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La ForĂȘt-le-Roi

La ForĂȘt-le-Roi (prononcĂ© [la foʁɛ lǝ ʁwa] ) est une commune française situĂ©e Ă  quarante-huit kilomĂštres au sud-ouest de Paris dans le dĂ©partement de l'Essonne en rĂ©gion Île-de-France.

La ForĂȘt-le-Roi
La ForĂȘt-le-Roi
La mairie.
Blason de La ForĂȘt-le-Roi
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Île-de-France
DĂ©partement Essonne
Arrondissement Étampes
Intercommunalité CC Le Dourdannais en Hurepoix
Code postal 91410
Code commune 91247
DĂ©mographie
Gentilé Forestains
Population
municipale
510 hab. (2020 en diminution de 0,2 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 64 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 28â€Č 47″ nord, 2° 02â€Č 36″ est
Altitude Min. 108 m
Max. 156 m
Superficie 7,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Dourdan
LĂ©gislatives 3e circonscription de l'Essonne
Localisation
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Liens
Site web http://laforetleroi.free.fr/

    Ses habitants sont appelés les Forestains[1].

    GĂ©ographie

    Situation

    Position de La ForĂȘt-le-Roi en Essonne.

    La ForĂȘt-le-Roi est situĂ©e Ă  quarante-huit kilomĂštres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame, point zĂ©ro des routes de France, trente-quatre kilomĂštres au sud-ouest d'Évry, dix kilomĂštres au nord-ouest d'Étampes, six kilomĂštres au sud-est de Dourdan, vingt kilomĂštres au sud-ouest d'Arpajon, vingt-trois kilomĂštres Ă  l'ouest de La FertĂ©-Alais, vingt-cinq kilomĂštres au sud-ouest de MontlhĂ©ry, trente kilomĂštres au sud-ouest de Palaiseau, trente-deux kilomĂštres au nord-ouest de Milly-la-ForĂȘt, trente-cinq kilomĂštres au sud-ouest de Corbeil-Essonnes.

    La commune est traversée par la route départementale 836. Elle est également desservie par la ligne de bus 91-07 du réseau de bus Essonne Sud Ouest.

    Communes limitrophes

    Climat

    La ForĂȘt-le-Roi est situĂ©e en Île-de-France et bĂ©nĂ©ficie d'un climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© aux hivers frais et aux Ă©tĂ©s doux, et est rĂ©guliĂšrement arrosĂ©e sur l'annĂ©e. En moyenne annuelle, la tempĂ©rature s'Ă©tablit Ă  10,8 °C, avec une maximale de 15,2 °C et une minimale Ă  6,4 °C. Les tempĂ©ratures rĂ©elles relevĂ©es sont de 24,5 °C en juillet au maximum et 0,7 °C en janvier au minimum, mais les records enregistrĂ©s sont de 38,2 °C le et −19,6 °C le . Du fait de la moindre densitĂ© urbaine de la banlieue par rapport Ă  Paris, une diffĂ©rence nĂ©gative de un Ă  deux degrĂ©s Celsius se fait sentir. L'ensoleillement est comparable Ă  la moyenne des rĂ©gions du nord de la Loire avec 1 798 heures par an, toutefois un peu infĂ©rieur au nord du dĂ©partement par la prĂ©sence plus frĂ©quente de brume Ă  proximitĂ© des cours d'eau et des champs. Les prĂ©cipitations sont rĂ©parties Ă©galement sur l'annĂ©e, avec un total de 598,3 millimĂštres de pluie et une moyenne approximative de cinquante millimĂštres par mois.

    DonnĂ©es climatiques Ă  La ForĂȘt-le-Roi.
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,7 1 2,8 4,8 8,3 11,1 13 12,8 10,4 7,2 3,5 1,7 6,4
    Température moyenne (°C) 3,4 4,3 7,1 9,7 13,4 16,4 18,8 18,5 15,6 11,5 6,7 4,3 10,8
    Température maximale moyenne (°C) 6,1 7,6 11,4 14,6 18,6 21,8 24,5 24,2 20,8 15,8 9,9 6,8 15,2
    Ensoleillement (h) 59 89 134 176 203 221 240 228 183 133 79 53 1 798
    Précipitations (mm) 47,6 42,5 44,4 45,6 53,7 51 52,2 48,5 55,6 51,6 54,1 51,5 598,3
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Brétigny-sur-Orge de 1948 à 2002[2] - [3].

    Milieux naturels et biodiversité

    Les bois au nord du territoire ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne[4].

    Urbanisme

    Typologie

    La ForĂȘt-le-Roi est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [5] - [6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[8] - [9].

    Occupation des sols

    Occupation des sols en 2008.
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Espace urbain construit 2,4 % 19,52
    Espace urbain non construit 1,5 % 12,14
    Espace rural 96,0 % 766,57
    Source : Iaurif-MOS 2008[10]

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 191, alors qu'il Ă©tait de 186 en 2014 et de 173 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 97,9 % étaient des résidences principales, 1,1 % des résidences secondaires et 1,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous prĂ©sente la typologie des logements Ă  la La ForĂȘt-le-Roi en 2019 en comparaison avec celle de l'Essonne et de la France entiĂšre. Une caractĂ©ristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de rĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (1,1 %) infĂ©rieure Ă  celle du dĂ©partement (1,7 %) mais supĂ©rieure Ă  celle de la France entiĂšre (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 96,2 % des habitants de la commune sont propriĂ©taires de leur logement (95,3 % en 2014), contre 58,7 % pour l'Essonne et 57,5 pour la France entiĂšre[I 3].

    Le logement Ă  la La ForĂȘt-le-Roi en 2019.
    Typologie La ForĂȘt-le-Roi[I 1] Essonne[I 4] France entiĂšre[I 5]
    RĂ©sidences principales (en %) 97,9 91,7 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,1 1,7 9,7
    Logements vacants (en %) 1,1 6,6 8,2

    Toponymie

    Foresta-Regis au XIIIe siĂšcle[11].

    L'origine du nom de la commune est peu connue, durant la RĂ©volution, elle est crĂ©Ă©e sous le nom de La ForĂȘt-Bel-Air et obtient son nom actuel dans le bulletin des lois de 1801[12].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    AntĂ©rieurement Ă  la loi du 10 juillet 1964[13], la commune faisait partie du dĂ©partement de Seine-et-Oise. La rĂ©organisation de la rĂ©gion parisienne en 1964 fit que la commune appartient dĂ©sormais au dĂ©partement de l'Essonne (dĂ©partement) et Ă  son arrondissement d'Étampes aprĂšs un transfert administratif effectif au .

    Elle faisait partie de 1801 à 1967 du canton de Dourdan-Sud de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place de l'Essonne, la ville intÚgre le canton de Dourdan[12]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements Ă©lectoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Dourdan

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisiÚme circonscription de l'Essonne.

    Intercommunalité

    La ForĂȘt-le-Roi est membre de la communautĂ© de communes Le Dourdannais en Hurepoix, un Ă©tablissement public de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre crĂ©Ă© fin 2005 et auquel la commune a transfĂ©rĂ© un certain nombre de ses compĂ©tences, dans les conditions dĂ©terminĂ©es par le code gĂ©nĂ©ral des collectivitĂ©s territoriales.

    Tendances politiques et résultats

    Élections prĂ©sidentielles, rĂ©sultats des deuxiĂšmes tours :

    Élections lĂ©gislatives, rĂ©sultats des deuxiĂšmes tours :

    Élections europĂ©ennes, rĂ©sultats des deux meilleurs scores :

    Élections rĂ©gionales, rĂ©sultats des deux meilleurs scores :

    Élections cantonales puis dĂ©partementales, rĂ©sultats des deuxiĂšmes tours :

    Élections municipales: DonnĂ©es non signifiantes pour cette commune soumise au scrutin majoritaire plurinominal.

    Référendums :

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[28].
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1793 1794 M. Rouable
    1795 1800 Jacques Hector Nivet
    1800 1800 M. Auberge
    1800 1808 Augustin Gangnebien
    1808 1821 Charles Bellier de la Boire
    1821 1828 Henri Auberge
    1828 1835 Charles Auberge
    1835 1840 Jean Baptiste Gage
    1840 1852 Charles Savoure
    1852 1853 Louis François Paragot
    1853 1855 Désiré Chedeville
    1855 1874 Jules FĂ©lix Babault
    1874 1892 Adolphe Blot
    1892 1919 Désiré Caillet
    1919 1925 EugĂšne Barbery
    1925 1950 Charles Auberge
    1950 1965 EugĂšne Girard
    1965 1995 Pierre Auberge
    1995 2008 Claude Bourdin MoDem
    2008 2020 Marie-Ange Gangnebien SE
    mai 2020[29] décembre 2022[30] Sarah Lebret Démissionnaire

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Les Ă©lĂšves de La ForĂȘt-le-Roi sont rattachĂ©s Ă  l'acadĂ©mie de Versailles. La commune dispose sur son territoire d'une Ă©cole maternelle publique[31]. En regroupement pĂ©dagogique avec Richarville, Boutervilliers & Boissy-le-Sec, la commune accueille les Ă©lĂšves de maternelle du regroupement.

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[33].

    En 2020, la commune comptait 510 habitants[Note 3], en diminution de 0,2 % par rapport Ă  2014 (Essonne : +2,99 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    359404405383376353336356342
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    322305320322304284285315289
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    308283277206225223202204213
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    230218264330338357444485523
    2020 - - - - - - - -
    510--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  36,9 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (39,9 %). De mĂȘme, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 19,2 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 20,1 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 262 hommes pour 259 femmes, soit un taux de 50,29 % d'hommes, légÚrement supérieur au taux départemental (48,98 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    0,4
    4,3
    75-89 ans
    7,1
    11,6
    60-74 ans
    14,2
    26,7
    45-59 ans
    25,8
    16,3
    30-44 ans
    19,1
    18,5
    15-29 ans
    14,5
    21,8
    0-14 ans
    19,0
    Pyramide des ùges du département de l'Essonne en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,2
    5,2
    75-89 ans
    6,9
    12,7
    60-74 ans
    13,6
    20,2
    45-59 ans
    19,6
    20
    30-44 ans
    20,2
    19,9
    15-29 ans
    18,3
    21,6
    0-14 ans
    20

    Sports et loisirs

    Pour les randonneurs, la commune est traversée par le GR de Pays du Hurepoix, qui relie la vallée de la BiÚvre, à celle de l'Essonne, via l'Yvette, l'Orge, et la Juine[37].

    Cultes

    La paroisse catholique de La ForĂȘt-le-Roi est rattachĂ©e au secteur pastoral de Dourdan et au diocĂšse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'Ă©glise Saint-Nicolas[38].

    MĂ©dias

    L'hebdomadaire Le RĂ©publicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'Ă©mission des chaĂźnes de tĂ©lĂ©vision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et TĂ©lĂ©ssonne intĂ©grĂ© Ă  TĂ©lif.

    Économie

    Emplois, revenus et niveau de vie

    En 2006, le revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage Ă©tait de 19 484 €, ce qui plaçait la commune au 4 083e rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante mĂ©nages que compte le pays et au cent soixante-sixiĂšme rang dĂ©partemental[39].

    Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
    Agriculteurs Artisans, commerçants,
    chefs d’entreprise
    Cadres et professions
    intellectuelles supérieures
    Professions
    intermédiaires
    Employés Ouvriers
    La ForĂȘt-le-Roi - - - - - -
    Zone d'emploi de Dourdan 0,7 % 6,0 % 18,9 % 28,5 % 26,3 % 19,6 %
    Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
    RĂ©partition des emplois par secteurs d’activitĂ©s en 2006.
    Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
    entreprises
    Services aux
    particuliers
    La ForĂȘt-le-Roi - - - - - -
    Zone d'emploi de Dourdan 1,7 % 10,4 % 7,5 % 11,8 % 21,6 % 6,9 %
    Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
    Sources : Insee[40] - [41] - [42]

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église de La ForĂȘt-le-Roi.

    Personnalités liées à la commune

    SiÚge d'une baronnie possédée par la famille Leclerc, issue du chancelier du royaume de France, le Nivernais Jehan Leclerc (+1438), au service du roi d'Angleterre se prétendant roi de France. Peu avant 1541, François Leclerc achÚte à sa cousine Jehanne de Fleurigny la terre et seigneurie de Fleurigny, à la condition d'en relever le nom et les armes. DÚs lors, il s'appellera, et sa descendance aprÚs lui, "Leclerc de Fleurigny".

    La succession seigneuriale devient dĂšs lors :

    - François Leclerc, baron de La ForĂȘt-le-Roi en 1521, dĂ©cĂ©dĂ© aprĂšs 1545, par ailleurs seigneur de Fleurigny, Sergines, La Chapelle-sur-Oreuse, etc., bailli et capitaine de Sens, Ă©poux de Jehanne Dauvet , puis son fils :

    - Charles Leclerc de Fleurigny, baron de La ForĂȘt-le-Roi en 1545, seigneur de Fleurigny, etc. Bailli et capitaine de Sens. Ecuyer tranchant du Roi. DĂ©cĂ©dĂ© entre 1555 et 1561. Il Ă©pouse en 1548 Philippe Du Moulin, dĂ©cĂ©dĂ©e aprĂšs 1587. Puis son frĂšre :

    - Jean Leclerc de Fleurigny, homme d'arme de la compagnie du duc d'Anjou, baron de la ForĂȘt-le-Roi (citation post mortem de 1563), dĂ©cĂ©dĂ© en 1557, puis son neveu, fils du prĂ©cĂ©dent :

    - Jacques Leclerc de Fleurigny, baron de la ForĂȘt-le-Roi en 1584, dĂ©cĂ©dĂ© entre 1584 et 1590. Epoux de Marie de Pierre-Vive, dĂ©cĂ©dĂ©e avant 1590. Puis son fils :

    - Jacques Leclerc de Fleurigny, baron de la ForĂȘt-le-Roi, Ă©poux de Louise de Mondoucet (remariĂ©e Ă  Robert de Beauval seigneur de Jouy), dĂ©cĂ©dĂ©e avant 1673. Puis son fils :

    - Charles Leclerc de Fleurigny, baron de la ForĂȘt-le-Roi de 1622 Ă  1663, dĂ©cĂ©dĂ© avant 1663. Epoux de Bernarde de Barville. Puis Ă  son fils :

    - François Leclerc de Fleurigny, baron de la ForĂȘt-le-Roi, dĂ©cĂ©dĂ© avant 1699. Epoux de Marie de Paviot.

    Louis XIV interdit l'usage du titre de baron. Il le considÚre comme étranger au systÚme nobiliaire français, et surtout ne veut pas laisser supposer une égalité entre le souverain et ses barons (comme dans les chansons de geste). La noblesse française s'y plie.

    DĂšs lors, cette famille Leclerc de Fleurigny, liĂ©e au XVIIIe Ă  la haute finance, loge dans Paris. Son dernier reprĂ©sentant mĂąle connu semble ĂȘtre François-Henri de Fleurigny, sĂ©minariste Ă  Saint-Sulpice en 1730, devenu abbĂ© commendataire de Saint-Sernin de Toulouse. NĂ© en 1710 et dĂ©cĂ©dĂ© Ă  Paris en 1777.

    De ces Leclerc de Fleurigny barons de La ForĂȘt-le-Roi se dĂ©tache le rameau des Leclerc de Fleurigny seigneurs d'Amilly puis du Fretay.

    [réf. nécessaire]

    HĂ©raldique


    Blason de La ForĂȘt-le-Roi Blason
    Parti : au premier de sinople au chef d'or, au lion de gueules brochant, au second de gueules à l'épi de blé d'or en pal ; le tout sommé d'un chef d'azur semé de fleurs de lys d'or[43].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « La ForĂȘt-le-Roi », p. 227–228
    • Bulletin no 20 de la SociĂ©tĂ© Historique de Dourdan (1990) : monographie de l'instituteur de La ForĂȘt-le-Roi (1899), 14 pages ; Histoire de La ForĂȘt-le-Roi sous l'Ancien rĂ©gime (21 pages) ; Louis Henri Charles de Gauville a-t-il Ă©migrĂ© ? (16 pages).
    • Bulletin no 21 de la SociĂ©tĂ© Historique de Dourdan (1990) : L'Ă©volution architecturale de l'Ă©glise Saint-Nicolas de La ForĂȘt-le-Roi (4 pages) ; Cahier de dolĂ©ances de la paroisse de la Forest le Roy (1789)(2 pages) ; Histoire de La ForĂȘt-le-Roi de l'Ă©poque rĂ©volutionnaire Ă  1990 (90 pages) ; Un Ă©pisode de ce que fut la lutte des patriotes français sous l'occupation nazie Ă  La ForĂȘt-le-Roi (2 pages).

    Articles connexes

    Liens externes


    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 05/04/2009.
    2. « Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge », sur le site de lameteo.org (consulté le ).
    3. « Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    4. Carte des ENS de La ForĂȘt-le-Roi sur le site du conseil gĂ©nĂ©ral de l'Essonne. ConsultĂ© le 03/2019.
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    10. Fiche communale d'occupation des sols en 2008 sur le site de l'Iaurif. Consulté le 11/11/2010.
    11. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    12. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
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