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Centrale nucléaire de Penly

La centrale nuclĂ©aire de Penly est situĂ©e dans la commune de Petit-Caux sur la cĂ´te de la Manche, entre Le TrĂ©port (situĂ© Ă  20 kilomètres au nord-est de la centrale) et Dieppe (situĂ© Ă  15 km au sud-ouest de la centrale), et Ă  70 kilomètres de Rouen, en Seine-Maritime. Le dĂ©but de la construction date de 1982 et 1984 (respectivement pour les tranches 1 et 2) par EDF, qui est autorisĂ©e Ă  l'exploiter depuis 1990 et 1992[4].

Centrale nucléaire de Penly
Administration
Pays
RĂ©gion
DĂ©partement
Commune
Coordonnées
49° 58′ 34″ N, 1° 12′ 43″ E
Opérateur
Construction

1982 (tranche 1)

1984 (tranche 2)
Mise en service

1990 (tranche 1)

1992 (tranche 2)
Statut
En service
Direction
Stéphane Rivas (au 1er septembre 2019)
RĂ©acteurs
Fournisseurs
Type
RĂ©acteurs actifs
2 Ă— 1 300 MW
Puissance nominale
2 600 MW
Production d’électricité
Production annuelle
16,66 TWh (2019)[1] - [2]
Facteur de charge
73,1% (en 2019)
83,3 % (jusqu'en 2019)[3]
Production moyenne
17,95 TWh (2015 Ă  2019)
Production totale
504,84 TWh (fin 2019)

Source froide
Site web
Carte

Caractéristiques du site

Le site de la centrale de Penly occupe une superficie de 230 ha dont 70 gagnés sur la mer, au bord de la Manche, où la centrale puise l'eau pour son refroidissement[5]. Le site avait été initialement préparé pour quatre unités de production, mais seuls deux emplacements sont utilisés[6] - [7].

L'impact du site nucléaire sur le paysage est limité, car les bâtiments sont à peine visibles lorsque l'on se rend vers la centrale.

GĂ©ologie

La centrale est construite au débouché de la valleuse de Penly[8]. Les bâtiments de la centrale sont construits au pied de falaises en craies d’âge turonien[9]. Selon EDF, la zone a été choisie pour ses caractéristiques géologiques favorables[5].

Caractéristiques des réacteurs

Le site est dotĂ© de deux rĂ©acteurs Ă  eau pressurisĂ©e de 1 330 MW chacun, appartenant au palier P'4, mis en service en 1990 et 1992[10]. Ils sont refroidis par l'eau de la Manche.

Penly emploie environ 750 salariés d'EDF et 170 salariés d'entreprises prestataires.

Les caractéristiques des réacteurs en service sont les suivantes :

Nom du réacteurModèleCapacité [MW]ExploitantConstructeurDébut constr.Raccord. au réseauMise en service comm.
Thermique (MWt)Brute (MWe)Nette (MWe)
Penly-1[1] P'4 REP 1 3003 8171 3821 330  EDFFramatomeseptembre 1982mai 1990dĂ©cembre 1990
Penly-2[2] P'4 REP 1 3003 8171 3821 330  EDFFramatomeaoĂ»t 1984fĂ©vrier 1992novembre 1992

Incidents

Clôture de la centrale, franchie par des militants de Greenpeace en décembre 2003, avant de monter sur le bâtiment réacteur et sur des cheminées de la centrale[11]
En bas de cette photo, on aperçoit les bâtiments et les digues du canal d'amenée de la centrale

Le , des rejets faiblement radioactifs ont été déversés en mer en raison d'une fuite au niveau d'un des réservoirs de collecte du circuit secondaire des réacteurs[12].

Le , un agent d’une entreprise prestataire a été contaminé au niveau du visage[13].

2012 : incendie et fuite d'eau du circuit primaire au réacteur no 2

Le , Ă  12 h 20, un incendie se produit sur le rĂ©acteur numĂ©ro 2 et conduit Ă  l'arrĂŞt automatique du rĂ©acteur[14] - [15] - [16]. Ă€ 13 h 15, soixante pompiers interviennent sur le site avec une dizaine de vĂ©hicules d'intervention et maĂ®trisent l'incendie[17] - [18]. Dans l'après-midi, une fuite d’eau est diagnostiquĂ©e au niveau du joint de l'une des quatre pompes de refroidissement du circuit primaire du rĂ©acteur no 2, probablement en lien avec l'incendie[19] - [20]. En rĂ©duisant la pression d’eau dans le circuit primaire, le dĂ©bit de la fuite passe de 2,3 m3/h en dĂ©but de soirĂ©e Ă  0,1 m3/h plus tard dans la soirĂ©e[21]. Vers 4 h 30, la situation est stabilisĂ©e[15] et EDF attend un refroidissement complet du rĂ©acteur avant d'intervenir[22].

Le , l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) réalise une inspection sur le site pour analyser les causes de l'incident[23]. Selon Jean-Christophe Niel, directeur général de l'ASN, une personne a été légèrement brûlée pendant l'intervention dans le bâtiment réacteur et aucune contamination radioactive n'a été décelée sur les 29 personnes qui sont entrées dans le bâtiment réacteur pour éteindre les départs de feu. Il a également indiqué que l'eau radioactive a été récupérée dans des bacs prévus à cet effet et que l'incident n'a eu aucun impact sur l'environnement[24] - [25].

L'Association pour le contrôle de la radioactivité dans l’Ouest (ACRO), un laboratoire indépendant en matière de contrôle nucléaire, a indiqué avoir effectué trois prélèvements d'air à deux kilomètres de la centrale pour vérifier l'absence de rejets radioactifs[26]. Selon l’ACRO[27], « aussitôt l'incident à la centrale de Penly connu, des préleveurs volontaires de l'ACRO ont effectué trois prélèvements d'herbe sous les vents dominants de la centrale. Les résultats d'analyse n'ont pas mis en évidence de contamination artificielle à deux kilomètres de la centrale. Nous regrettons que nos préleveurs n'aient pas eu le droit de prélever plus près. »

Lors de la rĂ©union plĂ©nière de la CLIN (commission locale d'information sur le nuclĂ©aire Paluel-Penly) du mercredi Ă  Saint-Martin-en-Campagne (près de Penly), Alban Verbecke, le directeur du site, dĂ©clare que 1 200 litres d'huile ont Ă©tĂ© rĂ©pandus au pied de la pompe primaire et que les flammes mesuraient de 15 Ă  50 centimètres de haut au plus fort du sinistre. Il prĂ©sente plusieurs images sur lesquelles on peut voir que des chemins de câbles avec des câbles de couleurs verte et bleue ont Ă©tĂ© touchĂ©s par le dĂ©but d'incendie. Il dĂ©clare Ă©galement que l'arrĂŞt coĂ»te de un million et demi Ă  deux millions d'euros chaque jour.

Lors d'une rĂ©union publique de la CLIN, le Ă  Dieppe, on apprend que la vĂ©ritable origine du sinistre est due Ă  une erreur humaine commise le Ă  3 h 41 du matin par un opĂ©rateur d'EDF ; en effet, treize secondes avant d'arrĂŞter effectivement un ventilateur, ce pour quoi il intervenait, il a mis en marche, par erreur, une pompe de graissage haute pression qui fonctionnera plus de 30 heures[28]. Un joint mal montĂ© (serrage insuffisant) fuira et l'huile coulera sur les canalisations du circuit primaire avec les consĂ©quences connues le 5 avril[29]. Le directeur de la centrale confirmera cette information lors de la sĂ©ance plĂ©nière de la CLIN du [30].

En juillet 2016, l'ASN et l'IRSN présentent leurs conclusions sur l'analyse de l'incident qui est classé au niveau 1 de l'échelle INES par l'Autorité de sûreté nucléaire[31].

2023 : fissure détectée sur le circuit d'injection de sécurité du réacteur numéro 1

« Le phénomène de corrosion sous contrainte, détecté en , n'en finit pas de peser sur le parc nucléaire français ».

Le , EDF signale, par une information rĂ©glementaire, une fissure sur le cicuit d'injection de sĂ©curitĂ© du rĂ©acteur numĂ©ro 1[32]. Le , après complĂ©ment d'information transmis par EDF le , l'AutoritĂ© de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire (ASN) demande Ă  EDF « de rĂ©viser sa stratĂ©gie pour tenir compte de ces nouvelles informations ». La fissure est situĂ©e Ă  proximitĂ© d'une soudure doublement rĂ©parĂ©e lors de la construction de la centrale, sur la ligne d'injection branche chaude du système d'injection de sĂ©curitĂ© du rĂ©acteur numĂ©ro 1. Elle a une longueur de 155 mm (soit environ le quart de la circonfĂ©rence de la tuyauterie), et une profondeur maximale de 23 mm pour une Ă©paisseur de tuyauterie de 27 mm. L'incident est classĂ© au niveau 2 sur l'Ă©chelle INES[33] - [34].

Funiculaire

Le site a la particularitĂ© d'abriter le seul funiculaire Ă  usage industriel en France encore en Ă©tat de fonctionnement. Il permet l'accès rapide aux installations depuis l'entrĂ©e du site situĂ©e en haut de falaise. Son dĂ©nivelĂ© est de 100 mètres pour 30,7 % et sa ligne forme une grande courbe avec un croisement au centre.

Il a une longueur de 287 m, a Ă©tĂ© construit par la sociĂ©tĂ© Skirail en 1991[35] et fut inaugurĂ© en 1992. Sa vitesse est de 8 m/s (environ 29 km/h) et il transporte 55 personnes en 55 s. Son fonctionnement est entièrement automatisĂ© et il est ouvert 24 h/24. Si le vent dĂ©passe 31 m/s (environ 112 km/h), les cabines sont immobilisĂ©es dès leur arrivĂ©e en station jusqu'Ă  ce que le vent chute au-dessous de cette valeur pendant plus de 3 minutes. Le dĂ©part est gĂ©rĂ© par un programme aux heures de pointe et par appel aux heures creuses. Les deux cabines roulent sur un viaduc mĂ©tallique qui culmine jusqu'Ă  11 mètres sur le talus[36].

Projets Penly 3 et Penly 4

Premier projet de troisième réacteur (2008-2012)

Un troisième réacteur EPR a été en projet à la centrale de Penly.

Le 19 septembre 2008, alors que les conseillers municipaux de Dieppe procèdent au vote à main levée de la motion sur l'EPR, un groupe de militants du mouvement antinucléaire s'interpose et manifeste son mécontentement. Le maire, Sébastien Jumel, doit à plusieurs reprises suspendre le conseil municipal, qui adoptera finalement la motion pour le projet EPR[37].

Le , le président Nicolas Sarkozy a retenu le site de Penly pour accueillir le deuxième réacteur EPR français. EDF serait alors investisseur et opérateur majoritaire[38].

Le à Dieppe, commence la première des 13 réunions publiques qui se sont tenues pendant 3 mois et demi, la dernière se déroulant à Saint-Martin-en-Campagne. Elles étaient retransmises en direct sur Internet, ont toutes été enregistrées en vidéo et sont disponibles avec leurs verbatims, dans certaines bibliothèques universitaires[39]. Ces 13 interventions ont donné lieu à la réalisation de 33 cahiers d'acteurs.

Le 18 mai à Caen, des perturbateurs non identifiés rendent le débat impossible malgré la médiation de certains opposants au projet qui tenaient à assister à ce débat. Parmi les associations du mouvement antinucléaire, le collectif "Stop à l’EPR ni à Penly ni ailleurs" de Haute-Normandie a appelé à participer au débat tandis que son homologue bas-normand a appelé à manifester, mais en dehors de la salle[40].

Le 26 mai 2011, les collectifs « Stop EPR, ni Ă  Penly, ni ailleurs Â» et « Sortir du nuclĂ©aire Â» dĂ©posent un recours auprès du tribunal administratif de Rouen[41].

En mai 2011, Christophe de Margerie, PDG de Total et investisseur du projet Penly III, a annoncĂ© peu de temps après la catastrophe de Fukushima que « La rĂ©flexion sur le projet a Ă©tĂ© apparemment stoppĂ©e. Â»[42]. StĂ©phane Beaufils, secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de la CGT de Dieppe a annoncĂ© le 1er juin qu'il « faut attendre le retour d’information de l’accident de Fukushima et cela prendra le temps que cela prendra... Â»[43].

L'enquête publique sur ce projet de réacteur nucléaire EPR, qui devait débuter en juin 2011, a été reportée une première fois à octobre 2011, puis à la demande d'EDF jusqu'à une date indéterminée en 2012[44] - [45].

Pendant la campagne présidentielle 2012, François Hollande se prononce contre la construction au cours du mandat 2012-2017, mais n'indique pas avoir décidé un arrêt définitif[46].

En juillet 2012, la ministre de l'écologie Delphine Batho annonce que « On ne construit pas l'EPR à Penly »[47].

Projet d'une paire d'EPR 2 (depuis 2019)

Le projet est relancé en 2019, EDF cherchant des sites éventuels pour la construction de paires de réacteurs type EPR 2.

Le 16 décembre 2020, le site de Penly est retenu et proposé par la direction d'EDF pour accueillir deux nouveaux réacteurs de type EPR 2[48] - [49], en cas de décision favorable par l'État de poursuivre le programme EPR.

En novembre 2021, le président de la République Emmanuel Macron annonce la construction de nouvelles tranches nucléaires en France, sans davantage de précisions. Le lendemain, le président d'EDF Jean-Bernard Lévy confirme que Penly est le premier site sélectionné[50].

Le 2 mars 2022, EDF saisit la Commission nationale du débat public afin d'organiser le débat public sur cette paire d'EPR 2 à Penly[51]. Elle en confie la présidence à Michel Badré, ancien président de l'Autorité environnementale[52] et co-auteur en février 2022 dans Le Monde d'une tribune critique des annonces d'Emmanuel Macron sur la relance du nucléaire[53]. Le débat est programmé pour 4 mois du 27 octobre 2022 au 27 février 2023[54].

Le 28 juin 2023, le conseil d'administration d'EDF valide le dossier de demande d'autorisation de création des deux nouveaux réacteurs nucléaires qui doivent être construits sur le site de Penly. Ce dossier est remis au ministère de la Transition énergétique qui doit la transmettre à l'Autorité de sûreté nucléaire. Le processus d'instruction de cette demande devrait durer plus de trois ans pour aboutir fin 2026 à la délivrance du décret d'autorisation de création. EDF a demandé aux autorités environnementales l'autorisation d'engager des travaux préparatoires sur le site (terrassement, constructions annexes, etc.) dès la mi-2024. EDF estime que la construction des EPR2 de Penly prendra huit à neuf ans et vise une entrée en service en 2035-2036[55].

Voir aussi

Liens externes

Notes et références

  1. « Nuclear Power Reactor Details - PENLY-1 », sur pris.iaea.org (consulté le )
  2. « Nuclear Power Reactor Details - PENLY-1 », sur pris.iaea.org (consulté le )
  3. moyennes des valeurs sur PRIS AIEA pour chaque réacteur du site
  4. EDF, « Penly » (consulté le )
  5. Débat public de Penly 3 : Dossier du maître d'ouvrage [PDF], Commission nationale du débat public.
  6. Réponse de EDF du 1er avril 2010 lors du Débat Public Penly 3, Commission nationale du débat public.
  7. DĂ©bat public projet Penly 3 - page 6, cpdp.debatpublic, 22 avril 2010
  8. La gestion du trait de côte p. 72 - Ministère de l'écologie - Éditions Quæ, 2010
  9. IFREMER - Février 1976 : Étude écologique d'avant projet sur le site de Penly
  10. ASN, « Centrale nucléaire de Penly » (consulté le )
  11. Nouvel Obs - 5/12/2003 : Greenpeace investit une centrale
  12. ASN - 31/08/2004 : Rejets faiblement radioactifs en mer
  13. ASN - 24/10/2011 : Contamination externe au visage d’un agent lors d’une intervention
  14. Michel Alberganti, « Incidents radioactifs: que s'est-il passé à Penly? », sur le site de Slate.fr, (consulté le )
  15. Morgane Bertrand, « La centrale nucléaire de Penly ? R.A.S. », sur le site du Nouvel Observateur, (consulté le )
  16. ASN - 5 avril 2012 : Départ de feu à la centrale nucléaire de Penly
  17. Le Parisien - 5/04/2012 : Incendie: la centrale de Penly Ă  l'arrĂŞt
  18. Centrale nucléaire de Penly: un incendie en cours, Huffingtonpost du 5 avril 2012
  19. RTL.be - 6/04/2012 : Fuite à Penly: l'eau n'a jamais quitté le "circuit primaire" du réacteur
  20. La chaudière des réacteurs à eau sous pression : 7.3.2. Système d'étanchéité d'arbre
  21. Penly: le réacteur 2 en cours de refroidissement malgré une fuite d'eau sur Le Point.fr. Publié le 5 avril 2012.
  22. AFP, « Penly : pas d'intervention sur le réacteur ce week-end », sur le site de Romandie.com, (consulté le )
  23. L’ASN fait le point sur les investigations menées à la suite de l’incident survenu le 5 avril 2012 sur le réacteur n°2 de la centrale nucléaire de Penly, asn.fr, 25 avril 2012
  24. AFP, « Centrale nucléaire de Penly: "il n'y a plus de fuite" depuis 4H00 », sur le site de orange.fr, (consulté le )
  25. AFP, « Centrale nucléaire de Penly: EDF annonce un "retour à la normale" sur le refroidissement du réacteur », sur le site de orange.fr, (consulté le )
  26. « Retour à la normale à la centrale nucléaire de Penly », sur le site du Monde, (consulté le )
  27. « Accueil - ACRO - Association pour le Contrôle de la Radioactivité dans l'Ouest », sur ACRO - Association pour le Contrôle de la Radioactivité dans l'Ouest (consulté le ).
  28. NUCLEAIRE Incident de PENLY- Dieppe - 5 avril 2012 Une erreur humaine à 150 millions d’euros
  29. [PDF] « Rapport du HCTISN », sur hctisn.fr,
  30. http://www.clin76.fr/wp-content/uploads/2014/02/Compte-rendu_CLIN-du-3-octobre-2013_FINAL-3.pdf (page 34 du document bas de page)
  31. « Nucléaire : Incendie du 5 avril 2012 à Penly: des hommes et des joints », sur Le Courrier picard, (consulté le ).
  32. Contrôles complémentaires de recherche de corrosion sous contrainte, edf, 24 février 2023
  33. « Corrosion sous contrainte : présence d’une fissure de profondeur importante sur le réacteur 1 de la centrale de Penly », sur asn.fr,
  34. Adrien Pécout et Perrine Mouterde, « L’importante fissure découverte à la centrale nucléaire de Penly complique encore plus la situation d’EDF », sur Le Monde, (consulté le )
  35. « Le funicualaire de Penly », sur Association des funiculaires de France (consulté le )
  36. Jean Gennesseaux, Funiculaires et crémaillères de France, La vie du rail et des transports, Paris, 1992, 232 p. (ISBN 2-902808-42-9)
  37. Reportage vidéo de France 3 Haute-Normandie : Dieppe et le nucléaire, attention sujet sous haute tension
  38. EDF construira son réacteur nucléaire de nouvelle génération à Penly Le Figaro Jacques-Olivier Martin et Frédéric de Monicault 29/01/2009
  39. catalogue SUDOC
  40. AFP - 18 mai 2010 : Une réunion sur l’EPR de Penly annulée à Caen en raison d’une manifestation
  41. Stop-EPR - 26 mai 2011 : Un recours devant le tribunal
  42. Challenges - 4/05/2011 : Margerie : La réflexion sur Penly apparemment stoppée
  43. Journal Télévisé du 19-20 sur France 3 Haute-normandie - 1er juin 2011
  44. EPR Penly : l'enquête publique est reportée à 2012 Le Monde/AFP 04/10/2011
  45. L'Expansion - 5/10/2011 : Le projet nucléaire EPR de Penly encore repoussé
  46. Mediapart - 15 février 2012 : Nucléaire : recul de François Hollande sur l’EPR de Penly
  47. Le réacteur EPR à Penly est-il un mirage ?, France 3 Haute Normandie, 13 juillet 2012
  48. « Nucléaire : EDF choisit le site de Penly pour construire deux EPR », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  49. « Réacteurs nucléaires nouvelle génération : Tricastin ou Bugey ? », sur France Bleu,
  50. Nucléaire. Le site de Penly près de Dieppe choisi pour accueillir le premier des nouveaux EPR français
  51. « Programme nouveaux réacteurs nucléaires et première paire de réacteurs EPR2 à Penly », sur Commission nationale du débat public, (consulté le )
  52. « Désignation de Michel Badré suite à la plénière du 6 avril 2022 », sur Commission nationale du débat public, (consulté le )
  53. Michel Badré et Alain Grandjean, « La politique énergétique doit faire l’objet d’un débat ouvert », sur Le Monde,
  54. CNDP, « CNDP 7 sept 2022 »
  55. Nucléaire : top départ pour les deux futurs EPR de Penly, Les Échos, 30 juin 2023.
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