E.T., l'extra-terrestre
E.T., l'extra-terrestre[1] (ou E.T. l'extraterrestre au Québec) (prononcé [i.ti], comme la prononciation en anglais) est un film de science-fiction américain réalisé par Steven Spielberg et sorti en 1982.
Titre original | E.T. the Extra-Terrestrial |
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RĂ©alisation | Steven Spielberg |
Scénario | Melissa Mathison |
Musique | John Williams |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Universal Pictures Amblin Entertainment |
Pays de production | États-Unis |
Genre | Science-fiction |
Durée | 115 minutes |
Sortie | 1982 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Le film raconte l'histoire d'Elliott, un petit garçon solitaire qui se lie d'amitié avec un extraterrestre abandonné sur Terre. Avec son frère et sa sœur, Elliott va le recueillir puis l'aider à reprendre contact avec ses congénères, tout en essayant de le garder caché de leur mère et du gouvernement américain.
Sorti le par Universal Pictures, E.T. rencontre un succès immédiat, dépassant Star Wars, épisode IV : Un nouvel espoir pour devenir le film le plus rentable de tous les temps – un record qu'il détient pendant onze ans – jusqu'à Jurassic Park, un autre film de Steven Spielberg, qui le surpasse en 1993.
Acclamé par le public et encensé par la critique, E.T. est devenu aujourd'hui un film culte des années 1980, notamment de par l'une de ses scènes (le vélo d'Elliott s'envolant dans les airs) et une réplique de l'extraterrestre (« E.T. téléphone maison »). Le film obtient notamment quatre Oscars en 1983. Il est réédité en 1985, puis en 2002, à l'occasion de son 20e anniversaire, avec des plans modifiés et des scènes supplémentaires.
En France, E.T. sort en avant-première lors de la cérémonie de clôture du Festival de Cannes le , avant sa sortie nationale le .
Le film lance la carrière de l'actrice Drew Barrymore et de l'acteur Henry Thomas, qui ont respectivement 6 et 10 ans lors du tournage.
Synopsis
Un appareil extraterrestre vient d'atterrir en pleine nuit dans une forêt, dans les environs d'une petite ville près de Los Angeles. Ses étranges petits occupants, botanistes, envoyés sur Terre en mission d'exploration, recueillent quelques plantes. L'un d'eux s'éloigne du groupe et explore la forêt avant de découvrir, fasciné, les lumières de la ville au loin.
Mais soudain, un groupe d'hommes, des agents du gouvernement américain, débarquent en voiture et traquent la créature imprudente, qui tente alors de rejoindre ses semblables. Ces derniers, voulant éviter le contact avec les êtres humains, font décoller le vaisseau et quittent finalement la Terre en toute hâte, avant que leur congénère égaré n'ait pu les rejoindre. L'extraterrestre, désormais seul et apeuré, arrive à semer les agents dans la forêt et à se frayer un chemin vers la ville, dans un quartier résidentiel où vit une famille en crise : Mary, mère divorcée, et ses trois enfants, Michael, Elliott et Gertie.
Elliott, dix ans, est moqué par son frère aîné, Michael, et ses amis Greg, Steve et Tyler. Sortant pour aller chercher une pizza commandée, Elliott découvre l'extraterrestre abandonné, qui s'enfuit aussitôt, effrayé. Le lendemain, malgré l'incrédulité de sa famille à qui il a raconté sa mésaventure, Elliott essaie de retrouver l'extraterrestre en l'attirant avec des bonbons laissés dans les bois, il le retrouve enfin et l'attire dans sa chambre. Avant de s'endormir, Elliott commence à communiquer avec l'extraterrestre en imitant ses gestes.
Le lendemain matin, Elliott fait semblant d'être malade pour éviter d'aller à l'école, afin de pouvoir jouer avec l'extraterrestre. L'après-midi, son frère aîné Michael et sa petite sœur Gertie découvrent à leur tour l'extraterrestre, ce qui déclenche des scènes comiques de frayeurs réciproques. Elliott, Michael et Gertie cachent à leur mère Mary la présence de la créature dans un placard. Michael et Gertie promettent à Elliott de garder secrète la présence de l'extraterrestre. Les enfants essaient ensuite de découvrir son origine. L'extraterrestre désigne le ciel, fait léviter des balles qui semblent représenter son système solaire, et démontre ses pouvoirs en faisant revivre un pot de fleurs mortes.
Le lendemain, à l'école, Elliott commence à expérimenter une connexion psychique avec l'extraterrestre resté seul à la maison. La créature explore le réfrigérateur et boit de la bière, ce qui a pour conséquence de rendre ivre Elliott en classe. Elliott libère ensuite les grenouilles dans une classe de dissection. Alors que l'extraterrestre regarde John Wayne embrasser Maureen O'Hara dans L'Homme tranquille à la télévision, cela amène Elliott à embrasser pareillement la fille de sa classe qu'il aime.
Plus tard, l'extraterrestre commence à apprendre à parler en répétant ce que la petite Gertie prononce quand elle regarde à la télévision l'émission enfantine Sesame Street. Elliott le baptise « E.T. » (pour « extraterrestre »). Elliott aide E.T. à construire un appareil de communication afin d'entrer en contact avec ses semblables (E.T. prononce les mots « téléphone maison »), en utilisant des appareils électriques et quelques jouets électroniques des enfants. Michael commence à remarquer que la santé d'E.T. se détériore. Le soir d'Halloween, Michael et Elliott déguisent E.T. en fantôme afin qu'il puisse se faufiler hors de la maison et en le faisant passer pour Gertie. Elliott conduit ensuite E.T. à vélo vers la forêt – E.T. fait s'envoler le vélo dans les airs dans la nuit grâce à ses pouvoirs, scène culte du film –, où E.T. installe son appareil pour appeler ses semblables. Cependant, le lendemain matin, Elliott se réveille seul dans la forêt à côté de l'appareil, et E.T. a disparu. Elliott retourne donc seul chez lui, où sa famille, inquiète de sa disparition nocturne, a appelé la police. Michael part à son tour pour la forêt à vélo et y retrouve E.T. mourant, pendant qu'Elliott, malade, développe les mêmes symptômes que la créature. Mary prend peur lorsqu'elle découvre la maladie de son fils et l'existence de l'extraterrestre mourant dans la salle de bain. Les agents du gouvernement, qui ont fini par repérer la présence d'E.T., envahissent alors la maison.
Les scientifiques, dont un homme surnommé Keys car il porte des clés à la ceinture, créent une installation médicale dans la maison, mettant en quarantaine Elliott et E.T. Après des heures de soins, Elliott récupère et E.T. meurt, ce qui rompt le lien psychique entre le garçon et l'extraterrestre. Elliott, triste, reste un instant seul avec la créature morte, lui dit qu'il l'aime, ce qui a pour effet de faire revivre le pot de fleurs, et E.T. revient finalement à la vie, en s'exclamant « téléphone maison ! ».
Elliott comprend donc que les congénères d'E.T. ont finalement bien reçu le message et s'apprêtent à revenir sur Terre pour récupérer leur semblable. Elliott et Michael volent le camion dans lequel E.T. a été placé, et s'ensuit une course-poursuite entre le camion et la police et les scientifiques à travers la ville. Elliott, Michael et E.T. sont rejoints par Greg, Steve et Tyler, et tous s'enfuient à vélo pour se rendre dans la forêt – E.T. fait une nouvelle fois s'envoler leurs vélos dans les airs. Dans la forêt, à la tombée de la nuit, le vaisseau spatial arrive enfin, devant les yeux émerveillés d'Elliot, Michael, Greg, Steve et Tyler, rejoints par Mary, Gertie et l'agent Keys. E.T. fait ensuite ses adieux émouvants à Gertie, à Michael, et enfin à Elliott en larmes, à qui il déclare « je suis toujours là » en indiquant le front du garçon de son doigt lumineux. Puis E.T. dont le cœur est éclairé dans sa poitrine, monte enfin dans le vaisseau, avec dans ses mains le pot de fleurs ressuscitées offert par Gertie, et tous assistent avec émotion au départ de l'engin, qui disparait à jamais dans le ciel, en laissant derrière lui un arc-en-ciel.
Fiche technique
- Titre original : E.T. the Extra-Terrestrial
- Titre français : E.T., l'extra-terrestre (en France) et [2] E.T. l'extraterrestre (au Canada)
- RĂ©alisation : Steven Spielberg
- Scénario : Melissa Mathison
- Direction artistique : James D. Bissell (en)
- DĂ©cors : Jackie Carr
- Photographie : Allen Daviau
- Son : Charles L. Campbell ; Ben Burtt (créateur de la voix d'E.T.)
- Effets spéciaux : Dale Martin ; Carlo Rambaldi (créateur d'E.T.)
- Effets visuels : Dennis Muren pour Industrial Light & Magic
- Montage : Carol Littleton
- Musique : John Williams
- Production : Steven Spielberg, Kathleen Kennedy et Melissa Mathison
- Sociétés de production : Universal Pictures, Amblin Entertainment
- Société de distribution : Universal Pictures
- Budget : 10 500 000 $
- Pays d'origine : États-Unis
- Langue originale : anglais
- Format : couleurs (Deluxe - Technicolor) - 35 mm (Panavision) - 1,85:1 - Son stéréo Dolby
- Genre : science-fiction, fantastique, drame
- Durée : 115 minutes
- Lieux de tournage : Laird international studios de Culver City (Californie), Porter Ranch (en), Sunland-Tujunga, Crescent city
- Dates de tournage[3] : septembre à novembre 1981 - janvier et février 1982 (scènes additionnelles)
- Dates de sortie[4] :
- France : (première mondiale au Festival de Cannes), (sortie nationale)
- États-Unis : (première à Los Angeles), [5] (sortie nationale)
- Royaume-Uni :
Distribution
- Légende : 1er doublage (1982) / 2e doublage pour l'Édition Spéciale (2002)
- Note : dans le 1er doublage, « E.T. » est prononcé à la française.
- Pat Welsh (VF : Marie Francey / Perrette Pradier) : E.T. l'extra-terrestre (voix)
- Henry Thomas (VF : Damien Boisseau / Olivier Martret) : Elliott
- Robert MacNaughton (VF : Franck Baugin / Tony Marot) : Michael
- Drew Barrymore (VF : Fabienne Godet / Anna Fouché) : Gertie
- Dee Wallace (VF : Arlette Thomas / Catherine Favier) : Mary
- Peter Coyote (VF : Pierre Hatet / Patrick Béthune) : l'homme aux clés (« Keys » en VO)
- K.C. Martel (VF : ? / Kelyan Blanc) : Greg
- Sean Frye (en) : Steve
- C. Thomas Howell : Tyler
- Erika Eleniak : la jolie fille
- David M. O'Dell : un Ă©colier
- Richard Swingler (VF : ? / Pascal Germain): le professeur de sciences
- Frank Toth : un policier
Production
Préproduction et inspiration
À l'origine, Steven Spielberg avait prévu de faire un film plus noir avec des extraterrestres qui terrorisent une famille dans sa maison. Il réutilisera cette idée, mais dans un autre contexte, en produisant en 1982 Poltergeist de Tobe Hooper[6].
Sur le tournage du film Rencontres du troisième type, le réalisateur français François Truffaut qui jouait dans ce film aurait conseillé à Steven Spielberg de réaliser un film dont des enfants seraient les héros. Cela aurait été une des inspirations pour le réalisateur américain.
Pour le scénario du film E.T., l'extra-terrestre, l'écrivaine française Yvette de Fonclare révèle qu'elle a découvert avec surprise le récit de son propre roman L'Enfant des étoiles écrit en 1979 et qui relate la rencontre entre des enfants et un jeune extraterrestre perdu sur la Terre. En février 1981, Yvette de Fonclare avait envoyé son manuscrit à la société The Walt Disney Company dans l'espoir de voir naître un film d'après son œuvre. La scénariste du film E.T., l'extra-terrestre, Melissa Mathison, travaillait à l'époque chez Walt Disney Company quand Yvette de Fonclare envoya son manuscrit. Cette dernière émet l'hypothèse du plagiat de son ouvrage si ce n'est une très forte coïncidence[7].
Par ailleurs, des similarités ont été relevées entre le film de Spielberg et un film québécois, Le Martien de Noël, réalisé par Bernard Gosselin en 1971[8].
Le visage d’E.T. est inspiré par les visages de Carl Sandburg, d'Albert Einstein et du chat du concepteur d'E.T., Carlo Rambaldi.
Scénario
Les différents titres des versions de travail d’E.T. ont été « A Boy's Life », « Night Skies » et « E.T. and Me »[6].
Si Melissa Mathison est la scénariste officielle du film, c'est Steven Spielberg qui a conçu le film. En effet, E.T., l'extra-terrestre est quasi-autobiographique : n'ayant pas d'amis dans son enfance et ses parents s'étant séparés, le jeune Steven, fasciné par les OVNI, s'inventa un ami imaginaire. Aujourd'hui encore, Steven Spielberg affirme que E.T., l'extra-terrestre est son film le plus intime[9].
Choix des interprètes
Au départ, Drew Barrymore devait jouer le rôle de Carol-Anne Freeling dans le film Poltergeist ; mais Steven Spielberg, ne la trouvant pas convaincante, la fait remplacer par une amie de Drew, Heather O'Rourke et réécrit en urgence le script d’E.T. afin d'y insérer le rôle — non prévu à l'origine — de Gertie pour sa filleule.
Lors des auditions pour le rôle d'Elliott, on demanda à Henry Thomas d'exprimer la tristesse. Il pensa au jour où son chien avait trouvé la mort et pleura vraiment. Ce qui a également fait verser des larmes à Steven Spielberg, qui l'engagea sur-le-champ[10].
L'acteur Harrison Ford aurait dû apparaître dans le film, dans le rôle du directeur de l'école d'Elliott. Elliott, après avoir été expulsé, apparemment saoul, de sa classe après avoir fait s'échapper toutes les grenouilles des élèves, était conduit chez le directeur par l'infirmière. Cette dernière était interprétée par Melissa Mathison, la scénariste du film et, à l'époque, la compagne d'Harrison Ford. Mais celle-ci se trouva si mauvaise qu'elle demanda au réalisateur de ne pas conserver la séquence, qui n'était pas nécessaire au film. On peut cependant la découvrir dans les bonus de l'édition spéciale et la novélisation écrite par le romancier William Kotzwinkle qui publie également, deux ans après la sortie du film, une suite basée sur une idée de Spielberg : La Planète verte.
Tournage
E.T., l'extra-terrestre est un des rares films à être tourné intégralement dans l'ordre du scénario, afin de permettre aux jeunes acteurs d'être plus sincères dans leurs émotions induites par l'histoire qu'ils découvrent au fur et à mesure, et aussi de s'éviter de trop longues séances de montage[6].
La deuxième scène du film montre les enfants en train de faire une partie de Donjons et Dragons (boîte de base) chez la mère d'Eliot[11] - [12]. Avant la production du film, Spielberg organisa une session de Donjons et Dragons avec les jeunes acteurs[13].
La fameuse scène du vol d'Eliott dans les airs à vélo est un hommage au film Miracle à Milan (1951) de Vittorio De Sica et Cesare Zavattini[14].
En dehors des mouvements complexes de la marionnette animatronique utilisée lors du tournage, quatre personnes sont créditées pour les « mouvements spéciaux » : deux personnes de très petite taille pour les séquences où E.T. est filmé en pied et se déplace sur de longues distances, un adolescent né sans jambes pour la séquence où E.T. est saoul et percute le réfrigérateur (il se déplaçe en fait sur ses mains) et un mime, au début de cette même séquence, lorsque E.T. ouvre la cannette de bière, ce que l'animatronique ne pouvait réussir à l'époque.
La voix d’E.T. est celle de l'actrice Pat Welsh[15], retravaillée par Ben Burtt[16].
Musique
Music from the Original Soundtrack
Sortie | |
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Enregistré | MGM Scoring Stage |
Genre | musique de film |
Producteur | Bruce Botnick, John Williams |
Label | MCA |
Albums de John Williams
La musique du film est composée par John Williams, fidèle collaborateur de Steven Spielberg. L'album est édité en juin 1982 par MCA
Accueil
Critique
Lorsque le film est projeté à la cérémonie de clôture du festival de Cannes 1982, personne ou presque n'est au courant que Steven Spielberg avait travaillé sur ce film. Cela n'empêche pas le film d'enthousiasmer les critiques, le public et les collègues de Steven Spielberg, au point que George Lucas déclare à la fin de la projection : « C'est vraiment extraordinaire. Il va exploser le box-office. Je suis sûr qu’E.T. battra sans problème Star Wars ».
De fait, E.T., l'extra-terrestre est en tête du box-office mondial pendant onze ans d'affilée, avant d'être détrôné par un autre film de Steven Spielberg : Jurassic Park.
Dans son Dictionnaire du cinéma, Jacques Lourcelles juge que le film présente sur le plan du style « un net affadissement » par rapport aux films précédents de Spielberg, « la lourdeur, la lenteur du récit » étant en outre accentuées par « l'excrécrable musique » de John Williams. Selon Lourcelles, avec E.T., Spielberg, autrefois maître de la cruauté et du malaise dans Duel, « est en passe de devenir un maître de la mièvrerie, de l'angélisme et de la bonne conscience »[17].
Box-office
Pays | Box-office | Nbre de sem. | Classement TLT[18] | Source |
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Mondial | 792 910 554 $ | - | 16e | - |
États-Unis/ Canada | 435 110 554 $ | - | 4e | - |
France | 9 413 001 entrées | 49 sem. | 17e | |
Paris | 1 903 583 entrées | 54 sem. | 1er en 1982 |
À sa sortie, E.T., l'extra-terrestre devient l'un des plus grands succès de l'histoire du cinéma, avec plus de 123 millions de spectateurs rien que sur le sol américain[19]. Le film bat le record de la seconde semaine à Paris avec 309 836 entrées, battant ainsi le record de Rien que pour vos yeux[20]. Cumulant 9 millions d'entrées en France, E.T. reste le plus gros succès d'un film de Spielberg au box-office français. Le triomphe mondial est tel qu'il entraîne deux ressorties en salles, en 1985 et en 2002[21].
Distinctions
RĂ©compenses
- Los Angeles Film Critics Association Awards 1982 : Meilleur film et Meilleur réalisateur (Steven Spielberg)
- Oscars 1983 :
- Saturn Awards 1983 :
- Meilleur film de science-fiction
- Meilleur scénario : Melissa Mathison
- Meilleurs effets spéciaux : Carlo Rambaldi, Dennis Muren
- Meilleure musique : John Williams
- Meilleure affiche : John Alvin
- Japan Academy Prize 1983 : Meilleur film étranger et Meilleure interprétation (E.T.)
- BAFTA Awards 1983 : Meilleure musique (John Williams)
- Blue Ribbon Awards 1982 : Meilleur film en langue étrangère
- Boston Society of Film Critics Awards 1983 :
- Meilleur film
- Meilleur réalisateur : Steven Spielberg
- Meilleure photographie : Allen Daviau
- Prix CĂrculo de Escritores Cinematográficos 1983 : Meilleur film Ă©tranger
- Prix David di Donatello 1983 : Meilleur film Ă©tranger
- Fotogramas de Plata 1983 : Meilleur film Ă©tranger
- Golden Globes 1983 :
- Meilleur film dramatique
- Meilleure musique pour un film : John Williams
- Goldene Leinwand 1983* Grammy Awards 1983 : Meilleur album de musique de film (John Williams)
- Kansas City Film Critics Circle Awards 1983 : Meilleur film et Meilleur réalisateur (Steven Spielberg)
- Kinema Junpo Awards 1983 : Meilleur film Ă©tranger
- Golden Reel Award 1983 : Meilleur mixage
- National Society of Film Critics Awards 1983 : Meilleur réalisateur (Steven Spielberg)
- People's Choice Awards 1983 : Film préféré des américains
- Prix Sant Jordi du cinéma 1983 : Meilleur film pour enfants (Steven Spielberg)
- Writers Guild of America Awards 1983 : Meilleur scénario original (Melissa Mathison)
- Young Artist Awards 1983 :
- Meilleur film familial
- Meilleur jeune acteur : Henry Thomas
- Meilleur jeune acteur dans un second rĂ´le : Robert MacNaughton
- Meilleure jeune actrice dans un second rĂ´le : Drew Barrymore
- Saturn Awards 2003 : Meilleure Ă©dition DVD d'un classique
- Le film est sélectionné par le National Film Preservation Board pour figurer dans le National Film Registry en 1994.
- Steven Spielberg et Kathleen Kennedy sont entrés dans le Hall of Fame de la Guilde des producteurs américains en 2000 pour la production de ce film.
Nominations
- Oscars 1983 :
- Meilleur film
- Meilleur réalisateur : Steven Spielberg
- Meilleur scénario original : Melissa Mathison
- Meilleure photographie : Allen Daviau
- Meilleur montage : Carol Littleton
- Saturn Awards 1983 :
- Meilleur acteur : Henry Thomas
- Meilleure actrice dans un second rĂ´le : Dee Wallace
- Meilleur réalisateur : Steven Spielberg
- Eddie Awards : Meilleur montage (Carol Littleton)
- BAFTA Awards 1983 :
- Meilleur film
- Meilleure réalisation : Steven Spielberg
- Meilleur acteur débutant dans un rôle principal : Henry Thomas
- Meilleure actrice débutante dans un rôle principal : Drew Barrymore
- Meilleur scénario : Melissa Mathison
- Meilleure photographie : Allen Daviau
- Meilleure direction artistique : James D. Bissell
- Meilleur montage : Carol Littleton
- Meilleur son : Charles L. Campbell, Gene S. Cantamessa, Robert Knudson, Robert Glass , Don Digirolamo
- Meilleurs effets spéciaux : Dennis Muren, Carlo Rambaldi
- Meilleurs maquillages : Robert Sidell
- CĂ©sar 1983 : Meilleur film Ă©tranger
- Directors Guild of America Award 1983 : Meilleur réalisateur (Steven Spielberg)
- Golden Globes 1983 :
- Meilleur acteur débutant : Henry Thomas
- Meilleur réalisateur : Steven Spielberg
- Meilleur scénario : Melissa Mathison
- Prix Hugo 1983 : Meilleur film dramatique
- Golden Trailer Awards 2002 : Meilleur film familial
Hommages
- Le film est inclus dans la liste des 250 meilleurs films de tous les temps sur le site Allociné.fr[22].
- Le film fait partie de la Liste du BFI des 50 films à voir avant d'avoir 14 ans établie en 2005 par le British Film Institute, intégrant même le top 10 de cette liste.
Édition spéciale
- Le film est ressorti en salles pour son 20e anniversaire[23]. À cette occasion, il a subi quelques changements :
- Lorsqu’E.T. fuit l'équipe de Keys au début du film, on le voit désormais courir tandis que la version originale ne montrait que la lueur de sa poitrine avancer rapidement (en fait une lumière montée sur un wagonnet). De plus, on peut le voir s'arrêter de courir lorsqu'il aperçoit son vaisseau quitter la planète puis continuer son chemin vers la ville ;
- une nouvelle scène montre E.T. et Elliot dans la salle de bains. Cette scène n'est pas retenue en 1982 car Spielberg avait jugé insuffisante la qualité des effets spéciaux de l'époque ;
- pour un certain nombre de scènes incluant E.T. tout au long du film, les mouvements de ses lèvres ainsi que certaines de ses expressions faciales sont améliorés par ordinateur ;
- une phrase prononcée par la mère est modifiée : le mot « terroriste » est remplacé par « baba-cool » ;
- la séquence d'Halloween est plus longue ;
- les armes des policiers et des agents gouvernementaux poursuivant E.T. et Elliot sont remplacées par des talkies-walkies ;
Ces changements sont dénoncés par Trey Parker et Matt Stone dans l'épisode satirique de South Park : Bérets gratos (saison 6, épisode 9).
Il faut préciser que le réalisateur est influencé par son ami George Lucas qui réalise également des changements lors des rééditions des épisodes IV, V et VI de Star Wars (sortis entre 1977 et 1983) en 1997 et 2004 (pour être en raccord avec les épisodes I, II et III sortis entre 1999 et 2005 tout en remettant au goût du jour)[24].
Dans une interview de , Spielberg confie regretter les changements de l'Édition spéciale de 2002 et qu'il conseillerait désormais aux gens n'ayant jamais vu le film de regarder la version cinéma originale de 1982[25]. C'est pour cette raison que seule la version originale est désormais proposée sur les rééditions en DVD et en Blu-ray.
Autour du film
- Les tournages de E.T. et Poltergeist se déroulant en même temps dans le même studio, à quelques mètres de distance l'un de l'autre, Steven Spielberg se déplaçe régulièrement d'un tournage à l'autre.
- La société Mars interdit à la production d'utiliser des bonbons M&M's, donnant ainsi une opportunité à la compagnie concurrente Hershey d'imposer ses bonbons Reese's.
- Ce film permet à Steven Spielberg de créer sa société de production, Amblin Entertainment dont le logo est le vélo d'Elliott avec E.T.
- L'affiche du film s'inspire de la fresque La Création d'Adam de Michel-Ange.
- Ce film lance la carrière de l'actrice Drew Barrymore, alors âgée de 6 ans. Elle avait néanmoins déjà joué dans Au-delà du réel en 1980, et dans deux téléfilms, Bogie (1980) et Suddenly, Love (1978).
- Il lance aussi celle de Henry Thomas, qui avait joué auparavant dans L'Homme dans l'ombre en 1981. C'est également la première apparition de l'actrice Erika Eleniak.
E.T. dans la culture populaire
Liens avec la saga Star Wars
Le film présente deux clins d'œil de Steven Spielberg à son ami George Lucas et à sa saga Star Wars :
- une scène dans laquelle Elliott montre à E.T. des figurines représentant des personnages de Star Wars (Greedo, Hammerhead (Momaw Nadon), Walrus Man, Snaggletooth, Lando Calrissian et Boba Fett)[26] ;
- une scène dans laquelle Elliot, Michael et E.T. déguisés en fantôme croisent dans la rue un enfant déguisé en Yoda pour la fête d'Halloween[27] - [26].
Dans la chambre d'Elliott et Michael, on aperçoit aussi en arrière-plan plusieurs jouets à l'effigie de vaisseaux de Star Wars.
George Lucas ajoutera en caméo un groupe de trois individus à l'image d’E.T., lors d'une séance du Sénat galactique, dans le film Star Wars, épisode I : La Menace fantôme (1999)[27]. Depuis, l'espèce d’E.T. est d'abord nommée Children of the Green Planet (« Enfants de la Planète Verte ») dans la nouvelle E.T : The Book of the Green Planet, puis officialisée comme faisant partie de l'univers Star Wars, sous le nom « d’Asogiens », venant d'une planète nommée Brodo Asogi, dans le secteur Perinn de la Bordure Extérieure de la Galaxie où se déroule l'histoire de Star Wars. L'un des trois sénateurs de cette espèce s'appelle Grebleips (Spielberg écrit à l'envers).
La scène devant la lune
- Dans le film Y a-t-il un flic pour sauver le président ? (1991), le faux Dr Meinheimer traverse une fenêtre en fauteuil roulant et passe devant la Lune durant sa chute, volant à la manière de la scène culte d’E.T.
- Dans le film Last Action Hero (1993), Danny Madigan esquive la voiture de Benedict et vole vers le ciel, volant à la manière de la scène culte d'E.T., avant de traverser une maison et tomber sur le trottoir.
- Dans le film Le Retour de la momie (2001), on voit le dirigeable de Rick O'Connell passer devant la Lune, à la manière de la scène culte d'E.T., à la 58e minute.
- Dans la série Ma famille d'abord (2001-2005), Kady vole sur son vélo devant la Lune, volant à la manière de la scène culte d’E.T., avec son vélo et la peluche d’E.T. dans son panier.
- Dans le film Taxi 4 (2007), pour permettre au commissaire Gibert d'infiltrer la villa des bandits, Alain monte le trampoline à puissance maximale, ce qui a pour effet de faire décoller Gibert qui passe devant la Lune, à la manière de la scène culte d’E.T..
- Dans le film Tous à l'Ouest (2008), les Dalton fuient la police à bord d'un tramway à vapeur ; en tentant de s'échapper, ils décollent dans les airs et passent devant la Lune avec le tramway, à la manière de la scène culte d’E.T..
- Une scène de la cérémonie des Jeux Olympiques de Londres de 2012, montre un vélo volant à la manière de la scène culte d’E.T..
- À la fin de l'épisode de C'est pas sorcier sur la vie extraterrestre, on voit le camion de l'émission voler devant la Lune, à la manière de la scène culte d’E.T..
- Dans le film Brice 3 (2016), on peut voir Brice à bord d'un deux roues passer devant la Lune à la manière de la scène culte d’E.T..
- Dans l'émission Les Guignols de l'info, un sketch montre la marionnette caricaturant Johnny Hallyday passant devant la Lune sur une moto volante, à la manière de la scène culte d’E.T.
Autres références
- Dans Y a-t-il enfin un pilote dans l'avion ? de Ken Finkleman (1982), au début du film, à l'aéroport de Los Angeles, des voyageurs téléphonent depuis des cabines publiques et l'image s'arrête sur la célèbre main d’E.T. qui prend un combiné et compose le numéro du standard. On entend l'extraterrestre prononcer sa célèbre phrase « Téléphone maison », et l'opératrice lui répondre « Mettez six millions de dollars pour les trois premières minutes » ; puis la main d’E.T. raccroche le combiné.
- Le film Mac et moi (Mac and Me) de Stewart Raffill (1988) est une parodie d’E.T. : l'histoire décrit un extraterrestre nommé Mac (pour Mysterious Alien Creature) qui a échappé à des scientifiques de la NASA et qui se lie d'amitié avec un jeune garçon dans un fauteuil roulant. Ensemble, ils essaient de trouver la famille de Mac, dont il a été séparé.
- Dans l’épisode 14 de la sixième saison de la sitcom Friends, Celui qui ne pouvait pas pleurer (2000), Monica, Phoebe, Chandler et Joey regardent le film.
- Dans le jeu vidéo Banjo-Tooie (2000), Kazooie demande à des extraterrestres si leur problème n'est pas de « téléphoner » chez eux (comme E.T.). Ceux-ci répondent qu'ils ont un portable pour ça.
- Le film Koi... Mil Gaya de Rakesh Roshan (2003) (clone du cinéma indien de Bollywood) est une parodie d’E.T. et d’Alien.
- Dans la série télévisée d'animation Les Simpson, le 5e épisode de la saison 19, intitulé Simpson Horror Show XVIII (2007) est une parodie d’E.T. : Bart et Lisa Simpson aident un extraterrestre nommé Kodos à obtenir des objets pour retourner sur sa planète, mais les intentions de l'extraterrestre sont plus dangereuses qu'on ne le croit.
- Dans la série d'animation Sonic Boom, au début de l'épisode 49 intitulé Interdit aux robots (2015), à la suite de la bourrasque déclenchée par le ventilateur de Tails, Sticks sauve Amy en la mettant dans le panier d'un vélo et on peut voir un clin d'œil de la scène du vélo volant d’E.T..
- En 2019, à l'occasion d'un clip publicitaire de quatre minutes dénommé A Holiday Reunion, réalisé pour le compte du groupe de médias américain Comcast, Eliott, toujours interprété par Henry Thomas retrouve son ami extra-terrestre, venu lui rendre une simple visite, 37 ans après leur première rencontre, alors que cet homme est devenu père de famille et qu'il prépare la fête de Noël en compagnie de ses deux enfants[28] - [29].
Produits dérivés
Il existe une attraction et un magasin rattaché à Universal Studio Orlando, en Floride. L'attraction de type Dark Ride fait voyager le visiteur à travers l'univers du film. Elle fait également découvrir la planète d’E.T. et de ses congénères.
Romans et nouvelles
- William Kotzwinkle, E.T., l'extra-terrestre, J'ai lu, 1982 (novélisation)
- William Kotzwinkle, E.T. : La Planète verte, J'ai lu, 1985 (suite du film)
Jeu de société
- E. T. the Extra-Terrestrial (1982) (édité par Parker Brothers. De 2 à 4 joueurs pour une durée moyenne de dix minutes). Le but est de réunir le nombre d'éléments nécessaire pour « appeler la maison » avant les autres.
Jeux vidéo
- 1982 : E.T. the Extra-Terrestrial sur Atari 2600 (publié par Atari le )
- 1983 : E.T.: Phone Home! sur Atari 400/Atari 800/XL/XE[30] - [31] - [32] - [33] - [34] (publié par Atari en )
- 2001 : E.T.: Digital Companion sur Game Boy
- 2001 : E.T. l'extra-terrestre : Le 20e anniversaire sur Game Boy Advance
- 2001 : E.T. the Extra-Terrestrial: Escape from Planet Earth sur Game Boy
- 2002 : E.T. the Extra-Terrestrial: Search for Dragora sur GameCube
- 2002 : E.T. the Extra-Terrestrial and the Cosmic Garden sur Game Boy
- 2016 : E.T. Fun Pack, pour Lego Dimensions
Figurines
Pour célèbrer les quarante ans du film, Funko annonce une série de figurines POP à l'effigie d'Elliot, E.T. et Gertie[35]
Documentaire
- 2022 : "E.T.", un blockbuster intime réalisé par Clélia Cohen et Antoine Coursat[36].
Notes et références
- La graphie « extra-terrestre » est celle du titre français, mais le mot s'écrit « extraterrestre» d'après les dictionnaires modernes.
- https://www.imdb.com/title/tt0083866/releaseinfo#akas : page d'IMDb. Consulté le 25 septembre 2013.
- - Internet Movie Database
- (en) sur l’Internet Movie Database
- Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos, « C'est arrivé un 11 juin », sur Le Point.fr, .
- « E.T. the Extra-Terrestrial (1982) - IMDb » (consulté le ).
- E.T. était-il français ? Le Courrier de l'Ouest daté du 23 décembre 1983.
- « Films cultes - Cult Movies : Le Martien de Noël (1971) », sur Films cultes - Cult Movies, .
- « L’enfance selon Spielberg », sur rts.ch, (consulté le ).
- « E.T. sur Netflix : l'incroyable audition d'Henry Thomas qui a fait craquer Spielberg », sur Allociné (consulté le ).
- (en) Daniel Mackay, The Fantasy Role-Playing Game: A New Performing Art, Jefferson, N.C, (ISBN 0-7864-0815-4), p. 22.
- (en) Warren Buckland, Directed by Steven Spielberg: Poetics of the Contemporary Hollywood Blockbuster, New York, (ISBN 0-8264-1691-8, lire en ligne), 161.
- (en) Emmis Communications, « Robert MacNaughton », Orange Coast Magazine, vol. 12, no 4,‎ , p. 80, 85 (lire en ligne, consulté le ).
- https://italian.imdb.com/title/tt0083866/movieconnections
- « Pat Welsh », sur IMDb (consulté le ).
- « Ben Burtt », sur IMDb (consulté le )
- Jacques Lourcelles, Dictionnaire du cinéma. Tome 3, Les films, Éditions Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1992, p.499
- Tous les temps - All Time
- « E.T. The Extra-terrestrial (1982) - JPBox-Office », sur www.jpbox-office.com (consulté le )
- Box-office Paris du 08/12/1982 au 14/12/1982 sur Boxofficestars
- « E.T. the Extra-Terrestrial (1982) - IMDb » (consulté le ).
- « Top films selon la presse - Page 24 », sur Allociné (consulté le ).
- NM et OG, « Le film E.T. remis à neuf pour le grand écran », Mon Quotidien n°1844,‎ , p. 8 (ISSN 1258-6447).
- De nouvelles modifications au sein des deux trilogies ont eu lieu Ă nouveau en 2011.
- « AICN Exclusive : Spielberg speaks! Jaws Blu-Ray in the works with no "digital corrections!" », sur Aint It Cool News (consulté le ).
- Floriane Reynaud, « E.T : 8 anecdotes à connaître sur le film culte de Steven Spielberg », sur vogue.fr, (consulté le ).
- Émilie Meunier, « Théories de fans : et si, E.T l'extra-terrestre était en réalité un Jedi de Star Wars ? (VIDÉO) », sur programme-tv.net, (consulté le ).
- Site allocine.fr, article "E.T. L'Extra-terrestre sur France 2 : saviez-vous que les héros du film s'étaient retrouvés le temps d'une vidéo ?", consulté le 8 avril 2021.
- https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/e-t-l-extraterrestre-et-elliott-reunis-pour-une-publicite-37-ans-apres-le-film-30-11-2019-8206395.php.
- Yaktal, Kathy. "Designers With A Difference: New Approaches to Computer Games." COMPUTE!'s Gazette. Issue 30 (Vol.3, No.12). Pp.24-32. December 1985. (ISSN 0737-3716).
- (en) Video Games Player - Vol 2 No 2 (11-1983).
- (en) Antic Magazine Volume 1 n°6 (02-1983).
- (en) « E.T. Phone Home », Computer Games, vol. 3, no 5,‎ , p. 15 (lire en ligne).
- (en) 1984 Software Encyclopedia - n°2 (1983).
- « Figurine Pop! Movies E.T. L'Extra-Terrestre Elliot & ET N° 1259 Funko », sur King Collector (consulté le ).
- « E.T., un blockbuster intime », sur RTBF Auvio (consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
- Clément Safra, Dictionnaire Spielberg, Paris, Vendémiaire, coll. « Dictionnaire », , 354 p. (ISBN 978-2-36358-010-8), p. 360.
- Cécile Mury, « E.T., l'extraterrestre », Télérama no 3284-3285,Télérama SA, Paris, p. 126, , (ISSN 0040-2699)
Liens externes
- Ressources relatives Ă l'audiovisuel :
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- Centre national du cinéma et de l'image animée
- Ciné-Ressources
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- (en) AllMovie
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- (en) British Film Institute
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- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
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