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Hures-la-Parade

Hures-la-Parade est une commune française née de la fusion en 1971 des anciennes communes de Hures et de La Parade. Elle est située sur le causse Méjean, dans le sud-ouest du département de la LozÚre, en région Occitanie.

Hures-la-Parade
Hures-la-Parade
Le village d'Hures.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement LozĂšre
Arrondissement Florac
Intercommunalité Communauté de communes Gorges Causses Cévennes
Maire
Mandat
André Baret
2020-2026
Code postal 48150
Code commune 48074
DĂ©mographie
Population
municipale
226 hab. (2020 en diminution de 16,3 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 2,6 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 14â€Č 45″ nord, 3° 21â€Č 11″ est
Altitude Min. 501 m
Max. 1 204 m
Superficie 88,59 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Florac Trois RiviĂšres
LĂ©gislatives Circonscription de la LozĂšre
Localisation
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Hures-la-Parade

    ExposĂ©e Ă  un climat de montagne, elle est drainĂ©e par la Jonte, le ravin des Bastides et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les CĂ©vennes, la commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 (le « causse MĂ©jean », « les CĂ©vennes » et les « gorges du Tarn et de la Jonte ») et sept zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Hures-la-Parade est une commune rurale qui compte 226 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 525 habitants en 1806. Ses habitants sont appelĂ©s les Huriens ou Huriennes.

    GĂ©ographie

    Généralités

    Le causse MĂ©jean Ă  Hures-la-Parade, Ă  l'est de l'aven Armand.

    Dans le quart sud-ouest du dĂ©partement de la LozĂšre, sur le causse MĂ©jean, la commune de Hures-la-Parade s'Ă©tend sur 88,59 km2. Elle est bordĂ©e au sud sur environ sept kilomĂštres par la Jonte et ses gorges et est limitrophe du dĂ©partement de l'Aveyron. Avec moins de trois habitants par kilomĂštre carrĂ©, sa densitĂ© de population est l'une des plus faibles de France.

    L'altitude minimale, 501 mĂštres, se trouve localisĂ©e Ă  l'extrĂȘme sud-ouest, lĂ  oĂč la Jonte quitte la commune et sert de limite entre celles de Saint-Pierre-des-Tripiers et de Veyreau. L'altitude maximale avec 1 204 mĂštres est situĂ©e Ă  l'extrĂȘme est, en limite de la commune de Vebron[Carte 1].

    TraversĂ© par la route dĂ©partementale (RD) 986, le bourg de la Parade oĂč se trouve la mairie est situĂ©, en distances orthodromiques, vingt-sept kilomĂštres au nord-est de Millau. Le petit bourg de Hures est situĂ© six kilomĂštres plus Ă  l'est.

    La commune est également desservie par la RD 63 qui dessert l'aérodrome de Florac - Sainte-Enimie (code OACI des aéroports : LFNO), et la RD 996, qui longe la Jonte.

    Sur les hauteurs du causse Méjean, le territoire communal est parcouru par deux sentiers de grande randonnée : entre Saint-Pierre-des-Tripiers et Meyrueis, le GR 6 traverse la commune d'ouest en est sur environ sept kilomÚtres, passant à proximité de l'aven Armand ; entre Mas-Saint-Chély et GatuziÚres, le Chemin de Saint-Guilhem-le-Désert, présent sous balisage "GR 60" dans la commune, traverse celle-ci sur prÚs de cinq kilomÚtres, du nord vers le sud-est.

    Communes limitrophes

    Hures-la-Parade est limitrophe de neuf autres communes, dont celle de Veyreau dans le département de l'Aveyron.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Pour ce type de climat, la tempĂ©rature dĂ©croĂźt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nĂ©bulositĂ© minimale en hiver et maximale en Ă©tĂ©. Les vents et les prĂ©cipitations varient notablement selon le lieu[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[2].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 8,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 7,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 102 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 5,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et en service de 1983 Ă  2020 permet de connaĂźtre l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[7]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.

    Statistiques 1981-2010 et records HURES-LA-PARADE (48) - alt : 1 028 m 44° 14â€Č 54″ N, 3° 24â€Č 06″ E
    Statistiques établies sur la période 1983-2010 - Records établis sur la période du 01-04-1983 au 31-12-2020
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    TempĂ©rature minimale moyenne (°C) −2,6 −2,3 −0,2 1,9 6 9,3 11,7 11,5 8,3 5,5 1 −1,4 4,1
    Température moyenne (°C) 0,9 1,6 4,2 6,5 10,8 14,6 17,5 17,4 13,5 9,7 4,5 2 8,6
    Température maximale moyenne (°C) 4,3 5,4 8,6 11,1 15,6 19,8 23,4 23,2 18,7 13,9 8 5,5 13,2
    Record de froid (°C)
    date du record
    −21,5
    16.01.1985
    −19,5
    10.02.1986
    −17,6
    01.03.05
    −8,2
    12.04.1986
    −4,3
    01.05.04
    −0,5
    04.06.1984
    3,7
    12.07.00
    2,5
    30.08.1986
    −1
    29.09.1993
    −6,8
    26.10.03
    −11
    27.11.10
    −15
    18.12.10
    −21,5
    1985
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    18
    13.01.07
    22
    27.02.19
    22,1
    31.03.12
    25,2
    07.04.11
    28,6
    29.05.01
    33,4
    28.06.19
    33,5
    21.07.1989
    35
    13.08.03
    31,3
    17.09.1987
    26,8
    02.10.11
    21
    23.11.1992
    20
    02.12.15
    35
    2003
    Précipitations (mm) 72,4 62,6 52 90 92,2 72 45,4 60 91,9 108,1 101,1 77,4 925,1
    Source : « Fiche 48074003 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[8] - [9]. Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cƓur du Parc national des CĂ©vennes. Ce parc national, crĂ©Ă© en 1967, est un territoire de moyenne montagne formĂ© de cinq entitĂ©s gĂ©ographiques : le massif de l'Aigoual, le causse MĂ©jean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont LozĂšre, les vallĂ©es cĂ©venoles ainsi que le piĂ©mont cĂ©venol[10].

    Les CĂ©vennes sont Ă©galement un territoire reconnu rĂ©serve de biosphĂšre par l'UNESCO en 1985 pour la mosaĂŻque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversitĂ© exceptionnelle, avec 2 400 espĂšces animales, 2 300 espĂšces de plantes Ă  fleurs et de fougĂšres, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[11] - [12].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats[14] :

    • le « causse MĂ©jean », d'une superficie de 1 269 ha, un site avec des milieux reprĂ©sentatifs des habitats naturels caussenards Ă  dominante dolomitique prĂ©sentant un Mesobromion riche en orchidĂ©es[15]

    et deux au titre de la directive oiseaux[14] :

    • les « gorges du Tarn et de la Jonte », d'une superficie de 41 801 ha, englobant le territoire de prĂšs des trois-quarts de la population de Vautours fauves des grands causses qui furent l'un des principaux sites français de rĂ©introduction de cette espĂšce[16] ;
    • « les CĂ©vennes », d'une superficie de 92 044 ha, correspondant prĂ©cisĂ©ment Ă  la zone centrale du parc national des CĂ©vennes et rassemblant plusieurs ensembles distincts. La diversitĂ© des milieux et des paysages permet le maintien d'une avifaune riche et diversifiĂ©e : au total, 135 espĂšces d'oiseaux, dont 22 inscrites Ă  l'annexe 1 de la directive 79-409-CEE, recensĂ©es dans la zone centrale du parc, dont une vingtaine d'espĂšces de rapaces diurnes et sept nocturnes[17].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensĂ©es sur la commune[18] :

    • la « colline de Fretma » (38 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[19] ;
    • les « gorges de la Jonte » (2 578 ha), couvrant 6 communes dont deux dans l'Aveyron et quatre dans la LozĂšre[20] ;
    • les « pelouses de la serre Gaoujac » (379 ha)[21] ;
    • la « plaine de Chanet » (1 573 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[22] ;
    • les « plaines de Saubert et de la combette » (537 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[23] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 5] - [18] :

    • le « causse MĂ©jean » (33 342 ha), couvrant 13 communes du dĂ©partement[24] ;
    • les « gorges de la Jonte » (4 568 ha), couvrant 8 communes dont deux dans l'Aveyron et six dans la LozĂšre[25].
    • Cartes des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Hures-la-Parade.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Hures-la-Parade est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [26] - [I 1] - [27]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (89,8 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (90,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (61,1 %), forĂȘts (26,4 %), terres arables (5,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (2,3 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (0,6 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Lieux-dits, hameaux et Ă©carts

    La commune comprend, en plus des deux villages principaux de Hures et de la Parade, de nombreux hameaux et lieux-dits : AumiĂšres, Cazeneuve, Drigas, Hyelzas, la BĂ©gude Blanche, la Borie, la Retournade, le Bedos, le Buffre, le Villaret, les Avens, les Douzes, les HĂ©rans, les Horts, Nivoliers et Saubert...

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Hures-la-Parade est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[29]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[30].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Jonte. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982 et 1994[31] - [29].

    Hures-la-Parade est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en dĂ©cembre 2014 pour la pĂ©riode 2014-2023[32]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă  moins de 200 mĂštres de celles-ci. L’arrĂȘtĂ© du , complĂ©tĂ© par un arrĂȘtĂ© de 2020, rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du , abrogeant un arrĂȘtĂ© de 2002, rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 7] - [32] - [33].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Hures-la-Parade.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des Ă©boulements, chutes de pierres et de blocs et des glissements de terrain[34].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 43,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (15,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 197 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 117 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 59 %, Ă  comparer aux 14 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[35] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[36].

    Histoire

    En , un violent combat opposa les maquisards du groupe Bir-Hakeim aux troupes nazies.

    C'est au cours des années 1950 que l'électrification a eu lieu sur le causse Méjean et que les habitants de la commune ont pu se voir équipés de l'électricité.

    Les travaux d'adduction d'eau potable ont eu lieu dans les annĂ©es 1960, mettant en Ɠuvre un vaste chantier de canalisations qui sera poursuivi dix annĂ©es durant.

    C'est sur la commune que s'est installée depuis 1990 l'association TAKH qui y a introduit des chevaux de Przewalski dans le but de sauver cette espÚce de chevaux sauvages.

    Une rave party rĂ©unissant 10 000 personnes s'est dĂ©roulĂ©e en sur la commune, provoquant un certain Ă©moi compte tenu de la pandĂ©mie de Covid-19[37] - [38].

    Politique et administration

    DĂ©coupage territorial

    La commune d'Hures-la-Parade est membre de la communauté de communes Gorges Causses Cévennes[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siÚge est à Florac Trois RiviÚres. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[39].

    Sur le plan administratif, elle est rattachĂ©e Ă  l'arrondissement de Florac, Ă  la circonscription administrative de l'État de la LozĂšre et Ă  la rĂ©gion Occitanie[I 4].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Florac Trois RiviÚres pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la circonscription de la LozÚre pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[40].

    Liste des maires

    Liste des maires de Hures-la-Parade
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1983 2001 Denis Gal SE Exploitant
    2001 2008 Christian Pratlong
    2008
    (réélu en mai 2020)
    En cours André Baret

    Population et société

    DĂ©mographie

    Les habitants de Hures-la-Parade sont appelés les Huriens.

    La commune a atteint son plus bas niveau dĂ©mographique en 1968 avec 71 habitants. Depuis lors, la population n'a fait que croĂźtre, hormis un flĂ©chissement aprĂšs 2013.

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[42].

    En 2020, la commune comptait 226 habitants[Note 8], en diminution de 16,3 % par rapport Ă  2014 (LozĂšre : +0,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    482472525477478387345400400
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    426422359364335278288277260
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    220208193164150165141120133
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    9771157166164177214224268
    2018 2020 - - - - - - -
    234226-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee Ă  partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'école de la commune est située à La Parade. Ce regroupement pédagogique a permis le maintien de la seule école du causse Méjean en 1983.

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 102 mĂ©nages fiscaux[Note 9], regroupant 226 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 17 590 â‚Ź[I 5] (20 420 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 6]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 7]6,3 %5,8 %6,2 %
    DĂ©partement[I 8]5 %6,4 %7,1 %
    France entiĂšre[I 9]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  130 personnes, parmi lesquelles on compte 76,2 % d'actifs (70 % ayant un emploi et 6,2 % de chĂŽmeurs) et 23,8 % d'inactifs[Note 10] - [I 7]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et dĂ©partement, alors qu'en 2008 il Ă©tait supĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement et infĂ©rieur Ă  celui de la France.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 4] - [I 10]. Elle compte 104 emplois en 2018, contre 95 en 2013 et 91 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 94, soit un indicateur de concentration d'emploi de 110,4 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 53,7 %[I 11].

    Sur ces 94 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 54 travaillent dans la commune, soit 57 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 63,8 % des habitants utilisent un vĂ©hicule personnel ou de fonction Ă  quatre roues, 18,1 % s'y rendent en deux-roues, Ă  vĂ©lo ou Ă  pied et 18,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

    Activités

    Moulin de la Borie, La Parade

    L'agriculture confortée par le tourisme vert est l'activité principale de la commune, qui possÚde aussi sur son territoire l'aven Armand.

    Le moulin de la Borie, restauré en 2017, a permis de créer un pÎle économique impliquant des agriculteurs qui produisent des céréales, un meunier qui transforme ces céréales au moulin et des boulangers qui fabriquent du pain avec la farine ainsi transformée.

    La fromagerie le FĂ©dou[45] fabrique des fromages au lait cru de brebis.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • L'enceinte protohistorique de la Rode, ou de Drigas, ou de Hures, pourrait dater du VIe siĂšcle av. J.-C.[46].
    • Sur le territoire communal ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©s cinq dolmens : le dolmen des Avens[47], le dolmen du CerriĂšre[48], le dolmen de Drigas[49], la tombe du GĂ©ant[50] situĂ©e Ă  proximitĂ© de l'aven Armand et le Tombeu dau GeĂŻon[51], ainsi que trois menhirs : menhir de Parade[52], le menhir de la Plaine de Chanet[53] et le Plo de Saubert[54], et un tumulus : celui du Plo de Saubert[55].
    • La Ferme caussenarde d'autrefois[56], au hameau de Hyelzas, crĂ©Ă©e en 1973 par Armand et Marie Pratlong, est un Ă©comusĂ©e oĂč le visiteur peut dĂ©couvrir la vie des paysans du causse MĂ©jean jusqu'en 1946, dans des bĂątiments typiques de l'architecture caussenarde des XVIIIe et XIXe siĂšcles. Aujourd'hui, elle est ouverte au public d'avril Ă  octobre inclus ; ce sont leurs enfants et leurs petits-enfants qui y accueillent les visiteurs.
    • L'aĂ©rodrome de Florac - Sainte-Enimie, Ă©galement appelĂ© Florac-Chanet, comporte trois pistes non revĂȘtues. D'usage restreint, il est principalement utilisĂ© pour le vol Ă  voile entre avril et octobre[57]. Il est situĂ© Ă  l'intersection des routes dĂ©partementales D 16 et D 63, dans le nord-est de la commune.
    • L'enceinte protohistorique de la Rode.
      L'enceinte protohistorique de la Rode.
    • La tombe du GĂ©ant.
      La tombe du GĂ©ant.
    • La Ferme caussenarde d'autrefois.
      La Ferme caussenarde d'autrefois.
    • Sentier aprĂšs le passage d'un troupeau de brebis.
      Sentier aprĂšs le passage d'un troupeau de brebis.

    Patrimoine religieux

    • Le roc Saint-Gervais.
      Le roc Saint-Gervais.
    • La chapelle Saint-Gervais-et-Saint-Protais des Douzes.
      La chapelle Saint-Gervais-et-Saint-Protais des Douzes.
    • La croix du Buffre.

    Patrimoine environnemental

    La commune à trois sites naturels classés[59] :

    • l'aven Armand, une cavitĂ© souterraine site classĂ© depuis le . Ouverte au public, elle est situĂ©e dans le sud de la commune ;
    • la grotte AmĂ©lineau, site classĂ© depuis le , mais qui n'est pas ouverte au public ;
    • le site des gorges du Tarn et de la Jonte, classĂ© depuis le ; en effet, le territoire communal est entiĂšrement bordĂ© au sud sur sept kilomĂštres par la Jonte — et par ses gorges — qui sert de limite communale et dĂ©partementale avec la commune de Veyreau, dans le dĂ©partement de l'Aveyron.

    Par ailleurs, prĂšs du lieu-dit le Villaret, l'association TAKH a introduit des chevaux de Przewalski[60].

    • La « forĂȘt de stalagmites » de l'aven Armand.
      La « forĂȘt de stalagmites » de l'aven Armand.
    • Les gorges de la Jonte vues depuis le roc Saint-Gervais. Toute la partie Ă  gauche de la vallĂ©e est situĂ©e sur la commune de Hures-la-Parade.
      Les gorges de la Jonte vues depuis le roc Saint-Gervais. Toute la partie à gauche de la vallée est située sur la commune de Hures-la-Parade.
    • Chevaux de Przewalski sur le causse MĂ©jean.
      Chevaux de Przewalski sur le causse MĂ©jean.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[13].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. « 1204 » sur Géoportail (consulté le 31 mars 2020)..
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune d'Hures-la-Parade » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Hures-la-Parade » (consulté le ).
    6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la LozÚre » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Hures-la-Parade » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la LozÚre » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Hures-la-Parade » (consulté le ).
    12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Fiche du Poste 48074003 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
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    12. « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
    14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Hures-la-Parade », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    18. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Hures-la-Parade », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    21. « ZNIEFF les « pelouses de la serre Gaoujac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF la « plaine de Chanet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF les « plaines de Saubert et de la combette » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF le « causse Méjean » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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    53. Menhir de la Plaine de Chanet, Mégalithes du monde, consulté le 31 mars 2020.
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    56. Bienvenue Ă  la Ferme Caussenarde d'Autrefois
    57. Service de l'information aéronautique (SIA) (carte VAC), Fiche descriptive officielle du terrain d'aviation - FLORAC SAINTE ENIMIE - LFNO [PDF], sur www.sia.aviation-civile.gouv.fr (consulté le ).
    58. « Croix du Buffre », notice no PA00132966, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    59. [PDF] Fichier national des sites classés, ministÚre de la Transition écologique et solidaire, 29 décembre 2019, consulté le 30 mars 2020.
    60. Chevaux de Przewalski, Office de tourisme Gorges du Tarn Causses Cévennes, consulté le 30 mars 2020.
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