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Labenne

Labenne est une commune française située dans le département des Landes en région Nouvelle-Aquitaine.

Labenne
Labenne
La mairie.
Blason de Labenne
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Landes
Arrondissement Dax
Intercommunalité Communauté de communes de Maremne-Adour-CÎte-Sud
Maire
Mandat
Jean-Luc Delpuech
2020-2026
Code postal 40530
Code commune 40133
DĂ©mographie
Gentilé Labennais
Population
municipale
6 934 hab. (2020 en augmentation de 18,25 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 283 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 35â€Č 38″ nord, 1° 25â€Č 32″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 52 m
Superficie 24,48 km2
Type Commune rurale et littorale
Unité urbaine Labenne
(ville isolée)
Aire d'attraction Bayonne (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Pays tyrossais
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Labenne
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Labenne
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Labenne
Liens
Site web http://www.ville-labenne.fr/

    Le gentilé est Labennais[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    Labenne est une commune littorale, situĂ©e dans le dĂ©partement des Landes. Elle fait partie de la communautĂ© de communes de Maremne-Adour-CĂŽte-Sud (la MACS). Elle se situe Ă  13 km de Bayonne.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Bénesse-Maremne, Capbreton, Ondres, Orx, Saint-André-de-Seignanx et Saint-Martin-de-Seignanx.

    Lieudits et hameaux

    Trois quartiers composent la commune de Labenne[3] :

    • Costemale ;
    • Arman ;
    • l'Église.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 407 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Soorts-Hossegor », sur la commune de Soorts-Hossegor, mise en service en 1954[10] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 125,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Dax », sur la commune de Dax, mise en service en 1958 et Ă  32 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14], Ă  14,3 °C pour 1981-2010[15], puis Ă  14,5 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Labenne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [17] - [18] - [19]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Labenne, une unitĂ© urbaine monocommunale[20] de 6 616 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[21] - [22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bayonne (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 56 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[23] - [24].

    La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[25]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[26] - [27].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (56,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (69,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (48,9 %), zones urbanisĂ©es (19 %), eaux continentales[Note 7] (13,8 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (5,7 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (4,8 %), zones humides intĂ©rieures (3,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (2,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1,5 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Labenne est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[29]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[30].

    Risques naturels

    Labenne est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[31] - [32].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont un recul du trait de cÎte et de falaises et des tassements différentiels[33].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Labenne.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. Aucune partie du territoire de la commune n'est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 398 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, aucun n'est en alĂ©a moyen ou fort, Ă  comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[34] - [Carte 2].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1988, 1992, 1999 et 2009 et au titre des inondations par remontée de nappe en 2014 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1983 et 1999

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une ou des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[35].

    Toponymie

    Son nom occitan gascon est La Vena[36].

    Histoire

    Labenne, commune littorale de la cĂŽte landaise s’est dĂ©veloppĂ©e au XIXe siĂšcle grĂące Ă  l’assĂšchement des marais (lancĂ© par NapolĂ©on III) et Ă  l’exploitation des forĂȘts de rĂ©sineux.

    L’origine du nom Labenne viendrait du mot occitan la Pena qui signifie la hauteur, il existe d’ailleurs Ă  Labenne, un quartier nommĂ© la montagne.

    Avant la RĂ©volution, Labenne est un village pastoral et agricole : culture du maĂŻs, du seigle, de millet et d’un peu de vignobles.

    Durant la Seconde Guerre mondiale, une station radar allemande est installée sur la dune. Elle était composée d'un radar Mammut de détection des appareils et de deux radars annexes Freya et Wurtzburg.

    Labenne Ă©tait la tĂȘte de ligne de la ligne de chemin de fer locale de Labenne Ă  Seignosse fermĂ©e en 1957.

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    Parti : au premier d'or au dauphin contourné d'azur, au chef de gueules chargé d'une coquille du champ, au second de sinople au lion d'argent[37].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 1976 1983 Jacques Dubrana PS maire
    mars 1983 1995 Francis Hirigoyen SE maire
    mars 1995 1999 Yves Ulysse PS maire
    1999 2001 RĂ©gine Andrieu PS maire
    mars 2001 En cours Jean-Luc Delpuech PS Directeur de CCAS
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    Dans son palmarÚs 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[38].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[40]. En 2020, la commune comptait 6 934 habitants[Note 8], en augmentation de 18,25 % par rapport Ă  2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    373435392420504541526552575
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    619657791782792776790802759
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    7627948017007109381 1081 1771 210
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 2561 4221 7532 1202 8843 3454 3024 4315 105
    2017 2020 - - - - - - -
    6 6166 934-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee Ă  partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Tourisme

    Labenne est une station littorale de la cĂŽte sud des Landes avec 3 kilomĂštres de plage. On y trouve des hĂ©bergements touristiques et de parcs de loisirs, activitĂ©s de baignade, surf, et pĂȘche en mer. Avec prĂšs de 1300 hectares de forĂȘt de pins maritimes et de chĂȘnes-liĂšges, c’est un endroit oĂč l'on pratique des loisirs en plein air comme VTT, course Ă  pied, promenades sur des sentiers pĂ©destres et un rĂ©seau de piste cyclable. On y trouve Ă©galement un total de 6 campings[43]

    La plage au printemps.

    Économie

    La ville possÚde une antenne de la Chambre de commerce et d'industrie des Landes. Une importante usine et entrepÎt de l'industriel Bonduelle est également présente, mettant en boite ou surgelant du mais et des haricots verts de la région[44].

    Lieux et monuments

    Voies

    187 odonymes recensés à Labenne
    au
    Allée Avenue Bld Chemin Cours Impasse Parvis Place Quai Rd-point Route Rue Square Voie Autres Total
    41 [N 1] 7 0 4 [N 2] 0 42 0 7 0 1 [N 3] 7 42 [N 4] 0 0 [N 5] 36 [N 6] 187
    Notes « N »
    1. Dont allée du 8-Mai-1945.
    2. Chemin de Mouton, chemin de Pounots, chemin des Marguerites, chemin du Rey.
    3. Rond-point de l'Europe.
    4. Dont rue du 19-Mars-1962.
    5. Voie du Matecul.
    6. Autres voies non identifiées en relation avec des écarts, lieux-dits, hameaux, zones industrielles, lotissements, résidences, quartiers, etc.
    Sources : rue-ville.info & annuaire-mairie.fr & OpenStreetMap

    Édifices et sites

    La chapelle est situĂ©e sur les dunes Ă  Labenne-OcĂ©an. La construction de ce deuxiĂšme lieu de culte a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ©e par Jules Bouville, maire de Labenne et propriĂ©taire du centre hĂ©lio-marin pour rĂ©pondre Ă  la croissance dĂ©mographique. Elle est inaugurĂ©e le . De style architectural classique, elle est composĂ©e d’un sanctuaire et d’une nef unique.
    Chapelle Sainte-ThérÚse perdue dans les dunes de Labenne-Océan (40).
    • Esplanade de la Plage
    Esplanade qui surplombe l’ocĂ©an Atlantique avec vue sur les dunes landaises et le port de Capbreton au nord et sur la baie de la cĂŽte basque et les PyrĂ©nĂ©es au sud.
    • Vestiges d'une base radar du « mur de l'Atlantique »
    La station balnĂ©aire de Labenne OcĂ©an possĂšde des bunkers Ă©rigĂ©s entre 1942 et 1944, encore visibles. Le casernement, aujourd'hui colonie Danielle-Casanova, est dans un Ă©tat de conservation remarquable. À voir dans la salle des fĂȘtes, au bourg, une fresque peinte par un soldat allemand prisonnier en 1945. Aux archives municipales, voir une carte de circulation du "Groupe FFI de Labenne".

    Personnalités liées à la commune

    Bibliographie

    • Luc CorlouĂ«r, Labenne Histoires & Anecdotes, monographie 2020, Ă©ditions le Cormoran, 200 pages
    • Luc CorlouĂ«r, Les vacances Ă  Labenne - Histoire de la colonie de vacances Danielle-Casanova, 2022, Ă©ditions le Cormoran, 200 pages

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Le nom des habitants du 40 », sur www.habitants.fr (consulté le ).
    2. Carte IGN sous GĂ©oportail
    3. Archives départementales des Landes, « Archives numérisées - Cadastre / Labenne », (consulté le ).
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Soorts-Hossegor - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Labenne et Soorts-Hossegor », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Soorts-Hossegor - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Labenne et Dax », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 de Labenne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    25. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    26. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    29. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Labenne », sur Géorisques (consulté le )
    30. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    31. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le )
    32. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    33. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    34. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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    36. « Toponymes occitans », sur www.locongres.org (consulté le ).
    37. Banque du blason
    38. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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