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Centrale nucléaire de Chooz

La centrale nucléaire de Chooz[5] est située sur la commune de Chooz dans la pointe de Givet, à proximité de la frontière entre la Belgique et la France. En 2016, la centrale produit 20 milliards de kWh par an, soit 5 % de la production annuelle française[6], et emploie en temps normal 765 agents EDF ainsi que 200 prestataires permanents[6]. Lors de pics de maintenance et/ou de modifications de l'installation, les effectifs peuvent s'élever à 2 300 personnes[6].

Centrale nucléaire de Chooz
Centrale nucléaire de Chooz
Administration
Pays
RĂ©gion
DĂ©partement
Commune
Coordonnées
50° 05′ 24″ N, 4° 47′ 26″ E
Opérateur
Construction
1960 (Chooz A)
1984 (Chooz B)
Mise en service
(Chooz A)
(Chooz B)
Mise à l’arrêt définitif
(Chooz A)
Statut
en service (réacteurs B1 et B2)
Direction
Solène Gourion [1]
RĂ©acteurs
Fournisseurs
Framatome (ex-Areva), GEAST (Alstom jusqu'en 2014)
Type
RĂ©acteurs actifs
2 Ă— 1 500 MW
Puissance nominale
3 000 MW
Production d’électricité
Production annuelle
17,89 TWh (2019)[2] - [3]
Facteur de charge
68,1 % (en 2019)
76,8 % (jusqu'en 2019)[4]
Production moyenne
19,71 TWh (2015 Ă  2019)
Production totale
417,82 TWh (fin 2019)

Source froide
Site web
Carte

Elle occupe une superficie de deux cents hectares, situĂ©s en bord de Meuse entre Charleville-MĂ©zières (55 km en amont) et Dinant (25 km en aval) en Belgique, et Ă  210 km au nord-est de Paris. Elle contribue Ă  la fiscalitĂ© locale Ă  hauteur de soixante quinze millions d'euros, dont neuf millions pour la taxe foncière.

Le site nucléaire de Chooz se répartit en deux centrales : Chooz A et Chooz B, comportant au total trois réacteurs nucléaires. Le réacteur de Chooz A, situé sous terre, est le premier de type réacteur à eau pressurisée (REP) à avoir été mis en service en France, et également le premier à être en cours de déconstruction. Claude Parent a été un des architectes de Chooz B[7].

Historique

Chooz A

La conception du premier réacteur à eau pressurisée de Chooz provient d'une licence américaine de la société Westinghouse, cédée à la Franco-Américaine de Constructions Atomiques (Framatome) en février 1959[8]. Basé sur le modèle du réacteur de la centrale nucléaire de Yankee Rowe, Chooz A est un REP à quatre boucles avec une puissance et une pression primaire plus élevées que celles de Yankee Rowe[9].

Le premier réacteur de Chooz est un projet franco-belge, tant pour sa construction que pour son exploitation[10]. En 1960, dans le prolongement du traité Euratom, une société est constituée entre EDF et un groupement de compagnies d'électricité belge[11], la société d'énergie nucléaire franco-belge des Ardennes (SENA)[12], pour mener à bien ce projet, dans une boucle de la vallée de la Meuse[13].

La centrale de Chooz A dĂ©marre en avril 1967 [14], et reste en activitĂ© de 1967 Ă  1991[15]. Elle comporte un rĂ©acteur, situĂ© Ă  150 mètres sous terre, qui fut le premier de type rĂ©acteur Ă  eau pressurisĂ©e (REP) Ă  avoir Ă©tĂ© mis en service en France après le prototype Ă  terre du premier sous-marin nuclĂ©aire français Le Redoutable (S611). La cuve du rĂ©acteur et ses quatre gĂ©nĂ©rateurs de vapeur se trouvent dans un premier souterrain, tandis qu'un autre souterrain abrite la piscine de dĂ©sactivation et les circuits de secours[16].

Lors de la construction de Chooz A en 1962, EDF a utilisé pour la première fois une licence de fabrication de réacteurs à eau pressurisée acquise par Framatome en 1959 auprès de l’industriel américain Westinghouse Electric. De ce fait, Chooz A, d'une puissance de 305 MW[15], est une copie - 4 à 5 fois plus puissante — du réacteur américain de Shippingport[17].

Après la fermeture en 1991 de cette centrale qui était vieillissante et n'était plus rentable, EDF a d’abord préféré attendre que la radioactivité dans les lieux diminue avant de procéder au démantèlement. Puis en 2001, elle s'est décidée à lancer ce démantèlement, avant de perdre « la mémoire de l'installation », selon Thierry Charles, directeur adjoint à l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), mais également pour « ne pas léguer le problème aux générations futures »[18] et acquérir les compétences et l'expérience sur ce type d'opérations qui représentent désormais un marché de prestation important, «un vrai business au niveau mondial»[19] - [16] - [20]. En juillet 2020, après la mise à l’arrêt de ceux de Fessenheim, 56 réacteurs nucléaires sont en fonctionnement en France. En mai 2020, l’AIEA dénombre 298 réacteurs de ce type (classification "PWR" AIEA) sur un total de 441 réacteurs nucléaires opérationnels[19] - [21].

En avril 2010, le démantèlement du circuit primaire principal de Chooz A a été attribué par EDF à Onet technologies et le démantèlement de la cuve du réacteur au groupement Westinghouse-Nuvia, pour un montant resté confidentiel[22].

Depuis 2010, une centaine de personnes s'attellent à cette tâche : les quatre-vingts opérateurs d'Onet technologies et de ses sous-traitants, Areva et Mammoet entre autres, encadrés par une vingtaine d'agents EDF, démantèlent le circuit primaire du réacteur ainsi que la caverne HK (bâtiment piscine et ses auxiliaires). Début 2012, trois générateurs de vapeurs sur quatre ont été déposés[16]. En mars 2017, le démantèlement de la cuve du réacteur est entamé, dernière étape de la déconstruction de la centrale[23] - . La phase de démantèlement de la partie nucléaire devrait s'achever vers 2025[24]. Si cette phase dure aussi longtemps, c'est qu'elle n'a pas été prise en compte dans la conception et la construction initiale[19]. Un rapport de la Cour des Comptes de 2012 s'inquiète de l'évolution des coûts de la filière électro-nucléaire due à la complexité des démantèlements[25].

Une autre difficultĂ© est le devenir des dĂ©chets radioactifs. Les 10 300 tonnes de dĂ©chets radioactifs Ă  vie courte devraient rejoindre les centres de stockage de l'Agence nationale pour la gestion des dĂ©chets radioactifs Ă  Morvilliers et Soulaines-Dhuys, dans l'Aube. Par contre, les 30 tonnes de dĂ©chets radioactifs Ă  vie longue, issues de la cuve et du circuit primaire, sont destinĂ©es au lieu d'entreposage Iceda, sur le site de la centrale nuclĂ©aire de Bugey, dans l'Ain (nb: le chantier a Ă©tĂ© arrĂŞtĂ© de 2012 Ă  2015, Ă  la suite de l’annulation du permis de construire d’Iceda)[19] - [26].

Chooz B

Vue du site Chooz B

La centrale Chooz B est un projet français et non plus franco-belge. Elle donne lieu pour autant à une coopération entre les deux pays, du fait de la proximité du site et de la frontière : réunions intergouvernementales en 1979 et 1980, échanges de documentation et d'informations, entretiens entre experts, étude d'impact en partie conjointe, dépôt d'observations par les citoyens belges sur les registres d'enquête publique, coopération sur les dispositifs de sécurité. La France a également assuré la Belgique d'une compensation des prélèvements d'eau en Meuse en période d'étiage. Et cette deuxième tranche a provoqué des contestations des deux côtés de la frontière[10].

Cette centrale Chooz B comporte deux rĂ©acteurs d'une puissance nominale de 1 450 MW chacun, de type rĂ©acteur Ă  eau pressurisĂ©e et de conception 100 % française. Ce sont les deux premières unitĂ©s du nouveau palier de puissance appelĂ© « palier N4 », prĂ©curseur du projet de rĂ©acteur pressurisĂ© europĂ©en (EPR).

  • Chooz B1 est en phase d'exploitation depuis 1996[27].
  • Chooz B2 est en phase d'exploitation depuis 1997[27].

Entre 1980 et 1982 une opposition vive se développe contre le projet. La répression du mouvement par les forces de l'ordre est violente, allant jusqu'au bouclage militaire de La Pointe. Les ouvriers de Vireux, dont le site sidérurgique vieux de 2 siècles installé sur 56 ha a cessé toutes ses activités en 1984, ont pris une part importante au mouvement antinucléaire contre la centrale de Chooz-B[28]. Le gouvernement à majorité socialiste de Pierre Mauroy, mis en place par le président François Mitterrand nouvellement élu, confirme la réalisation.

La construction des réacteurs de Chooz B a duré environ 12 ans; avant l’EPR de Flamanville 3 c’était le chantier le plus long de tous les réacteurs nucléaires français.

À la suite de la détection de problèmes de corrosion sous contrainte dans la tuyauterie du circuit de sécurité (les mêmes types de défauts qu'à la Centrale nucléaire de Civaux), le réacteur n°2 est mis à l'arrêt depuis le 16 décembre 2021, arrêt prolongé au moins jusqu'en avril 2022[29].

Site global

Chooz était un des sites possibles d'implantation du deuxième ou du troisième réacteur EPR français[30] - [31]. Ces réacteurs EPR, après la réalisation pilote sur la centrale nucléaire de Flamanville, devaient marquer le lancement d'une nouvelle génération de centrale nucléaire, succédant aux 58 réacteurs français REP mis en service entre 1977 et 1999. EDF était l'architecte et l'ensemblier des réacteurs français REP, associé à Framatome pour leur conception. L'European Pressurized Water Reactor (EPR) associe EDF, Framatome mais aussi Siemens (présent à l'époque dans le capital d'Areva) et les électriciens allemands dans un projet franco-allemand[32]. Le nouveau groupe GDF Suez veut également être partie prenante de cette nouvelle filière[33]. La centrale nucléaire de Penly est finalement retenue puis le projet est abandonné[32].

Fin 2016, alors que la centrale nucléaire fête ses 20 ans, EDF investit 2 milliards d'euros pour la réalisation d'aménagement devant permettre de prolonger la durée de vie de la centrale à 60 ans[6]. 34 millions d'euros sont alloués pour les travaux tertiaires comme la peinture ou encore la construction de bâtiments ; 700 millions sont alloués aux travaux de sûreté ; 35 millions sont alloués aux opérations de maintenance ; 1,4 milliard est prévu dans le cadre du Grand Carénage prévu de 2018 à 2020[6].

En 2020, le faible dĂ©bit de la Meuse a conduit EDF Ă  arrĂŞter la production des deux rĂ©acteurs pendant plus d'un mois entre le 24 aoĂ»t et dĂ©but octobre[34]. Le dĂ©bit de la Meuse varie avec la hausse des tempĂ©ratures et les changements climatiques[35], et la France s'est engagĂ©e auprès de la Belgique Ă  respecter un dĂ©bit minimal pour la Meuse (20 m3/s), bien supĂ©rieur Ă  celui qui serait nĂ©cessaire pour le bon fonctionnement et la sĂ»retĂ© de la seule centrale thermique, car les installations de production d'eau potable situĂ©es en aval de la centrale ont elles aussi besoin d'un dĂ©bit minimal pour fonctionner normalement[36].

Les deux réacteurs sont mis à l’arrêt les et pour maintenance et traitement de la corrosion sous contrainte détectée. Trente trois mètres de tuyauterie a été remplacé sur le réacteur 1 et vingt-sept mètres cinquante sur le réacteur 2. Le réacteur 1 a été relié au réseau le et le réacteur 2 le [37].

Caractéristiques des réacteurs

Les caractéristiques détaillées de chaque réacteur en service sont les suivantes :

Nom du réacteurModèleCapacité [MW]ExploitantConstructeurDébut constr.Raccord. au réseauMise en service comm.
Thermique (MWt)brute (MWe)Nette (MWe)
Chooz-B-1[2] N4 REP 1450427015601500EDFFramatomejanvier 1984août 1996mai 2000
Chooz-B-2[3] N4 REP 1450427015601500EDFFramatomedécembre 1985avril 1997septembre 2000

Incidents

Principaux incidents :

AnnéeCentraleClassement échelle INESDétails
1967Chooz A?Avant même que cette tranche soit couplée au réseau, un incendie s'est déclenché[10]
1968Chooz A?À la suite d'un blocage d'une barre de contrôle, des techniciens se sont rendu compte que des vis de pièces mécaniques internes à la cuve du réacteur avaient cédé, sans pour autant que l'intégrité de la cuve elle-même ait été remise en question[38] - [10].
2004Chooz B1Trois anomalies classées au niveau 1 sur l'échelle INES sont survenues.
2006Chooz B?En novembre s'est produit un rejet de gaz radioactifs supérieur aux limites définies dans les arrêtés de rejets, lors de travaux de maintenance. La limite spontanée a été dépassée de 10 % pendant une minute. Cela représente un dix-millième de ce qui est autorisé sur l'année.
2018 Chooz B N/A Le 2 février 2018 à 10h30, l'accès à la centrale est bloqué à la suite de la découverte, à bord d'un camion, de traces de solvants contenant des éléments chimiques habituellement détectés dans les contrôles anti-explosifs. La menace est prise très au sérieux et le chauffeur du camion est arrêté. L'accès est débloqué à 12h55, lorsque les démineurs confirment l'absence de risque pour l'installation et le personnel[39].

L'ASN a recensé de nombreux autres incidents mineurs[40] et estime en septembre 2007 que « le nombre important d'événements significatifs justifie également des efforts à consentir pour une meilleure culture de sûreté », et constate « un manque chronique de rigueur dans l'exploitation de la centrale »[41].

À la suite des tests de résistance européens menés après l'accident de Fukushima, « les procédures prévues en cas d'accident sont jugées insuffisantes » et « les équipements de secours, comme les groupes électrogènes, ne sont pas assez protégés contre les éléments en cas de catastrophe naturelle en France. »[42].

Du 13 au 26 avril 2009, une dizaine de citoyens ont marché de Bure (dans la Meuse) à Chooz, à l’initiative des associations Sortir du nucléaire 08 et CDR 55, pour informer le public sur les dangers de l’énergie nucléaire et sur les alternatives, ainsi que dénoncer les projets de "poubelle radioactive" à Bure[43].

L'ASN publie en 2018, avec plusieurs années de retard, un « avis d'incident » détecté dès 2015 et 2016 concernant les centrales de Chooz et de Civaux; une fois les réparations effectuées[44].

En novembre 2019 a lieu la fuite d'une vingtaine de mètres cubes d'acide chlorhydrique dans la partie non nucléaire du site[45].

Laboratoire d'Ă©tude du neutrino

Le CEA et le CNRS ont établi un laboratoire international souterrain, nommé Double Chooz, destiné à étudier les 'oscillations' du neutrino[46]. Les centrales nucléaires constituent en effet une source importante de neutrinos électroniques, dont le niveau d'énergie, étant distinct de ceux du rayonnement solaire, facilite l'analyse spécifique. Le projet Double Chooz est une collaboration internationale entre le Brésil, la France, l'Allemagne, l'Espagne, le Japon, le Royaume-Uni, les États-Unis, et la Russie[47]. L'expérience conduit fin 2011 à la constatation d'une disparition effective de neutrinos électroniques imputables à ce phénomène dit d'oscillation des neutrinos[48].

Notes et références

  1. « Solène Gourion prend la direction de la centrale de Chooz », sur www.edf.fr (consulté le )
  2. (en) « IAEA - Power Reactor Information System », sur pris.iaea.org (consulté le ).
  3. (en) « IAEA - Power Reactor Information System », sur pris.iaea.org (consulté le ).
  4. moyennes des valeurs sur PRIS AIEA pour chaque réacteur du site
  5. Chooz se prononce "chĂ´".
  6. « EDF dépense 2 milliards d'euros pour la centrale nucléaire de Chooz », sur L'Usine Nouvelle, (consulté le )
  7. « Claude Parent, centrale nucléaire, Chooz, 1982-1992 », sur frac-centre.fr (consulté le )
  8. Christian Bataille et Robert Galley, « Rapport sur l'aval du cycle nucléaire », sur http://www.assemblee-nationale.fr/, (consulté le )
  9. Physique, fonctionnement et sûreté des REP - Collection Génie Atomique, Hubert Grard
  10. Le Monde (Correspondance) 1980.
  11. « Centrale de Chooz A », sur EDF
  12. « CEEA Conseil: Décision relative à la constitution de l'entreprise commune « Société d'énergie nucléaire franco-belge des Ardennes » », sur Office des publications de l'Union européenne, .
  13. Hug 2009, p. 12.
  14. Le Monde 1967.
  15. Duplat 1989.
  16. Garric 2012.
  17. Augereau 1992.
  18. "Chooz : silence, on démantèle !" par Corinne Scemama - L’Express - 17 février 2012
  19. Siméon 2014.
  20. A Chooz, dans les Ardennes, EDF s'entraîne au démantèlement du nucléaire - France Inter - 22 mai 2017
  21. base de données PRIS de l’AIEA - consultée le 04 mai 2020
  22. Laramée de Tannenberg 2010.
  23. « De Chooz à Superphénix, les grands chantiers du démantèlement nucléaire », sur Le Monde.fr (consulté le )
  24. Lavis 2009.
  25. Rapport de la Cour des Comptes 2012 sur les coûts de la filière électro-nucléaire.
  26. « ICEDA : reprise des travaux », sur edf.fr,
  27. Site www.asn.fr de l'ASN - Centrale nucléaire de Chooz B
  28. Site www.filfil.fr - L'Explosion, film de JĂ©rĂ´me Champion
  29. « Nucléaire : EDF prolonge l'arrêt du réacteur n° 2 de la centrale de Chooz », sur lesechos.fr,
  30. Le Figaro 2009.
  31. Gateaud 2009.
  32. Bezat 2011.
  33. Reuters 2009.
  34. « Redémarrage de l’unité de production n°2 de la centrale de Chooz », sur EDF France, (consulté le )
  35. Nabil Wakim, « Nucléaire : la centrale de Chooz mise à l’arrêt à cause de la chaleur », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  36. « Décret no 98-1004 du 30 octobre 1998 portant publication de l'accord entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement du Royaume de Belgique sur la centrale électronucléaire de Chooz et les échanges d'informations en cas d'incident ou d'accident (ensemble un échange de lettres), signé à Bruxelles le 8 septembre 1998 », sur Légifrance, (consulté le )
  37. article de l'L'Union du 16 mai page 4.
  38. Durand-Souffland 1980.
  39. « Ardennes. La centrale nucléaire de Chooz bloquée pendant deux heures et demie », France 3 Champagne-Ardenne,‎ (lire en ligne, consulté le )
  40. Avis d'incident des installations nucléaires
  41. Le Monde avec AFP 2007.
  42. Ricard 2012.
  43. « Pendant la marche, Borloo réfléchit », sur Républicain Lorrain, (consulté le )
  44. Hervé Liffran, « Le gendarme de l'atome a perdu sa langue », Le Canard enchaîné,‎ , p. 4
  45. Jean-Godefroy Varoquaux, « Fuite d’acide chlorhydrique à la centrale nucléaire de Chooz », sur lardennais.fr, (consulté le ).
  46. Site irfu.cea.fr
  47. Site doublechooz.in2p3.fr
  48. Site www.doublechooz.org

Voir aussi

Bibliographie

  • Claude Parent, Les maisons de l'atome, Paris, Éditions du Moniteur, , 120 p. (ISBN 2-281-15084-4).
  • Michel Hug, Un siècle d'Ă©nergie nuclĂ©aire, Éditions Le Manuscrit, (ISBN 978-2-304-03058-7, lire en ligne)
  • Kirchmann R & Lambinon J (1973) Bioindicateurs vĂ©gĂ©taux de la contamination d'un cours d'eau par des effluents d'une centrale nuclĂ©aire Ă  eau pressurisĂ©e: Evaluation des rejets de la Centrale de la SENA (Chooz, Ardennes françaises) au moyen des vĂ©gĂ©taux aquatiques et ripicoles de la Meuse. Bulletin de la SociĂ©tĂ© Royale de Botanique de Belgique/Bulletin van de Koninklijke Belgische Botanische Vereniging, 187-201.

Articles de presse

  • RĂ©daction Le Monde, « La centrale nuclĂ©aire franco-belge de Chooz a Ă©tĂ© couplĂ©e au rĂ©seau », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  • Jean-Michel Durand-Souffland, « Le « monstre » de Chooz fait trembler deux pays », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  • RĂ©daction Le Monde (Correspondance), « Le « monstre » nuclĂ©aire de Chooz. Accidents matĂ©riels et implications diplomatiques », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  • Guy Duplat, « NuclĂ©aire, Chooz arrĂŞtĂ© en 1991. », Le Soir,‎ (lire en ligne).
  • Jean-François Augereau, « Les ferrailleurs du nuclĂ©aire », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  • RĂ©daction Le Monde avec AFP, « L'AutoritĂ© de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire dĂ©nonce un manque de rigueur dans deux centrales », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  • RĂ©daction Le Figaro, « EDF en pole position pour la construction du deuxième EPR », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  • Pascal Gateaud, « Chooz ou Penly : Sarkozy choisira le site du second EPR », L'Usine nouvelle,‎ (lire en ligne).
  • Reuters, « Le deuxième rĂ©acteur EPR attribuĂ© Ă  EDF et GDF Suez », Le Point,‎ (lire en ligne).
  • Laura Lavis, « La fin de parcours d'un prototype industriel. Le rĂ©acteur nuclĂ©aire de Chooz A, en phase de dĂ©construction, sera dĂ©classĂ© Ă  l’horizon 2025 », Le Soir,‎ (lire en ligne).
  • ValĂ©ry LaramĂ©e de Tannenberg, « Retour aux sources pour Westinghouse », Journal de l'environnement,‎ (lire en ligne).
  • Jean-Michel Bezat, « EPR, le rĂ©acteur maudit », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  • Corinne Scemama, « Chooz : silence, on dĂ©mantèle ! », L'Expansion,‎ (lire en ligne).
  • Audrey Garric, « Au cĹ“ur d'une centrale en dĂ©mantèlement », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  • Philippe Ricard, « SĂ»retĂ© nuclĂ©aire : tension entre Paris et Bruxelles », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  • AFP, « Grève sur le site nuclĂ©aire de Chooz », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  • Gabriel SimĂ©on, « Le nuclĂ©aire en casse tous risques », LibĂ©ration,‎ (lire en ligne).

Sources sur le web

Filmographie

Articles connexes

Liens externes


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