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Macau (Gironde)

Macau est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Macau
Macau (Gironde)
L'hĂŽtel de ville.
Blason de Macau
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Bordeaux
Intercommunalité Communauté de communes Médoc Estuaire
Maire
Mandat
Chrystel Colmont-Digneau
2020-2026
Code postal 33460
Code commune 33262
DĂ©mographie
Gentilé Macaudais
Population
municipale
4 478 hab. (2020 en augmentation de 13,54 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 229 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 00â€Č 33″ nord, 0° 36â€Č 46″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 26 m
Superficie 19,56 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Macau
(ville isolée)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Sud-MĂ©doc
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Macau
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Macau
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Macau
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Macau
Liens
Site web www.ville-macau.fr/

    Ses habitants s'appellent les Macaudais/Macaudaises[1].

    GĂ©ographie

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune de Macau, traversĂ©e par le 45e parallĂšle nord, est de ce fait situĂ©e Ă  Ă©gale distance du pĂŽle Nord et de l'Ă©quateur terrestre (environ 5 000 km). Commune de l'aire d'attraction de Bordeaux situĂ©e dans le MĂ©doc sur la rive gauche de l'estuaire de la Gironde, dans la zone de production du haut-mĂ©doc.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Margaux-Cantenac, Ludon-MĂ©doc, AmbĂšs, Arsac, Bayon-sur-Gironde, Labarde et Le Pian-MĂ©doc.

    Hydrographie

    La Garonne et l'estuaire de la Gironde bordent l'est de la commune.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 927 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Gervais », sur la commune de Saint-Gervais, mise en service en 1995[8] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 784,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bordeaux-MĂ©rignac », sur la commune de MĂ©rignac, mise en service en 1920 et Ă  19 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  13,8 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  14,2 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Macau est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Macau, une unitĂ© urbaine monocommunale[18] de 4 478 habitants en 2020, constituant une ville isolĂ©e[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (56,1 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (57,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : eaux continentales[Note 7] (20,3 %), cultures permanentes (20,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (13,7 %), prairies (12,7 %), forĂȘts (12,3 %), zones urbanisĂ©es (9,6 %), terres arables (9,6 %), zones humides cĂŽtiĂšres (1,6 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,2 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Macau est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, et le risque industriel[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de Bordeaux, regroupant les 28 communes concernĂ©es par un risque de submersion marine ou de dĂ©bordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[26]. Les crues significatives qui se sont produites au XXe siĂšcle, avec plus de 6,70 m mesurĂ©s au marĂ©graphe de Bordeaux sont celles du (7,05 m, dĂ©bit de la Garonne de 700 m3/s), du (6,85 m, 1500 Ă  2 000 m3/s), du (6,84 m, 4 000 m3/s), du (6,77 m, 1 000 m3/s) et du (6,73 m, 2 700 m3/s). Au XXIe siĂšcle, ce sont celles liĂ©es Ă  la tempĂȘte Xynthia du (6,92 m, 816 m3/s) et du (6,9 m, 2500 Ă  3 000 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[27]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1985, 1988, 1999, 2009, 2018 et 2020[28] - [24].

    Macau est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[29]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[30] - [31].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Macau.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 84,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 610 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 610 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[33].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

    Risques technologiques

    La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[34].

    Toponymie

    Ce toponyme gascon était jadis documenté sous les formes Maquau ou Macquau (1273), Machau (1311, 1359)[35]. Ce nom proviendrait d'un terme présumé *machalus[35]. On notera qu'en 1190, le canal séparant l'ßle de Machanina (aujourd'hui soudée à la terre ferme) se nommait déjà la Maqueline (deux variantes de *machalina, un dérivé du toponyme).

    Deux théories ont été avancées pour tenter d'élucider la signification du toponyme Macau :

    • en latin, malum cavum signifie 'mauvais creux'. Il s'agirait d'une contraction de ces termes, qui aurait dĂ» donner *maucau, une formation par ailleurs inconnue en toponymie gasconne ;
    • le mot macallus dĂ©signe une fosse et pourrait ĂȘtre Ă  l'origine du nom de cette commune.

    À noter qu'au Moyen Âge, le bateau assurant les liaisons entre la moyenne et la basse Garonne, s'appelait un macau[36]. Ce nom est vraisemblablement empruntĂ© Ă  celui de la commune.

    Macau étant en Médoc, pays gascon, la plupart des lieux-dits anciens y sont explicables par le gascon, par exemple le Castéra, le Junca, les Garrabas, le Plantey, (la ?) Haoure, PichelÚbre, le Caminot de Sauve[37]...

    Histoire

    Le bourg de Macau existerait depuis l'époque gallo-romaine, comme semblent le prouver des traces de voies romaines découvertes à Gironville.

    La ville connut une destruction au IXe siĂšcle par les Normands.

    Un texte de 1027 stipule que Guillaume V, duc d'Aquitaine et comte de Poitiers, fit donation au monastĂšre Sainte-Croix de Bordeaux, de l'Ă©glise Sainte-Marie-de-Macau et de l'Ăźle adjacente de Macau.

    Un souterrain reliait le chùteau fort de Gironville à l'église de Macau. Pour des raisons de sécurité, il a été muré à son entrée sous le clocher de l'église. Des pans de murs ont été trouvés dans les vignobles qui séparaient Gironville du clocher-donjon.

    La légende rapporte que le chùteau fort de Gironville aurait été peint avec le sang des anglais lors de la guerre de cent ans. Pour faire perdurer cette légende l'actuel chùteau de Gironville, de construction beaucoup plus récente, est toujours peint en rouge.

    Le port de Macau est situé sur le bord de la Garonne à 800 mÚtres de l'église. Ce petit port comportait une cale sur laquelle étaient roulées les barriques de vin qui étaient ensuite embarquées sur des gabares pour rejoindre les chais des négociants bordelais. Un petit chantier naval a été en activité jusque dans les années 1960, quelques bateaux de plaisance en bois y ont été construits.

    Une petite morgue aurait aussi existé dans ce port car les courants du fleuve déposaient les corps des malheureux naufragés sur ces rivages.

    HĂ©raldique

    Armes

    Les armes de Macau se blasonnent ainsi :

    TaillĂ©, au premier d’azur Ă  la nef Ă©quipĂ©e et habillĂ©e d’argent voguant sur une riviĂšre de trois filets ondĂ©s de sable, au deuxiĂšme de sable Ă  l’église du lieu d’argent ajourĂ©e du champ ; Ă  la barre d’or brochant sur la partition et chargĂ©e en abĂźme d’un artichaut de sinople accompagnĂ©, en chef et en pointe, de deux grappes de raisin de gueules tigĂ©es et vrillĂ©es de sable, le tout posĂ© Ă  plomb[38].

    L'artichaut évoque la variante introduite au début du XIXe siÚcle par le pépiniériste et botaniste Toussaint-Yves Catros, qui sous le nom d'artichaut de Macau fut largement cultivé par les maraßchers locaux. Cet artichaut n'est plus cultivé aujourd'hui.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Macau appartient à l'arrondissement de Bordeaux et au canton du Sud-Médoc créé lors du redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle était rattachée au canton de Blanquefort.

    Pour l’élection des dĂ©putĂ©s, la commune fait partie de la cinquiĂšme circonscription de la Gironde, reprĂ©sentĂ©e depuis 2017 par BenoĂźt Simian (MRSL, ex-LREM).

    Intercommunalité

    Depuis 2002, Macau est membre de la communauté de communes Médoc Estuaire.

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement Ă©tant compris entre 3 500 et 4 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 27[39].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Maire en 1901 ? Armand Lalanne[40]
    Les données manquantes sont à compléter.
    Maire en 1953 ? M. Lagunegrand
    ? ? Jean Fournier
    Maire en 1971 ? Jacques Goigoux Pharmacien
    1980[41] Jean Macé PS Ingénieur
    mars 1989[42] Jean-Claude VergĂšs DVG RĂ©Ă©lu en 1995 et 2001
    mars 2008 En cours
    (au 26 mai 2020)
    Chrystel Colmont-Digneau[43] DVG (ex-PS) Chargée de mission puis chef de projet
    1re vice-présidente de la CC Médoc Estuaire[44]
    RĂ©Ă©lue en 2014[45] et 2020
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[47].

    En 2020, la commune comptait 4 478 habitants[Note 8], en augmentation de 13,54 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 8001 2891 3741 4301 4921 5261 5821 6261 630
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5871 7051 8051 7971 9201 9342 0491 8851 906
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9311 9121 7311 4721 4451 3731 2831 2861 448
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 8012 0172 0652 3492 6482 8903 1543 1963 447
    2014 2019 2020 - - - - - -
    3 9444 4104 478------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee Ă  partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Galerie de photos

    • L'Ă©glise Notre-Dame.
      L'Ă©glise Notre-Dame.
    • Le monument aux morts devant l'Ă©glise Notre-Dame.
      Le monument aux morts devant l'Ă©glise Notre-Dame.
    • Le chĂąteau Plaisance.
      Le chĂąteau Plaisance.
    • Maison de maitre.
      Maison de maitre.
    • Maisons traditionnelles.
      Maisons traditionnelles.
    • Maisonnette en bord de Gironde.
      Maisonnette en bord de Gironde.

    Personnalités liées à la commune

    • Louis Bignon (1816-1906), restaurateur qui fit du CafĂ© Riche l'un des restaurants les plus rĂ©putĂ©s de Paris. Il acheta le chĂąteau de la Houringue Ă  Macau, remit en Ă©tat le vignoble ; il est mort dans la commune.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 27 février 2013.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Gervais - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Macau et Saint-Gervais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Gervais - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Macau et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Macau », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
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