Les Reportages de Martin Weill

Le premier numéro du magazine présenté par Martin Weill est diffusé le 11 décembre 2018 sur TMC. Il est consacré aux nouveaux maîtres à penser « qui nous promettent le bonheur à certaines conditions »[4].

Dans ce deuxième numéro, diffusé le 5 mars 2019, Martin Weill s'intéresse au culte du corps et à la recherche de la "perfection", voire de l'immortalité.

Diffusé le 2 avril 2019, ce numéro s'intéresse à Las Vegas, la « ville du pêché », son commerce légal de cocaïne, l'industrie du sexe et les chevaux sauvages du Nevada.

Numéro diffusé le 28 mai 2019 et consacré à la route parcourue par la cocaïne, de sa fabrication en Colombie à sa consommation en France.

Diffusé le 11 septembre 2019, jour anniversaire des attentats du 11 septembre, ce numéro s'intéresse aux théories du complots qui inondent aujourd'hui les réseaux sociaux. Des États-Unis à l'Afrique du Sud, Martin Weill et ses équipes essaient de comprendre comment ces théories naissent, se nourrissent et se répandent[9] - [10].

Diffusé le 12 novembre 2019[11], ce numéro se divise en deux parties, consacrées respectivement au Brésil et à l'Amazonie, un an après l'élection de Jair Bolsonaro[12].

Dans ce numéro, diffusé le 11 février 2020, Martin Weill enquête sur les conséquences du tourisme de masse sur l'environnement, le patrimoine ou le bien-être animal[13] - [14].

Dans ce numéro diffusé le 10 mars 2020, Martin Weill se plonge dans la campagne de l'élection présidentielle américaine de 2020[15].

Diffusé le 5 mai 2020[16], ce numéro poursuit la série de documentaires consacrés à l'élection présidentielle américaine de 2020 et s'intéresse à l'idéal de l'American Dream à l'aube de la pandémie de Covid-19. Martin Weill rencontre ainsi des personnes symbolisant le succès du rêve américain telles que Zaya Younan, immigré iranien devenu milliardaire grâce à l'immobilier ou David Arrington, exploitant de pétrole installé à Midland, mais aussi les victimes des inégalités engendrées par ce système, notamment dans leur accès aux services publics et aux soins[17].

• Réalisateurs : Jawar Nadi et Robin Braquet

Diffusé le 26 mai 2020[18], ce numéro se consacre à la fin du confinement déclenché lors de la pandémie de Covid-19 en France et en Europe et aux conséquences de celle-ci sur l'organisation des vacances d'été, entre liberté retrouvée et respect des gestes barrière[19]. Ainsi, Martin Weill rencontre des opposants aux mesures sanitaires, notamment à Berlin, puis se rend à Venise et Ibiza pour constater les conséquences de la crise sanitaire sur le tourisme. L'émission se conclut par un entretien avec la maire de Paris, Anne Hidalgo, autour des aménagements censés accompagner le déconfinement et le retour des touristes.

Dans ce numéro diffusé le 29 septembre 2020[20], Martin Weill s'intéresse au malaise grandissant entre les policiers et une partie de la population française, alors que les forces de l'ordre font face à une multitude d’accusations de violences et de racisme. Il se rend ainsi dans l'école de police de Reims afin de discuter avec de futurs policiers et leurs formateurs, au commissariat central de Roubaix afin d'accompagner une brigade en patrouille, à Grenoble pour rencontrer une brigade de la BAC ou encore à Marseille auprès de policiers issus de la diversité. Le journaliste se rend également dans les quartiers sensibles où la colère et la défiance montent contre les interventions policières, puis à Dreux où une colonie de vacances tente de rétablir le contact entre la jeunesse et la police. L'émission se termine par une interview du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin[21].

Ce numéro est diffusé le 3 novembre 2020, jour de l'élection présidentielle américaine[22]. À cette occasion, Martin Weill dresse le portrait des États-Unis après 4 années de Donald Trump au pouvoir avec un road-trip au cours duquel il fait la rencontre de miliciens d'extrême-droite, d'Afro-américains en colère, de complotistes et autres militants pro-Trump ou pro-Biden[23].

Dans ce numéro, diffusé le 26 janvier 2021[24], Martin Weill se penche sur la progression du complotisme depuis le début de la pandémie de Covid-19. Il part alors à la rencontre de manifestants opposés à la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement français et s'intéresse au film polémique « Hold-up » et à l'un de ses participants, l'avocat Carlo Alberto Brusa. Le journaliste s'attarde ensuite sur le site complotiste FranceSoir, fondé par Xavier Azalbert et qui reprend le nom et le site web du quotidien France-Soir, racheté par l'entrepreneur. Enfin, l'émission aborde la mouvance conspirationniste américaine QAnon ainsi que le « Conseil national de transition », un groupuscule souhaitant renverser le gouvernement français. Enfin, Martin rencontre le journaliste Thomas Huchon, qui organise des formations à la détection des fausses informations dans les collèges[25].

Ce numéro diffusé le 2 mars 2021[26] s'intéresse aux questions du genre, de binarité et non-binarité, et de transidentité. Martin Weill part à la rencontre de Marie Cau, première maire transgenre élue en France, ainsi que de Lilie, 8 ans, Lilo, 15 ans, et Océan, réalisateur et comédien, qui ont décidé d'entamer leur transition. Bilal Hassani et Kiddy Smile témoignent également de leur manière d'appréhender leur identité et de jouer avec les codes du masculin et du féminin[27].

Ce numéro est diffusé le 20 avril 2021[28] et est consacré à la question du bien-être animal. Martin Weill accompagne le photographe Jérémie Villet dans le massif des Fiz pour discuter avec lui de la chute de la biodiversité. Il s'intéresse ensuite aux parcs zoologiques, devenus des lieux de préservation des espèces pour les uns, mais décriés par les autres, en se rendant au Bioparc de Doué-la-Fontaine. Le journaliste rencontre également des gardians qui élèvent leurs chevaux en liberté en Camargue et évoque avec eux la question de la domestication et du dressage. Martin se rend ensuite auprès du chanteur Julien Doré, engagé pour la cause animale. Enfin, le journaliste rencontre une éleveuse de charolaises qui, après les scandales engendrés par les vidéos d'abattoirs publiées par l'association L214, a décidé de faire abattre ses vaches directement à la ferme[29].

Dans ce numéro diffusé le 18 mai 2021[30], Martin Weill se penche sur le phénomène de la télé-réalité et ses coulisses et tente de comprendre comment elle s'est transformée en partant à la rencontre des personnes qui la fabriquent, celles qui y participent et celles qui l'étudient. Le journaliste se rend ainsi chez des stars de la télé-réalité, dans des sessions de casting, à Dubaï, nouvel eldorado des influenceurs, ainsi qu'à la Sorbonne, où est organisé un concours d'éloquence mettant en scène le procès fictif de la télé-réalité[31].

Ce numéro, diffusé le 9 juin 2021[32], est consacré à la manière dont l'ésotérisme - de l'astrologie à la magie, en passant par la cartomancie et le tarot - parvient à attirer une partie de la jeunesse au travers des réseaux sociaux tels qu'Instagram ou TikTok[33].

Dans ce numéro diffusé le 13 octobre 2021[34], Martin Weill et son équipe s'intéressent à la violence chez les jeunes, aussi bien entre eux que contre les institutions ou les élus, et s'interrogent sur la réalité de l'augmentation de ces violences et de ce que certains qualifient d'« ensauvagement »[35].

Dans ce numéro diffusé le 23 novembre 2021[36], Martin Weill s'intéresse aux néo-réactionnaires et à leurs nouvelles méthodes de communication, notamment sur les réseaux sociaux. Le journaliste part ainsi à la rencontre de spécialistes de la droite radicale ainsi que d'influenceurs de la sphère identitaire[37]. Il se penche notamment sur « Génération Z », mouvement de jeunesse soutenant la candidature d'Éric Zemmour à l'élection présidentielle, et sur son fondateur, Stanislas Rigault. Martin Weill rencontre également Erik Tegnér, cofondateur du média conservateur Livre noir, à l'occasion d'une rencontre entre Éric Zemmour et Viktor Orbán, premier ministre hongrois[38].

Diffusé le 5 janvier 2022[39], ce numéro est consacré aux nouvelles définitions du bonheur. Martin Weill part ainsi autour du monde à la rencontre de jeunes adultes qui ont radicalement changé de vie, chacun vivant sa propre vision du bonheur[40].

Ce numéro est diffusé le 8 février 2022[41]. Martin Weill et son équipe s'intéressent aux nouveaux modes de consommation de la mode par la jeunesse, tiraillée entre fast fashion et conscience écologique[42].

Diffusé le 22 mars 2022[43], ce numéro est consacré au retour en force de la religion au sein de la jeunesse. Martin Weill part à la rencontre de jeunes catholiques, juifs orthodoxes modernes et musulmans afin de comprendre les rapports qu'ils entretiennent avec ces institutions millénaires[44].

Dans ce reportage diffusé le 19 avril 2022, Martin Weill s'intéresse à l'invasion de l'Ukraine par la Russie et à la vie des ukrainiens en temps de guerre. Le journaliste se rend notamment à Boutcha, ville marquée par le massacre de victimes civiles[45].

Ce numéro, diffusé le 4 mai 2022[46], est consacré à la vie de la jeunesse afghane sous le nouveau régime des talibans. Martin Weill se rend ainsi en Afghanistan pour rencontrer des jeunes dont la vie est chamboulée par les restrictions de liberté, ainsi que des soldats talibans du même âge[47].

Dans ce numéro diffusé le 21 septembre 2022[48], Martin Weill s'intéresse à ceux qui se préparent à la fin du monde, alors que 65% des français estiment qu’un effondrement de notre société pourrait arriver dans les prochaines années[49].

Diffusé le 8 novembre 2022, ce numéro s'intéresse à la fracture en progressistes et conservateurs à l'approche des midterms aux États-Unis. Martin Weill sillonne ainsi la Californie, état progressiste dirigé par les Démocrates et le Texas, conservateur et dirigé par les Républicains, symboles de deux Amériques irréconciliables[50].

Diffusé le 10 janvier 2023[51], ce reportage s'intéresse à la montée des partis d'extrême droite en Europe avec les victoires électorales du parti nationaliste les Démocrates de Suède ou de Giorgia Meloni en Italie[52].

Dans ce reportage, diffusé le 28 février 2023[53], Martin Weill se rend dans la ville de Lagos au Nigeria, qui pourrait devenir la plus grande ville du monde d'ici la fin du siècle, du quartier riche et moderne d'Eko Atlantic City au bidonville de Makoko, afin d'avoir un aperçu de ce que pourraient être les mégapoles du futur[54].