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Islam en Algérie

L'Islam est la religion d'État en AlgĂ©rie et est pratiquĂ©e par environ 99 % de la population.

Islam en Algérie
Blason
Religion Islam
Pays Drapeau de l'Algérie Algérie
Population musulmane 41,5 millions (2021)

Voir aussi


L'AlgĂ©rie est le neuviĂšme pays au monde en nombre de musulmans et est le troisiĂšme sur le continent africain (aprĂšs le Nigeria et l'Égypte), rassemblant 2,2 % de la population musulmane mondiale.

Aperçu

Mosquée de Sidi Okba, wilaya de Biskra, construite en 686 et faisant partie des plus anciennes mosquées du Maghreb.

Statistiques

L'ensemble des estimations montrent qu'entre 98% et 99% des Algériens sont musulmans[1] - [2] - [3].

Selon le Pew Research Center, 2,2% des musulmans au monde vivent en Algérie[4].

En 2019, une étude de la BBC suggÚre une augmentation du nombre de personnes de moins de 30 ans se disant « non religieuses », en Algérie comme dans le reste du Maghreb[5].

Branches et courants

L'immense majorité des Algériens sont musulmans sunnites, appartenant à l'école de jurisprudence malékite[3]. Tous se réclament d'une identité religieuse nationale comprise dans les clauses de la référence religieuse algérienne. Le soufisme est bien implanté en Algérie, qui compte de nombreuses confréries et de zaouïas.

Il existe une petite communauté appartenant au mouvement ibadite dans le Mzab, au Sud du pays[6].

Salafisme

Le salafisme a émergé en Algérie pendant les années 1980. Il est subdivisé en deux tendances.

Le salafisme fondĂ© sur la prĂ©dication et rejetant le salafisme djihadiste s'y implante notamment, jusqu'Ă  faire du pays, selon certains analystes, « la seconde nation du salafisme prĂ©dicatif aprĂšs l'Arabie saoudite »[7]. Il se rĂ©clame Ă  la fois de Ben Badis mais surtout du wahhabisme saoudien[8]. Ces derniĂšres annĂ©es, le madkhalisme a Ă©mergĂ© en AlgĂ©rie par le biais de Mohammed Ali Ferkous, professeur Ă  la facultĂ© de sciences islamiques d'Alger. Il fait notamment le takfir du sunnisme des autres courants de l'islam autre que le sien (acharisme, soufisme, FrĂšres musulmans, ibadisme), de mĂȘme que ceux qui manifestent et font grĂšve au nom de la dĂ©mocratie et des droits des femmes. Il a Ă©tĂ© notamment reconnu comme une des rĂ©fĂ©rences madkhalistes avec Abdelmadjid DjemaĂą et Lazhar Snigra par Rabi al-Madkhali. Le fief du madkhalisme est Kouba. L'imam y tient des rĂ©unions sans autorisation des autoritĂ©s dans sa bibliothĂšque. L'Association des oulĂ©mas algĂ©riens a qualifiĂ© sa fatwa de « grave dĂ©rive ». Tandis que le ministre des Affaires religieuses Mohamed AĂŻssa prĂŽne un « islam de Cordoue » maghrĂ©bin et modĂ©rĂ©, le rĂ©gime algĂ©rien a laissĂ© le courant oeuvrer Ă  une contre-propagande violente et extrĂ©miste[9]. Celui-ci ajoute au sujet de Ferkous : « C’est cette pensĂ©e qui a produit la tragĂ©die des annĂ©es 1990. L'État va faire face aux idĂ©es sectaires qui tentent de diviser la sociĂ©tĂ© et Ă  ces pensĂ©es dĂ©viantes. Ces pratiques ne seront pas ignorĂ©es, comme cela se passait auparavant, elles seront combattues avant que ces idĂ©es ne s'enracinent dans la tĂȘte de nos enfants, dans les Ă©coles, les mosquĂ©es et les universitĂ©s. Et pour qu'elles ne soient pas la cause qui fera couler le sang des AlgĂ©riens »[10]. Interdit d'exercer comme imam en 2017, sa bibliothĂšque est fermĂ©e en novembre 2019 par les autoritĂ©s[11].

Le salafisme djihadiste a également émergé durant les années 1980 dans le contexte du retour d'Afghanistan d'Algériens ayant pris part au conflit du cÎté des moudjahidines afghans. Ils sont à l'origine de la fondation du Front islamique du salut et de la Décennie noire. Parti non-démocratique, le FIS est un regroupement de courants islamistes ayant pour but d'instaurer une république islamique en Algérie. Les divergences entre les différentes tendances sont parfois profondes, cependant les salafistes, regroupés autour d'Ali Belhadj, forment le courant le plus important du parti[12].

Histoire

ConquĂȘte musulmane de l'AlgĂ©rie

L'islam a Ă©tĂ© introduit en AlgĂ©rie pour la premiĂšre fois en 670 par les armĂ©es du gĂ©nĂ©ral Arabe Oqba Ibn Nafaa, dans le contexte de la conquĂȘte musulmane de l'Afrique du Nord sous les ordres des Omeyyades. La premiĂšre mosquĂ©e fondĂ©e en AlgĂ©rie est la mosquĂ©e Sidi Ghanem de la ville de Mila en 678. En 776, les RostĂ©mides furent la premiĂšre dynastie locale musulmane d'AlgĂ©rie. De nombreux BerbĂšres se convertirent Ă  l'islam puis formĂšrent leurs propres dynasties musulmanes, telles les Zirides ou les Hammadides.

L'islam sous l'occupation française

L'islam a Ă©tĂ© un aspect important de la construction de l'identitĂ© algĂ©rienne Ă  la suite de la conquĂȘte de l'AlgĂ©rie par la France, qui fit pĂ©rir entre un quart et un tiers de la population algĂ©rienne[13]. Cette conquĂȘte se heurte dans un premier temps Ă  la rĂ©sistance menĂ©e notamment par l'Ă©mir Abdelkader, Ă©rudit musulman soufi, qui prend les armes pour dĂ©fendre l'islam et la nation algĂ©rienne au nom du djihad dĂ©fensif[14]. Abdelkader crĂ©a un État musulman, jusqu'Ă  sa dĂ©faite en 1847[15].

Bien que la France ait promis dĂšs son arrivĂ©e en 1830 de respecter la religion des AlgĂ©riens, l'occupation française perturbe et restreint la pratique de l'islam dans le pays. La mosquĂ©e Ketchaoua de la Casbah d'Alger de rite hanafi est par exemple convertie en cathĂ©drale dĂšs l'arrivĂ©e des Français. De mĂȘme, les biens religions (habous) sont confisquĂ©s par le colonisateur, la langue arabe et l'enseignement musulman restreints[13]. Plus gĂ©nĂ©ralement, c'est l'ensemble des manifestations religieuses musulmanes (priĂšres, pĂšlerinage Ă  La Mecque, fĂȘtes religieuses) qui sont encadrĂ©es par l'administration coloniale[16]. Cette vĂ©ritable dĂ©possession religieuse mĂšne en 1931 Ă  la crĂ©ation de l'association des oulĂ©mas musulmans algĂ©riens, impulsĂ©e par Abdelhamid Ben Badis. Cette association a pour but de permettre aux AlgĂ©riens musulmans de s'Ă©manciper des restrictions religieuses imposĂ©es par la France[16]. D'un point de vue religieux, elle vise Ă©galement Ă  retrouver le « message authentique » d'un islam idĂ©alisĂ©, en luttant contre les superstitions maraboutiques et les fausses interprĂ©tations[17].

Le traitement rĂ©servĂ© Ă  l'islam par la France est l'un des facteurs Ă  l'origine de la conquĂȘte par les AlgĂ©riens de leur indĂ©pendance. Ainsi, pendant la guerre d'indĂ©pendance, l'islam fut l'idĂ©ologie mobilisatrice la plus importante du futur parti unique. DĂšs 1954, le FLN, Front de libĂ©ration nationale, dans son premier appel, indique son but : l'indĂ©pendance d'un « État algĂ©rien souverain dĂ©mocratique et social dans le cadre des principes islamiques »[18].

Les années Ben Bella et Boumediene

Abdelhamid Ben Badis (1889 - 1940), ouléma et figure importante de l'Association des oulémas musulmans algériens.

Si l'idéologie du FLN est principalement nationaliste et fait référence au socialisme, vaguement interprété comme un credo anti-exploitation populaire, l'islam, défini comme le fondement principal de la conscience nationale, est le facteur déterminant dans la consolidation de l'identité algérienne comme distincte de celle des Algériens français.

L'islam algĂ©rien, en particulier la variĂ©tĂ© rĂ©formiste nationaliste dĂ©fendue par Abdelhamid Ben Badis et son groupe des oulĂ©mas musulmans algĂ©riens, a Ă©tĂ© une influence idĂ©ologique importante pour le parti unique FLN[19]. Le mouvement rejetait absolument l'athĂ©isme et n'Ă©tait pas ouvertement laĂŻque. Pourtant, aprĂšs l'indĂ©pendance, le parti, dans la pratique, a admis une interprĂ©tation moderniste de l'islam, soutenant la transformation sociale de la sociĂ©tĂ© algĂ©rienne et a fonctionnĂ© par le biais d'institutions laĂŻques. La religion est relĂ©guĂ©e au rĂŽle de facteur de lĂ©gitimation pour le parti-rĂ©gime. Cela a Ă©tĂ© particuliĂšrement le cas sous la prĂ©sidence du colonel Houari BoumĂ©diĂšne (1965-1978), mais mĂȘme alors, l'islam Ă©tait considĂ©rĂ© comme la religion d'État et comme une partie indissociable de l'identitĂ© algĂ©rienne, et Boumedienne Ă©tait lui-mĂȘme fier de sa formation coranique. Son prĂ©dĂ©cesseur Ahmed Ben Bella (1962-1965) Ă©tait plus attachĂ© Ă  la composante islamique du rĂ©gime, bien que toujours considĂ©rĂ©e davantage comme un nationalisme arabe que comme un activisme islamique.

Dans la pratique, la position du rĂ©gime de Boumediene semble se caractĂ©riser par certaines contradictions Ă  l'Ă©gard de l'identitĂ© musulmane. Ce rĂ©gime, comme ceux qui l’ont prĂ©cĂ©dĂ©, se distingue par « une instrumentalisation permanente [mais plus intense [de l’islam dans le but de crĂ©er une grande unanimitĂ© nationale et populaire autour des choix socialistes de Boumediene ». Sont ainsi mobilisĂ©s des symboles, des institutions et des personnalitĂ©s religieuses pour rĂ©aliser le rassemblement nĂ©cessaire autour du projet de dĂ©veloppement du pays sous l’égide du modĂšle socialiste[20]. L’association El Qiyam, qui met en avant les valeurs islamiques, obtient nĂ©anmoins du prĂ©sident Ben Bella l’interdiction de la consommation d’alcool sur l’ensemble du territoire national, puis, sous Boumediene, l’introduction d’un enseignement religieux dans les programmes scolaires et la fixation du repos hebdomadaire au vendredi en place du dimanche. Interdite en 1970, El Qiyam continuera d’agir et de travailler clandestinement[17].

L'influence politique limitée de revendications islamistes

Dans les annĂ©es 1970-1980, les islamistes mĂšneront ainsi un important combat idĂ©ologique contre le pouvoir en place. Ils imposeront aux gouvernements « la construction d’un grand nombre de mosquĂ©es qui deviendront des centres d’éducation religieuse et des tribunes de contestation politique, notamment dans les quartiers populaires, trĂšs sensibles au discours islamiste empreint d’égalitĂ© et de justice »[17]. ConsidĂ©rĂ© comme subversif, le mouvement islamiste sera durement rĂ©primĂ© par les services de sĂ©curitĂ© de l’armĂ©e. Des centaines de partisans d’un État islamique seront emprisonnĂ©s, torturĂ©s, placĂ©s en rĂ©sidence surveillĂ©e. Selon Brahim Younessi, Ă  la fin des annĂ©es 1980, l’idĂ©e d’une insurrection armĂ©e commence Ă  gagner des esprits[17].

L’universitĂ© est le champ des antagonismes entre « progressistes » et « islamistes ». De nombreux intellectuels issus du courant idĂ©ologique initiĂ© par Malek Bennabi soutiennent le projet d’une sociĂ©tĂ© islamiste. L'activisme islamiste gagne Ă©galement les rues. Il devient courant de voir des hommes barbus vĂȘtus de kamis (long vĂȘtement en forme de robe) blanc faire la tournĂ©e des bars et boĂźtes de nuit pour inviter les propriĂ©taires Ă  fermer ces lieux de « dĂ©bauche ». Le nom de Mustapha Bouyali, leader du premier mouvement islamiste armĂ©, devient le symbole de la guĂ©rilla naissante[17].

Le successeur de BoumĂ©diĂšnne, le colonel Chadli Bendjedid (1979-1992), voulut attĂ©nuer l'aspect socialiste du FLN, et au cours de la seconde moitiĂ© des annĂ©es 1980, rĂ©introduit une lĂ©gislation religieuse conservatrice dans une tentative d'apaiser l'opposition croissante des islamistes. Ainsi, le principal cadre lĂ©gal qui ordonne le rĂ©gime matrimonial des AlgĂ©riennes, le Code de la famille promulguĂ© en 1984, s’inspire essentiellement de la charia[21].

DĂ©cennie noire

SurnommĂ©es la « dĂ©cennie noire », les annĂ©es 1990 sont marquĂ©es par une guerre civile sanglante, opposant des groupes islamistes tels que le Groupe islamique armĂ© (GIA) et l'ArmĂ©e islamique du salut (AIS) au gouvernement algĂ©rien. Cette guerre civile coĂ»te la vie Ă  150 000 personnes et marque profondĂ©ment le pays.

Pendant et aprĂšs la guerre civile algĂ©rienne, la position du FLN demeure identique : proclamer l'islam algĂ©rien comme une influence dĂ©terminante, tout en faisant valoir simultanĂ©ment que cette influence doit ĂȘtre exprimĂ©e comme une foi progressiste et moderne, mĂȘme si le parti reste globalement en ligne avec les mƓurs sociales conservatrices de la population algĂ©rienne. Il a fermement condamnĂ© les enseignements religieux radicaux fondamentalistes du Front islamique du salut (FIS) et d'autres groupes islamistes, tout en soutenant l'inclusion de partis islamistes non violents dans le systĂšme politique et en collaborant avec eux.

Présidences d'Abdelaziz Bouteflika

Les deux premiers mandats du prĂ©sident Abdelaziz Bouteflika sont marquĂ©s par la promesse de mettre fin Ă  la discorde aprĂšs une longue et terrible guerre civile. En , la loi de la « concorde civile » est votĂ©e et approuvĂ©e par rĂ©fĂ©rendum. Elle prĂ©voit l'amnistie partielle des islamistes armĂ©s. Les maquis se vident et plus de 6 000 hommes dĂ©posent les armes[22].

Bouteflika parvient Ă©galement Ă  affaiblir considĂ©rablement l'islam politique en convainquant les FrĂšres musulmans du Mouvement de la sociĂ©tĂ© pour la paix (MSP) Ă  s’associer avec lui pour diriger l’AlgĂ©rie[23].

Organisation politique

MinistĂšre des Affaires religieuses et des Wakfs

Le ministĂšre des Affaires religieuses et des Wakfs est chargĂ© de rĂ©gir les affaires religieuses telles que le calendrier musulman, les horaires de priĂšres, les jours de fĂȘte religieuse, l'annonce du ramadan, le pĂšlerinage Ă  La Mecque ou encore l'entretien des mosquĂ©es[24].

Haut conseil islamique

Le Haut conseil islamique est formé de quinze membres, dont un président, nommés par le président de la République. Son rÎle, défini par l'article 206 de la Constitution algérienne, consiste à « encourager et promouvoir l'Ijtihad » et à « émettre son avis au regard des prescriptions religieuses sur ce qui lui est soumis »[25].

Rîle de l'État

La Constitution algĂ©rienne garantit Ă  tous les citoyens une libertĂ© du culte, et l'État en assure la protection. Les imams, les prĂȘtres et les rabbins dĂ©pendent du ministĂšre des Cultes et sont rĂ©munĂ©rĂ©s par l’État. Le gouvernement contribue au financement des mosquĂ©es, des imams et de l'Ă©tude de l'islam dans les Ă©tablissements scolaires. L’enseignement de la charia (les lois de la religion islamique) est devenu depuis obligatoire dans toutes les filiĂšres du secondaire. En outre, le gouvernement a intensifiĂ© le contrĂŽle de l'enseignement religieux scolaire, des prĂȘches dans les Ă©tablissements religieux et l'interdiction de la distribution d'ouvrages religieux faisant la promotion de la violence. La guerre civile des annĂ©es 1990 conduit l'État Ă  crĂ©er la fonction de mourchidate (femme imam mais qui ne prĂȘche pas), relevant du ministĂšre des Affaires religieuses et des Wakfs, afin de lutter contre la radicalisation religieuse[26] - [27].

Traditions

Le jour du mawlid est le jour oĂč l'on commĂ©more la naissance du dernier prophĂšte de l'islam depuis des siĂšcles.

Les rĂ©citants du Coran et les enfants circoncis reçoivent des cadeaux de la part des diffĂ©rents ministĂšres et associations comme Ihssan lors des fĂȘtes religieuses.

Bibliographie

Notes et références

  1. (en)Table: Religious Composition by Country, in Percentages, Pew Forum on Religion & Public Life
  2. (en)« Statistiques de l'Agence centrale de renseignement (CIA) des États-Unis » (consultĂ© le )
  3. (en) « Algeria - Languages », sur Encyclopedia Britannica (consulté le )
  4. (en) « Mapping the Global Muslim Population », sur Pew Research Center's Religion & Public Life Project, (consulté le ).
  5. « La religiosité serait en recul dans le monde arabe, en particulier au Maghreb », sur Middle East Eye édition française,
  6. EncyclopÊdia Universalis, « MOZABITES », sur EncyclopÊdia Universalis (consulté le )
  7. Samir Amghar. « Le salafisme au Maghreb : menace pour la sécurité ou facteur de stabilité politique ? », Revue internationale et stratégique, vol. 67, no. 3, 2007, pp. 41-52.
  8. (en) Dalia Ghanem, « The Shifting Foundations of Political Islam in Algeria », sur Carnegie Middle East Center (consulté le ).
  9. « Algérie : un imam wahhabite déclenche la polémique », sur Middle East Eye (consulté le ).
  10. « « Que Dieu te maudisse ! » : le cheikh Chemssou attaque le chef des wahhabites algériens », sur Middle East Eye édition française (consulté le ).
  11. « La librairie du chef des salafistes, Mohamed Ali Ferkous, fermée », sur REFLEXION (consulté le ).
  12. Cherif Ouazani « Algérie : les islamistes entre djihadisme et quiétisme », Jeune Afrique, 24 décembre 2011.
  13. Gilbert Meynier, « L'AlgĂ©rie, la nation et l'islam : le FLN, 1954-1962 », Raison prĂ©sente, vol. 159, no 1,‎ , p. 61–80 (DOI 10.3406/raipr.2006.3978, lire en ligne, consultĂ© le )
  14. Jabeur Fathally, « La vocation dĂ©fensive du jihād, son histoire et sa rĂ©alitĂ© juridique contemporaine », Études internationales, vol. 49, no 1,‎ , p. 133–176 (ISSN 0014-2123 et 1703-7891, DOI 10.7202/1050547ar, lire en ligne, consultĂ© le )
  15. (en) « Abdelkader | Algerian leader », sur Encyclopedia Britannica (consulté le )
  16. Raberh Achi, « « L'islam authentique appartient Ă  Dieu, “l'islam algĂ©rien” Ă  CĂ©sar »: La mobilisation de l'association des oulĂ©mas d'AlgĂ©rie pour la sĂ©paration du culte musulman et de l'État (1931-1956) », GenĂšses, vol. 69, no 4,‎ , p. 49 (ISSN 1155-3219 et 1776-2944, DOI 10.3917/gen.069.0049, lire en ligne, consultĂ© le )
  17. Brahim Younessi, L'islamisme algérien : nébuleuse ou mouvement social ?, Politique étrangÚre, Année 1995, 60-2, pp. 365-376
  18. Appel au peuple algérien, texte intégral du premier appel adressé par le Secrétariat général du FLN le 1er novembre 1954.
  19. Mohammed Harbi. Le FLN, mirage et réalité des origines à la prise du pouvoir (1945-1962) (compte rendu), Gérard Chaliand, Politique étrangÚre, Année 1981, Volume 46, Numéro 1, pp. 231-232
  20. La place de l’islam dans l’AlgĂ©rie indĂ©pendante La pĂ©riode des prĂ©sidences Ben Bella et Boumediene comme modĂšle de rĂ©fĂ©rence, crasc.dz
  21. Laurent De Saint Perier, AlgĂ©rie : la loi islamique au cƓur de la RĂ©publique dĂ©mocratique et populaire, jeuneafrique.com, 5 octobre 2017
  22. « Bouteflika, candidat post-mortem? », (consulté le ).
  23. Nicolas Beau, Lorsque Abdelaziz Bouteflika avait enterrĂ© l’islam politique algĂ©rien, mondafrique.com, 14 juin 2021.
  24. (ar) « وŰČۧ۱۩ Ű§Ù„ŰŽŰ€ÙˆÙ† Ű§Ù„ŰŻÙŠÙ†ÙŠŰ© ÙˆŰ§Ù„ŰŁÙˆÙ‚Ű§Ù », sur www.marw.dz (consultĂ© le )
  25. Constitution algérienne, site joradp.dz, 30 décembre 2020.
  26. Amal Belalloufi, « En Algérie, des femmes imams luttent contre la radicalisation », sur Le Point, (consulté le ).
  27. Nicolas Basse, « Des femmes imams luttent contre l'extrémisme en Algérie », sur Le Figaro, (consulté le ).

Voir aussi

Articles connexes

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