Blavignac
Blavignac est une commune française, située dans le nord-ouest du département de la LozÚre en région Occitanie.
Blavignac | |
L'Ă©glise Saint-Julien. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | LozĂšre |
Arrondissement | Mende |
Intercommunalité | Communauté de communes des Terres d'Apcher-Margeride-Aubrac |
Maire Mandat |
Yves Chadelat 2020-2026 |
Code postal | 48200 |
Code commune | 48026 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Blavignacois |
Population municipale |
266 hab. (2020 ) |
Densité | 19 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 44° 53âČ 11âł nord, 3° 17âČ 15âł est |
Altitude | Min. 793 m Max. 1 106 m |
Superficie | 13,83 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Saint-Chély-d'Apcher (commune de la couronne) |
Ălections | |
Départementales | Canton de Saint-Chély-d'Apcher |
LĂ©gislatives | Circonscription de la LozĂšre |
Localisation | |
ExposĂ©e Ă un climat de montagne, elle est drainĂ©e par la TruyĂšre, le ruisseau de Chandaison, le ruisseau de Mazeyrac et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© de deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.
Blavignac est une commune rurale qui compte 266 habitants en 2020, aprÚs avoir connu un pic de population de 659 habitants en 1806. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher. Ses habitants sont appelés les Belvezétois ou Belvezétoises.
GĂ©ographie
Localisation
Elle est située entre Aubrac et Margeride, dans le nord du département de la LozÚre.
Communes limitrophes
Au sud-ouest, la commune des Monts-Verts n'est distante que de 200 mĂštres environ[1].
Hameaux et lieux-dits
Elle regroupe plusieurs villages : Blavignac, Rouveyet, la VaissiĂšre Noire, Chassagnes, Blavignaguet, la BrugĂšre, la Petge, le Mazel et la Font-Saint-Martin.
Hydrographie
Elle est bordée au nord-est par la TruyÚre, au sud et à l'est par le ruisseau de Blavignac, à l'ouest par le ruisseau de Malecombe.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Ce type de climat, Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[2].
|
Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Ruynes - Gendar », sur la commune de Ruynes-en-Margeride, mise en service en 1951[7] et qui se trouve Ă 14 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 8,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 729,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Aurillac », sur la commune d'Aurillac, dans le dĂ©partement du Cantal, mise en service en 1945 et Ă 67 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă 10,2 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 10,8 °C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensĂ©e sur la commune[14] : la « riviĂšre de la TruyĂšre autour de Malzieu » (65 ha), couvrant 6 communes du dĂ©partement[15] et une ZNIEFF de type 2[Note 5] - [14] : le « cours de la TruyĂšre et de la Rimeize aval » (503 ha), couvrant 14 communes du dĂ©partement[16].
- Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Blavignac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [17] - [I 1] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (64 % en 2018), en augmentation par rapport Ă 1990 (61,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (38,8 %), forĂȘts (36 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (25,2 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Blavignac est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Blavignac est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en dĂ©cembre 2014 pour la pĂ©riode 2014-2023[22]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et sâappliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă moins de 200 mĂštres de celles-ci. LâarrĂȘtĂ© du , complĂ©tĂ© par un arrĂȘtĂ© de 2020, rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment dâapporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du , abrogeant un arrĂȘtĂ© de 2002, rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 8] - [22] - [23].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[24].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994 et 2003.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Blavignac est classĂ©e en zone 3, Ă savoir zone Ă potentiel radon significatif[25].
Toponymie
Blavignac tire son nom du premier propriétaire du lieu, Blavinius, mot gallo-romain dérivé du mot gaulois blavos : « blond, pùle ». Le suffixe -ac vient du suffixe localisateur gaulois -acos[26].
Histoire
Monument aux Morts
"Blavignac Ă ses fils Morts pour la France"
- 1914 - 1918 : Boulet Antonin (1894 - 1918), Boulet P, Blancon Jean Adrien (1882 - 1915), Boucharin J, Brassac Albert (1893 - 1917), Brassac Adrien (1887 - 1914), Bréchet Michel (1882 - 1917), Chardon ArsÚne Marius (1882 - 1915), Delpra (Delprat) Louis (1889 - 1914), Lorent (Laurent) Guillaume (1895 - 1915), Lussert Pierre (1883 - 1917), PagÚs P, Roux Marie Louis (1881 - 1918), Ramadier Fernand (1895 - 1918), Savy Augustin (1895 - 1916), TeissÚdre Marie Pierre (1888 - 1919), Tuffery Jean (1886 - 1914), Vidal Georges (1896 - 1916), Vanel Jean (1882 - 1915), Boyer Guillaume (1890 - 1916).
- 1939 - 1945 : Salson Pierre (1909 - 1945).
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune de Blavignac est membre de la communauté de communes des Terres d'Apcher-Margeride-Aubrac[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siÚge est à Saint-Chély-d'Apcher. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[27].
Sur le plan administratif, elle est rattachĂ©e Ă l'arrondissement de Mende, Ă la circonscription administrative de l'Ătat de la LozĂšre et Ă la rĂ©gion Occitanie[I 4].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Chély-d'Apcher pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la circonscription de la LozÚre pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[28].
Liste des maires
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[30].
En 2020, la commune comptait 266 habitants[Note 9], en diminution de 12,5 % par rapport Ă 2014 (LozĂšre : +0,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
Revenus
En 2018, la commune compte 103 mĂ©nages fiscaux[Note 10], regroupant 248 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 20 060 âŹ[I 5] (20 420 ⏠dans le dĂ©partement[I 6]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 6 % | 6 % | 9 % |
DĂ©partement[I 8] | 5 % | 6,4 % | 7,1 % |
France entiĂšre[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 147 personnes, parmi lesquelles on compte 75,2 % d'actifs (66,2 % ayant un emploi et 9 % de chÎmeurs) et 24,8 % d'inactifs[Note 11] - [I 7]. Depuis 2008, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pÎle[Carte 2] - [I 10]. Elle compte 28 emplois en 2018, contre 30 en 2013 et 26 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 102, soit un indicateur de concentration d'emploi de 27,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,1 %[I 11].
Sur ces 102 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 19 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 88,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1 % les transports en commun, 3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Julien, de style gothique, était le siÚge de l'ancien prieuré-cure du chapitre de Marvejols. Si les parties anciennes semblent dater du XIIIe siÚcle, l'ensemble serait du XVe et XVIe siÚcle. Ouverte librement et gratuitement au public toute l'année (Clocher-peigne accessible également)[33].Les plans de l'édifice sont visibles sur le site internet des archives de la LozÚre (archives.lozere.fr) et on trouvera une description de l'église sur le site internet de la fondation "la sauvegarde de l'art français"[34]. Si plusieurs références évoquent un style gothique, notamment concernant les voussures du portail ou la premiÚre chapelle latérale nord, l'église est évoquée dans un ouvrage sur les églises romanes du Gévaudan[35].
- Le travail Ă ferrer (ferradou en occitan). Montants de pierre et toit de lauses. travail Ă ferrer
Langue
L'occitan encore parlé dans le village est auvergnat et non pas languedocien. Plusieurs communes du nord de la LozÚre appartiennent en effet à l'Auvergne dialectale alors qu'elles sont languedociennes depuis des siÚcles. Il est en voie de disparition depuis plusieurs décennies, du fait de l'exode rural et la disparition des occupations et artisanats traditionnels auxquels il était adapté.
Blavignac dans la littérature
Blavignac est évoqué dans les ouvrages suivants :
- Bastide Huguette, Institutrice de village, Mercure de France, 1970. L'auteur consacre plusieurs pages à sa vie et à l'exercice de sa profession à Blavignac dans les années 1960.
- Camus Renaud, Le département de la LozÚre, POL, 1996.
- Chabalier VĂ©ronique, Florence Guibert, Marie-Odile Mergnac, Dictionnaire des noms de lieux - LozĂšre, Paris, Archives et culture, 2009. On y apprend l'origine du nom de Blavignac page 16.
- TrĂ©molet de Villers Anne, Ăglises romanes oubliĂ©es du GĂ©vaudan, presses du Languedoc, 1998.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu dâassurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et dâautre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et lâoccupation dâun logement connu Ă la taxe dâhabitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Blavignac » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Blavignac » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la LozÚre » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Blavignac » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la LozÚre » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Blavignac » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Ruynes - Gendar - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Blavignac et Ruynes-en-Margeride », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Ruynes - Gendar - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Blavignac et Aurillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Blavignac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « riviÚre de la TruyÚre autour de Malzieu » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « cours de la TruyÚre et de la Rimeize aval » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Blavignac », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « DĂ©fense des forĂȘts contre l'incendie (DFCI) », sur www.lozere.gouv.fr (consultĂ© le )
- « Les risques majeurs dans la LozĂšre », sur www.lozere.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Blavignac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de lâIRSN, (consultĂ© le )
- VĂ©ronique Chabalier, Florence Guibert et Marie-Odile Mergnac, Dictionnaire des noms de lieux : LozĂšre, Paris, Archives et culture, , 96 p. (ISBN 978-2-35077-129-8), page 16.
- « communauté de communes des Terres d'Apcher-Margeride-Aubrac - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la LozÚre (avant et aprÚs la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Comité Départemental du Tourisme de la LozÚre, « Eglise de Blavignac », .
- « Blavignac, église Saint-Julien ».
- Anne Trémolet de Villers, Eglises romanes oubliées du Gévaudan, Presses du Languedoc, , page 152.