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Mas-Saint-Chély

Mas-Saint-Chély est une commune française située dans le sud du département de la Lozère en région Occitanie.

Mas-Saint-Chély
Mas-Saint-Chély
Mas-Saint-Chely, sur le causse MĂ©jean.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Florac
Intercommunalité Communauté de communes Gorges Causses Cévennes
Maire
Mandat
Gilles Vergély
2022-2026
Code postal 48210
Code commune 48141
DĂ©mographie
Gentilé Mas-Chélyens
Population
municipale
105 hab. (2020 en diminution de 11,76 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 1,8 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 18′ 35″ nord, 3° 23′ 48″ est
Altitude Min. 800 m
Max. 1 156 m
Superficie 56,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Florac Trois Rivières
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
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Mas-Saint-Chély
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Mas-Saint-Chély
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Mas-Saint-Chély
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Mas-Saint-Chély

    Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par divers petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « gorges du Tarn et de la Jonte ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Mas-Saint-ChĂ©ly est une commune rurale qui compte 105 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 647 habitants en 1846. Ses habitants sont appelĂ©s les Mas-ChĂ©lyens ou Mas-ChĂ©lyennes.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est situĂ©e Ă  vol d'oiseau Ă  22,2 kilomètres au sud-ouest de Mende, dans le nord-est du causse MĂ©jean[1].

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie et relief

    La superficie de la commune est de 5 681 hectares ; l'altitude varie entre 800 et 1 156 mètres[3]. Le point culminant de la commune est situĂ© au puech d'Alluech.

    • Le puech d'Alluech (altitude 1 156 m).
      Le puech d'Alluech (altitude 1 156 m).
    • Vue panoramique depuis le puech d'Alluech.
      Vue panoramique depuis le puech d'Alluech.
    • Le village vu depuis l'enceinte protohistorique du Tourelle.
      Le village vu depuis l'enceinte protohistorique du Tourelle.

    Logements

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 155, alors qu'il Ă©tait de 132 en 2008[a 1].

    Parmi ces logements, 40,6 % étaient des résidences principales, 57,4 % des résidences secondaires et 2,0 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2 % des appartements[a 2].

    La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 77,0 %, comme en 2008 (79 %)[a 3].

    Voies de communication et transports

    Le territoire communal est traversé par les routes départementales 16, 43 et 986. Par ailleurs, elle est parcourue par une variante du sentier de grande randonnée 6 (GR 6) qui constitue localement un tronçon du chemin de Saint-Guilhem-le-Désert.

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[4] - [5]. La commune fait partie de la zone de transition des CĂ©vennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu rĂ©serve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaĂŻque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversitĂ© exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes Ă  fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[6] - [7].

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂŞt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « gorges du Tarn et de la Jonte »[9], d'une superficie de 41 801 ha, englobant le territoire de près des trois-quarts de la population de Vautours fauves des grands causses qui furent l'un des principaux sites français de rĂ©introduction de cette espèce[10].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂŞt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensĂ©es sur la commune[11] : la « plaine de Chanet » (1 573 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[12], et le « versant nord du causse MĂ©jean Ă  Sainte-Enimie » (309 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[13] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3] - [11] :

    • le « causse MĂ©jean » (33 342 ha), couvrant 13 communes du dĂ©partement[14] ;
    • les « gorges du Tarn » (14 434 ha), couvrant 19 communes du dĂ©partement[15].
    • Cartes des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Mas-Saint-ChĂ©ly.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Mas-Saint-Chély est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [16] - [I 1] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (87,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (82,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (65,1 %), forêts (22,3 %), zones agricoles hétérogènes (7,7 %), terres arables (4,8 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Mas-Saint-Chély est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

    Mas-Saint-ChĂ©ly est exposĂ©e au risque de feu de forĂŞt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂŞts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en dĂ©cembre 2014 pour la pĂ©riode 2014-2023[21]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂŞtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂŞt et Ă  moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrĂŞtĂ© du , complĂ©tĂ© par un arrĂŞtĂ© de 2020, rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂŞtĂ© du , abrogeant un arrĂŞtĂ© de 2002, rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 5] - [21] - [22].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mas-Saint-Chély.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des tassements différentiels[23]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 52,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (15,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 143 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 113 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 79 %, Ă  comparer aux 14 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994 et 2003.

    Toponymie

    La commune portait le nom de Saint Cheli en 1793, puis Saint-Chély-du-Tarn en 1801 et enfin Mas-Saint-Chély le [26] - [I 4].

    Politique et administration

    Liste des maires de Mas-Saint-Chély
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2021 GĂ©rard Mourgues[27] UMP-LR
    2022 En cours Gilles Vergély[28]

    DĂ©mographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

    En 2020, la commune comptait 105 habitants[Note 6], en diminution de 11,76 % par rapport à 2014 (Lozère : +0,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    567611535510577594555647578
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    559562561510535505530536516
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    493546513503497492392286225
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    195174117107104109123126134
    2014 2019 2020 - - - - - -
    119107105------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23,4 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (29,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (43,0 %) est supérieur au taux départemental (32,5 %).

    En 2018, la commune comptait 61 hommes pour 49 femmes, soit un taux de 55,45 % d'hommes, supĂ©rieur au taux dĂ©partemental (49,96 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 5]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    2,1
    10,2
    75-89 ans
    20,8
    30,5
    60-74 ans
    22,9
    23,7
    45-59 ans
    20,8
    10,2
    30-44 ans
    12,5
    15,3
    15-29 ans
    14,6
    10,2
    0-14 ans
    6,2
    Pyramide des âges du département de la Lozère en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1
    90 ou +
    2,6
    9
    75-89 ans
    11,8
    20,4
    60-74 ans
    20
    22
    45-59 ans
    20,6
    16,6
    30-44 ans
    16,4
    15,1
    15-29 ans
    13,6
    15,9
    0-14 ans
    15

    Économie

    Emploi

    Taux de chĂ´mage
    200820132018
    Commune[I 6]2,5 %5,5 %3,2 %
    DĂ©partement[I 7]5 %6,4 %7,1 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lève Ă  65 personnes, parmi lesquelles on compte 81 % d'actifs (77,8 % ayant un emploi et 3,2 % de chĂ´meurs) et 19 % d'inactifs[Note 7] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chĂ´mage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 24 emplois en 2018, contre 35 en 2013 et 30 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 51, soit un indicateur de concentration d'emploi de 47,6 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 53,1 %[I 10].

    Sur ces 51 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 15 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 80 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Dolmen du Buisson.
      Dolmen du Buisson.
    • Menhir du FraĂŻsse.
      Menhir du FraĂŻsse.
    • Vue de l'enceinte protohistorique du Tourelle.
      Vue de l'enceinte protohistorique du Tourelle.
    • La chapelle Saint-CĂ´me.
      La chapelle Saint-CĂ´me.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[8].
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accès.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Insee

    1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
    2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
    3. LOG T7 - RĂ©sidences principales selon le statut d'occupation.
    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « Les modifications de noms de communes pour le département de la Lozère (48) de 1970 à 1973. » (consulté le ).
    5. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Mas-Saint-Chély (48141) », (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Mas-Saint-Chély » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Mas-Saint-Chély » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres références

    1. - « Orthodromie entre "Mas-Saint-Chély" et "Mende" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    2. Carte IGN sous GĂ©oportail.
    3. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    4. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    5. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    6. « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le )
    7. « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    8. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    9. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Mas-Saint-Chély », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « site Natura 2000 FR9110105 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    11. « Liste des ZNIEFF de la commune de Mas-Saint-Chély », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « ZNIEFF la « plaine de Chanet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « ZNIEFF le « versant nord du causse Méjean à Sainte-Enimie » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF le « causse Méjean » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF les « gorges du Tarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    19. « Les risques près de chez moi - commune de Mas-Saint-Chély », sur Géorisques (consulté le )
    20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    21. « Défense des forêts contre l'incendie (DFCI) », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le )
    22. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    23. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Mas-Saint-Chély », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. « Le maire du Mas-Saint-Chély, Gérard Mourgues, démissionne après 39 années d’exercice. », sur RadioTotem, (consulté le ).
    28. « Le nouveau conseil municipal est installé. », sur Midi Libre, (consulté le ).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Lozère (48) », (consulté le ).
    33. « Dolmen du Buisson », notice no PA00103855, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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