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Centrale nucléaire de Taishan

La centrale nuclĂ©aire de Taishan (chinois simplifiĂ© : ć°ć±±æ žç””ç«™ ; pinyin : TĂĄishān HĂ©diĂ nzhĂ n) est une centrale nuclĂ©aire chinoise situĂ©e dans le district de Taishan (canton de Chixi 蔀 æșȘ镇), sur la cĂŽte de la mer de Chine mĂ©ridionale, Ă  50 km au sud de la ville de Taicheng, Ă  120 km au sud-ouest de Hong Kong et Ă  150 km au sud de Canton, dans le Guangdong, la province la plus peuplĂ©e de la RĂ©publique populaire de Chine.

Centrale nucléaire de Taishan
Administration
Pays
Province
Ville-préfecture
Ville-district
Coordonnées
21° 55â€Č 04″ N, 112° 58â€Č 55″ E
Propriétaires
China General Nuclear Power Group (51 %), ÉlectricitĂ© de France (30 %), Guangdong Energy Group (d) (19 %)
Construction
18 novembre 2009
Mise en service
Statut
en service
RĂ©acteurs
Type
Puissance nominale
2 Ă— 1 750 MW bruts (2 Ă— 1 660 MW nets)

Localisation sur la carte de Chine
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Caractéristique des réacteurs

D'aprÚs la société Framatome qui a conçu les deux réacteurs EPR de Taishan, les caractéristiques de ces réacteurs sont[1] :

  • Combustible : dioxyde d’uranium (UO2)
  • Niveau moyen d’enrichissement du combustible : 3 Ă  5 % U-235
  • 63 865 crayons de combustible
  • 32 tonnes de combustible consommĂ©es par an
  • Rendement global : 37 %
  • BĂątiment rĂ©acteur : 63 mĂštres de hauteur
  • BĂątiment combustible : 34 mĂštres de hauteur
  • Vapeur Ă  une tempĂ©rature moyenne de 295 °C
  • Vitesse de la turbine : 1 500 tr/min
Nom du réacteur Capacité [MW] Début constr. 1re réaction en chaßne ou « divergence » Raccord. au réseau Mise en service comm.
Thermique (MWth) Brute (MWe) Nette (MWe)
Taishan-1[2] 4 590 1 750 1 660
Taishan-2[2] 4 590 1 750 1 660

Parmi les fournisseurs des principaux Ă©quipements, on compte :

  • UnitĂ© Taishan-1 :
    • Mitsubishi Heavy Industries (Japon) pour la cuve du rĂ©acteur ;
    • Framatome Chalon-sur-SaĂŽne/Saint-Marcel (France) pour les gĂ©nĂ©rateurs de vapeur et le pressuriseur ;
    • Framatome Creusot Forge et Nordon (France) pour les drains primaires ;
    • Framatome Jeumont Solutions for Pumps and Mechanisms (JSPM) pour les pompes primaires et le mĂ©canisme commandes de grappes ;
    • Dongfang Electric Corporation ltd (Chine) pour le support des Ă©quipements lourds.
  • UnitĂ© Taishan-2 :
    • Dongfang Electric Corporation ltd (Chine) pour la cuve du rĂ©acteur et deux gĂ©nĂ©rateurs de vapeur ;
    • Shanghai Electrical Corporation (Chine) pour les deux autres gĂ©nĂ©rateurs de vapeur ;
    • Framatome Creusot Forge et Nordon (France) pour les drains primaires ;
    • Nordon pour le mĂ©canisme commande de grappes ;
    • Dongfang Electric Corporation ltd (Chine) pour le support des Ă©quipements lourds.
  • ContrĂŽle commande :
  • GĂ©nie civil :
    • China General Nuclear Power Corporation avec le consortium Dongfang-Alstom pour la turbine (Ăźlot classique) ;
    • Taishan Nuclear Power Joint Venture Company Limited pour les travaux de montage de l’ülot nuclĂ©aire.

Histoire

Projet

Le contrat de construction de deux rĂ©acteurs nuclĂ©aires de type EPR (abrĂ©gĂ© CEPR, qui signifie Chinese Evolutionary Power Reactor en Chine[3]) a Ă©tĂ© signĂ© entre CGNPC et Areva en [4]. Ce projet est dirigĂ© par Taishan Nuclear Power Joint Venture Company Limited (TNPJVC), une coentreprise qui est dĂ©tenue Ă  51 % par China General Nuclear Power Corporation (CGNPC), 19 % par Guangdong YUDEAN Group Co., Ltd. (YUDEAN) et Ă  30 % par ÉlectricitĂ© de France (EDF)[5]. Le coĂ»t global initial du projet est d'environ huit milliards d'euros.

Six unitĂ©s de production de type CPR1000 devaient initialement ĂȘtre construites sur le site de Taishan. À la suite de la signature du contrat EPR avec Areva, elles ont Ă©tĂ© dĂ©localisĂ©es sur le site de Yangjiang[6].

Les deux premiers EPR, mis en service en 2018 et 2019, constituent la phase 1 du projet Taishan, dont le site est prévu pour accueillir au total six unités de production dont deux autres REP[7] - [8].

La CGNPC a conclu un contrat avec Areva pour produire le combustible nucléaire de ces réacteurs en Chine. La Chine s'engage donc à acheter 35 % de la production d'Uramin[9].

Construction

Le creusement des fondations a dĂ©marrĂ© fin . Les deux rĂ©acteurs EPR, d'une puissance de 1 660 MWe net chacun, sont en construction respectivement depuis et . La construction de chaque rĂ©acteur Ă©tait prĂ©vue pour durer 52 mois[10] (environ 4,5 ans), soit un dĂ©lai nettement plus rapide et moins coĂ»teux que les deux EPR en construction en Finlande Ă  Olkiluoto et en France Ă  Flamanville.

L'exploitation commerciale initialement annoncĂ©e pour 2013[11] Ă©tait prĂ©vue en 2016[12], avec une construction terminĂ©e pour fin 2015[13]. Mais, Ă  la suite de malfaçons dĂ©tectĂ©es en sur l'acier de la cuve des rĂ©acteurs EPR, forgĂ© par Areva, le ministĂšre chinois de l’Environnement a dĂ©clarĂ© qu’il attendrait que tous les doutes soient levĂ©s sur la sĂ»retĂ© avant de charger les rĂ©acteurs EPR en combustible[14].

En , aprÚs 88 mois de construction, CGNPC a annoncé un report de la mise en route au second semestre 2017 pour le premier réacteur et au premier semestre 2018 pour le second réacteur[15].

En , la qualitĂ© de l'acier des couvercles et fonds de cuve de l'EPR de Taishan fait l'objet des mĂȘmes interrogations que pour le rĂ©acteur de Flamanville (concentrations de carbone anormales), car elles ont aussi Ă©tĂ© forgĂ©es Ă  l'usine Areva du Creusot[16]. En , le chantier connaĂźt un nouvel incident de fabrication dĂ©tectĂ© sur la soudure d’un Ă©lĂ©ment de soutien non porteur du dĂ©gazeur du circuit secondaire[17].

En , Emmanuel Macron et Xi Jinping inaugurent une plaque commémorative pour marquer la finalisation du projet[18].

En , la tranche 1 de Taishan reçoit du ministùre chinois de l'Écologie et de l'Environnement l’autorisation de chargement du combustible[19].

Mise en service

Le , Taishan 1 est le premier rĂ©acteur EPR au monde Ă  diverger[20], puis le Ă  17h59 (heure locale), il est le premier Ă  ĂȘtre couplĂ© au rĂ©seau et donc Ă  produire de l'Ă©lectricitĂ©[21] - [19]. EDF et CGN annoncent le sa mise en service commercial[22].

Le deuxiÚme réacteur de la centrale de Taishan diverge pour la premiÚre fois le [23]. Sa mise en service commercial est déclarée le [24].

La puissance de ces rĂ©acteurs (1 750 MWe bruts, 1 660 MWe nets chacun) leur permet de fournir au rĂ©seau Ă©lectrique chinois jusqu'Ă  24 TWh d'Ă©lectricitĂ© par an, soit l'Ă©quivalent de la consommation annuelle de 5 millions de Chinois. Taishan-2 a produit 12,45 TWh en 2020[25], ce qui en fait le rĂ©acteur nuclĂ©aire le plus productif au monde.

Incident du 14 juin 2021

Le , selon CNN, une note de Framatome adressĂ©e au dĂ©partement de l'Énergie des États-Unis pour une demande d’assistance technique, fait part d'une fuite qui pourrait mettre en danger la population locale[26]. Les gaines en zircaloy de plusieurs crayons de combustible du rĂ©acteur no 1 fuient et laissent s'Ă©chapper dans le circuit primaire du rĂ©acteur des gaz rares, dont du krypton et du xĂ©non radioactifs[27].

Selon la directrice générale adjointe de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), « D'aprÚs les informations communiquées par EDF, nous ne sommes pas dans une situation accidentelle : les gaz radioactifs identifiés dans l'eau du circuit primaire restent confinés dans ce circuit ou sont extraits et stockés dans des réservoirs prévus à cet effet. Ce seul phénomÚne ne peut pas conduire à des rejets dans l'environnement ». Elle ajoute que « la détection de gaz rares radioactifs dans le circuit primaire d'un réacteur nucléaire est un événement assez rare mais qui peut survenir. On a déjà eu de tels événements dans nos centrales françaises »[28] - [29].

EDF a demandé la tenue d'un conseil d'administration extraordinaire de la coentreprise TNPJVC (Taishan Nuclear Power Joint Venture Company Limited) pour prendre connaissance des données de terrain afin de pouvoir prendre les bonnes décisions[30].

Le 16 juin, « dans un communiquĂ© commun, le ministĂšre chinois de l'Environnement et l'AutoritĂ© de sĂ»retĂ© du nuclĂ©aire ont reconnu la hausse de la radioactivitĂ© Ă  l'intĂ©rieur du rĂ©acteur numĂ©ro 1 de la centrale de Taishan. Toutefois, ils ont dĂ©menti la prĂ©sence d'une « fuite » radioactive et le relĂšvement du plafond de radiations autorisĂ©es Ă  proximitĂ© de la centrale. Ces informations sont « erronĂ©es », ont soulignĂ© les autoritĂ©s chinoises, affirmant qu'« il n'y a pas de fuite radioactive dans l'environnement ». ». Il prĂ©cise qu'« environ cinq barres de combustibles sont endommagĂ©es », sur un total de 60 000 prĂ©sentes dans le rĂ©acteur, soit moins de 0,01 % du total, alors qu'en Chine, la limite rĂ©glementaire est fixĂ©e Ă  0,25 %. Selon les autoritĂ©s chinoises, l'augmentation de la radioactivitĂ© dans la centrale se situe « dans la fourchette rĂ©glementaire »[31].

La radioactivitĂ© relĂąchĂ©e par les crayons fuitards a fait monter la radioactivitĂ© Ă  plus de 300 GBq/t d’eau dans le circuit primaire du rĂ©acteur no 1 de Taishan. En France, dans les annĂ©es 1970, la valeur de 500 GBq/t pouvait ĂȘtre atteinte, mais, depuis, la conception des crayons combustibles a Ă©tĂ© amĂ©liorĂ©e, et, depuis 2009, les rĂ©acteurs français sont arrĂȘtĂ©s dĂšs que le seuil de 150 GBq/t est atteint[32] - [29] - [33]. En Chine, ce seuil est de 324 GBq/t[34].

Le 22 juillet 2021, EDF publie un communiquĂ© mettant en garde son partenaire chinois TNPJVC qui exploite la centrale : « Au regard des analyses effectuĂ©es, les procĂ©dures d'EDF en matiĂšre d'exploitation du parc nuclĂ©aire français conduiraient EDF, en France, Ă  mettre le rĂ©acteur Ă  l'arrĂȘt »[35]. Fin juillet, « aprĂšs une discussion substantielle entre le personnel technique chinois et français », l’exploitant chinois TNPJVC (70 % CGN, 30 % EDF), dĂ©cide de mettre le rĂ©acteur Ă  l’arrĂȘt pour identifier et remplacer les Ă©lĂ©ments combustibles dĂ©fectueux[36]. Cette dĂ©cision est essentielle pour EDF qui est le fournisseur du combustible via sa filiale Framatome[37].

Fin novembre 2021, la CRIIRAD annonce que, selon une source prĂ©sentĂ©e comme Ă©tant un lanceur d'alerte français travaillant dans l'industrie nuclĂ©aire, « les "dĂ©gradations constatĂ©es sur les assemblages de combustible nuclĂ©aire [...] sont dues principalement Ă  des vibrations anormales" de ces assemblages et que celles-ci "seraient liĂ©es Ă  un dĂ©faut de la conception de la cuve de la filiĂšre EPR". », « des "rĂ©sultats des essais sur maquette 0.2" chez l'Ă©quipementier nuclĂ©aire Framatome au Creusot (France), dĂšs 2007-2008, auraient rĂ©vĂ©lĂ© ces insuffisances sur l'hydraulique de la cuve. »[38]. Elle a interrogĂ© EDF par courrier (22 fĂ©vrier 2022) et a estimĂ© que la rĂ©ponse d'EDF (21 mars 2022)[39] Ă©taient insatisfaisantes. Selon EDF (mars 2022), les inĂ©tanchĂ©itĂ©s de crayons d’assemblages combustible constatĂ©es sur Taishan 1 sont dues Ă  « une dĂ©gradation de la gaine de quelques crayons par un phĂ©nomĂšne d’usure mĂ©canique, localisĂ©e en partie basse des crayons. Cette usure mĂ©canique est consĂ©cutive Ă  la rupture de petits dispositifs de maintien des crayons dans les assemblages. Il s'agit d'un phĂ©nomĂšne localisĂ©, qui ne concerne qu'un nombre limitĂ© d'assemblages »[39].

Finalement, le rĂ©acteur Taishan 1 redĂ©marre sa production Ă©lectrique le 15 aout 2022 aprĂšs un avis favorable de l'AutoritĂ© de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire chinoise. À la suite de cet incident, Framatome modifie la conception de ses assemblages en pĂ©riphĂ©rie du cƓur dans l'objectif d'Ă©viter une rĂ©currence du phĂ©nomĂšne sur l'EPR de Flamanville[40].

Coût et comparaison avec l'EPR de Flamanville

Le rapport de Jean-Martin Folz sur le chantier de Flamanville Ă©tudie aussi le dĂ©roulement du chantier des deux EPR de Taishan en Chine : ces rĂ©acteurs ont Ă©tĂ© construits en 110 et 113 mois, soit un dĂ©passement de 5 ans du dĂ©lai initialement annoncĂ©, pour un coĂ»t d’environ 95 milliards de RMB (12,2 milliards d'euros), soit 60% de plus que le budget prĂ©vu, mais moitiĂ© moins cher (par rĂ©acteur) que le coĂ»t de l'EPR de Flamanville ; ces chantiers dĂ©marrĂ©s quatre ans aprĂšs celui d'Olkiluoto et deux ans aprĂšs celui de Flamanville ont bĂ©nĂ©ficiĂ© du retour d'expĂ©rience de ces deux tĂȘtes de sĂ©rie ; « la construction simultanĂ©e de deux tranches sur le mĂȘme site a Ă©tĂ© un vĂ©ritable atout » et surtout « la construction de centrales nuclĂ©aires se poursuit rĂ©guliĂšrement en Chine depuis une vingtaine d’annĂ©es, si bien que le rĂ©servoir de compĂ©tences disponibles, et en particulier de soudeurs qualifiĂ©s, a non seulement Ă©tĂ© maintenu au fil des annĂ©es, mais il a Ă©tĂ© en rĂ©alitĂ© continĂ»ment dĂ©veloppĂ© »[41].

Impacts environnementaux

Selon l'Ă©tude d'impact d'Areva, « les travaux touchant la mer pourraient affecter une rĂ©serve protĂ©gĂ©e de dauphins blancs, et des mesures de rĂ©duction sont en cours d’étude », mais « les effluents n’auraient pas d’impact remarquable sur les organismes de l’ocĂ©an dans la mer environnante »[42].

La production de ces deux premiers rĂ©acteurs EPR va Ă©viter, chaque annĂ©e, la libĂ©ration de 21 millions de tonnes de CO2 dans l’atmosphĂšre[43] - [44].

Sécurité et sûreté

Le site se trouve au bord de la mer de Chine sur un terrain sujet aux secousses telluriques auxquelles le réacteur EPR est conçu pour résister[45] - [46]. Le super typhon Mangkhut a frappé la centrale en septembre 2018 sans dégùts signalés[47] - [48].

En 2014, StĂ©phane Pailler, directeur des relations internationales Ă  l’AutoritĂ© de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire française (ASN) indique qu'il « n’est pas toujours facile de savoir ce qui se passe sur le site de Taishan »[49]. Selon Philippe Jamet, commissaire de l’ASN : « nous sommes trĂšs dĂ©sireux de collaborer avec l’autoritĂ© de sĂ»retĂ© chinoise, qui ne rĂ©pond pour l’instant ni Ă  nos attentes ni Ă  nos espoirs, une des raisons expliquant la difficultĂ© de nos relations Ă©tant que l’autoritĂ© chinoise manque de moyens et qu’elle ne sait plus oĂč donner de la tĂȘte. Nous ferons nĂ©anmoins tout notre possible pour bĂ©nĂ©ficier du retour d’expĂ©rience des Chinois. EDF, de son cĂŽtĂ©, affirme avoir de meilleures relations avec les constructeurs chinois. »[50]. Ces constats ont Ă©tĂ© notamment repris par l’agence amĂ©ricaine Bloomberg[51]. Le PrĂ©sident du think tank hongkongais Professional Commons Albert Lai affirme que « Le fonctionnement de l'autoritĂ© de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire chinoise est une totale boĂźte noire. »[52].

En 2019, le prĂ©sident de l’ASN prĂ©cise nĂ©anmoins que le niveau d’exigence retenu et atteint pour les centrales de Taishan et d’Olkiluoto est comparable Ă  celui de l’EPR de Flamanville[53].

Références

  1. Taishan 1 & 2, Framatome.
  2. « Framatome - Grands projets - Taishan 1 et 2 », sur www.framatome.com (consulté le ).
  3. (en) « Taishan Nuclear Power Joint Venture Co. - Profile », sur web.archive.org, (consulté le ).
  4. « Chine : AREVA et CGNPC signent le plus grand contrat de l’histoire nuclĂ©aire civile et s’engagent sur le long terme. AREVA et CNNC renforcent leurs liens. », sur sa.areva.com, (consultĂ© le ).
  5. « Nucléaire: le premier réacteur EPR au monde a démarré en Chine », sur Le Point, (consulté le ).
  6. (en) World nuclear association, « Nuclear Power in China », sur web.archive.org, (consulté le ).
  7. « La Chine met en service le premier réacteur EPR au monde », sur Les Echos, (consulté le ).
  8. (en) « Taishan nuclear power plant to be one of world's largest - People's Daily Online », sur en.people.cn, (consulté le ).
  9. (en) « Nuclear Power in China », sur web.archive.org, (consulté le ).
  10. « En Chine, le chantier de l'EPR avance plus vite que ceux de Flamanville et d'Olkiluoto », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  11. (en-GB) « Finland's Olkiluoto 3 nuclear plant delayed again » [« La centrale nuclĂ©aire finlandaise d'Olkiluoto 3 Ă  nouveau retardĂ©e »], BBC News,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  12. (en) World nuclear association, « Nuclear Power in China » [« L'énergie nucléaire en Chine »], sur world-nuclear.org, (consulté le ).
  13. « EDF-Un des deux EPR de Taishan (Chine) achevĂ© d'ici fin 2015 », sur Investir, (consultĂ© le ) : « Ce sera "en principe Ă  la fin de cette annĂ©e" pour Taishan 1 et "trois-quatre mois plus tard" pour Taishan 2, a dĂ©clarĂ© HervĂ© Machenaud, directeur de la branche Asie-Pacifique d'EDF, Ă  l'occasion de la visite Ă  PĂ©kin du Premier ministre français Manuel Valls. »
  14. Pauline Chateau, « L'EPR est-il condamné aprÚs les nouveaux déboires de Flamanville? », sur lexpress.fr, L'Express, (consulté le ).
  15. (en) « China delays nuclear reactor start again », Mail Online,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  16. Reporterre, « Les EPR chinois confrontés aux défauts français », sur Reporterre, le quotidien de l'écologie, (consulté le )
  17. Par G. Z. Le 13 dĂ©cembre 2017 Ă  08h41, « NuclĂ©aire : un Ă©quipement « dĂ©fectueux » sur l’EPR chinois », sur leparisien.fr, (consultĂ© le ).
  18. « Xi et Macron célÚbrent des progrÚs conjoints », sur french.china.org.cn, (consulté le )
  19. « Taishan 1, premier EPR au monde connecté au réseau », sur EDF France, (consulté le )
  20. Emmanuel Grasland, « La Chine dĂ©marre le premier rĂ©acteur EPR de la planĂšte », sur Les Échos, (consultĂ© le )
  21. François Schott, « EDF annonce le raccordement de l'EPR de Taishan au réseau », sur Investir, (consulté le )
  22. Jean-Claude Bourbon, « Taishan, l’EPR qui marche », sur La Croix, (consultĂ© le )
  23. (en) « PRIS - Reactor Details », sur base de données PRIS, AIEA (consulté le ).
  24. (en) « World's second EPR starts operations : New Nuclear - World Nuclear News », sur world-nuclear-news.org, (consulté le ).
  25. « Reactor Database - Taishan 2, China », sur World Nuclear Association (consulté le )
  26. (en) Zachary Cohen, « Exclusive: US assessing reported leak at Chinese nuclear power facility », sur CNN, (consulté le ).
  27. Guillaume Guichard, « Crainte de fuite radioactive dans la centrale EPR chinoise de Taishan », sur Le Figaro, (consulté le ).
  28. Sharon Wajsbrot, « NuclĂ©aire : « L'EPR de Taishan n'est pas dans une situation accidentelle » », sur Les Échos, (consultĂ© le )
  29. Autorité de Sûreté Nucléaire, « Comportement du combustible dans les réacteurs à eau sous pression », sur www.asn.fr, (consulté le )
  30. Jean-Michel Bezat et Perrine Mouterde, « EDF relativise l’incident survenu Ă  la centrale nuclĂ©aire de Taishan en Chine », Le Monde,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  31. Sharon Wajsbrot, « La Chine admet un incident mineur dans la centrale nuclĂ©aire de Taishan », sur Les Échos, (consultĂ© le )
  32. Juliette Raynal, « Fuite dans l'EPR chinois : quand Pompili calme les antinucléaires », sur La Tribune, (consulté le ).
  33. Erwan Benezet, « AprĂšs les fuites radioactives d’un rĂ©acteur EPR en Chine, EDF se veut rassurant », sur http://leparisien.fr, (consultĂ© le )
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  35. Pour EDF, un arrĂȘt du rĂ©acteur EPR de Taishan s'impose, Les Échos, 22 juillet 2021.
  36. EDF : un rĂ©acteur de la centrale nuclĂ©aire EPR de Taishan en Chine mis Ă  l’arrĂȘt, capital, 30 juillet 2021
  37. NuclĂ©aire : l'opĂ©rateur chinois CGN se rĂ©sout Ă  arrĂȘter l'EPR de Taishan, Les Échos, 30 juillet 2021.
  38. « NuclĂ©aire : l'accident Ă  la centrale EPR de Taishan serait dĂ» Ă  un dĂ©faut de conception », TV5 Monde,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
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