Dun-sur-Auron
Dun-sur-Auron est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.
Dun-sur-Auron | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Cher | ||||
Arrondissement | Saint-Amand-Montrond | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Le Dunois (siège) |
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Maire Mandat |
Louis Cosyns 2020-2026 |
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Code postal | 18130 | ||||
Code commune | 18087 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
3 616 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 72 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 53′ 08″ nord, 2° 34′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 151 m Max. 188 m |
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Superficie | 50,09 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Bourges (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Dun-sur-Auron (bureau centralisateur) |
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Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Cher
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | dun-sur-auron.fr | ||||
Géographie
Le territoire de la commune est traversé par les rivières de l'Auron et de l'Airain.
Localisation
Saint-Denis-de-Palin | Vornay | |||
Saint-Germain-des-Bois | N | Bussy | ||
O Dun-sur-Auron E | ||||
S | ||||
Contres | Parnay | Cogny |
Toponymie
Le nom de Dun est probablement issu du terme d'origine gallo-romaine Dunum. Ce toponyme fait référence à la notion d'« enceinte fortifiée »[1].
Au Moyen Âge, la ville de Dun est connue sous le toponyme de « Dunensi » (en 880), et sous celui de « Duno », en 1095[1].
Urbanisme
Typologie
Dun-sur-Auron est une commune rurale[Note 1] - [2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3] - [4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dun-sur-Auron, une unité urbaine monocommunale[5] de 3 844 habitants en 2017, constituant une ville isolée[6] - [7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bourges, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8] - [9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,3 %), prairies (17,8 %), zones urbanisées (7,2 %), forêts (4,8 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,4 %)[10].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Dun-sur-Auron est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[11]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[12].
Risques naturels
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[13]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie.
Plus de 85% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 1 977 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1049 sont en en aléa moyen ou fort, soit 53%, à comparer aux 83% au niveau départemental et 54% au niveau national.
Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[14] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[11].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[15].
La commune est en outre située en aval du barrage de l'étang de Goule, de classe B[Note 3]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[17].
Histoire
Âge du fer
Le site de Dun-sur-Auron fait l'objet d'une occupation celtique dès la fin de l'âge du bronze et le début du 1er âge du fer. Des fosses à incinération, recouvertes de tumuli, ont été exhumées lors de fouilles réalisées dans la seconde moitié du XXe siècle au sein de la plaine dite de « La Périsse », dans les marges de Dun.
Le viatique recueilli dans ces structures funéraires, d'époque bronze final / Hallstatt « A1 », est entre autres composé de bracelets, de lames d'épées et de torques à reliefs triangulaires[18]. À partir du Hallstatt « final », puis au cours du 2e âge du fer, le site de Dun-sur-Auron fait partie de la civitates, soit le territoire des Bituriges Cubii[19], alliés de Vercingétorix pendant la guerre des Gaules.
Grâce aux prospections archéologiques effectuées sur les terres dunoises à partir du XIXe siècle[Note 4], des structures protohistoriques, telles que des sépultures funéraires appartenant à une nécropole, ont ainsi été mises en évidence[21]. L'ancien cimetière celte de Dun se développe à proximité de la vallée de l'Auron[20]. L'emploi de la nécropole s'amplifie à la fin de la période laténienne « finale » et connaît une phase d'utilisation qui se prolonge jusqu'au début de la romanisation de Dun[19].
D'autres investigations, opérées au sein de certaines de ces tombes au cours des années 1960[22], ont permis de dégager des mobiliers funéraires notamment constitués d'artefacts sous la forme de pièces d'armes les unes de combat, les autres dites « de parade »[19]. Les rapports archéologiques montrent qu'il s'agit de sépultures aristocratiques[19].
Antiquité
Au cours de la période gallo-romaine, la cité berrichonne se pare d'un schéma urbanistique de forme rectangulaire[23]. Le centre de la ville laisse apparaître un système de voirie d'aspect quadrillé[23]. Quelques vestiges de structures domestiques et d'autres de type fortifié, attribués à cette époque, ont été signalés sur les pourtours de la ville dunoise[23]. En lisière du territoire dunois, des photographies d'archéologie aérienne ont permis d'indiquer l'existence de ruines d'un habitat domestique appartenant à une villa. Cette villa, dénommée villa « des Tourattes », est localisée à 9 kilomètres « à vol d'oiseau » au Nord-Ouest de la commune de Thaumiers dont le site a délivré d'importants vestiges archéologiques attribués à l'époque gallo-romaine[24].
Moyen Âge
D'origine très ancienne, Dunum est un lieu fortifié gaulois. Au Moyen Âge, la seigneurie de Dun dépendait du vicomte de Bourges.
En 1100, le dernier vicomte, Eudes de Dun, surnommé Arpin, vendit sa vicomté à Philippe Ier pour pouvoir partir en croisade. Dun devint la troisième ville royale du Berry, prit le nom de Dun-le-Roi et Philippe Auguste la dota d'importantes fortifications. La carte aérienne de la ville montre que ces structures d'enceinte présentent globalement l'aspect d'un ovale[23][25][23]. Toutefois, le cœur de la cité de Dun conserve un plan de quadrillage orthonormé et rectiligne, mis en place à l'époque gallo-romaine[23].
Les habitants bénéficient d’une charte communale inspirée de la charte de Lorris[26].
Durant l'été 1183, une compagnie de mercenaires (ou brabançons), commandée par Curbaran et Raymond Brun, ravage le pays. Le 20 juillet, les Capuchonnés, peut-être assistés de troupes de Philippe Auguste, les massacrent près de Dun[27] - [28] - [29].
Des guerres de religion à la Révolution française
En 1709, une révolte secoue la ville. L’année précédente, les récoltes ont été très mauvaises, le grain manque ou devient très cher. Réduits aux dernières extrémités, les habitants prennent d’assaut un grenier, en proclamant qu’ils «mouraient de faim», demandant « qu'on les pendît pour finir plus tôt leur vie »[30].
Révolution française et Premier Empire
Durant la Révolution, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II, invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune de Dun-le-Roi change de nom pour Dun-sur-Auron[31].
À la Restauration, la commune reprend son nom d’Ancien Régime, qu’elle conserve jusqu’à la Troisième République. En 1880, la commune reprend son nom révolutionnaire qu’elle conserve jusqu’à aujourd’hui[31].
XIXe et XXe siècles
En 1892 y est installée une colonie familiale pour aliénés. Un livre est consacré à cet épisode : Juliette Rigondet, Un village pour aliénés tranquilles, Fayard, 2019.
En 1940, la 114e compagnie de travailleurs étrangers est installée à Dun-sur-Auron pour travailler pour le compte du ministère de l'Air[32].
De 1940 à 1942, le 72e régiment d’artillerie (régiment d'Île-de-France), est cantonné à Issoudun, Dun-sur-Auron et L'Isle-Jourdain (Vienne)[33].
Le , des combats ont lieu près de Dun, entre des éléments allemands de la colonne Taglischbeck, battant en retraite, et du 2e bataillon de la 33e 1/2 brigade FFI, faisant 14 victimes françaises, soldats tués au feu et civils abattus. Un monument a été élevé en 1950 à la mémoire de ces victimes de la libération de Dun[34].
- Fortifications.
- Fortifications.
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[43].
En 2020, la commune comptait 3 616 habitants[Note 5], en diminution de 8,41 % par rapport à 2014 (Cher : −3,01 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Vie locale
Événements
Music A Dun se déroule une semaine avant le Printemps de Bourges Cinémobile
Presse écrite
Télévision
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Collégiale Saint-Étienne, fondée en 1019 par le chapitre du château de Bourges, des XIIe, XIIIe et XVIe siècles[45].
- Domaine de la Périsse[46].
- Musée du canal de Berry dans le châtelet.
- Le château dit « La Salle-le-Roi », dont la construction débute en 1202 et les derniers travaux de réfection se concluent en 1856[47]. Le beffroi de l'édifice médiéval fait l'objet d'un classement sur la liste des monuments historiques français depuis le [47].
- L'enceinte de la cité dunoise, dont l'assise est réalisée à la fin du XIIe siècle (en 1189), est inscrite en tant que monument historique depuis le [48].
- Aux environs, ruines du château de Bois-Sire-Amé où vécut Agnès Sorel, favorite du roi Charles VII.
- Beffroi.
- Église.
- Église.
- Porte d'une maison ancienne.
Personnalités liées à la commune
- Jean-Marie Heurtault de Lammerville (1740-1810), agronome et député du Cher durant la Révolution française. Il possédait la propriété de La Périsse, qui avait auparavant appartenu à Jacques Cujas.
- Marie Auguste Martin (1828-1910), sculpteur.
- Émile Sauret (1852 - 1920), violoniste et compositeur.
- Laure Coutan (1855-1914), sculpteur, est née à Dun-sur-Auron. On lui doit, entre autres, le buste d'André Gill au cimetière du Père-Lachaise, à Paris.
- Maurice Bardèche (1907-1998), écrivain.
- Jean Guyot (1918-2000), résistant, industriel, commandeur de la Légion d'honneur, compagnon de la Libération.
- Berthe Fiévet (1933-1999), députée du Cher et maire de la commune de 1983 à 1989.
- Agnès Godard, née à Dun-sur-Auron en 1951, directrice de la photographie.
Cadre de vie
Dans son palmarès 2016, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[49].
Héraldique
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Les armes de Dun-sur-Auron se blasonnent ainsi : D'azur à la fasce cousue de gueules, accompagnée en chef de trois fleurs de lys d'or et en pointe d'un mouton d'argent[50]. |
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Notes
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[16].
- Ces travaux d'investigations archéologiques sont notamment réalisés par Moreau et Martinet et leurs rapports ont été publiés en 1878[20].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Ernest Nègre, « Noms de peuples gaulois 2421 2546 », dans Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, , 708 p. (lire en ligne), page 150.
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Dun-sur-Auron », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Dun-sur-Auron », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- O. Buchsenschutz, M. Willaume et P. Gablin, « Le site Bronze final : Premier âge du Fer des Grandes-Chapelles à Brion (Indre) - Études et travaux », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. tome 76, nos 10 et 12,‎ , pages 410, 418 et 419 (DOI 10.3406/bspf.1979.5164, lire en ligne, consulté le ).
- Anne Villard, « Approche des rites funéraires dans les tombes aristocratiques de la fin de l'Age de Fer et du début de l'époque romaine, à partir de l'exemple biturige. (An outline of burial practices in aristocratic graves of the Late Iron Age and Early Roman period: the example of the bituriges). », dans Anne Villard et al., Monde des morts, monde des vivants en Gaule rurale : Actes du Colloque ARCHEA/AGER (Orléans, 7-9 février 1992), vol. Supplément à la Revue archéologique du centre de la France, 6, Tours, Fédération pour l'édition de la Revue archéologique du Centre de la France, (lire en ligne), pages 319 à 321.
- Ian B. M. Ralston (dir.), Laurence Augier et Olivier Buchsenschutz (dir.), « L'histoire des recherches et le contexte archéologique. », dans Olivier Buchsenschutz (directeur d'ouvrage), Ian Ralston (directeur d'ouvrage) et al., Occupation de l'âge du Fer dans la vallée de l'Auron, vol. Supplément à la Revue archéologique du centre de la France, 22, Tours, Fédération pour l'édition de la Revue archéologique du centre de la France, (lire en ligne), page 27.
- Serge Lepeltier, Olivier Buchsenschutz (dir.) et Ian Ralston (dir.), « Préface », dans Olivier Buchsenschutz (directeur d'ouvrage), Ian Ralston (directeur d'ouvrage) et al., Occupation de l'âge du Fer dans la vallée de l'Auron, vol. Supplément à la Revue archéologique du centre de la France, 22, Tours, Fédération pour l'édition de la Revue archéologique du centre de la France, (lire en ligne), page 13.
- Buchsenschutz 2015, p. 45.
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- Christine Bryant-Villerio, « Thaumiers. », dans Christine Bryant-Villerio et al., Agglomérations secondaires antiques en Région Centre, vol. 1, t. Supplément à la Revue archéologique du centre de la France, 17, Fédération pour l'édition de la Revue archéologique du Centre de la France, (lire en ligne), page 48.
- Cette forme ovoïde est en grande partie effacée postérieurement à l'opération de reboisement réalisée au cours des XVIIe et XVIIIe siècle[23].
- Archives départementales de l’Indre, Berry médiéval : à la découverte de l’Indre au Moyen Âge, catalogue d’exposition, Châteauroux, Archives départementales de l’Indre, 2009, p. 15.
- Georges Duby. Les Trois Ordres, ou l’imaginaire du féodalisme, in Féodalité. Gallimard, 1996. Collection Quarto. p. 795-803. Première publication : 1978.
- La guerre au Moyen Âge – 2003 – PUF - Philippe Contamine - page 401
- Histoire du Berry: Volume 2 - 1844 - Louis Reinal - page 68-72
- Jean Nicolas, La Rébellion française : mouvements populaires et conscience sociale, 1661-1789, Paris, Gallimard, 2008, collection Folio (ISBN 978-2-07-035971-4), p. 423.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Berry Roman: en Berry: ma campagne a du style, Berry province.com », p. 26
- Notice no PA00096787.
- Notice no PA00096788.
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- Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 décembre 2016.
- Le blason de la commune sur Gaso. Consultation : février 2009.
Bibliographie
- Olivier Buchsenschutz (dir.), L'Europe celtique à l'âge du fer : VIIIe – Ier siècles, Paris, Presses universitaires de France, coll. « Nouvelle Clio », , 437 p. (ISBN 978-2-13-057756-0).
- Collectif - DIREN (Direction Régionale de l'Environnement), « Fiche 9 : La vieille ville de Dun-sur-Auron », dans Direction Régionale de l'Environnement, Atlas des sites du département du Cher, Centre du développement durable, , 110 p. (lire en ligne [PDF]), pages 51 à 56.
- Michèle Dassas, « Dun-sur-Auron : la guerre des Lys », dans Michèle Dassas, Sur la Route de Jacques Cœur : Rêves et découvertes - des lieux et des contes, Romorantin, Éditions CPE, , 192 p. (ISBN 2-84503-168-8), pages 141 à 148.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- My-Loire Valley découvrez Dun-sur-Auron