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Vebron

Vebron ou Vébron est une commune française, située dans le sud du département de la Lozère en région Occitanie.

Vebron
Vebron
Vebron et son pont, depuis la rive du Tarnon.
Blason de Vebron
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Florac
Intercommunalité Communauté de communes Gorges Causses Cévennes
Maire
Mandat
Alain Argilier
2020-2026
Code postal 48400
Code commune 48193
DĂ©mographie
Gentilé Vebronnais
Population
municipale
216 hab. (2020 en augmentation de 11,34 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 3,1 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 14′ 24″ nord, 3° 34′ 43″ est
Altitude Min. 611 m
Max. 1 247 m
Superficie 69,66 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Collet-de-Dèze
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
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Vebron
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Vebron
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Vebron
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Vebron
Liens
Site web www.mairievebron.fr

    Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Gardon de Sainte-Croix, le Tarnon, le ruisseau de Fraissinet et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : cinq sites Natura 2000 (les « vallées du Tarn, du Tarnon et de la Mimente », la « vallée du Gardon de Mialet », le « causse Méjean », « les Cévennes » et les « gorges du Tarn et de la Jonte ») et onze zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Vebron est une commune rurale qui compte 216 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 1 510 habitants en 1846. Ses habitants sont appelĂ©s les Vebronnais ou Vebronnaises.

    GĂ©ographie

    Vebron est située dans le sud du département de la Lozère, entre les gorges du Tarn et les gorges de la Jonte, entre le causse Méjean et les Cévennes, et au pied du mont Aigoual. Entouré à la fois de schiste et de calcaire, le village s'étale aux abords du Tarnon qui se jette dans le Tarn à Florac.

    Le point culminant de la commune se trouve au sommet du mont Gargo Ă  1 247 mètres d'altitude.

    Communes limitrophes

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[2] - [3]. Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cœur du Parc national des Cévennes. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[4].

    Les CĂ©vennes sont Ă©galement un territoire reconnu rĂ©serve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaĂŻque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversitĂ© exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes Ă  fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[5] - [6].

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Trois sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[8] :

    • les « vallĂ©es du Tarn, du Tarnon et de la Mimente », d'une superficie de 10 493 ha, des habitats pour deux mammifères : la Loutre (Lutra lutra) et le castor[9] ;
    • la « vallĂ©e du Gardon de Mialet », d'une superficie de 23 371 ha, abritant des populations de poissons d'intĂ©rĂŞt communautaire, notamment le Barbeau mĂ©ridional (Barbus meridionalis), mais aussi le Castor et l'Écrevisse Ă  pattes blanches[10] ;
    • le « causse MĂ©jean », d'une superficie de 1 269 ha, un site avec des milieux reprĂ©sentatifs des habitats naturels caussenards Ă  dominante dolomitique prĂ©sentant un Mesobromion riche en orchidĂ©es[11]

    et deux au titre de la directive oiseaux[8] :

    • les « gorges du Tarn et de la Jonte », d'une superficie de 41 801 ha, englobant le territoire de près des trois-quarts de la population de Vautours fauves des grands causses qui furent l'un des principaux sites français de rĂ©introduction de cette espèce[12] ;
    • « les CĂ©vennes », d'une superficie de 92 044 ha, correspondant prĂ©cisĂ©ment Ă  la zone centrale du parc national des CĂ©vennes et rassemblant plusieurs ensembles distincts. La diversitĂ© des milieux et des paysages permet le maintien d'une avifaune riche et diversifiĂ©e : au total, 135 espèces d'oiseaux, dont 22 inscrites Ă  l'annexe 1 de la directive 79-409-CEE, recensĂ©es dans la zone centrale du parc, dont une vingtaine d'espèces de rapaces diurnes et sept nocturnes[13].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Sept ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[14] :

    • le « chaos dolomitique de NĂ®mes-le-vieux » (288 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[15] ;
    • la « colline de Fretma » (38 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[16] ;
    • les « contreforts oriental du causse MĂ©jean entre Ferreyrettes et Fraissinet-de-Fourques » (957 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[17] ;
    • la « plaine de Chanet » (1 573 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[18] ;
    • la « rivière du Tarnon, de VĂ©bron Ă  Florac » (56 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[19] ;
    • les « Valats de SolpĂ©rières et de Broussous » (411 ha)[20] ;
    • le « versant de la Can de l'Hospitalet » (451 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[21] ;

    et quatre ZNIEFF de type 2[Note 3] - [14] :

    • les « Can de l'Hospitalet » (2 062 ha), couvrant 9 communes du dĂ©partement[22] ;
    • le « causse MĂ©jean » (33 342 ha), couvrant 13 communes du dĂ©partement[23] ;
    • les « Hautes vallĂ©es des Gardons » (73 898 ha), couvrant 48 communes dont 27 dans le Gard et 21 dans la Lozère[24];
    • la « vallĂ©e du Tarnon » (6 248 ha), couvrant 7 communes du dĂ©partement[25].
    • Cartes des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Vebron.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Vebron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [26] - [I 1] - [27]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (40,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (12,2 %), terres arables (4,2 %), prairies (1,5 %), zones agricoles hétérogènes (1 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Vebron est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Tarnon et le Gardon de Sainte-Croix. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 2003, 2011 et 2020[31] - [29].

    Vebron est exposĂ©e au risque de feu de forĂŞt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂŞts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en dĂ©cembre 2014 pour la pĂ©riode 2014-2023[32]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂŞtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂŞt et Ă  moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrĂŞtĂ© du , complĂ©tĂ© par un arrĂŞtĂ© de 2020, rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂŞtĂ© du , abrogeant un arrĂŞtĂ© de 2002, rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 5] - [32] - [33].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vebron.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs, des glissements de terrain et des tassements différentiels[34]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[35].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 34,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (15,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 318 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 23 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 7 %, Ă  comparer aux 14 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[36] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[35].

    Toponymie

    « Vebron » est issu du vieil occitan vibrë ou vibro pour « castor »[37]. Cet animal a été réintroduit et on peut le surprendre tout près du village, le long du Tarnon. D'ailleurs Vebron organise chaque année une course pédestre appelée « La Ronde des castors » aux environs du 15 août.

    Politique et administration

    Liste des maires de VĂ©bron
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 ? François Lozeran de Fressac
    ? 1995 Jacqueline Broussous PS
    1995 En cours Alain Argilier PRG-MRSL Conseiller général du canton de Florac 2001-2015

    DĂ©mographie

    Les habitants sont appelés les Vebronnais[38].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[40].

    En 2020, la commune comptait 216 habitants[Note 6], en augmentation de 11,34 % par rapport à 2014 (Lozère : +0,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2501 2071 1941 2581 2891 5041 5051 5101 176
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0561 0431 0599879911 0431 026918906
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    885893750614562555532405326
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    242249204174188197228231204
    2014 2019 2020 - - - - - -
    194214216------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee Ă  partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 97 mĂ©nages fiscaux[Note 7], regroupant 176 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 17 260 â‚¬[I 4] (20 420 â‚¬ dans le dĂ©partement[I 5]).

    Emploi

    Taux de chĂ´mage
    200820132018
    Commune[I 6]11,7 %13,6 %10,8 %
    DĂ©partement[I 7]5 %6,4 %7,1 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lève Ă  127 personnes, parmi lesquelles on compte 75,4 % d'actifs (64,6 % ayant un emploi et 10,8 % de chĂ´meurs) et 24,6 % d'inactifs[Note 8] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chĂ´mage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 51 emplois en 2018, contre 40 en 2013 et 45 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 85, soit un indicateur de concentration d'emploi de 60 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 55,8 %[I 10].

    Sur ces 85 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 40 travaillent dans la commune, soit 47 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 72,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 11,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 16,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église de Vebron a été désacralisée par l'évêque de Mende. Le bâtiment appartient désormais à la mairie de Vebron. Une autre église est située sur la commune, au hameau de Cros-Garnon, sur le causse Méjean. Le mobilier de l'église de Vebron est venu alimenter celui de l'église de Cros-Garnon. Le temple protestant de Vebron, construit par les habitants en 1823, a été complètement rénové en 2000. Il sert toujours de lieu de culte pour l'Église réformée de France, et est aussi devenu un lieu culturel où festivals, concerts et conférences se déroulent tout au long de l'année.

    Festival

    Depuis 1988, se tient chaque année à Vébron le Festival International du Film parrainé par la comédienne Bernadette Lafont, le réalisateur Jacques Malaterre et l'auteur et metteur en scène cévenol Lionnel Astier.

    En 2021, la 34e édition du Festival se déroulera du 20 au .

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Vebron Blason
    D’azur, à un château de trois tours d’argent, maçonné de sable, et une champagne ondée d’argent, chargée d’un castor de gueules.
    DĂ©tails
    Le château symbolise chacun de ces bâtiments présents sur le territoire communal. Comme il y en a trois c’est la raison des trois tours. On trouve ainsi le château de Roux, celui de Salgas et celui de Vebron.

    La champagne ondée symbolise le Tarnon qui traverse le territoire communal.

    Le castor traduit le nom de la commune.

    Les ornements représentent du châtaignier pour les forêts communales.

    Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

    La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Sylvain Gagnière et C. Hugues, Le dolmen du Devois de Villeneuve (VĂ©bron, Lozère), Bulletin de la SociĂ©tĂ© d'Études des Sciences Naturelles de Vaucluse, no 3, 1937.
    • Les ouvrages de Robert Poujol font autoritĂ© dans les quatre domaines suivants : L'abbĂ© du Chayla, du Siam aux CĂ©vennes (guerre des Camisards) Lamoignon de Basville, roi solitaire en Languedoc (guerre des Camisards et dĂ©but du XVIIIe siècle en Languedoc), Vebron, histoire d un village cĂ©venol (monographie sur trois siècles) et Aigoual 1944 (rĂ©sistance dans les CĂ©vennes).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[7].
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accès.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Vebron » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Vebron » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Vebron » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    3. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    4. « Parc national des Cévennes - les cinq massifs », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le )
    5. « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le )
    6. « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    7. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    8. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Vebron », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « site Natura 2000 FR9101363 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « site Natura 2000 FR9101367 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « site Natura 2000 FR9101379 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « site Natura 2000 FR9110105 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « site Natura 2000 FR9110033 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Vebron », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF le « chaos dolomitique de Nîmes-le-vieux » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF la « colline de Fretma » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF les « contreforts oriental du causse Méjean entre Ferreyrettes et Fraissinet-de-Fourques » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF la « plaine de Chanet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF la « rivière du Tarnon, de Vébron à Florac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF les « Valats de Solpérières et de Broussous » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF le « versant de la Can de l'Hospitalet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF les « Can de l'Hospitalet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF le « causse Méjean » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF les « Hautes vallées des Gardons » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    43. Baume dolente, la grotte aux souvenirs
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