus des parcs zoologiques. Toujours selon Marineland et l'EAZA, sur 40 mammifĂšres marins, seuls quatre sont actuellement originaires du milieu naturel.

Dauphins

Bassin des dauphins.

Marineland présente des grands dauphins (Tursiops truncatus) depuis l'ouverture du parc en 1970. Il participe au Programme européen pour les espÚces menacées (EEP), consacré au grand dauphin, bien que cette espÚce ne soit pas considérée comme menacée par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

C'est avec cette espÚce et avec les orques que Marineland affirme appliquer la méthode d'apprentissage basée sur le renforcement positif, encore appelée conditionnement opérant.

En 2023, les grands dauphins sont au nombre de douze : Sharky (F-43 ans), Malou (F-42 ans), Rocky (M-26 ans), Dam (M-24 ans), Neo (M-17 ans), Nala (F-13 ans), Tux (M-12 ans), Ania (F-12 ans), Jo (F-12 ans), Kai (M-9 ans), LĂča (F-3 ans) et Ollie (F-3 ans).

Ours polaires

Un des ours polaires du parc.

En , deux jeunes ours sont présentés au Marineland d'Antibes : Raspoutine, un mùle, et Flocke, une femelle. Ils sont tous les deux nés en captivité en 2007 au zoo de Moscou et au zoo de Nuremberg, respectivement[74]. Ces ours ont été placés au Marineland par l'EAZA dans le cadre d'un programme d'élevage EEP.

Ils bénéficient de piscines d'eau de mer maintenue à 14 °C, d'abris climatisés, et de deux grottes couvertes d'une épaisse couche de glace.

Fin , une petite oursonne voit le jour, premier petit issu des amours de Flocke et Raspoutine[75] - [76]. Elle est nommée Hope. En , étant sevrée, la jeune ourse est transférée au zoo Orsa Rovdjurspark (SuÚde)[77] selon les recommandations du coordinateur du programme d'élevage européen (EEP). Fin , trois petits oursons voient le jour (une femelle, Tala, et deux mùles, Indiana et Yuma), fruits des amours de Flocke et Raspoutine, ce qui constitue un fait assez rare[78] - [79].

En , le pĂšre quitte Antibes pour le Yorkshire Wildlife Park (Angleterre) dans le cadre du programme europĂ©en d'Ă©levage des ours polaires en captivitĂ©. Il y reste quelques mois avant d'ĂȘtre finalement transfĂ©rĂ© au zoo de Talinn (Estonie) en .

En , la mÚre et ses triplés sont transférés à leur tour au Yorkshire Wildlife Park (Angleterre) dans le cadre du programme européen d'élevage des ours polaires en captivité.

Au total, une famille de six ours blancs aura vécu à Antibes : Raspoutine (M-2007), Flocke (F-2007), Hope (F-2014), Indiana (M-2019), Yuma (M-2019) et Tala (F-2019).

Orques

Orques en représentation.
Bassin des orques.

Le Marineland d’Antibes est le seul parc français Ă  prĂ©senter des orques. En 2023, les orques sont au nombre de quatre : Inouk (24 ans), Wikie (22 ans), Moana (12 ans) et Keijo (10 ans). Les orques ne font pas partie d'un programme d'Ă©levage EEP. Ils vivent dans un complexe de cinq bassins, contenant 44 millions de litres d'eau de mer : un bassin principal pour les spectacles (11 mĂštres de profondeur, 64 mĂštres de longueur et 32 mĂštres de largeur, parois vitrĂ©es en mĂ©thacrylate : 4,60 m de haut, 64 m de long, 17 cm d'Ă©paisseur, construit par la sociĂ©tĂ© de construction mĂ©tallurgique Eiffel, avec gradins pouvant accueillir de 3 600 Ă  4 000 personnes), et quatre autres bassins un peu moins profonds dont un lagon et un bassin de soin, le tout reprĂ©sentant plus de 40 millions de litres d'eau de mer naturelle.

Par ùge décroissant, les orques du Marineland sont :

  • Inouk : mĂąle nĂ© le au Marineland d'Antibes. Il est le fils de Sharkan et Kim II, le frĂšre de Shouka et Wikie, le demi-frĂšre de Valentin, le neveu de Freya et Tanouk, et l'oncle de Moana et Keijo.
  • Wikie : femelle nĂ©e le au Marineland d'Antibes. Elle est la fille de Sharkan et Kim II, la mĂšre de Moana et Keijo, la sƓur de Shouka et d'Inouk, la demi-sƓur de Valentin, et la niĂšce de Freya et Tanouk.
  • Moana : mĂąle nĂ© le au Marineland d'Antibes, conçu par la premiĂšre insĂ©mination artificielle d'Ă©paulards rĂ©ussie d'Europe. Il est le fils de Wikie et Ulises, le demi-frĂšre de Keijo, le neveu de Shouka, Valentin et Inouk, et le petit-neveu de Freya et Tanouk[80].
  • Keijo : mĂąle nĂ© le au Marineland d'Antibes. Il est le fils de Wikie et Valentin, le demi-frĂšre de Moana, le neveu de Shouka et Inouk, le petit-neveu de Tanouk, et le petit-fils de Sharkan, Freya et Kim II.

Deux orques ont été transférées vers d'autres delphinariums aprÚs avoir passé une partie de leur vie au Marineland d'Antibes :

  • Shouka : femelle nĂ©e le au Marineland d'Antibes. Elle est transfĂ©rĂ©e aux États-Unis le , au Six Flags World of Adventure, ensuite au Six Flags Discovery Kingdom le , enfin au Seaworld San Diego le . Elle est la fille de Sharkan et de Kim II, la sƓur d'Inouk et Wikie, la demi-sƓur de Valentin, la niĂšce de Freya et Tanouk, et la tante de Moana et Keijo[81].
  • Tanouk : mĂąle mort le Ă  l'Ăąge estimĂ© de 15 ans. Il a suivi une trajectoire similaire Ă  celle de Sharkan. CapturĂ© en , prĂšs de Hornafjordur, puis gardĂ© au Saedyrasadnid Aquarium jusqu'Ă  son transfert au Marineland d'Antibes en janvier 1990. ÂgĂ© d'environ 4 ans lors de sa capture, sa date de naissance est estimĂ©e en 1985. Il est finalement transfĂ©rĂ© au Japon en , au Izu Mito Sea Paradise, oĂč il est renommĂ© Yamato. Tanouk est le frĂšre/cousin de Sharkan, l'oncle de Shouka, Inouk et Wikie, et le grand-oncle de Moana et Keijo.

Douze orques ont perdu la vie au Marineland d'Antibes : Calypso, Clovis, Kim/Oum, Betty, Kim II, Sharkan, Freya, Valentin, ainsi que quatre petits mort-nés. Plus d'informations dans la rubrique "Controverses".

Aquarium

Le parc présente également des requins gris (Carcharhinus plumbeus), requins nourrices (Ginglymostoma cirratum), requins taureaux (Carcharias taurus), hippocampes, tortues Caouanne (Caretta caretta), raies pastenague américaines (Dasyatis americana), de trÚs nombreuses autres espÚces de poissons, ainsi que des invertébrés (coraux, holothuries, étoiles de mer, gorgones).

Au sein de l'aquarium, un tunnel vitrĂ© de 30 m permet de traverser l'aquarium des requins. Marineland est Ă  la pointe de la reproduction de poissons[82] - [83] qui n'avaient jusque lĂ  jamais fait l'objet de programmes de reproduction en Europe : le poisson rasoir Aeoliscus strigatus et le Gramma dejongi[84], un poisson de rĂ©cif quasi inaccessible, ainsi que le Pseudanthias squamipinnis[85]. Ces programmes de reproduction en milieu contrĂŽlĂ© permettent d'Ă©viter les prĂ©lĂšvements dans la nature pour le monde des aquariums. Marineland est membre de l'Union des conservateurs d'aquariums, et de l'European union of aquaria conservators.

En 2020, le département aquarium de Marineland collabore avec le Musée océanographique de Monaco et l'aquarium Océanopolis (Brest) à l'occasion d'une premiÚre mondiale[86] : la reproduction en aquarium de poisson hachette nain (Parapriacanthus ransonneti), petit poisson dont la reproduction en aquarium permettra de lutter pour la survie de l'espÚce.

Autres installations

Aire de jeux et aperçu du parc aquatique du Marineland.

Marineland Parcs dispose aussi :

  • d'un parc aquatique (Aquasplash) composĂ© de 7 toboggans Ă  sensation, d'une piscine Ă  vagues, d'espace de dĂ©tente (lagon de baignade de diffĂ©rentes profondeurs, de bassins et petits toboggans destinĂ©s aux jeunes enfants,
  • d'un minigolf (Adventure Golf) constituĂ© de 3 parcours de 18 trous,
  • d'un parc destinĂ© aux jeunes enfants (Kid's Island) sur le thĂšme des animaux de la ferme et des lĂ©muriens,
  • d'un lagon destinĂ© Ă  la baignade et Ă  la dĂ©tente avec solarium et plage de sable (Marineland Lagoon)
  • de Marineland Hotel, un hĂŽtel trois Ă©toiles de 95 chambres situĂ© en bordure immĂ©diate du parc, inaugurĂ© en 2015.

Association Marineland

Dans le prolongement du CRC et de l'association RIMMO (acronyme de Réserve Internationale Maritime en Méditerranée Occidentale, premiÚre association créée par Marineland et qui organise des conférences)[87], créée par le 1er dirigeant en 1992, Marineland crée en 2011 son association d'entreprise, l'Association Marineland[88].

Cette association a pour vocation la conservation de la biodiversité marine. Elle fait de la sensibilisation auprÚs du grand public[89], soutient la recherche scientifique et participe à des programmes de conservation des espÚces menacées sur le terrain[90].

En 2014, cette association soutient, entre autres, la recherche sur les orques en NorvÚge[91], la conservation du phoque moine de Méditerranée[92], les tortues marines de Méditerranée[93], les mangroves et les lémuriens de Madagascar[94] - [95]. Elle soutient l'étude du requin peau bleue de Méditerranée par l'association Stellaris[96], et l'étude des cétacés[97].

En 2016, elle participe à la surveillance d'une plage de Saint-Aygulf sur laquelle une touriste avait signalé la ponte d'une tortue Caouanne[98] - [99].

En 2017, elle crĂ©e et gĂšre un Centre de RĂ©habilitation de la Faune Sauvage, hĂŽpital pour les tortues marines en difficultĂ©, qui y sont soignĂ©es avant d'ĂȘtre remises Ă  la mer[100] - [101] - [102] - [103] - [104]. Ce CRFS est membre de l'Union Française des Centres de Sauvegarde de la faune sauvage[105].

Marineland organise ou participe rĂ©guliĂšrement Ă  de nombreuses actions caritatives : "Dreamnight at the zoo"[106] - [107] - [108] - [109], "RĂȘves d’enfants malades"[110] - [111] - [112] ou encore "JournĂ©e solidaire Petits Princes"[113].

L'association organise rĂ©guliĂšrement des nettoyages de plage et des fonds marins, lors des Ă©vĂšnements "Antib'lastique" et "OpĂ©ration Manta". Les dĂ©chets rĂ©coltĂ©s sont analysĂ©s avant d'ĂȘtre valorisĂ©s dans les diffĂ©rentes filiĂšres de tri sĂ©lectif, et les donnĂ©es ainsi rĂ©coltĂ©es (type et quantitĂ© de dĂ©chets selon la saisonnalitĂ©) sont ainsi transmis au Programme de surveillance des dĂ©chets marins, qui est coordonnĂ© par l’AFB, Agence Française pour la BiodiversitĂ©, et pilotĂ© par IFREMER[114].

Pendant la période de confinement de mars à mai 2020, les activités du Centre de Réhabilitation de la Faune Sauvage de l'Association Marineland se poursuive normalement, avec les soins apportés à trois tortues marines hospitalisées. L'une d'entre elles est remise à la mer pendant le confinement, les deux autres en juin[115] (la jeune tortue baptisée Emma, retrouvée dérivante et attaquée par les oiseaux marins, dont une radiographie a révélé une fracture du membre thoracique droit) et en juillet 2020[116] (la tortue baptisée Ana, atteinte d'une infection pulmonaire, alourdie par 3 kg d'anatifes, et ayant ingéré un sac plastique)[117].

Conservation

Marineland participe à onze programmes programmes européens pour les espÚces menacées (EEP) ou (ESB)[118]. Les programmes européens EEP d'élevage et de conservation d'espÚces menacées sont apparus en 1985. Un tel programme a pour but d'encourager, de surveiller et de donner des conseils pour favoriser l'élevage d'une espÚce menacée en lui conservant ses caractéristiques naturelles, avec pour finalité une éventuelle réintroduction dans la nature ou un renforcement de la population sauvage par l'adjonction de spécimens élevés en parcs zoologiques. Leur gestion est assurée au niveau européen par l'Association européenne des zoos et aquariums (EAZA).

Nom vernaculaire Nom scientifique Type de programme
Ours polaire Ursus maritimus EEP
Grand dauphin Tursiops truncatus EEP
Manchot de Humboldt Spheniscus humboldti EEP
Requin gris Carcharhinus plumbeus ESB
Otarie de Californie Zalophus californianus ESB
Otarie de Patagonie Otaria byronia ESB
Raie Ă  points bleus Taeniura lymma ESB
Otarie de Steller Eumetopias jubatus ESB
Manchot royal Aptenodytes patagonica EEP
Gorfou sauteur Eudyptes chrysocome EEP
LĂ©murien Lemur catta ESB

Le parc fut longtemps coordinateur du programme europĂ©en dĂ©diĂ© au requin gris (Carcharhinus plumbeus)[119], une espĂšce classĂ©e vulnĂ©rable par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), avant de passer la main Ă  l'aquarium de GĂȘnes.


Depuis 2011, l'Association Marineland porte le projet de conservation des tortues marines "ObsTortueMed", qui concerne les trois espĂšces Ă©voluant au large des cĂŽtes azurĂ©ennes et varoises : tortue caouanne, tortue luth et tortue verte, inscrites sur la liste rouge de l’UICN. Ce programme vise Ă  enrichir les donnĂ©es afin de cibler les politiques de conservation et ainsi mieux protĂ©ger l’espĂšce en fonction de son stade ontogĂ©nĂ©tique.

Le programme comprend plusieurs volets : campagne de sensibilisation et de communication ; relevé des observations de tortues marines afin de mieux connaßtre leurs répartitions géographiques et temporelles, la taille des individus et leur comportement ; intervention sur les tortues échouées (prise en charge vétérinaire, réhabilitation et relùcher ; autopsies en partenariat avec le laboratoire vétérinaire départemental des Alpes Maritimes)[120]. Le bilan de chaque campagne annuelle est publié dans les annales du Muséum d'histoire naturelle de Nice et contribue à l'établissement du rapport annuel du réseau de surveillance des échouages de tortues marines[121].

En 2015 et 2016, dans le cadre de la mission Caretta, il a entamé un processus de réintroduction de trois tortues caouannes nées en captivité en 2011 (espÚce classée en danger par l'UICN). Celles-ci sont placées dans un bassin naturel fermé par un filet, dans les ruines du port Mallet, au Cap d'Antibes, entre le port de l'Olivette et la plage des Ondes[122]. Elles y resteront jusqu'au , période pendant laquelle leur capacité à survivre seules sera évaluée.

Échouages d'animaux marins

Des professionnels de Marineland sont dĂ©tenteurs de la carte verte du RĂ©seau National Échouage de l'observatoire Pelagis (universitĂ© de La Rochelle, CNRS), et de la carte verte du RĂ©seau Échouage des Tortues Marines de la SociĂ©tĂ© herpĂ©tologique de France. Ils sont donc habilitĂ©s pour intervenir auprĂšs des animaux en difficultĂ©, Ă©chouĂ©s, qu'ils soient vivants ou morts. Ces interventions sont rĂ©glementĂ©es car elles concernent des espĂšces protĂ©gĂ©es.

C'est dans ce contexte que l'association du parc, Association Marineland, ouvre en 2017 un centre de soins et de réhabilitation de la faune sauvage dédié aux tortues marines trouvées en difficulté. Ce CRFS est membre de l'Union française des centres de sauvegarde de la faune sauvage[105].

En , un bĂ©louga s'Ă©gare dans la Seine, remontant le fleuve sur plus de 150 km en direction de Paris. L'Ă©quipe de Marineland est sollicitĂ©e par la prĂ©fecture de l'Eure pour son expertise en matiĂšre de translocation de cĂ©tacĂ©s[123] - [124].

Recherche scientifique

Le Marineland d'Antibes a créé le Centre de Recherche sur les Cétacés (CRC) en 1998[125], devenu le Centre de Recherche pour la Conservation en 2009, afin d'élargir son champ d'étude à l'ensemble de la faune marine.

Les chercheurs de ce centre ont réalisé de nombreuses études, majoritairement in situ, c'est-à-dire en pleine mer, mais également quelques études ex situ, au sein du Marineland.

Recherche in situ

Les études réalisés concernent toutes l'écologie et l'éthologie des populations de cétacés sauvages.

Parmi celles qui ont fait l'objet d'une publication dans une revue internationale Ă  comitĂ© de lecture, on trouve des Ă©tudes concernant l'habitat[126] et les comportements d'alimentation des grands cachalots[127] en mer MĂ©diterranĂ©e, d'autres sur les relations de compĂ©tition entre niches Ă©cologiques pour l’alimentation entre les cachalots, les dauphins de Risso et les globicĂ©phales noirs[128] - [129], sur les distributions des rorquals communs[130] et des grands dauphins[131] dans le sanctuaire Pelagos.

En 2018, la spĂ©cialiste des tortues marines du parc contribue Ă  une recherche sur la physiologie Ă©nergĂ©tique comparative des tortues Caouannes de MĂ©diterranĂ©e et de l’Atlantique-Nord[132].

Marineland collabore depuis 2016 avec l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (IFREMER) et l’AMOP3 sur une Ă©tude portant sur l’impact de la pĂȘche palangriĂšre ciblant le thon rouge sur la raie pĂ©lagique Pteroplatytrygon violacea dans le cadre du projet REPAST. Ce projet consiste Ă  quantifier l’impact de la pĂȘcherie palangriĂšre du thon rouge sur les espĂšces sensibles, Ă  tester des mesures permettant d’augmenter la sĂ©lectivitĂ© de la palangre, d’attĂ©nuer les impacts dĂ©favorables et d’amĂ©liorer les connaissances biologiques et Ă©cologiques des espĂšces sensibles dans le golfe du Lion. Cette Ă©tude a donnĂ© lieu Ă  la rĂ©daction d’un article scientifique en co-auteurs Marineland et Ifremer : « The effect of hook type and trailing gear on hook shedding and fate of pelagic stingray (Pteroplatytrygon violacea): new insights to develop effective mitigation approaches[133]. » dans le Journal Biological Conservation.

Recherche ex situ

Plusieurs études menées dans les bassins du parc par le CRC ou des chercheurs extérieurs ont fait l'objet de publication dans des revues à comité de lecture. L'une porte sur l'analyse de l'incorporation des isotopes stables provenant de la nourriture chez des cétacés captifs[134], l'autre sur l'évaluation de l'exposition des orques captives à des contaminants (composés organochlorés et hydrocarbures aromatiques polycycliques) via leur alimentation[135].

En 2016, le parc met Ă  la disposition du CNRS les animaux du parc pour une Ă©tude sur le microbiome cutanĂ©, particuliĂšrement mĂ©connu chez les cĂ©tacĂ©s. Cette recherche a fait l’objet d’une publication dans la revue Nature en [136] et permet de renforcer la connaissance de ces animaux pour une Ă©ventuelle application en mer.

En 2018, l'une des recherches effectuées dans le parc par l'université de Madrid sur la mémoire des orques a un retentissement international[137] - [138] - [139] - [140] - [141] - [142]. Cette recherche est également récompensée lors de la Conférence Internationale IMATA (International Marine Trainer Association) avec le prix du meilleur travail de conditionnement opérant[143] - [144], et l'award de la meilleure premiÚre présentation.

Économie

C'est la société nommée Marineland qui gÚre le parc, en son chiffre d'affaires était de 37,3 millions d'euros, avec un résultat net de 5,5 millions d'euros[145]. Parques Reunidos en est l'actionnaire majoritaire via la société Delphinus (85 %)[145]. Le groupe espagnol a quant à lui pour actionnaire majoritaire le fonds d'investissement britannique Arle Capital Partners[146], puis les fonds d'investissement EQT Partners et Elliott Management.

En 2002, il employait 220 personnes de maniÚre permanente, et jusqu'à 550 l'été[147]. En 2015, il en employait toujours environ 200[148].

En 2005, la fréquentation était de 1,25 million de visiteurs[10]. Elle se situait entre 1,2 million[149] et 1,3 million[150] - [151] de visiteurs en 2014. En 2015, le parc est fermé aprÚs les intempéries du , la fréquentation de cette année-là n'est pas connue. Il rouvre le et enregistre une fréquentation à 900 000 visiteurs en fin d'année[152]. En 2017, le parc reçoit 850 000 visiteurs[1].

Au , la sociĂ©tĂ© a rĂ©alisĂ© un chiffre d'affaires de 21 904 300 € et enregistrĂ© une perte nette de 4 566 300 €. Son effectif moyen annuel Ă©tait de 250 salariĂ©s au [153].

Controverses

Captivité des cétacés

À la suite de la diffusion en France du film Blackfish, par la chaĂźne Arte en , la prĂ©sence d'orques en captivitĂ© est de plus en plus remise en question par des associations et une partie de l'opinion publique. Contrairement Ă  ce qu'a dĂ©clarĂ© Ă  la presse l'ancien directeur du parc, Bernard Giampaolo[154], au moins une attaque d'orque sur un soigneur a dĂ©jĂ  eu lieu au Marineland d'Antibes[155].

La controverse autour des orques captives ne concerne pas que la sécurité des soigneurs, elle englobe aussi la santé physique et mentale de ces animaux. Ainsi, malgré les efforts du parc pour assurer la bonne reproduction des orques, il y a eu seulement assez de naissances pour compenser les décÚs, au nombre de 13 en comptant un décÚs survenu dans un autre parc (dont 4 mort-nés).

La longévité des orques a été étudiée en milieu naturel mais les données sont encore incomplÚtes, elles varient en fonction du sexe, et en fonction du type d'orques (résidentes ou nomades)[156]. Chez les orques sauvages résidentes du Pacifique Nord l'espérance de vie moyenne est de 50,2 ans pour les femelles et 29,2 ans pour les mùles[157].

Parmi les orques mortes au Marineland, deux sont des orques rĂ©sidentes du Pacifique Nord, cinq sont des orques du type 1 de l'Atlantique Nord (rĂ©sidentes), et une est une orque nĂ©e captive dont les parents Ă©taient des orques de type 1 de l'Atlantique Nord. La moyenne d'Ăąge du dĂ©cĂšs chez les deux orques du Pacifique Nord est infĂ©rieure Ă  celle des mĂȘmes orques en milieu sauvage.

Les associations opposées à la captivité des cétacés estiment que les conditions de vie sont trop éloignées des conditions de vie en milieu naturel et ne permettent pas de répondre aux besoins physiologiques de ces espÚces (dauphins et orques). En effet, les cétacés sauvages ont un éthogramme riche : chasse de poissons vivants, fouissement du sable pour la recherche de mollusques, nage sur de longues distances...

En 2018, Marineland a reçu l’agrĂ©ment Humane Certified qui garantit la qualitĂ© des soins et du bien-ĂȘtre des animaux de Marineland et de Kid’s Island[158] - [159].

La loi du 30 novembre 2021 contre la maltraitance animale, prévoyant l'interdiction de la captivité des cétacés en 2026, pousse Marineland a envisager des solutions pour relocaliser ses orques captifs. Un projet de transfert dans un delphinarium japonais serait à l'étude. Les associations One Voice et Sea Shepherd critiquent cette option qui priverait les orques d'une vie exempte d'exploitation, dans un sanctuaire[160] - [161].

Captivité des ours polaires

La prĂ©sence des ours polaires au Marineland soulĂšve notamment une controverse liĂ©e Ă  leur bien-ĂȘtre. En effet, malgrĂ© la volontĂ© de faire bĂ©nĂ©ficier aux ours polaires de tempĂ©ratures de l'air plus basses que celles d'Antibes (grottes de glace, locaux de nuit climatisĂ©s, bassins Ă  14 °C), ces tempĂ©ratures restent assez diffĂ©rentes des tempĂ©ratures de l'environnement naturel des ours polaires[162].

Elle soulĂšve aussi une controverse liĂ©e Ă  la cohĂ©rence de la participation du parc au Programme d'Ă©levage europĂ©en (EEP) de l'espĂšce. L'organisme international de protection des ours polaires Polar Bear International affirme que la reproduction en parc zoologique est une solution pour prĂ©server l'espĂšce[163] et que les ours du Marineland jouent le rĂŽle d'ambassadeur auprĂšs du public pour le sensibiliser au rĂ©chauffement climatique, cause principale de la diminution de l'espace vital de l'espĂšce et donc de son dĂ©clin. Les dĂ©tracteurs de cette participation Ă  l'EEP font quant Ă  eux remarquer que la climatisation de l'air des grottes, le maintien de l'eau de mer Ă  14 °C (pourtant naturel, via une eau pompĂ©e Ă  70 m de profondeur en mer) et la fabrication de la glace, procĂ©dĂ©s nĂ©cessaires au maintien des ours polaires dans un climat mĂ©diterranĂ©en gĂ©nĂšrent des gaz Ă  effet de serre et contribuent donc Ă  ce rĂ©chauffement[164]. Ils arguent que cet EEP sera vain si aucun effort suffisant n'est fait pour rĂ©duire ces Ă©missions et prĂ©server la banquise, afin d'y rĂ©introduire l'espĂšce dans le futur[165].

ProcĂšs

En 2002, le parc est poursuivi au civil par des riverains et condamnĂ© par le Tribunal de grande instance de Grasse Ă  dĂ©truire une partie de ses installations. Celles-ci dĂ©passent les 250 m2 rĂ©glementaires fixĂ©s par un texte de 1926 et leur construction a Ă©tĂ© permise grĂące Ă  l'appropriation de voies de circulation, elles ont donc Ă©tĂ© jugĂ©es non conformes au cahier des charges du lotissement du domaine de la Brague dans lequel le parc est construit[147]. Le jugement est confirmĂ© par la cour d'appel d'Aix-en-Provence en 2006, mais n'a pas Ă©tĂ© mis Ă  exĂ©cution, la direction ayant prĂ©fĂ©rĂ© trouver un arrangement financier amiable avec les plaignants[166]. En 2011, ce sont d'autres riverains, gĂ©rants d'un camping voisin, qui annoncent vouloir demander la destruction d'installations[166].

En 2002, Marineland attaque en justice une association de dĂ©fense des orques captives, AARLUK, devant le tribunal de commerce de Grasse pour avoir publiĂ© des photos du transfert de l'orque Shouka vers les États-Unis oĂč elle Ă©tait attendue comme reproductrice. Le procĂšs sera perdu par le parc en 2004, dĂ©boutĂ© sur les accusations d'atteinte au droit Ă  l'image et de diffamation[167].

Films tournés au Marineland

Notes et références

Notes

  1. En 2014, il est le 3e établissement zoologique français le plus fréquenté (derriÚre les zoos de Lyon et de Paris, mais devant les zoos de Lille et de Beauval), et le zoo privé le plus fréquenté de France.

Références

  1. « Le parc Marineland d’Antibes mise sur les attractions sans animaux », sur leparisien.fr,
  2. « Roland de La Poype, le fondateur du parc Marineland est dĂ©cĂ©dĂ© Ă  Saint-Tropez », Nice Matin,‎ (lire en ligne)
  3. « Roland de La Poype, le pĂšre de Marineland, s'est Ă©teint », Nice Matin,‎ (lire en ligne)
  4. (en) « Captive Killer Whales (Historical) », sur CetaBase (consulté le )
  5. « Description Marineland d'Antibes », sur leszoosdanslemonde.com,
  6. « BĂ©bĂ© dauphin, dis-moi comment tu t'appelles ? », Nice Matin,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  7. Delphine Sarran, L'Apprentissage chez les orques (Orcinus orca) en captivitĂ© : ThĂšse pour l'obtention du diplĂŽme d’État de docteur vĂ©tĂ©rinaire, Toulouse, (lire en ligne)
  8. « Marineland. Le leader des parcs marins investit 2M€ », sur lejournaldesentreprises.com,
  9. « Infoparks.com, le guide des parcs de loisirs en Europe... », sur www.infoparks.com (consulté le )
  10. « Antibes : Marineland cédé à l'espagnol Parques Reunidos », sur lesechos.fr,
  11. « Marineland : le groupe Parques Reunidos favori », sur tourmag.com,
  12. « Les deux ours polaires sont arrivĂ©s Ă  Marineland », Nice Matin,‎ (lire en ligne).
  13. « 300 personnes ont manifesté devant le Marineland d'Antibes contre les delphinariums », sur france3-regions.francetvinfo.fr,
  14. « Manifestation contre les parcs marins face Ă  Marineland Ă  Antibes », Nice Matin,‎ (lire en ligne)
  15. « La Dolphin Connection répond à Jon Kershaw », sur blog-les-dauphins.com,
  16. « Le parc de loisirs Marineland se met à l'hÎtellerie », sur lefigaro.fr, .
  17. « PrĂšs de 500 manifestants anti-Marineland rĂ©unis Ă  Antibes », Nice Matin,‎ (lire en ligne).
  18. « Une fronde contre Marineland », sur france3-regions.francetvinfo.fr, .
  19. « PrĂšs de 500 manifestants anti-captivitĂ© aux abords de Marineland Ă  Antibes », Nice Matin,‎ (lire en ligne)
  20. « Une nouvelle manifestation anti-captivité devant Marineland », sur france3-regions.francetvinfo.fr,
  21. « Antibes : le parc de Marineland dévasté par les intempéries », sur Le Parisien, .
  22. « Inondations dans le Sud-Est : le Marineland d'Antibes sous la boue », sur sudouest.fr, .
  23. « "Casse animale" au Marineland d'Antibes aprÚs les violentes inondations. Les installations électriques sont en panne, ce qui fait craindre des pertes dans le parc. », sur tempsreel.nouvelobs.com, .
  24. « Édition spĂ©ciale, interview de Bernard Giampaolo », sur BFM TV, .
  25. « VIDEO. Intempéries sur la CÎte d'Azur : l'étendue des dégùts vue d'hélicoptÚre », sur francetvinfo.fr, .
  26. « Que se passe-t-il au Marineland d'Antibes ? », sur sciencesetavenir.fr, .
  27. « Marineland livre (enfin) son bilan », sur sciencesetavenir.fr, .
  28. « Marineland: une orque est morte à la suite des inondations », sur bfmtv.com, .
  29. « Marineland d'Antibes: L'orque Valentin est mort d'une «torsion intestinale» », sur 20minutes.fr,
  30. « Marineland: plusieurs associations demandent l'ouverture d'une enquĂȘte », Nice Matin,‎ (lire en ligne).
  31. « Marineland d’Antibes : des traces d’hydrocarbures dans le bassin oĂč l’orque Valentin est morte », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  32. « Marineland : le monde du silence ! », sur lepoint.fr, .
  33. « Marineland: la DDPP dément avoir déclaré qu'il y a des traces d'hydrocarbures dans le bassin des orques », sur france3-regions.francetvinfo.fr,
  34. « Le directeur de Marineland, Bernard Giampaolo, remplacĂ© », Nice Matin,‎ (lire en ligne).
  35. « Conditions de captivitĂ© des orques du parc Marineland d'Antibes, 14e lĂ©gislature, Question Ă©crite no 18 911 de M. Jean-Vincent PlacĂ© (Essonne - Écologiste) publiĂ©e dans le JO SĂ©nat du 19 novembre 2015 - page 2677 », sur senat.fr.
  36. « Impact des inondations sur les animaux du Marineland d'Antibes, 14e lĂ©gislature, Question Ă©crite no 18 910 de M. Jean-Vincent PlacĂ© (Essonne - Écologiste) publiĂ©e dans le JO SĂ©nat du 19 novembre 2015 - page 2677 », sur senat.fr.
  37. « Manifestation des anti Marineland à Antibes », sur france3-regions.francetvinfo.fr,
  38. « Marineland d'Antibes: Les anti-captivitĂ© dans la rue, le parc pas prĂȘt Ă  renoncer », sur 20minutes.fr,
  39. « AprÚs SeaWorld, Marineland d'Antibes promet qu'il va changer ses spectacles d'orques », sur rtl.fr, .
  40. « Quand Marineland pollue... en douce », sur lepoint.fr,
  41. Futura, « SalinitĂ© », Futura,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  42. « Marineland d'Antibes: EELV demande un audit et «une étude de reconversion du site» », sur 20minutes.fr,
  43. « Le nouveau directeur gĂ©nĂ©ral de Marineland mise sur le dialogue avec les "anti-captivitĂ©" », Nice Matin,‎ (lire en ligne)
  44. « Marineland d'Antibes: Le parc présente son nouveau directeur et en dit plus sur ses «prochaines orientations» », sur 20minutes.fr (consulté le )
  45. « Antibes : sauvé des eaux, Marineland rouvre ses portes », sur laprovence.com,
  46. Elodie Emery, « Le parc Marineland assignĂ© en justice pour maltraitance animale », Marianne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  47. « Marineland d'Antibes: Sea Shepherd porte plainte pour «maltraitance animale» », 20minutes.fr,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  48. Clara Brunel, « Marineland : Ă  peine rouvert, bientĂŽt devant le juge », Le Point,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  49. « Que se passe-t-il au Marineland d’Antibes ? - Sea Shepherd FR », sur seashepherd.fr (consultĂ© le )
  50. « La plainte de Sea Shepherd contre Marineland finalement irrecevable », sur www.20minutes.fr (consulté le )
  51. « Un dauphin de Marineland meurt d'une "maladie incurable" », Nice Matin,‎ (lire en ligne)
  52. « Marineland d'Antibes: manifestation contre la captivité des mammifÚres marins », sur lexpress.fr,
  53. « Le directeur gĂ©nĂ©ral de Marineland dĂ©missionne », Nice Matin,‎ (lire en ligne)
  54. « Un nouveau patron pour Marineland », Nice-Matin,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  55. « Venez admirer les plus beaux clichĂ©s des visiteurs de Marineland », Nice-Matin,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  56. « Alexia Barrier et la Route du Rhum 2018 », sur www.marineland.fr (consulté le )
  57. Le Site, « Webmag RDR 2018 / destination guadeloupe | Alexia Barrier - Navigatrice », sur www.alexiasailingteam.com (consulté le )
  58. « Exposition photos à Marineland - Environnement - Antibes », sur Site officiel de l'Office de Tourisme (consulté le )
  59. (en) Curry, Erin & Safayi, Sina & Meyerson, Randi & Roth, Terri, « Reproductive trends of captive polar bears in North American zoos: a historical analysis. », JOURNAL OF ZOO AND AQUARIUM RESEARCH.,‎ (lire en ligne)
  60. AFP, « Trois oursons blancs font leurs premiers pas dehors sur la CÎte d'Azur », sur Geo.fr, (consulté le )
  61. « Trois oursons blancs font leurs premiers pas dehors sur la CÎte d'Azur », sur Sciences et Avenir (consulté le )
  62. « Voici comment ont été prénommés les 3 oursons nés à Marineland en décembre », sur Nice-Matin, (consulté le )
  63. « Marineland va rouvrir ses portes le 19 juin », sur Nice-Matin, (consulté le )
  64. « Le Marineland d’Antibes prĂ©pare sa rĂ©ouverture », sur LCI (consultĂ© le )
  65. « Le Marineland d'Antibes a rouvert ses portes », sur France Bleu, (consulté le )
  66. « Un dauphin né au parc Marineland d'Antibes donne naissance à un delphineau, une premiÚre », sur ladepeche.fr (consulté le )
  67. « PHOTOS - Un deuxiÚme dauphin vient de naßtre à Marineland », sur France Bleu, (consulté le )
  68. « Les manchots », sur Marineland.fr
  69. « Antibes : un sixiÚme bébé orque est né au parc Marineland », sur leparisien.fr,
  70. « VIDEO. Un bébé otarie naßt sous les yeux des soigneurs de Marineland », sur www.20minutes.fr (consulté le )
  71. « Vidéo : l'accouplement de deux requins filmé au Marineland d'Antibes », sur www.cnews.fr (consulté le )
  72. « PHOTOS. Son espĂšce est en danger d'extinction... Un bĂ©bĂ© manchot est nĂ© Ă  Marineland », Nice Matin,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  73. « Marineland: un aquarium sensibilisé au respect de l'environnement marin », sur paperblog.fr,
  74. (de) « Flocke und Rasputin leben jetzt in Frankreich », sur tiergarten.nuernberg.de, .
  75. « Antibes: un bébé ours polaire est né à Marineland », sur BFM TV.com,
  76. « Naissance d'un ourson polaire à Antibes », sur Paris Match.com,
  77. « L'ours polaire Hope quitte le Marineland pour la SuĂšde - Zoonaute.net », Zoonaute.net,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  78. « Naissance de trois oursons polaires au parc Marineland sur la CÎte d'Azur », sur Sciences et Avenir (consulté le )
  79. « Naissance de trois oursons polaires au parc Marineland sur la CÎte d'Azur », sur video.geo.fr (consulté le )
  80. « Marineland : le parc en 7 dates », sur varmatin.com,
  81. (en) « Shouka's move to SeaWorld San Diego, bittersweet for activist », sur digitaljournal.com,
  82. (en-US) « France’s Marineland Has Rare Captive Breeding of Coral Shrimpfish », sur Reef Builders | The Reef and Saltwater Aquarium Blog, (consultĂ© le )
  83. « Naissance de deux bĂ©bĂ©s raies Ă  points bleus Ă  Marineland », Nice Matin,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  84. (en-US) « France’s Marineland Has Rare Captive Breeding of Gramma Dejongi », sur Reef Builders | The Reef and Saltwater Aquarium Blog, (consultĂ© le )
  85. (en-US) « Marineland Antibes Successfully Rears Spotfin Anthias », sur Reef Builders | The Reef and Saltwater Aquarium Blog, (consulté le )
  86. « Océanopolis parvient à faire naßtre des poissons de récif coralien menacés », sur France 3 Bretagne (consulté le )
  87. « Les touristes, auxiliaires de la science », sur espaces-naturels.info,
  88. « Article sponsorisĂ© - Fondation Marineland », Nice Matin,‎ (lire en ligne)
  89. « La Ville d'Antibes et la Fondation Marineland valorisent le patrimoine écologique », sur metronews.fr,
  90. « Les programmes de conservation de la Fondation Marineland », sur fondationmarineland.fr
  91. (en) « norwegianorcasurvey », sur norwegianorcasurvey (consulté le )
  92. « Le phoque moine de mĂ©diterranĂ©e : une espĂšce Ă  protĂ©ger d’urgence | Regard sur la Croatie », sur regardsurlacroatie.com (consultĂ© le )
  93. « RTMMF | Société Herpétologique de France | La SHF », sur lashf.org (consulté le )
  94. Nikos Alexandris, Bruno Chatenoux, Laura Lopez Torres et Pascal Peduzzi, Monitoring the Restoration of Mangrove Ecosystems from Space, (lire en ligne)
  95. « Monitoring the restoration of mangrove ecosystems by space », sur grid.unep.ch,
  96. « Partenaires de l'association Stellaris », sur stellaris-asso.org (consulté le )
  97. MylĂšne Muller, « Campagne d’observation aĂ©rienne des animaux marins », sur finesse-max.com,
  98. Anne Le Hars, « Les bĂ©bĂ©s tortues ont rejoint la mer Ă  FrĂ©jus aprĂšs deux mois de suspense », France 3 RĂ©gions,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  99. « PHOTOS. Retour sur l'Ă©popĂ©e exceptionnelle des Ɠufs de tortues pondus dans le sable varois », Nice-Matin,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  100. Laurent Verdi, « Un hĂŽpital pour tortues marines Ă  Antibes », France 3 Provence-Alpes,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  101. « VIDEO. CÎte d'Azur: Récupérée mal en point, la tortue Léopold soignée et remise en liberté », sur www.20minutes.fr (consulté le )
  102. Catherine Lioult, « Hope, la tortue caouanne blessĂ©e retrouve la libertĂ© au large d'Antibes », France 3 Provence-Alpes,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  103. « Une troisiĂšme tortue prise en charge au Cap d'Antibes », Nice-Matin,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  104. « Un centre de soin pour les tortues blessĂ©es Ă  Antibes », Nice-Matin,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  105. « Marineland - Le site de l'UFCS », sur www.ufcs.fr (consulté le )
  106. Marie Morin, « "Nuit de rĂȘve" au Marineland pour les enfants malades », France 3 RĂ©gions,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  107. Marineland CÎte d'Azur, « Marineland TV - Reportage N°118 - Dreamnight at the zoo 2016 à Kid's Island », (consulté le )
  108. Marineland CÎte d'Azur, « Marineland TV - Actu N°112 - 4eme édition pour Dreamnight at the zoo », (consulté le )
  109. Marineland CÎte d'Azur, « Marineland TV - Actu N°175 - Dreamnight 2017 », (consulté le )
  110. « Le rĂȘve de Nathan et les dauphins »
  111. « Le rĂȘve de Thomas - Association Aladin Ă  Bordeaux, soutient les enfants gravement malades », Association Aladin Ă  Bordeaux, soutient les enfants gravement malades,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  112. « Newsletter Make a wish »
  113. « Tous aux parcs pour dĂ©crocher les Ă©toiles ! », Association Petits Princes,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  114. « LUTTE CONTRE LA POLLUTION MARINE », sur www.marineland.fr (consulté le )
  115. « Soignée, une petite tortue caouanne remise à la mer ce mercredi au large d'Antibes », sur France 3 Provence-Alpes-CÎte d'Azur (consulté le )
  116. « Sainte-Maxime : Ana, la tortue avec des crustacés sous sa carapace et du plastique dans le ventre, a été remise à la mer », sur France 3 Provence-Alpes-CÎte d'Azur (consulté le )
  117. « VIDÉOS. Retour en mer pour Ana, la tortue repĂȘchĂ©e avec un sac plastique dans l'intestin », sur Var-Matin, (consultĂ© le )
  118. (en-US) « Programmes EAZA », sur www.eaza.net (consulté le )
  119. (en) « EAZA Activities > Collection Planning > EEPs and ESBs », sur eaza.portal.isis.org (consulté le )
  120. « Bilan de la campagne ObsTortueMed 2017 », sur www.marineland.fr, (consulté le )
  121. Claro, « LES RÉSEAUX DE SURVEILLANCE DES ÉCHOUAGES DE TORTUES MARINES en France mĂ©tropolitaine »
  122. « Des tortues marines nées en captivité s'acclimatent au milieu marin à Antibes », sur france3-regions.francetvinfo.fr,
  123. « Trois soigneurs de Marineland à la rescousse du béluga en Normandie », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le )
  124. « Pour sauver le bĂ©luga dans la Seine, l’extraction vers la mer dĂ©sormais privilĂ©giĂ©e », sur Le HuffPost, (consultĂ© le )
  125. « Le CRC Marineland », sur fondationmarineland.fr
  126. (en) Praca E., Gannier A., Das K. et Laran S., « Modelling the habitat suitability of cetaceans: Example of the sperm whale in the northwestern Mediterranean Sea. », Deep Sea Research Part I : Oceanographic Research Papers, no 56,‎ , p. 648-657 (lire en ligne)
  127. (en) Drouot V., Gannier A. et C. Goold J., « Diving and Feeding Behaviour of Sperm Whales (Physeter macrocephalus) in the Northwestern Mediterranean Sea. », Aquatic Mammals, vol. 3, no 30,‎ , p. 419-426 (lire en ligne)
  128. (en) Praca E. et Gannier A., « Ecological niches of three teuthophageous odontocetes in the northwestern Mediterranean Sea. », Ocean Science, no 4,‎ , p. 49-58 (lire en ligne)
  129. (en) Praca E., Laran S. et Lepoint G., ThomĂ© J.P., Quetglas, A., Belcari P., Sartor, P., Dhermain F., Ody D., Tapie N., Budzinski H. et Das K., « Toothed whales in the northwestern Mediterranean, insight in their feeding ecology using chemical tracers. », Marine Pollution Bulletin, no 62,‎ , p. 1058-1065 (lire en ligne)
  130. (en) Laran S. et Gannier A., « Spatial and temporal prediction of fin whale distribution in the northwestern Mediterranean Sea. », ICES Journal of Marine Science, no 65,‎ (lire en ligne)
  131. (en) Gnone G., Bellingeri M., Dhermain F., Dupraz F., Nuti S., Bedocchi D., Moulins A., Rosso M., Alessi J., Mccrea R., Azzellino A., Airoldi S., Portunato N., Laran S., David L., Di Meglio N., Bonelli P., Montesi G., Trucchi R., Fossa F., Wurtz M., « Distribution, abundance, and movements of the bottlenose dolphin (Tursiops truncatus) in the Pelagos Sanctuary MPA (north-west Mediterranean Sea). », Aquatic Conservation: Marine and Freshawater Ecosystems,‎ (lire en ligne)
  132. (en) « Comparative physiological energetics of Mediterranean and North Atlantic loggerhead turtles », Journal of Sea Research,‎ (ISSN 1385-1101, DOI 10.1016/j.seares.2018.06.010, lire en ligne, consultĂ© le )
  133. (en) Poisson, François, « The effect of hook type and trailing gear on hook shedding and fate of pelagic stingray (Pteroplatytrygon violacea): New insights to develop effective mitigation approaches », Marine Policy, Volume 107, September 2019, 103594,‎ (lire en ligne)
  134. (en) StĂ©phane Caut, Sophie Laran, Emmanuel Garcia-Hartmann, et Krishna Das, « Stable isotopes of captive cetaceans (killer whales and bottlenose dolphins). », The Journal of Experimental Biology, no 214,‎ , p. 538-545 (lire en ligne)
  135. (en) Formigaro C, HenrĂ­quez-Hernandez LA, Zaccaroni A, Garcia-Hartmann M, Camacho M, Boada LD, Zumbado M et Luzardo OP, « Assessment of current dietary intake of organochlorine contaminants and polycyclic aromatic hydrocarbons in killer whales (Orcinus orca) through direct determination in a group of whales in captivity. », Science of the Total Environment, no 472,‎ , p. 1044-1051 (lire en ligne)
  136. (en) M. Chiarello, S. VillĂ©ger, C. Bouvier et J. C. Auguet, « Captive bottlenose dolphins and killer whales harbor a species-specific skin microbiota that varies among individuals », Scientific Reports, vol. 7, no 1,‎ (ISSN 2045-2322, DOI 10.1038/s41598-017-15220-z, lire en ligne, consultĂ© le )
  137. (en-GB) Helen Briggs, « The killer whale that can 'speak' », BBC News,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  138. « VIDEO. Marineland d'Antibes : L’orque Wikie apprend les bonnes maniĂšre, elle sait mĂȘme dire « hello » (et ce n'est pas une fake news) », sur www.20minutes.fr (consultĂ© le )
  139. (en) Alice Kantor et Lauren Said-Moorhouse, « Killer whale learns how to mimic human speech », CNN,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  140. (en) « Killer whale says 'hello' », sur BBC News (consulté le )
  141. « Francia: ecco Wikie, l'orca parlante - Video Tgcom24 », sur Tgcom24 (consulté le )
  142. (en) « 'Talking' Orca Imitates Human Words—See More Animal Mimics », National Geographic,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  143. « Le parc Marineland rĂ©compensĂ© pour avoir appris Ă  une orque Ă  imiter les sons humains », Nice-Matin,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  144. « Le Marineland d'Antibes rĂ©compensĂ© Ă  la confĂ©rence annuelle d’IMATA - Zoonaute.net », Zoonaute.net,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  145. HélÚne Meziani et Cathy Alegria, « Les parcs de loisirs en France », sur xerfi.com,
  146. (es) « Parques Reunidos: las ‘clarisas’ vuelven a bolsa con Morgan Stanley y Deutsche Bank », sur elconfidencial.com,
  147. « La justice fait barrage au Marineland », sur Liberation.fr,
  148. « Marineland d'Antibes : 90 % des installations dévastées par les inondations », (consulté le )
  149. « Chiffre clés du tourisme CÎte d'Azur », sur cotedazur-touriscope.com,
  150. Juliette Garnier, « Seaworld touche le fond aprĂšs la diffusion d'un documentaire », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  151. Les investissements touristiques en PACA, brochure Edition 2015
  152. « Le Marineland d'Antibes va-t-il couler ? », LaProvence.com,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  153. « Marineland », sur www.societe.com (consulté le )
  154. Fabrice Pouliquen, « Orques en captivitĂ© : L’effet «Blackfish» peut-il gagner Marineland ? », sur 20 Minutes, (consultĂ© le ) : « Nous avons jamais eu un seul incident avec l’une de ses orques »
  155. (en) « Killer Whale attacks trainer », sur Youtube, (consulté le )
  156. (en) « Fisheries Home » Protected Resources » Species » Killer whale (Orcinus orca) », sur nmfs.noaa.gov,
  157. (en) PF Olesiuk, MA Bigg et GM Ellis, Department of Fisheries and Oceans, Pacific Biological Station, Nanaimo, B.C., Canada, « Life history and population dynamics of resident killer whales (Orcinus orca) in the coastal waters of British Columbia and Washington State », Report of the International Whaling Commission, Special Issue 12,‎ , p. 209 Ă  243 (ISSN 0255-2760, lire en ligne)
  158. « Le bien-ĂȘtre des animaux certifiĂ© par American Humane Conservation », La Provence,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  159. « Marineland obtient une certification concernant le bien-ĂȘtre et les soins apportĂ©s aux animaux », Nice-Matin,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  160. « Les orques de Marineland d'Antibes vont-elles partir dans un parc animalier au Japon ? », sur France 3 Provence-Alpes-CÎte d'Azur, (consulté le )
  161. « Marineland « étudie plusieurs possibilités de relocalisation » pour ses orques », sur www.20minutes.fr, (consulté le )
  162. Dans les rĂ©gions du monde abritant des ours polaires sauvages comme l'Alaska (États-Unis), l'Ăźle Wrangel (Russie), et le Groenland, les tempĂ©ratures moyennes de l'air varient de −27 °C Ă  5 °C. Il en va de mĂȘme pour la tempĂ©rature moyenne de l'eau, qui varie entre −1 °C et −1,5 °C en rĂ©gion arctique.
  163. (en) « What is PBI’s position on polar bears in zoos? - Polar Bears International », sur polarbearsinternational.org (consultĂ© le )
  164. « Antibes : naissance d’un ours polaire dans un frigo nommĂ© “Marineland” », sur zoo-de-france.com,
  165. « Les zoos, derniĂšre solution pour sauver les ours polaires ? », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  166. « Nouveaux ennuis judiciaires de Marineland avec le voisinage », Nice Matin,‎ (lire en ligne)
  167. « Le Marineland d’Antibes traĂźne ses dĂ©tracteurs en justice », sur dauphinlibre.be, (consultĂ© le )
  168. « A quelle famille le dauphin appartient-il ? - C'est Pas Sorcier » (consulté le )
  169. « C'est pas sorcier - Les dauphins - Vidéo dailymotion », sur Dailymotion (consulté le )
  170. « Les animaux de la 8 : Marineland - Magazine - Télé-Loisirs » (consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.