Les Monts-Verts
Les Monts-Verts est une commune française, située dans le nord-ouest du département de la LozÚre en région Occitanie.
Les Monts-Verts | |
Le bourg d'Arcomie. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | LozĂšre |
Arrondissement | Mende |
Intercommunalité | Communauté de communes des Hautes Terres de l'Aubrac |
Maire Mandat |
Christian Fines 2020-2026 |
Code postal | 48200 |
Code commune | 48012 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Vermondoi |
Population municipale |
342 hab. (2020 ) |
Densité | 12 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 44° 51âČ 31âł nord, 3° 12âČ 21âł est |
Altitude | Min. 916 m Max. 1 164 m |
Superficie | 29,13 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Saint-Chély-d'Apcher (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Peyre en Aubrac |
LĂ©gislatives | Circonscription de la LozĂšre |
Localisation | |
Liens | |
Site web | lesmontsverts.wixsite.com/mairie |
Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le ruisseau d'Arcomie, le ruisseau de Malagazagne, le ruisseau de Gourdine, le ruisseau de Rieubain et par divers autres petits cours d'eau.
Les Monts-Verts est une commune rurale qui compte 342 habitants en 2020, aprÚs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher. Ses habitants sont appelés les Vermondois ou Vermondoises.
GĂ©ographie
Localisation
La commune est située dans le nord du département de la LozÚre et est limitrophe du Cantal.
Communes limitrophes
Ă l'est, la commune de Blavignac n'est distante que de 200 mĂštres environ[1].
Hameaux et lieux-dits
Les Monts-Verts se composent de trois villages : Le Bacon (chef-lieu de la commune), Berc et Arcomie.
Hydrographie
Le ruisseau d'Arcomie y prend sa source et le ruisseau de Malagazagne, le ruisseau de Rieubain, le ruisseau de Chabanettes.. parcourent la commune.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Pour ce type de climat, la tempĂ©rature dĂ©croĂźt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nĂ©bulositĂ© minimale en hiver et maximale en Ă©tĂ©. Les vents et les prĂ©cipitations varient notablement selon le lieu[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[2].
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Deux-Verg », sur la commune de Deux-Verges, mise en service en 1980[7] et qui se trouve Ă 15 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 7,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 036,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Aurillac », sur la commune d'Aurillac, dans le dĂ©partement du Cantal, mise en service en 1945 et Ă 61 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă 10,2 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 10,8 °C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt patrimonial n'est recensĂ© sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[14] - [15] - [16].
Urbanisme
Typologie
Les Monts-Verts est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [17] - [I 1] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (54,3 % en 2018), en augmentation par rapport Ă 1990 (48,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (44,7 %), prairies (43,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (10,6 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,1 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune des Monts-Verts est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses, et Ă un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Les Monts-Verts est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en dĂ©cembre 2014 pour la pĂ©riode 2014-2023[22]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et sâappliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă moins de 200 mĂštres de celles-ci. LâarrĂȘtĂ© du , complĂ©tĂ© par un arrĂȘtĂ© de 2020, rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment dâapporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du , abrogeant un arrĂȘtĂ© de 2002, rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 6] - [22] - [23].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 23,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (15,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 218 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 56 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 26 %, Ă comparer aux 14 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[25].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1994.
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible dâavoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[26].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune des Monts-Verts est classĂ©e en zone 3, Ă savoir zone Ă potentiel radon significatif[27].
Histoire
Les Monts-Verts est une commune rĂ©cente, crĂ©Ă©e le Ă la suite de la fusion des trois anciennes communes d'Arcomie (maire : Joseph Farges), du Bacon (maire : Henri Delort) et de Berc (maire : M BĂ©nezet)[28]. Arcomie et Berc adoptent alors le statut de commune associĂ©e jusqu'au oĂč la fusion simple est substituĂ©e Ă la fusion-association (arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du ).
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune des Monts-Verts est membre de la communauté de communes des Hautes Terres de l'Aubrac[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siÚge est à Peyre en Aubrac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[29].
Sur le plan administratif, elle est rattachĂ©e Ă l'arrondissement de Mende, Ă la circonscription administrative de l'Ătat de la LozĂšre et Ă la rĂ©gion Occitanie[I 4].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Peyre en Aubrac pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la circonscription de la LozÚre pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[30].
Liste des maires
DĂ©mographie
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[32].
En 2020, la commune comptait 342 habitants[Note 7], en augmentation de 0,88 % par rapport Ă 2014 (LozĂšre : +0,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement ùgée. En 2018, le taux de personnes d'un ùge inférieur à 30 ans s'élÚve à 26,8 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (29,7 %). à l'inverse, le taux de personnes d'un ùge supérieur à 60 ans (36,7 %) est supérieur au taux départemental (32,5 %).
En 2018, la commune comptait 199 hommes pour 155 femmes, soit un taux de 56,21 % d'hommes, supérieur au taux départemental (49,96 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Ăconomie
Revenus
En 2018, la commune compte 140 mĂ©nages fiscaux[Note 8], regroupant 316 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 18 070 âŹ[I 6] (20 420 ⏠dans le dĂ©partement[I 7]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 8] | 5,1 % | 7,6 % | 10 % |
DĂ©partement[I 9] | 5 % | 6,4 % | 7,1 % |
France entiĂšre[I 10] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 214 personnes, parmi lesquelles on compte 72,6 % d'actifs (62,6 % ayant un emploi et 10 % de chÎmeurs) et 27,4 % d'inactifs[Note 9] - [I 8]. En 2018, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui de la France en 2008.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pÎle[Carte 3] - [I 11]. Elle compte 65 emplois en 2018, contre 68 en 2013 et 65 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 135, soit un indicateur de concentration d'emploi de 47,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,8 %[I 12].
Sur ces 135 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 53 travaillent dans la commune, soit 40 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 88 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Culture locale et patrimoine
Aire de services de la LozĂšre sur l'A75.
Bùtiment principal, cÎté nord. Bùtiment principal, cÎté sud. Parc de stationnement en été. Parc de stationnement en hiver.
Arboretum, présentation. Vue générale 1. Vue générale 2.
Géoscope de l'aire de la LozÚre. Géoscope, carte géologique de la LozÚre. Géoscope, temps géologiques. Géoscope, panorama 1. Géoscope, panorama 2.
Arcomie
- Ăglise Sainte-Madeleine d'Arcomie
- Gare d'Arcomie
Berc
- Ăglise Sainte-Marie de Berc
- Ăglise Sainte-Madeleine d'Arcomie.
- Ăglise Saint-Pierre-et-Saint-Paul du Bacon.
- Ăglise Sainte-Marie de Berc.
Personnalités liées à la commune
- Pierre Veyron (1903-1970), né à Berc. CélÚbre coureur automobile, son nom a été repris par la marque Bugatti pour baptiser un de ses modÚles.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu dâassurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et dâautre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et lâoccupation dâun logement connu Ă la taxe dâhabitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune des Monts-Verts » (consulté le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune des Monts-Verts (48012) », (consultĂ© le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 aux Monts-Verts » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la LozÚre » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 aux Monts-Verts » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la LozÚre » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 aux Monts-Verts » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Deux-Verg - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Les Monts-Verts et Deux-Verges », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Deux-Verg - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Les Monts-Verts et Aurillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de lâIRSN, (consultĂ© le )
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la LozĂšre (48) », (consultĂ© le ).