Gaillac-d'Aveyron
Gaillac-d'Aveyron est une commune française située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.
Gaillac-d'Aveyron | |
Le dolmen de Saplous. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Aveyron |
Arrondissement | Rodez |
Intercommunalité | Communauté de communes Des Causses à l'Aubrac |
Maire Mandat |
François Lacaze 2020-2026 |
Code postal | 12310 |
Code commune | 12107 |
Démographie | |
Gentilé | Gaillacien(ne) |
Population municipale |
318 hab. (2020 ) |
Densité | 11 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 21′ 23″ nord, 2° 55′ 46″ est |
Altitude | Min. 584 m Max. 975 m |
Superficie | 29,03 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Rodez (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Lot et Palanges |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Le patrimoine architectural de la commune comprend quatre immeubles protégés au titre des monuments historiques : le château de Lugans, inscrit en 1986, le dolmen de la Vernhiette, classé en 1989, le dolmen de Lespinasse, classé en 1989, et le dolmen de Saplous 2, inscrit en 1995.
Géographie
Localisation
Gaillac-d'Aveyron se situe sur la rive droite de la haute vallée de l'Aveyron entre le Causse de Sévérac et la chaîne des Palanges.
Les communes limitrophes sont Ségur, Laissac-Sévérac l'Église, Vimenet, Palmas d'Aveyron et Sévérac d'Aveyron.
Coussergues Palmas d'Aveyron |
Vimenet | Buzeins | ||
Laissac-Sévérac l'Église | N | Lapanouse | ||
O Gaillac-d'Aveyron E | ||||
S | ||||
Ségur | Vézins-de-Lévézou | Recoules-Prévinquières |
Réseau hydrographique
La commune est drainée par l'Aveyron, le ruisseau de Cuge, le ruisseau de Malrieu, Les Caylas, le ravin de Gourgoucine, le ravin des Tines, le ravin du Prat Nau, le ruisseau de la Garrigue et par divers petits cours d'eau[1].
L'Aveyron, d'une longueur totale de 290,6 km, prend sa source dans la commune de Sévérac d'Aveyron et se jette dans le Tarn à Barry-d'Islemade, après avoir arrosé 60 communes[2].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles pour définir et mettre en œuvre un programme d’actions de réhabilitation et de gestion des milieux aquatiques : le SDAGE (Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Trois SAGE sont mis en oeuvre dans le département de l'Aveyron[3].
La commune fait partie du SAGE du bassin versant du Viaur, approuvé le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le périmètre de ce SAGE couvre 89 communes, sur trois départements (Aveyron, Tarn et Tarn-et-Garonne)[4] - [5]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) du bassin du Viaur, une structure qui regroupe les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre (EPCI-FP) dont le territoire est inclus (en totalité ou partiellement) dans le bassin hydrographique du Viaur et les structures gestionnaires de l’alimentation en eau potable des populations et qui disposent d’une ressource sur le bassin versant du Viaur. Il correspond à l’ancien syndicat mixte du Bassin versant du Viaur[6] - [7].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
|
La commune bénéficie d’un « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne la moitié ouest du département de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat océanique franc et le climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[10]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Rodez-Marcillac, qui se trouve à 28 km à vol d'oiseau de la commune[11], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 10,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Gaillac-d'Aveyron comprend quatre ZNIEFF de type 1[Note 3] - [15] :
- le « Bois de lissirou » (739,6 ha), couvrant 3 communes du département[16]
- le « Bois de l'ombrette » (169,3 ha), couvrant 3 communes du département[17];
- les « Prairies de Cornuéjouls » (1 013 ha), couvrant 4 communes du département[18];
- la « Rivière Aveyron » (3 500 ha), couvrant 63 communes dont 38 dans l'Aveyron, 5 dans le Tarn et 20 dans le Tarn-et-Garonne[19].
et une ZNIEFF de type 2[Note 4] - [15], la « Vallée de l'Aveyron » (14 644 ha), qui s'étend sur 68 communes dont 41 dans l'Aveyron, 5 dans le Tarn et 22 dans le Tarn-et-Garonne[20].
- Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
- Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
Gaillac-d'Aveyron est une commune rurale[Note 5] - [21]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1] - [22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rodez, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (53,3 %), terres arables (23,8 %), forêts (17,6 %), zones urbanisées (1,9 %), zones agricoles hétérogènes (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %)[23].
Planification
La commune ne disposait pas en 2017 de document d'urbanisme opérationnel et le règlement national d'urbanisme s'appliquait donc pour la délivrance des permis de construire[24].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Gaillac-d'Aveyron est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier, le risque radon[25] - [26].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de l'Aveyron. Un plan des surfaces submersibles (PSS), premier document cartographique réglementant l'occupation du sol en zone inondable pour les cours d'eau domaniaux, a été établi en 1964. Compte tenu du peu d’enjeux exposés à ces inondations, aucun plan de prévention du risque d’inondation n’a été prescrit[25]. Néanmoins la loi Barnier du confère aux PSS un statut de plan de prévention des risques (PPR ), les rendant par conséquent opposables au tiers et faisant entrer le territoire des la commune dans le champ d'application de l'obligation d'information des acquéreurs locataires[27].
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[28].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[25]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[29]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Géorisques[30]. Une autre carte permet de prendre connaissance des cavités souterraines localisées sur la commune[31] - [32].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[33].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Gaillac-d'Aveyron est classée à risque moyen à élevé[34]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[35] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[36].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Gaillac-d'Aveyron est membre de la communauté de communes Des Causses à l'Aubrac[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Palmas d'Aveyron. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[37].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Rodez, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 4]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Lot et Palanges pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la première circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[38].
- Gaillac-d'Aveyron dans l'intercommunalité en 2020.
- Gaillac-d'Aveyron dans le canton de Lot et Palanges en 2020.
- Gaillac-d'Aveyron dans l'arrondissement de Rodez en 2020.
Élections de 2020
Le conseil municipal de Gaillac-d'Aveyron, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[39] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[40]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. Sur les treize candidats en lice[41], onze sont élus dès le premier tour, le , correspondant à la totalité des sièges à pourvoir, avec un taux de participation de 48,05 %[42]. François Lacaze est élu nouveau maire de la commune le [43].
Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[44]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Des Causses à l'Aubrac[45].
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[49].
En 2020, la commune comptait 318 habitants[Note 7], en augmentation de 4,26 % par rapport à 2014 (Aveyron : +0,33 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 140 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 307 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 320 €[I 5] (20 640 € dans le département[I 6]).
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 9,4 % | 8,9 % | 8 % |
Département[I 8] | 5,4 % | 7,1 % | 7,1 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 198 personnes, parmi lesquelles on compte 82,6 % d'actifs (74,6 % ayant un emploi et 8 % de chômeurs) et 17,4 % d'inactifs[Note 9] - [I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était supérieur à celui de la France en 2008.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Rodez, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1] - [I 10]. Elle compte 62 emplois en 2018, contre 65 en 2013 et 56 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 156, soit un indicateur de concentration d'emploi de 39,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 66,5 %[I 11].
Sur ces 156 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 56 travaillent dans la commune, soit 36 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 75,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,6 % les transports en commun, 10,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 13,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
30 établissements[Note 10] sont implantés à Gaillac-d'Aveyron au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11] - [I 14]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,3 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 30 entreprises implantées à Gaillac-d'Aveyron), contre 27,5 % au niveau départemental[I 15].
Agriculture
La commune est dans les Grands Causses, une petite région agricole occupant le sud-est du département de l'Aveyron[52]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 2].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 27 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 22 en 2000 puis à 22 en 2010[54] et enfin à 20 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 26 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[55] - [Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 495 ha en 1988 à 1 813 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 55 à 91 ha[54].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de Lugans : Inscrit MH (1986)[56]
- Dolmen de Lespinasse : Classé MH (1989)[57]
- Dolmen de Saplous : Inscrit MH (1995)[58]
- Dolmen de la Vernhiette : Classé MH (1989)[59]
- Église Saint-Jean-Baptiste de Gaillac-d'Aveyron, datant du XVIIe siècle, retable peint et doré.
- Église Saint-André de Gagnac.
- Église Saint-Pierre-ès-Liens de Lissirou.
Personnalités liées à la commune
- Jean-François Vezin (1761 - 1824) homme politique.
- Émile Vézin, représentant (député) de l'Aveyron sous la Deuxième République.
- Fernand de Barrau, homme de lettres.
Bibliographie
- (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Yves Boyer), Laissac : Bertolena, Cossèrgas, Cruèjols, Galhac, Palmà s, Severac, Vimenet / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Laissac, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 312 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-45-9, ISSN 1151-8375, BNF 37108950)
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[53].
- Cartes
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Gaillac-d'Aveyron » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Gaillac-d'Aveyron » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Gaillac-d'Aveyron » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Gaillac-d'Aveyron » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Gaillac-d'Aveyron » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron » (consulté le ).
Autres sources
- « Fiche communale de Gaillac-d'Aveyron », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « l'Aveyron »
- « Les outils de gestion de la rivière », sur le site du Conseil départemental de l'Aveyron (consulté le )
- « SAGE du Viaur - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « SAGE du bassin du Viaur - synthèse de l'état des lieux », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Le syndicat mixte du bassin versant du Viaur reconnu EPAGE du bassin du Viau », sur https://www.epage-viaur.com/ (consulté le )
- « EPAGE du bassin du Viaur - actions sur le terrain », sur https://www.epage-viaur.com/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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