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Descendants de Français hors de France

Des descendants d'immigrés français sont présents sur les cinq continents.

Par exemple, entre 1848 et 1939, environ 1 million de Français ont Ă©migrĂ© vers d'autres pays[1]. Les principales communautĂ©s d'ascendance française se trouvent aux États-Unis, au Canada et en Argentine tandis que des groupes importants se trouvent Ă©galement au BrĂ©sil, au Chili, en Uruguay et en Australie.

De nombreux chiffres circulent sur le nombre de personnes ayant ou revendiquant, dans un pays donné, des origines françaises. Les critères, les méthodes et la précision des chiffres peuvent être très variables.

Amérique du Nord

Aux États-Unis, le bureau du recensement repose sur les dĂ©clarations des habitants eux-mĂŞmes, sachant que les questions concernant les origines ne conduisent pas Ă  des rĂ©ponses obligatoires. Leurs chiffres de 2010 estiment le nombre de personnes ayant des origines françaises Ă  8 761 677 (chiffre ne prenant pas en compte les personnes d'origine basque), avec une marge d'erreur Ă©valuĂ©e Ă  +/- 55 529 personnes ; ces statistiques considèrent sĂ©parĂ©ment les personnes aux origines franco-canadiennes, au nombre de 2 042 808 (+/- 28 673)[2].

Drapeau du Canada Canada

 Acadiens célébrant le Tintamarre et la Journée nationale de l'Acadie à Caraquet, Nouveau-Brunswick.
Acadiens célébrant le Tintamarre et la Journée nationale de l'Acadie à Caraquet, Nouveau-Brunswick.

Il y a près de sept millions de francophones sur neuf Ă  dix millions de personnes d’ascendance au moins partiellement française au Canada. La province canadienne du QuĂ©bec, oĂą le recensement de la population de 2006 comptabilise 7 546 131 habitants et oĂą plus de 95 % des habitants parlent le français en tant que première, deuxième ou troisième langue, est le centre de la vie française du cĂ´tĂ© occidental de l'ocĂ©an Atlantique. La colonisation française a cependant commencĂ© plus Ă  l'est en Acadie. Le QuĂ©bec est aussi un foyer culturel français et possède des mĂ©dias et des universitĂ©s. Il existe des communautĂ©s franco-canadiennes importantes dissĂ©minĂ©es dans les autres provinces du Canada, particulièrement en Ontario, qui compte environ 1 million de personnes d'ascendance française (dont 400 000 qui ont le français comme langue maternelle), au Manitoba et au Nouveau-Brunswick, qui est par ailleurs la seule province entièrement bilingue et composĂ© Ă  33 % d’Acadiens.

Drapeau des États-Unis États-Unis

Les États-Unis sont le lieu de rĂ©sidence d’environ 13 Ă  16 millions de personnes d'origine française, soit 4 Ă  5 % de la population des États-Unis en particulier en Louisiane, en Nouvelle-Angleterre et dans certaines parties du Midwest. La communautĂ© française en Louisiane comprend les crĂ©oles, les descendants des colons français qui sont arrivĂ©s quand la Louisiane Ă©tait une colonie française, et les Cajuns qui sont les descendants des rĂ©fugiĂ©s acadiens arrivĂ©s lors du Grand DĂ©rangement. Très peu de crĂ©oles sont restĂ©s Ă  la Nouvelle OrlĂ©ans aujourd’hui. En Nouvelle-Angleterre, la grande majoritĂ© de l'immigration française du XIXe et du dĂ©but du XXe siècle ne provenait pas de la France mais du QuĂ©bec. Ces Canadiens français sont arrivĂ©s pour travailler dans les usines de bois et de plantes textiles qui sont apparus dans toute la rĂ©gion pendant son industrialisation. Aujourd'hui, près de 25 % de la population du New Hampshire est d'ascendance française, c’est le pourcentage le plus Ă©levĂ© des USA.

Les colonies néerlandaises et anglaises de l'Amérique prérévolutionnaire ont attiré un grand nombre de huguenots français qui fuyaient les persécutions religieuses en France. Dans la colonie hollandaise de la Nouvelle-Hollande qui devint plus tard New York, ces huguenots français, qui pratiquaient une religion presque identique à celle de l'Église réformée néerlandaise, se sont petit à petit complètement assimilés dans la communauté néerlandaise. Cette grande communauté française a bien souvent perdu tout lien avec ses origines, avec notamment la traduction des noms propres (exemples : de la Montaigne a été traduit en hollandais Vandenberg, de Vaux est devenu DeVos ou Devoe par correspondance phonétique). Cette population, qui était comparable en taille à celle du Québec, s’est plus tard intégralement assimilée dans le courant anglophone, et a donc laissé peu de traces de ses origines culturelles. Quelques traces existent toutefois : par exemple la ville de New Rochelle, nommée d'après la ville de La Rochelle qui fut l'une des sources d'émigration huguenote vers la colonie hollandaise. New Paltz était un peuplement non urbain de huguenots qui n’a pas subi la transformation massive des bâtiments, contrairement aux grandes villes anciennes.

Drapeau du Mexique Mexique

Au Mexique, une importante partie de la population possède une ascendance française. Après l'Espagne, les immigrants français forment le deuxième plus grand groupe ethnique européen du pays. La majeure partie des immigrants français est arrivée au Mexique au cours du XIXe et du début du XXe siècle.

De 1814 Ă  1955, des habitants de Barcelonnette et de la vallĂ©e de l'Ubaye ont Ă©migrĂ© au Mexique par dizaines. Ils Ă©tablirent de nombreuses entreprises et des relations commerciales dans le textile entre le Mexique et la France. Au tournant du XXe siècle, il y avait 5 000 familles françaises de la rĂ©gion de Barcelonnette enregistrĂ©es auprès du consulat français du Mexique. Alors que 90 % de ces familles sont restĂ©es au Mexique, certaines sont retournĂ©es en France entre les annĂ©es 1880-1930. Ces familles retournĂ©es Ă  Barcelonnette ont bâti de grandes demeures appelĂ©es Maisons mexicaines et ont laissĂ© une marque sur la ville.

Dans les années 1860, le Second Empire mexicain est gouverné par l'empereur Maximilien Ier du Mexique et fait partie du plan de Napoléon III visant à créer un empire latin dans le Nouveau Monde (ce plan est notamment responsable de la création du terme « Amérique latine »). Dans le cadre de ce projet, de nombreux soldats français, des commerçants et leurs familles mettent le pied sur le sol mexicain. Carlota du Mexique, épouse de l'empereur Maximilien, était une princesse belge et la petite-fille de Louis-Philippe de France.

De nombreux Mexicains d'origine française vivent dans des villes telles que Zacatecas, San Luis Potosí, Sinaloa, Monterrey, Puebla, Guadalajara, et la capitale Mexico où les noms de famille français comme Chairez / Chaires, Renaux, Pierres, Michel, Betancourt, Alaniz, Blanc, Ney, Jurado (Jure), Colo (Coleau), Dumas ou Moussier peuvent être trouvés.

Amérique du Sud et Centrale

Drapeau de l'Argentine Argentine

Les Argentins français forment le troisième groupe d’immigration en Argentine, après les Italiens et les Espagnols. La plupart des immigrants français sont venus en Argentine entre 1871 et 1890, bien qu’une immigration considĂ©rable a continuĂ© jusqu'Ă  la fin des annĂ©es 1940. Au moins la moitiĂ© de ces immigrants venaient du sud-ouest de la France et en particulier du Pays Basque, du BĂ©arn (les Basses-PyrĂ©nĂ©es ont reprĂ©sentĂ© jusqu’à plus de 20 % des immigrants), de la Bigorre et du Rouergue, mais aussi de Savoie et de la rĂ©gion parisienne. Aujourd'hui, environ 6,8 millions d'Argentins ont un certain degrĂ© d'ascendance française ou sont partiellement ou totalement d'origine française (jusqu'Ă  17 % de la population totale)[3]. Les Argentins français ont considĂ©rablement influencĂ© le pays, en particulier les styles architecturaux, les traditions littĂ©raires ainsi que dans le domaine scientifique. Parmi les Argentins notables d'origine française figurent l'Ă©crivain Julio Cortázar, le physiologiste et laurĂ©at du prix Nobel Bernardo Houssay, l’activiste Alicia Moreau de Justo. Grâce Ă  leur culture en partie latine, les immigrants français se sont rapidement assimilĂ©s dans la sociĂ©tĂ© argentine traditionnelle.

Drapeau de l'Uruguay Uruguay

Les Uruguayens français forment le troisième groupe le plus important en Uruguay, après les Uruguayens italiens et espagnols. Au cours de la première moitiĂ© du XIXe siècle, l'Uruguay a reçu la plupart des immigrants français en AmĂ©rique du Sud. Elle constituait Ă  l'Ă©poque le deuxième rĂ©cepteur d'immigrants français dans le Nouveau Monde après les États-Unis. Ă€ titre de comparaison, entre 1820 et 1855, 195 971 immigrants français arrivent aux États-Unis et, entre 1833 et 1842, 13 922 immigrants français, la plupart venant du Pays basque et du BĂ©arn, s’établissent en Uruguay[4].

La majoritĂ© des immigrants vers l’Uruguay provenaient du Pays basque, du BĂ©arn et de la Bigorre. Aujourd'hui, il est estimĂ© que 300 000 descendants de ces immigrants français vivent toujours en Uruguay[5].

Drapeau du Costa Rica Costa Rica

La première émigration française au Costa Rica fut le fait d’un nombre très réduit vers Cartago autour du milieu du XIXe siècle. À la suite de la Seconde Guerre mondiale, un groupe d'exilés français (la plupart des soldats et des familles orphelines) migrèrent vers le Costa Rica.

Drapeau du Chili Chili

Les Français sont venus au Chili au XVIIIe siècle à Concepción tout d’abord comme marchands puis dans le milieu du XIXe siècle pour cultiver la vigne dans les haciendas de la vallée centrale. Cette vallée est devenue mondialement célèbre pour le vin chilien qui y est produit. La région d'Araucanie a également reçu un nombre important de personnes d'ascendance française. Ces colons, qui étaient principalement des agriculteurs et des commerçants, sont arrivés dans la région durant la seconde moitié du XIXe siècle. Avec leur culture en partie latine, les immigrants français se sont rapidement assimilés dans la société chilienne traditionnelle.

De 1840 Ă  1940, environ 25 000 Français ont immigrĂ© au Chili. 80 % d'entre eux venaient du sud-ouest France, en particulier des Basses-PyrĂ©nĂ©es (Pays basque et BĂ©arn), de Gironde, de Charente-InfĂ©rieure et de Charente et des rĂ©gions situĂ©es entre le Gers et la Dordogne[6].

En 1863, 1 650 citoyens français Ă©taient enregistrĂ©s au Chili. Ă€ la fin du siècle, ils Ă©taient presque 30 000[7]. Selon le recensement de 1865, sur 23 220 Ă©trangers Ă©tablis au Chili, 2 483 Ă©taient français, soit la troisième plus grande communautĂ© europĂ©enne dans le pays après les Allemands et les Anglais[8] et 12 % des 25 000 Ă©trangers Ă©tablis dans le pays. En 1875, la communautĂ© atteignait 3 000 membres[9]. La plupart des immigrants français se sont ensuite installĂ©s dans le pays entre 1875 et 1895. Entre et , 8 413 Français s’installèrent au Chili, ce qui reprĂ©sentait alors 23 % des immigrants arrivĂ©s durant cette pĂ©riode (soit le deuxième groupe après les espagnols). On estime que 10 000 Français vivaient au Chili en 1912, soit 7 % des 149 400 Français vivant en AmĂ©rique latine[10].

Durant la Seconde Guerre mondiale, un groupe de plus de 10 000 Chiliens d'origine française, dont la majoritĂ© avait des parents français, rejoignent les Forces Françaises Libres et combattent l'occupation nazie de la France.

Aujourd'hui, on estime qu’environ 800.000 Chiliens sont d'origine française[11].

L'ancienne présidente du Chili Michelle Bachelet est d'origine française, ainsi que le dictateur Augusto Pinochet. Un grand pourcentage des hommes politiques, des hommes d'affaires, des professionnels et des artistes du pays sont d'origine française.

Drapeau du Brésil Brésil

Immigration française au Brésil de 1914 à 1924
Année Nombre d'immigrants français
1914 696
1915 410
1916 292
1917 273
1918 226
1919 690
1920 838
1921 633
1922 725
1923 609
1924 634
Total 7558

On estime qu'il y a 500 000 Ă  1 million de BrĂ©siliens d'origine française aujourd'hui. Ce qui fait du BrĂ©sil la deuxième plus grande communautĂ© française en AmĂ©rique du Sud[12].

De 1819 Ă  1940, 40 383 Français ont immigrĂ© au BrĂ©sil. La plupart d'entre eux se sont installĂ©s dans le pays entre 1884 et 1925 (8 008 entre 1819 et 1883, 25 727 entre 1884 et 1925 et 6 648 entre 1926 et 1940). Une autre source estime que près de 100 000 Français ont immigrĂ© au BrĂ©sil entre 1850 et 1965.

La communautĂ© française au BrĂ©sil comptait 592 individus en 1888 et 5 000 en 1915[13]. Certaines estimations parlent de 14 000 Français vivant au BrĂ©sil en 1912, soit 9 % des 149 400 Français vivant en AmĂ©rique latine et la deuxième plus grande communautĂ© après l'Argentine (qui comptait alors 100 000 Français)[10].

La famille impériale brésilienne est issue de la Chambre portugaise de Bragance. Isabella, l'héritière et la fille du dernier empereur, a épousé le prince Gaston d'Orléans comte d'Eu et membre de la Chambre d'Orléans qui est une branche cadette des Bourbons la famille royale française.

Drapeau du Guatemala Guatemala

Les premiers immigrants français Ă©taient des hommes politiques comme Nicolas Raoul, Isidore Saget, Henri Terralonge et les officiers Aluard, Courbal, Duplessis, Gibourdel et Goudot. Lorsque la FĂ©dĂ©ration d'AmĂ©rique centrale fut divisĂ©e en 7 pays, certains d'entre eux s’installèrent au Costa Rica, d'autres au Nicaragua, mais la majoritĂ© resta au Guatemala. Les bonnes relations entre la France et le Guatemala Ă  partir de 1827 facilitent la migration de politiciens, de scientifiques, peintres, constructeurs, artistes et certaines familles. Ă€ la suite d'une dĂ©tĂ©rioration des relations entre la France et le Guatemala la plupart des immigrants français quittent le Guatemala pour le Costa Rica. Ă€ la fin du XIXe siècle, les bonnes relations sont cependant rĂ©tablies[14].

Amérique latine

Dans les autres régions d’Amérique, la colonisation française a eu lieu entre le XVIe et le XXe siècle. Cette migration a eu lieu vers Haïti, Cuba (en particulier les réfugiés de la révolution haïtienne). Les familles politiques Betancourt ont influencé le Pérou[15], la Colombie, le Venezuela, l’Équateur, Porto Rico, la Bolivie et le Panama[16].

Europe

Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni

L’immigration française vers le Royaume-Uni est un phénomène qui a eu lieu à différents moments de l'histoire. La France et le Royaume-Uni sont historiquement deux pays intimement liés. Depuis la conquête de l'Angleterre par Guillaume le Conquérant, de nombreux Britanniques ont des ancêtres français. Par conséquent, une grande partie de l'aristocratie médiévale du Royaume-Uni descendait des migrants franco-normands venus durant la conquête normande de l'Angleterre et de la dynastie Plantagenêt. Plus tard, la communauté huguenote a fui en Grande-Bretagne pour échapper aux persécutions.

Aujourd'hui, le français reste la langue Ă©trangère la plus apprise par les Britanniques et le nombre de Français installĂ©s au Royaume-Uni progresse depuis ces dernières annĂ©es. Ainsi, environ 400 000 citoyens français vivent aujourd’hui au Royaume-Uni, la plupart d'entre eux Ă  Londres[17].

Selon une Ă©tude rĂ©alisĂ©e par Ancestry.co.uk, 3 millions de britanniques aujourd’hui seraient d'origine française[18]. Parmi eux se trouvent des personnalitĂ©s comme Davina McCall, Matthew Le Tissier[19] ou encore Louis Theroux.

Huguenots

Pour fuir les persĂ©cutions sous la monarchie française, un grand nombre de huguenots se sont installĂ©s au Royaume-Uni (environ 50 000), en Irlande, dans les zones protestantes de l'Allemagne (en particulier Ă  Berlin, environ 40 000), aux Pays-Bas (50 000), en Suisse, en Afrique du Sud, en AmĂ©rique du Nord, etc. Beaucoup de personnes dans ces pays portent encore des noms français.

Asie

 Français de Nouvelle-Calédonie.
Français de Nouvelle-Calédonie.

En Asie, un certain nombre de personnes avec une ascendance française et vietnamienne mixte peut ĂŞtre trouvĂ©e au Vietnam. Y compris des personnes d'origine française uniquement. Beaucoup sont des descendants des colons français qui se sont mariĂ©s avec des Vietnamiens locaux. Environ 5 000 personnes au Vietnam seraient d'origine française unique[20]. Une petite proportion de personnes d'ascendance française et khmère mixte se trouvent au Cambodge. Ces personnes sont au nombre d'environ 16 000 et parmi ce nombre, environ 3 000 sont d'origine française non mixte[21]. Un nombre non dĂ©terminĂ© de descendants des colons français et Lao mixte peut ĂŞtre trouvĂ©s Ă  travers le Laos[22].

Quelques milliers de citoyens français créoles d'origine indienne et européenne vivent dans les anciennes possessions françaises en Inde (principalement Pondichéry).

En plus de ces pays, des petites minorités peuvent être trouvées ailleurs en Asie ; la majorité étant des expatriés[22].

Autres foyers de populations françaises

En dehors des Québécois, des Acadiens, des Cajuns et des Métis, il existe d'autres populations ayant une ascendance française et vivant hors de France métropolitaine. Ces populations comprennent les Caldoches de Nouvelle-Calédonie, les Zoreilles et Petits Blancs des différentes îles de l'océan Indien, ainsi que les populations de l'ancien empire colonial français en Afrique.

Notes et références

  1. (en) José Manuel Azcona Pastor, Possible Paradises : Basque Emigration to Latin America, University of Nevada Press, , 568 p. (ISBN 978-0-87417-444-1, lire en ligne)
  2. (en) « Total ancestry reported », sur factfinder2.census.gov (consulté le )
  3. « Les merveilleux francophiles argentins-1 », (version du 5 juin 2009 sur Internet Archive)
  4. « ecrivains argentins - L’immigration française en Argentine, 1850-1930. », sur ecrivainsargentins.viabloga.com (consulté le )
  5. « Migration - Uruguay », sur www.nationsencyclopedia.com (consulté le )
  6. (es) Enrique Fernández Domingo, « La emigración francesa en Chile, 1875-1914: entre integración social y mantenimiento de la especificidad », Amérique Latine Histoire et Mémoire. Les Cahiers ALHIM. Les Cahiers ALHIM,‎ (ISSN 1777-5175, lire en ligne, consulté le )
  7. (es) Francisco Javier González Errázuriz, La influencia francesa en la vida social de Chile de la segunda mitad del siglo XIX (lire en ligne)
  8. Journal des Ă©conomistes : revue de la science Ă©conomique et de la statistique, Presses universitaires de France, (lire en ligne)
  9. (en) Simon Collier et William F. Sater, A History of Chile, 1808-2002, Cambridge University Press, , 454 p. (ISBN 978-0-521-53484-0, lire en ligne), p. 29
  10. L'Amérique latine et l'Europe à l'heure de la mondialisation : Dimension des relations internationales, KARTHALA Editions, , 350 p. (ISBN 978-2-84586-281-4, lire en ligne), p. 194
  11. Parvex R. (2014). Le Chili et les mouvements migratoires, Hommes & migrations, NÂş 1305, 2014. doi: 10.4000/hommesmigrations.2720.
  12. « Expatriation », sur Studyrama Pro (consulté le )
  13. (en) José Manuel Azcona Pastor, Possible Paradises : Basque Emigration to Latin America, University of Nevada Press, , 568 p. (ISBN 978-0-87417-444-1, lire en ligne), p. 226
  14. « AFEHC : articulos : Esbozo de las relaciones entre Francia y Guatemala (1823-1954) : Esbozo de las relaciones entre Francia y Guatemala (1823-1954) », sur www.afehc-historia-centroamericana.org (consulté le )
  15. Erwin Dopf, « Inmigración francesa al Perú », sur www.espejodelperu.com.pe (consulté le )
  16. « The Population of Bolivia. People and Culture. Demographics. Bolivia Population », sur BoliviaBella (consulté le )
  17. (en-GB) « London, France's sixth biggest city - BBC News », sur BBC News (consulté le )
  18. By Murray Wardrop, « Britons can trace French ancestry after millions of records go online », sur Telegraph.co.uk (consulté le )
  19. (en) Small Talk: Matt Le Tissier — theguardian.com
  20. « Insee - Population - Données détaillées des statistiques d'état civil sur les naissances en 2010 - Données détaillées des statistiques d'état civil sur les naissances en 2010 », sur www.insee.fr (consulté le )
  21. Joshua Project, « Ethnic People Groups of Cambodia », sur www.joshuaproject.net (consulté le )
  22. Joshua Project, « Afghani, Tajik of Afghanistan Ethnic People Profile », sur www.joshuaproject.net (consulté le )
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