Le Bastit
Le Bastit est une commune française, située dans le centre du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.
Le Bastit | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Lot |
Arrondissement | Gourdon |
Intercommunalité | Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne |
Maire Mandat |
Éliette Angelibert 2020-2026 |
Code postal | 46500 |
Code commune | 46018 |
Démographie | |
Gentilé | Bastitois, Bastitoises |
Population municipale |
133 hab. (2020 ) |
Densité | 4,7 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 43′ 25″ nord, 1° 39′ 58″ est |
Altitude | 350 m Min. 258 m Max. 406 m |
Superficie | 28,25 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Gramat (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Gramat |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat océanique altéré, aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « zone centrale du causse de Gramat »), un espace protégé (le « géoparc des causses du Quercy ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Le Bastit est une commune rurale qui compte 133 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 1 340 habitants en 1856. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Gramat. Ses habitants sont appelés les Bastitois ou Bastitoises.
Les habitants du Bastit sont les Bastitois et les Bastitoises.
Géographie
Commune située dans le Quercy, sur l'ancienne route nationale 677 entre Labastide-Murat et Gramat.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961[7] et qui se trouve à 22 km à vol d'oiseau[8] - [Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,7 °C pour 1981-2010[10], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[11].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12] - [13].
La commune fait ainsi partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[14]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[15] - [16]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy, faisant dès lors partie du Réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[17] - [18].
La commune fait également partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[19] - [20].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « zone centrale du causse de Gramat »[22], d'une superficie de 6 413 ha, un site comprenant diverses espèces remarquables d'orthoptères (Stenobothrus nigromaculatus, Arcytera fusca, Oedaleus decorus), de lépidptères (Brenthis hecate, Chazara briseis, Polyommatus dorylas) et de coléoptères (Cyrtonus dufouri, Chrysolina femoralis, Chrysolina obscurella)[23].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[24] : les « combes de la Damette et de Gouny et combels tributaires » (1 961 ha), couvrant 5 communes du département[25] et la « zone centrale du causse de Gramat » (7 127 ha), couvrant 11 communes du département[26].
Urbanisme
Typologie
Le Bastit est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [27] - [I 1] - [28].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gramat, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (52,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (44,8 %), forêts (34,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19,4 %), prairies (1,5 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune duBastit est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].
Risques naturels
Le Bastit est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[32].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des éboulements, chutes de pierres et de blocs[33]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[34].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 62,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 117 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 68 sont en en aléa moyen ou fort, soit 58 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[35] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[34].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[30].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[36].
Toponymie
Le toponyme Le Bastit est la forme masculine de Bastide et serait basé sur le verbe bastir issu du germanique bastjan. Ce terme désignait un édifice, une maison importante, un village nouvellement bâti et fortifié[37] - [38].
Au XIIIe siècle, Le Bastit correspond à la commanderie, la paroisse étant quant à elle sous le vocable de Saint-Martin de Bessols[39]. L'église détruite au début de la guerre de Cent Ans fut reconstruite avec le vocable de Saint-Blaise du Bastit
Histoire
Antiquité
Un établissement romain a été signalé au XVIIIe siècle dans les environs du lieu-dit Pech de Rode. Les vestiges : substructions de murs, tesselle de mosaïque, tegulae, tessons de céramique ont été interprétés comme faisant partie d'une villa romaine[40].
Les Templiers et les Hospitaliers
À partir de 1250, Le Bastit devient une commanderie de l'ordre du Temple qui faisait partie de la province de Provence[41]. Cette commanderie templière administrait également une partie des possessions de l'ordre dans le Quercy, notamment les fiefs de Cras, Pomarède ou encore le domaine de Septfons. Après l'arrestation des Templiers en 1307 et le procès qui s'est ensuivi, Le Bastit fut dévolu en 1315 aux Hospitaliers.
À proximité de la commanderie, on trouve un certain nombre de mas (fermes) ayant appartenu aux Templiers du Bastit:
- Lavaur / Larcux[Note 8], Lavaysse[Note 9] et Le Puy (1264), ancienne paroisse de Bessols (Le Bastit)[42] - [43].
Les Templiers possédaient tout ou partie de la dîme des villages suivants :
La commanderie du Bastit du Causse une fois devenue hospitalière appartenait à la langue de Provence et faisait partie du grand prieuré de Saint-Gilles. Au XVIIIe siècle, elle administrait les membres suivants[45]:
- Assier (commanderie)
- Camburat
- Cazillac (prieuré), actuelle commune du Vignon-en-Quercy
- Cras (commanderie)
- Courbou et Lafarguette , commune de Leyme
- Lavaur (maison forte), commune de Foissac[Note 10]
- Martel (Temple de)
- Nadillac (Nadailhac)
- Saint-Julien (chapelle), commune de Cras[Note 11]
- Saint-Thomas de Las Lauzettes (Les Landes, Peyrilles)[Note 12]
- Saint-Vézian
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[48].
En 2020, la commune comptait 133 habitants[Note 13], en diminution de 25,28 % par rapport à 2014 (Lot : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 4] | 3,9 % | 7,4 % | 13 % |
Département[I 5] | 7,3 % | 8,9 % | 9,6 % |
France entière[I 6] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 76 personnes, parmi lesquelles on compte 88,3 % d'actifs (75,3 % ayant un emploi et 13 % de chômeurs) et 11,7 % d'inactifs[Note 14] - [I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Gramat, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3] - [I 7]. Elle compte 30 emplois en 2018, contre 20 en 2013 et 23 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 58, soit un indicateur de concentration d'emploi de 51,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,5 %[I 8].
Sur ces 58 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 21 travaillent dans la commune, soit 36 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 79,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,4 % les transports en commun, 3,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 13,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
18 établissements[Note 15] sont implantés au Bastit au [I 11]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 44,4 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 18 entreprises implantées au Le Bastit), contre 14 % au niveau départemental[I 12].
Agriculture
La commune est dans les Causses », une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[51]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 4]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 18] (15 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 1 843 ha[53] - [Carte 5] - [Carte 6].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Hilaire de Le Bastit.
- La commanderie[Note 19], siège d'une ancienne commanderie templière puis hospitalière devenue depuis un GAEC.
Voir aussi
Bibliographie
- Adrien Martinaud, « Le bornage des possessions de la commanderie du Bastit (1693-1741) », Bulletin de la société des études du Lot, t. CVII,‎ , p. 217-221, lire en ligne sur Gallica
- Annie Charnay, « La commanderie des Templiers du Bastit de 1250 à 1315 », dans Etudes sur le Quercy et les commanderies des ordres militaires : actes du XLIIe Congrès d'études régionales organisé par la Société des études du Lot à Souillac et Martel les 19, 20 et 21 juin 1987, Fédération des Sociétés académiques et savantes de Languedoc-Pyrénées-Gascogne, (présentation en ligne), p. 138-...
- Jacques Juillet, Templiers et hospitaliers en Quercy : commanderies et prieurés sur le chemin de Notre-Dame de Rocamadour, Le Mercure Dauphinois, , 3e éd., 332 p. (ISBN 978-2-35662-213-6, présentation en ligne)
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 au Bastit » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
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- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 au Bastit » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 au Bastit » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Gourdon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 106.
- Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1,‎ , p. 117 (lire en ligne)
- Juillet 2010, p. 63.
- Jean-Pierre Girault, « L'habitat gallo-romain de la vallée de la Dordogne », Bulletin de l'Association RACINES, no 17,‎ , p. 4-5.
- Charnay 1988.
- Charnay 1988, p. 139, 143-44.
- Bourg 1883, p. 547.
- Charnay 1988, p. 139-40, 143.
- Abbé C. Nicolas, « Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles faisant suite au manuscrit de Jean Raybaud 1751-1806 : tome III », Mémoires de l'Académie de Nîmes, t. XXIX,‎ , p. 117, lire en ligne sur Gallica.
- « Les maires du Bastit (Le) », sur francegenweb.org, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune du Le Bastit - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Lavaur ou Larcux? Les deux graphies figurent dans l'ouvrage de du Bourg… Ne pas confondre avec le membre de Lavaur durant la période hospitalière car ce mas de Lavaur [non localisé] a été acheté en 1264 et se trouvait dans la paroisse de Bessols (du bastit) au même titre que Lavaysse [localisé] et Le Puy [non identifié] (Charnay 1988, p. 139).
- Lavaysse, lieu-dit et ferme au nord du village et du site de l'ancienne commanderie 44° 43′ 47″ N, 1° 39′ 23″ E.
- Le membre de Lavaur se trouvait sur la commune de Foissac en Aveyron (Juillet 2010, p. 70). À deux lieues (~8 km) de Villefranche de Rouergue en direction du Bastit d'après la description de la visite du 05 juin 1760 (Nicolas 1906, p. 117). Le toponyme Lavaur ne figure plus sur les cartes IGN mais on le trouve sur la carte d'état-major et sur la carte de Cassini 44° 29′ 06″ N, 2° 01′ 47″ E. Territoire qui se chevauche avec Villeneuve (Aveyron) sur la D922 entre Les encastrades et Cance.
- Il s'agit de la chapelle dite de Saint-Julien des Quatre Combes, cf. Juillet 2010. Actuellement Saint-Julien, lieu-dit au sud de la commune de Cras au bord de la rivière la Rauze: 44° 32′ 39″ N, 1° 32′ 57″ E.
- À cette époque, il n'y avait plus qu'une chapelle. Initialement il s'agit du membre dit de La Pomarède qui d'après l'acte de vente au seigneur Jean d'Auriole en 1488 se trouvait près de Saint-Thomas (de Las Lauzettes, lieu-dit Les Landes) sur la commune de Peyrilles et n'a donc rien à voir avec Pomarède plus à l'ouest.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[52].
- 44° 43′ 26″ N, 1° 39′ 43″ E.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).