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Centrale nucléaire de Civaux

La centrale nuclĂ©aire de Civaux est un centre nuclĂ©aire de production d'Ă©lectricitĂ© (CNPE) situĂ© sur le territoire de la commune de Civaux (Vienne) au bord de la Vienne entre Confolens (55 km en amont) et Chauvigny (16 km en aval), Ă  34 km au sud-est de Poitiers.

Centrale nucléaire de Civaux
Centrale nucléaire de Civaux (2005)
Administration
Pays
RĂ©gion
DĂ©partement
Commune
Coordonnées
46° 27′ 24″ N, 0° 39′ 10″ E
Opérateur
Construction
de 1981 Ă  1999
Mise en service
Statut
en exploitation
Direction
Christophe Rieu
RĂ©acteurs
Fournisseurs
Type
RĂ©acteurs actifs
2 x 1495MWe nets
Puissance nominale
2 990 MWe nets
Production d’électricité
Production annuelle
22,24 TWh (2019)[1] - [2]
Facteur de charge
84,9 % (en 2019)
75,7 % (jusqu'en 2019)
Production moyenne
19,86 TWh (2015 Ă  2019)
Production totale
384,57 TWh (fin 2019)

Source froide
Site web
Carte

ImplantĂ©e au cĹ“ur du territoire, la centrale de Civaux participe activement au dĂ©veloppement du tissu Ă©conomique de la rĂ©gion. Chaque annĂ©e, entre les achats, les contributions fiscales et les dĂ©penses locales des salariĂ©s, la centrale de Civaux apporte environ 50 millions d'euros au territoire de la Vienne. Elle emploie 1 300 salariĂ©s d'EDF et d'entreprises partenaires permanentes. Suivant la quantitĂ© et la nature des travaux lors des arrĂŞts, le site peut accueillir entre 600 et 2 000 salariĂ©s d'entreprises extĂ©rieures en plus.

C'est la dernière centrale nucléaire française à avoir été mise en service (1997). Elle comprend deux réacteurs du palier N4.

De novembre 2021 à janvier 2023, la centrale est à l'arrêt complet en raison de réparations d'anomalies découvertes sur des tuyauteries à la jonction avec le circuit primaire. La tranche 1 a été redémarrée en janvier 2023, le redémarrage de la tranche 2 a été effective en avril 2023.

Présentation

La centrale de Civaux se compose de deux rĂ©acteurs nuclĂ©aires de la filière REP et prĂ©curseurs du projet de EPR, dĂ©signĂ©s comme « palier N4 », d'une puissance unitaire de 4 270 MWth, chacun dĂ©livrant 1 495 MWe sur le rĂ©seau. Elle utilise l'air ambiant et l'eau de la Vienne pour son refroidissement[3].
La centrale est Ă©quipĂ©e de deux tours aĂ©rorĂ©frigĂ©rantes d'une hauteur de 178 m[4] qui utilisent l'eau de la Vienne pour contribuer au refroidissement des installations. Leur hauteur est dĂ©terminĂ©e pour optimiser les Ă©changes de chaleur avec l'air ambiant, en fonction du dĂ©bit de la Vienne et de la puissance des rĂ©acteurs.

La centrale de Civaux produit environ 20 millions de mégawattheures par an, soit l'équivalent de 50% de la consommation d'électricité de la Nouvelle-Aquitaine. Civaux-1 a produit 11,6 TWh en 2019 : c'est le deuxième réacteur le plus productif durant cette année au monde après l'EPR de Taishan[5].

Caractéristiques des réacteurs

Les caractéristiques détaillées de chaque réacteur en service sont les suivantes :

Nom du réacteurModèleCapacité [MW]ExploitantConstructeurDébut constructionRaccordement au réseauMise en service commerciale 1re visite décennale 2e visite décennale
Thermique (MWt)brute (MWe)Nette (MWe)
Civaux-1[1] N4 REP 1450427015611495EDFFramatome15 octobre 198824 décembre 199729 janvier 2002 12 août 2011 au 03 décembre 2011 21 août 2021 au 01 février 2023
Civaux-2[2] N4 REP 1450427015611495EDFFramatome01 avril 199124 décembre 199923 avril 2002 17 février 2012 au 30 septembre 2012 19 novembre 2021 au 27 avril 2023


Dates clés

  • 1980 : DĂ©cision d'implanter une centrale nuclĂ©aire Ă  Civaux[6].
  • 1981 : CrĂ©ation de la Commission Locale d'Information (CLI).
  • 1984 : Signature du DĂ©cret d'UtilitĂ© Publique.
  • 1985 : Obtention du label « Grand chantier », label est dĂ©cernĂ© Ă  toute construction dĂ©clarĂ©e d'utilitĂ© publique qui nĂ©cessite des mesures d'accompagnement et d'accueil.
  • 1987 : Obtention du permis de construire.
  • 1988 : DĂ©but de la coulĂ©e des bĂ©tons de la tranche 1.
  • 1997 : Premier couplage au rĂ©seau de la tranche 1.
  • 1998 : de mai 1998 Ă  mars 1999, arrĂŞt de la tranche 1 pour rĂ©paration de fissures sur un coude de la tuyauterie du circuit de refroidissement Ă  l'arrĂŞt. Une rĂ©paration similaire est effectuĂ©e sur toutes les tranches du palier N4 (Chooz et Civaux).
  • 1999 : Premier couplage au rĂ©seau de la tranche 2.
  • 2001 : Premier arrĂŞt pour rechargement et visite complète de la tranche 1.
  • 2002 : Premier arrĂŞt pour rechargement et visite complète de la tranche 2.
  • 2003 : OSART (Operational Safety Assessment Review Team), mission d'Ă©valuation de la sĂ»retĂ© en exploitation.
  • 2004 : Certification ISO 14001.
  • 2005 : Première Ă©vacuation de combustible usĂ© vers la Hague.
  • 2006 : EntrĂ©e en tenue de travail standard en zone nuclĂ©aire.
  • 2007 : Certification OHSAS 18001 (dĂ©marche d’amĂ©lioration continue de la santĂ© et de la sĂ©curitĂ© du personnel).
  • 2009 : AccrĂ©ditation NF EN ISO 17025 pour le laboratoire d'environnement.
  • 2011 : Première visite dĂ©cennale du rĂ©acteur no 1[7].
  • 2012 : Première visite dĂ©cennale du rĂ©acteur no 2[7]
  • 2014 : Demande de renouvellement et d'extension de l'accrĂ©ditation ISO 17025 dans le laboratoire d’environnement.
  • 2021 : ArrĂŞt du rĂ©acteur n°1 pour une visite dĂ©cennale d'une durĂ©e de 140 jours[8]
  • 2021 : Prolongation de l'arrĂŞt du rĂ©acteur n°1 le après la dĂ©tection d'une anomalie (fissures de corrosion sous contrainte) sur le système d’injection de sĂ©curitĂ© (RIS) du circuit primaire[9] - [10]. Plus aucune Ă©lectricitĂ© n'est produite depuis[11].
  • 2022 : Les deux rĂ©acteurs n°1 et n°2 sont arrĂŞtĂ©s jusqu'Ă  la fin de l'annĂ©e en raison des rĂ©parations Ă  effectuer sur le circuit d'injection de secours (RIS) affectĂ© par des fissures de corrosion sous contrainte[12].
  • 2023 : Remise en route du rĂ©acteur n°1 après traitement de l'anomalie corrosion sous contrainte.

Fonctionnement

Schéma d'une centrale nucléaire à eau pressurisée

Dans chacun des deux réacteurs nucléaires à eau pressurisée de Civaux, la fission des noyaux d’uranium produit de la chaleur transmise aux quatre générateurs de vapeur par le biais d'un fluide caloporteur : de l'eau pressurisée. Les générateurs de vapeurs sont des échangeurs eau/vapeur, génèrant de la vapeur d'eau pour faire tourner la turbine, qui elle-même entraîne l'alternateur qui produit l'électricité[13]. La vapeur d'eau issue de la turbine est condensée puis renvoyée vers les générateurs de vapeur.

Pour éviter toute contamination radioactive vers l’extérieur de la centrale, il existe trois barrières :

Le cœur de chaque réacteur, où se produit la réaction en chaîne, contient 205 assemblages combustibles. Chaque assemblage contient 264 crayons combustibles contenant les pastilles d'uranium produites par la Franco-Belge de Fabrication du Combustible. Tous les 15 mois environ, chacune unité est mise à l'arrêt pour réaliser des opérations de maintenance, retirer le tiers le plus usé des assemblages combustibles et le remplacer par un neuf. Après 4 à 5 ans d’entreposage dans l'eau, le combustible usé est envoyé vers l'Usine de retraitement de la Hague où il refroidit encore 5 à 10 ans avant d’être traité.

RĂ©glementation de l'utilisation de l'eau

Les exploitants de la centrale de Civaux sont particulièrement vigilants Ă  l'utilisation de la rivière Vienne. La Vienne prĂ©sente un dĂ©bit capricieux, faible l'Ă©tĂ©, pouvant gĂ©nĂ©rer des crues l'hiver. La centrale de Civaux utilise la Vienne pour refroidir ses installations et pour effectuer des rejets. Le dĂ©bit de la Vienne, comme celui de tous les cours d'eau français est soumis Ă  un SAGE (SchĂ©ma d'AmĂ©nagement et de Gestion des Eaux) ; placĂ© sous la responsabilitĂ© du PrĂ©fet, celui-ci impose un dĂ©bit minimum de 13 m3/s en amont de la centrale (Ă  Lussac-les-Châteaux), dĂ©bit qui permet une utilisation de l'eau pour tous les utilisateurs : agriculteurs, rejets d'eaux usĂ©es, prĂ©lèvements d'eau potable, pĂŞcheurs... Il est important de souligner que lors des annĂ©es de forte tempĂ©rature ou sĂ©cheresse (2003 - 2004 - 2011) grâce aux barrages situĂ©s en amont d'avril Ă  octobre, la Vienne a conservĂ© un dĂ©bit supĂ©rieur de 13 m3/s Ă  la satisfaction de tous les utilisateurs. De plus, la centrale est soumise Ă  un arrĂŞtĂ© de rejet[14] prĂ©cisant entre autres les seuils maximum de tempĂ©rature des rejets de la centrale. Quand la tempĂ©rature de la Vienne en amont est infĂ©rieure Ă  25 °C, la centrale ne doit pas contribuer Ă  Ă©chauffer de plus de 2 °C entre l'amont et l'aval. Lorsque la tempĂ©rature de la Vienne est supĂ©rieure Ă  25 °C, la centrale ne doit pas Ă©chauffer la Vienne. C'est pour cela qu'elle est Ă©quipĂ©e d'un système de refroidissement additionnel. Ainsi, lors des pĂ©riodes très chaudes, lorsque la Vienne monte naturellement Ă  des tempĂ©ratures Ă©levĂ©es, la centrale contribue Ă  son refroidissement.

Risques liés au réchauffement climatique

Selon une étude publiée par la revue scientifique Nature, dans les années 2040, la production pourrait perdre en moyenne 6 % l’été par rapport à la période de référence (1971-2000)[15]. Cette perte moyenne de 6 % pourrait masquer des accidents plus prononcés. Et elle pourrait représenter une baisse de puissance, pour les deux réacteurs de Civaux, d’environ 300 mégawatts, soit la consommation de plusieurs dizaines de milliers de personnes[16].

L'étude mentionne aussi des risques pour la faune et la flore de la Vienne en raison du réchauffement de l'eau par la centrale nucléaire[17].

Sûreté et environnement

Vue aérienne


La sûreté des centrales nucléaire est garantie par la prise en compte permanente du risque d'accident. La centrale Civaux est encadrée par une réglementation très stricte destinée à protéger, en toutes circonstances, l'homme et son environnement. C'est pourquoi, une vingtaine d'inspections de l'ASN, programmées ou inopinées, ont lieu tous les ans. Plusieurs milliers de mesures sont réalisées 7j/7 : la tournée environnement.

Incidents

1998 : Fissures sur le circuit de refroidissement du réacteur à l'arrêt

Le 12 mai 1998, alors que l'unitĂ© Ă©tait Ă  l'arrĂŞt, une fuite d'eau - estimĂ©e Ă  30 m3/h - s'est produite en raison d'une fissure sur un coude de la tuyauterie du circuit de refroidissement Ă  l'arrĂŞt du rĂ©acteur no1. Après avoir isolĂ© la voie accidentĂ©e, le refroidissement du rĂ©acteur Ă  l'arrĂŞt a Ă©tĂ© assurĂ© par la seconde voie. Les procĂ©dures ont Ă©tĂ© appliquĂ©es et la fuite a Ă©tĂ© stoppĂ©e quelques heures plus tard[18]. Les 230 m3 d'eau faiblement radioactive Ă©chappĂ©s ont Ă©tĂ©, selon le directeur de la sĂ»retĂ© nuclĂ©aire (DSIN), entièrement rĂ©cupĂ©rĂ©s dans le puisard du rĂ©acteur.

Les expertises ont montré que les fissures étaient provoquées par un mauvais mélange des eaux chaudes et froides à l'intérieur du circuit. À l'époque de l'incident, un défaut de qualité des tubes avait aussi été évoqué[19].

Salle des machines.

À la suite de cet incident, EDF a déchargé les quatre réacteurs du « palier N4 », c'est-à-dire l'autre réacteur de Civaux et les deux réacteurs de la centrale nucléaire de Chooz qui étaient tous porteurs du même défaut. L'Autorité de sûreté nucléaire autorisera ces réacteurs à redémarrer plus de 10 mois après l'incident[20] - [21]. Cet incident a été classé au niveau 2 de l'échelle INES qui en compte huit (de 0 à 7).

2001 : Défaut d'étanchéïté de l'enceinte de confinement

En juin 2001, à la suite du premier test de mise en pression, l'ASN publie un avis d'incident, classé au niveau 1 de l'échelle internationale des événements nucléaires (INES), sur un "défaut d'étanchéité de l'enceinte". Le béton des enceintes, autant interne qu'externe, s'avère être fissuré[22] - [23].

2007 : Dépassement d'activité à la cheminée

En 2007, lors du déchargement du combustible du réacteur n°1, un dépassement d’activité avait été constaté à la cheminée à cause du dégazage d'assemblages fuitards. Plusieurs crayons d'assemblage combustible identifiés comme fuitards subissent alors des investigations afin d’identifier l’origine de leurs défauts[24].

2012 : Présence de tritium sous la centrale

Le 13 janvier 2012, l'analyse d'un prélèvement réalisé dans un puits de contrôle de la qualité des eaux souterraines avait révélé la présence de tritium dans les eaux souterraines situées sous la centrale nucléaire de Civaux, à une concentration de 540 becquerels/litre (Bq/L) contre une valeur de 8 Bq/l attendue. L'Autorité de sûreté nucléaire a publié un rapport sur cet événement classé au niveau 1 de l'échelle internationale des événements nucléaires INES[25]. Les investigations menées sur les installations ont montré que cette radioactivité, de l'ordre d'un vingtième de la limite autorisée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour l'eau potable, a pour origine un écoulement d'eau provenant des réservoirs d'effluents situés au-dessus du puits de contrôle. L'eau de cette nappe souterraine, qui communique avec la Vienne, n'est utilisée ni pour l'eau potable ni pour les besoins agricoles. Deux défaillances sont à l'origine de cet écoulement : un robinet défectueux et un bassin de rétention non étanche[25]. Des travaux ont été engagés rapidement, sur les réservoirs de stockage comme sur le dispositif de rétention qui se situe en dessous. Une réfection totale du revêtement a été réalisée.

Les effluents liquides inhérents à la production d'électricité, à l'instar du tritium, sont collectés, contrôlés et rejetés dans la Vienne conformément aux critères et seuils définis dans des prescriptions de l'Autorité de sûreté nucléaire réglementant les prélèvements d'eau et les rejets d'effluents[26].

2015/2018 : Défaut de résistance au séisme de tableaux d’alimentation électrique

L'ASN signale en 2018, une fois les réparations effectuées, un défaut de résistance au séisme de tableaux d’alimentation électrique des réacteurs de Civaux 1 et 2 et de Chooz 1, défaut détecté par EDF dès 2015 et 2016. Cette anomalie est classée au niveau 1 de l'échelle INES pour les réacteurs de Civaux et au niveau zéro de la même échelle pour celui de Chooz[27] - [28].

2021 : Fissures sur le circuit d'injection de sécurité

En 2021, lors de la visite décennale du réacteur n°1 démarrée en août, EDF détecte des fissures de corrosion sous contrainte sur le système d’injection de sécurité (RIS) du circuit primaire. Le réacteur n°2 est mis à l'arrêt le 20 novembre pour effectuer des contrôles qui révélent le même défaut[9] - [10]. Après réparations, la tranche 1 est reconnectée au réseau le ; le redémarrage de la tranche 2 est prévu pour mi-février 2023[29].

2022 : Fuite radioactive dans l'enceinte du réacteur n°1

Une fuite a Ă©tĂ© dĂ©tectĂ©e le lors de l'Ă©preuve hydraulique dĂ©cennale du circuit primaire. Un dispositif d’épreuve a cĂ©dĂ©, entrainant une fuite de 80 m3 d'eau faiblement radioactive dans le local d’instrumentation du cĹ“ur situĂ© sous le rĂ©acteur dans l'enceinte de confinement. L'arrĂŞt de la fuite a nĂ©cessitĂ© l'intervention d'un robot. La date de redĂ©marrage est maintenue au , dans l'attente de l'Ă©valuation de l'impact de cet alĂ©a sur la durĂ©e de l'arrĂŞt pour maintenance[30] - [31].

Notes et références

  1. (en) « IAEA - Power Reactor Information System - CIVAUX-1 », sur pris.iaea.org (consulté le ).
  2. (en) « IAEA - Power Reactor Information System - CIVAUX-2 », sur pris.iaea.org (consulté le ).
  3. ASN, « La centrale de Civaux » (consulté le )
  4. [PDF] Document Afsset, 10 octobre 2007
  5. « Reactor Database », sur world-nuclear.org (consulté le )
  6. [PDF]La centrale nucléaire de Civaux, bilan 2012 EDF, février 2013
  7. Le petit économiste - 18/07/2011 : La visite décennale de la centrale nucléaire de Civaux, un rendez-vous majeur
  8. « Le réacteur n°1 de la centrale nucléaire de Civaux est à l'arrêt pour une visite décennale », sur Le Populaire,
  9. Autorité de sûreté nucléaire (ASN), « Phénomène de corrosion sous contrainte détecté sur le circuit d’injection de sécurité du réacteur 1 de la centrale de Civaux – Arrêt des réacteurs de 1 450 MWe pour réalisation de contrôles », sur asn.fr, (consulté le )
  10. IRSN, « Note d'information : Détection de fissures sur des tuyauteries du système d’injection de sécurité des réacteurs n° 1 et n° 2 de la centrale nucléaire de Civaux », sur irsn.fr, (consulté le )
  11. « La centrale nucléaire de Civaux en arrêt total jusqu'au 17 décembre », sur La Nouvelle République,
  12. « L'arrêt des réacteurs de la centrale nucléaire de Civaux encore prolongé ! », sur France 3,
  13. Au cœur du réacteur d'une centrale nucléaire - La Nouvelle République, 16 septembre 2014
  14. Arrêté de rejet, commune de Civaux legifrance.gouv.fr, 23 juin 2009
  15. (en) Nature (revue) - 3 juin 2012 : Vulnerability of US and European electricity supply to climate change
  16. Le Figaro - 8/06/2012 : Le réchauffement menace les centrales nucléaires
  17. La Nouvelle République - 10/06/2012 : Le réchauffement climatique menace la centrale de Civaux
  18. Revue de presse par Stop Civaux
  19. http://www.dissident-media.org/infonucleaire/incident_civeaux_stop.html
  20. Redémarrage du réacteur 1 de la centrale de Chooz B - Communiqué de l'ASN du 19 mars 1999
  21. Autorisation de chargement en combustible du réacteur no2 de la centrale de Civaux - Communiqué de l'ASN du 27 juillet 1999
  22. « Réacteur 1 Défaut d'étanchéité de l'enceinte », sur asn.fr (consulté le ).
  23. « [titre manquant] », sur La Nouvelle République du Centre-Ouest (consulté le ).
  24. https://www.asn.fr/content/download/72653/478621/version/1/file/INS-2009-EDFCIV-0005.pdf
  25. La Nouvelle RĂ©publique - 24/01/2012 : Un rapport accablant pour la centrale de Civaux
  26. Les principaux rejets sont consultables chaque mois sur le site internet http://civaux.edf.com
  27. Hervé Liffran, « Le gendarme de l'atome a perdu sa langue », Le Canard enchaîné,‎ , p. 4
  28. Résistance au séisme de tableaux d’alimentation électrique des centrales nucléaires, ASN, 19 février 2018
  29. Centrale nucléaire : Arrêté depuis août 2021, le réacteur n°1 de Civaux reconnecté au réseau, AFP et 20minutes, 26 janvier 2023
  30. Centrale nucléaire de Civaux : la fuite a été résorbée, lepoint afp, 11 novembre 2022
  31. « Le redémarrage d’un réacteur de Civaux menacé par une fuite », sur Le Figaro,

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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