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Espéraza

Espéraza, en occitan Esperasan , est une commune française située dans le sud-ouest du département de l'Aude, en région Occitanie.

Espéraza
Espéraza
Dinosauria, le musée des dinosaures d'Espéraza.
Blason de Espéraza
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Aude
Arrondissement Limoux
Intercommunalité Communauté de communes des Pyrénées audoises
Maire
Mandat
Christian Soula
2020-2026
Code postal 11260
Code commune 11129
DĂ©mographie
Gentilé Espérazannais, Espérazannaises
Population
municipale
1 712 hab. (2020 en diminution de 12,65 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 163 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 42° 56â€Č 10″ nord, 2° 13â€Č 17″ est
Altitude 244 m
Min. 229 m
Max. 480 m
Superficie 10,52 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Haute-Vallée de l'Aude
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Espéraza
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Espéraza
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Espéraza
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Espéraza

    Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du RazĂšs, un pays historiquement trĂšs Ă©tendu, qui ne se rĂ©sume aujourd'hui qu'aux collines de la MalepĂšre et au bas RazĂšs au centre et au sud, limitĂ© par le pays de Sault. ExposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par l'Aude, le ruisseau de Fa, le ruisseau de Couleurs, le ruisseau de GranĂšs et par deux autres cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (les « hautes CorbiĂšres » et le « pays de Sault ») et trois zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    EspĂ©raza est une commune rurale qui compte 1 712 habitants en 2020. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine d'EspĂ©raza. Ses habitants sont appelĂ©s les EspĂ©razannais ou EspĂ©razannaises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protĂ©gĂ©s au titre des monuments historiques : l'Ă©glise Saint-Michel, classĂ©e en 1956 et inscrite en 1956, et le Pont, inscrit en 1948.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Espéraza est une commune située dans la haute vallée de l'Aude, sur l'Aude, entre Couiza et Quillan.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Antugnac, Campagne-sur-Aude, Couiza, GranĂšs, Montazels, Rennes-le-ChĂąteau, Saint-Ferriol et Val-du-Faby.

    GĂ©ologie et relief

    Espéraza se situe en zone de sismicité 3 (sismicité modérée)[2].

    Voies de communication et transports

    AccÚs SNCF : gare d'Espéraza sur la ligne Carcassonne - Rivesaltes.

    ancienne gare devenue musée

    Hydrographie

    La commune est dans la région hydrographique « CÎtiers méditerranéens »[3], au sein du bassin hydrographique RhÎne-Méditerranée-Corse[4]. Elle est drainée par l'Aude, le ruisseau de Fa, le ruisseau de Couleurs, le ruisseau de GranÚs, Rec d'Aval et le ruisseau de Pradines, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[5] - [Carte 1].

    L'Aude, d'une longueur totale de 223,59 km, prend sa source dans la commune des Angles et s'Ă©coule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans le golfe du Lion Ă  Fleury, aprĂšs avoir traversĂ© 73 communes[6].

    Le ruisseau de Fa, d'une longueur totale de 14,2 km, prend sa source dans la commune de Saint-Jean-de-Paracol et s'Ă©coule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans l'Aude sur le territoire communal, aprĂšs avoir traversĂ© 4 communes[7].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[8]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer[9].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[8].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 0,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 845 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 9,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 5,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[11] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[12] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Granes », sur la commune de GranĂšs, mise en service en 1991[13] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[14] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 718 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[15]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et Ă  33 km[16], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[17], Ă  14,1 °C pour 1981-2010[18], puis Ă  14,5 °C pour 1991-2020[19].

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. deux sites Natura 2000 ont Ă©tĂ© dĂ©finis sur la commune au titre de la directive oiseaux[21] : :

    • le « pays de Sault », d'une superficie de 71 499 ha, prĂ©sentant une grande diversitĂ© d'habitats pour les oiseaux. On y rencontre donc aussi bien les diverses espĂšces de rapaces rupestres, en particulier les vautours dont les populations sont en augmentation, que les passereaux des milieux ouverts (bruant ortolan, alouette lulu) et des espĂšces forestiĂšres comme le pic noir[22] ;
    • les « hautes CorbiĂšres », d'une superficie de 28 398 ha, accueillant une avifaune riche et diversifiĂ©e : rapaces tels que les Busards, l'Aigle Royal, le CircaĂšte Jean-le-Blanc, qui trouvent sur place des conditions favorables Ă  la nidification et Ă  leur alimentation du fait de l'importance des milieux ouverts[23].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensĂ©e sur la commune[24] : les « pelouses du plateau de Rennes-le-ChĂąteau » (738 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[25] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6] - [24] :

    • les « CorbiĂšres occidentales » (59 005 ha), couvrant 66 communes du dĂ©partement[26] ;
    • le « plateau de Puivert » (8 514 ha), couvrant 11 communes du dĂ©partement[27].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  EspĂ©raza.
    • Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    EspĂ©raza est une commune rurale[Note 7] - [28]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[I 1] - [29]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine d'EspĂ©raza, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 5 communes[I 2] et 4 684 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[I 3] - [I 4]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 5] - [I 6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (49,8 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (34,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (42,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (37,3 %), zones urbanisĂ©es (13 %), forĂȘts (7,1 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'EspĂ©raza est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  trois risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et le risque industriel et la rupture d'un barrage[31]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[32].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Fa et l'Aude. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1987, 1988, 1992, 1996, 2009, 2018, 2019 et 2020[33] - [31].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Espéraza.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (75,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 138 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1138 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 94 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[34] - [Carte 3].

    Risques technologiques

    La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[35].

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une route Ă  fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[36].

    La commune est en outre situĂ©e en aval des barrages de Matemale et de Puyvalador, deux ouvrages de classe A[Note 8], situĂ©s dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Orientales. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture d'un de ces ouvrages[38].

    Histoire

    En 1154, le chevalier Raimon de Niort possĂšde EspĂ©raza. Il semble que le lieu appartienne Ă  la mĂȘme famille au moins depuis l'an 1000 jusqu'Ă  la fin du XIIIe siĂšcle. Il existait un chĂąteau au lieu de Caderonne au XIIe siĂšcle, propriĂ©tĂ© d'une autre famille[39].

    Politique et administration

    DĂ©coupage territorial

    La commune d'Espéraza est membre de la communauté de communes des Pyrénées audoises [40], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siÚge est à Quillan. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[41].

    Sur le plan administratif, elle est rattachĂ©e Ă  l'arrondissement de Limoux, au dĂ©partement de l'Aude, en tant que circonscription administrative de l'État, et Ă  la rĂ©gion Occitanie[40].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton de la Haute-Vallée de l'Aude pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[40], et de la troisiÚme circonscription de l'Aude pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[42].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Jean Biart
    José Le Camus
    Georges Basset de Nattes
    Maurice Villanove PCF
    André Illac PCF Ouvrier chapelier
    Michel Lafitte (1930-2014) DVG[43] Général
    Jean Torrent PS Enseignant
    2020 Georges Reverte DVD Retraité de la Gendarmerie
    2020 en cours Christian Soula

    Jumelages

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[45].

    En 2020, la commune comptait 1 712 habitants[Note 9], en diminution de 12,65 % par rapport Ă  2014 (Aude : +2,66 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1371 3901 2111 3011 4031 4721 3931 4551 470
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3821 6131 6621 8201 7201 7471 7922 1992 373
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 5272 9262 6072 2662 8773 1183 0152 9152 898
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    2 9392 7662 5292 5122 2502 1292 1662 1742 063
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 9601 7291 712------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee Ă  partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'école élémentaire.

    Espéraza dispose sur son territoire d'une école maternelle (45 élÚves en 2016)[48] et d'une école primaire (108 élÚves en 2016)[49].

    Manifestations culturelles et festivités

    • Accueil chaque dĂ©but septembre du festival "Polyphonie en Haute vallĂ©e de l'Aude" organisĂ© par l'association "les amis du Gesppe".
    • Course du boeuf
      La course du boeuf. Faire courir le bƓuf (faĂŻre courrer lĂ© biou) Ă  travers le village, avant de l’abattre est une trĂšs vieille tradition espĂ©razannaise. Bien entendu il s’agit le plus souvent d’une vache. Elle est prĂ©cĂ©dĂ©e par un morceau de cuir roulĂ© (pays de tanneries) : lĂ© quer, tirĂ© par les plus courageux, attachĂ© Ă  une corde. La foule des « aficionados » excite l’animal par derriĂšre.   Une dĂ©libĂ©ration du conseil municipal du 1.2.1909 p. 44d, nous dit que Bruneau Jules, ouvrier chapelier, rĂ©clame des dommages pour un accident Ă  lui survenu Ă  EspĂ©raza le 21.5.1908 au lieu-dit Le Pont-Neuf. Il a Ă©tĂ© renversĂ© par la foule qui faisait « courir le bƓuf » ; fracture de la rotule. En dĂ©pit de l’interdiction, par arrĂȘtĂ© municipal, de la course du bƓuf depuis 1892 les courses continuent. Elles ont probablement cessĂ© avant la 2° guerre mondiale, prĂ©cision Ă  trouver.

    Santé

    La commune possĂšde une maison de retraite et un centre alzheimer.

    Sports

    Cyclisme sur route
    Ce critérium fut créé en 1935. Sa derniÚre édition date de 1967. Il fut remporté cette année-là par le belge Joseph Soeters. De grands noms du cyclisme participÚrent à ce grand prix : l'italien Pierre Brambilla, vainqueur en 1943 ; le belge Lucien Vlaemynck, deuxiÚme en 1945 ; Robert Chapatte, vainqueur en 1952 ; Louison Bobet, vainqueur en 1954.
    Rugby Ă  XV
    Football

    Équipe de l'AS ESPERAZA (dite ASE) crĂ©e en 2019 commençant en Division 4 du district de l'Aude et finissant premier de son championnat dĂšs la premiĂšre annĂ©e ce qui lui permet de dĂ©buter en D3 dĂšs 2020.

    Économie

    Revenus

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 944 mĂ©nages fiscaux[Note 10], regroupant 1 708 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 17 380 â‚Ź[I 7] (19 240 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 8]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    Division200820132018
    Commune[I 9]14,2 %16,4 %14,5 %
    DĂ©partement[I 10]10,2 %12,8 %12,6 %
    France entiĂšre[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  922 personnes, parmi lesquelles on compte 65,6 % d'actifs (51,1 % ayant un emploi et 14,5 % de chĂŽmeurs) et 34,4 % d'inactifs[Note 11] - [I 9]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 4] - [I 12]. Elle compte 563 emplois en 2018, contre 510 en 2013 et 569 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 490, soit un indicateur de concentration d'emploi de 114,9 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 38,7 %[I 13].

    Sur ces 490 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 226 travaillent dans la commune, soit 46 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 77 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,6 % les transports en commun, 15 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Secteurs d'activités

    182 établissements[Note 12] sont implantés à Espéraza au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13] - [I 16].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre%%
    Ensemble182100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    1910,4 %(8,8 %)
    Construction2111,5 %(14 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    5027,5 %(32,3 %)
    Information et communication52,7 %(1,6 %)
    Activités financiÚres et d'assurance31,6 %(2,7 %)
    Activités immobiliÚres94,9 %(5,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    2413,2 %(13,3 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    3619,8 %(13,2 %)
    Autres activités de services158,2 %(8,8 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 27,5 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (50 sur les 182 entreprises implantĂ©es Ă  EspĂ©raza), contre 32,3 % au niveau dĂ©partemental[I 17].

    Entreprises

    Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[50] :

    • Golgemma, commerce de gros (commerce interentreprises) de produits chimiques (11 496 k€)
    • SA Espe, supermarchĂ©s (8 177 k€)
    • Sefa, fabrication de machines pour les industries textiles (3 679 k€)
    • Martinez Freres, travaux de maçonnerie gĂ©nĂ©rale et gros Ɠuvre de bĂątiment (424 k€)
    • Phichar, activitĂ©s des siĂšges sociaux (381 k€)

    Agriculture

    198820002010
    Exploitations51155
    Superficie agricole utilisée (ha)358190121

    La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région viticole »[51]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la viticulture (appellation et autre)[52]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siÚge dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 15] de 2010 (douze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 121 ha[52].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La bibliothĂšque.
    • Église Saint-Michel d'EspĂ©raza. L'Église (Ă  l'exception des parties classĂ©es) a Ă©tĂ© inscrite au titre des monuments historiques en 1956[54]. Le mur recouvert de peintures murales qui se trouve dans la sacristie a Ă©tĂ© classĂ© au titre des monuments historiques en 1956[54]. Église de style roman construite au XIIIe siĂšcle au bord de l'Aude. EntiĂšrement dĂ©truite en 1575 lors des combats qui opposent la population aux protestants qui se sont retranchĂ©s dans le village. Elle est reconstruite dans la premiĂšre moitiĂ© du XVIIe siĂšcle. Les travaux se termineront en 1664. Au XIXe siĂšcle le mur de protection, cĂŽtĂ© riviĂšre, est construit et l'entrĂ©e au pied de la tour est murĂ©e du cĂŽtĂ© de la place Rouget-de-l'Isle. L'Ă©glise a Ă©tĂ© complĂštement rĂ©novĂ©e entre 1995 et 2007 sous la municipalitĂ© Lafitte. En 2003, une statue de saint Jean-Baptiste, sans doute du XVIIIe siĂšcle, a Ă©tĂ© dĂ©couverte sous les pavages du chƓur.
    • Dinosauria, le musĂ©e des dinosaures d'EspĂ©raza.
    • MusĂ©e de la chapellerie.
    • BibliothĂšque municipale.

    Personnalités liées à la commune

    • Antoine Salva (1774-1806) : gĂ©nĂ©ral d'Empire nĂ© Ă  EspĂ©raza ;
    • Marie DĂ©narnaud (1868-1953) : servante de l'abbĂ© SauniĂšre, nĂ©e Ă  EspĂ©raza ;
    • Auguste FerriĂ© (1868-1932) : gĂ©nĂ©ral inventeur des transmissions militaires modernes, originaire de Limoux par son pĂšre. il vint souvent passer ses vacances enfant Ă  EspĂ©raza chez une de ses tantes et l'une des rues du village porte son nom ;
    • Élie Sermet (1901-1944) : nĂ© Ă  EspĂ©raza, ouvrier chapelier, syndicaliste, rĂ©sistant, dĂ©portĂ© et dĂ©cĂ©dĂ© au camp Dachau[55];
    • Alexandre IchĂ© (1909-1980) : joueur de rugby, champion de France avec Narbonne en 1936 et vice-champion en 1933 avec ce mĂȘme club, nĂ© Ă  EspĂ©raza ;
    • Pierre-Marie RougĂ© (1910-1977) : ecclĂ©siastique et Ă©vĂȘque de NĂźmes, nĂ© Ă  EspĂ©raza ;
    • Pierre François Fau dit FarvĂšze (1912-1999) : peintre, styliste et dĂ©corateur, nĂ© Ă  EspĂ©raza ;
    • Paul BarriĂšre (1920-2008) : ancien prĂ©sident de la FĂ©dĂ©ration française de rugby Ă  XIII et fondateur de l'International Football Association Board, nĂ© Ă  EspĂ©raza ;
    • Jean Clottes (1933-) : prĂ©historien, nĂ© Ă  EspĂ©raza ;
    • Jean-Pierre Boccardo (1942-2019) : athlĂšte spĂ©cialiste du 400 mĂštres, nĂ© Ă  EspĂ©raza.
    • Claude et Joseph GAUDISSARD : voir article sur gĂ©nĂ©awiki 11129-EspĂ©raza/Quelques personnalitĂ©s
    • Jean Le Loeuff (1965-) : palĂ©onthologue, directeur du MusĂ©e des Dinosaures (Dinosauria)

    HĂ©raldique

    Blasonnement de la commune : D'argent au chevron de gueules accompagné de trois tourteaux d'azur.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[10].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[20].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[37].
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    10. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[53].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique d'Espéraza » sur Géoportail (consulté le 7 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le )
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
    2. « Unité urbaine 2020 d'Espéraza » (consulté le ).
    3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », (consultĂ© le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Espéraza » (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Aude » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Espéraza » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aude » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Espéraza » (consulté le ).
    14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Espéraza » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aude » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Plan séisme
    3. « Découpage en régions hydrographiques », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le )
    4. « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin RhÎne-Méditerranée-Corse », sur www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le )
    5. « Fiche communale d'Espéraza », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    6. Sandre, « l'Aude »
    7. Sandre, « le ruisseau de Fa »
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    11. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    13. « Station Météo-France Granes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Espéraza et GranÚs », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    17. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    20. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
    21. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Espéraza », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « site Natura 2000 FR9112009 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « site Natura 2000 FR9112028 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Espéraza », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    46. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    48. Annuaire du MinistĂšre de l'Éducation nationale, section École maternelle publique d'EspĂ©raza
    49. Annuaire du MinistĂšre de l'Éducation nationale, section École Ă©lĂ©mentaire publique Jules Ferry d'EspĂ©raza
    50. « Entreprises à Espéraza », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    51. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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    54. « Eglise Saint-Michel », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    55. « SERMET Élie : SERMET Jean, Marius dit Élie », sur Le Maitron dictionnaire biographique du mouvement social (consultĂ© le ).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Antoine Salva, d'EspĂ©raza, gĂ©nĂ©ral d'Empire. Docteur AndrĂ© NĂšgre. Imprimerie Ozanne, Caen, 1974.
    • Il Ă©tait une fois EspĂ©raza. Imprimerie Bardou, EspĂ©raza, 1983.
    • Ballade au pays du chapeau. Un pionnier espĂ©razannais, LĂ©on SauniĂšre. Auto-Edition Emile SauniĂšre, NĂ©bias, 1992.
    • EspĂ©raza - essai historique. Jean FouriĂ©. Les Amis du MusĂ©e de la Chapellerie et du vieil EspĂ©raza, 2002.
    • EspĂ©raza. Henri BarriĂšre. MĂ©moire en Images, Editions Alan Sutton, 2010.

    Articles connexes

    Liens externes

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