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Bury (Oise)

Bury est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Bury
Bury (Oise)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC du Clermontois
Maire
Mandat
David Belval
2020-2026
Code postal 60250
Code commune 60116
Démographie
Gentilé Burysiens, Burysiennes
Population
municipale
2 951 hab. (2020 en diminution de 1,21 % par rapport à 2014)
Densité 173 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 18′ 52″ nord, 2° 20′ 39″ est
Altitude Min. 33 m
Max. 124 m
Superficie 17,05 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Mouy
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mouy
Législatives 7e circonscription de l'Oise
Localisation
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Bury
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Bury
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Bury
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Bury
Liens
Site web https://mairie-de-bury.fr/

    Ses habitants sont appelés les Burysiens et les Burysiennes.

    Géographie

    Description

    Vue aérienne de Mouy, Bury et Angy en 2014.

    Bury est un bourg picard de la vallée du Thérain, situé à 65 kilomètres au sud d'Amiens, à 23 kilomètres à l'est de Beauvais, à 37 kilomètres à l'ouest de Compiègne et à 50 kilomètres au nord de Paris.

    Elle est traversée par le méridien de Paris, matérialisé par la méridienne verte.

    Le territoire communal s'étend sur 1 705 hectares[1]. Au début du XIXe siècle, il était décrit comme « compris. dans le plateau à l'est du Thérain, est sillonné par plusieurs vallons qui descendent à t l'ouest vers cette rivière. Le Thérain forme -constarment la limite depuis Angy jusqu'à Mello[2] »

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune s'étend entre 33 mètres et 124 mètres au-dessus du niveau de la mer. Le point le plus bas se trouve dans le lit du Thérain, près du hameau de Saint-Claude. Le point culminant du territoire se situe au lieu-dit les Raies Tortues, à l'est de la commune. La mairie se situe à 50 mètres d'altitude.

    Situé en partie dans la vallée du Thérain, le territoire se prolonge jusqu'aux coteaux du plateau de Cambronne-lès-Clermont, à l'est (buttes d'Henno, cavée Broquette, côte de Bury et côte du Baudron, au nord, côte du val, près du bourg). Le hameau de Mérard se situe à 57 mètres d'altitude, Lombardie à 56 mètres, Saint-Épin à 39 mètres et Saint-Claude à 42 mètres au-dessus du niveau de la mer.

    Sur les collines qui dominent Bury au nord se trouvent d’anciennes carrières dites «carrières de Mérard», autrefois exploitées à ciel ouvert[1]

    L'ouest du territoire, donnant sur la vallée du Thérain, se compose de nombreux vallons naissant sur le plateau (vallées de Boisicourt et Monnet au nord, Boulinval, vallée Gauthier et fond du val près du chef-lieu, fond d'enfer près de Saint-Claude)[3].

    Hydrographie

    La commune se situe sur la rive gauche du Thérain, un sous-affluent de la Seine prenant sa source à Grumesnil et se jetant dans l'Oise à Saint-Leu-d'Esserent.

    Son cours sert de limite communale vers les communes de Mouy et Balagny-sur-Thérain en passant à l'ouest du bourg et au sud hameau de Saint-Claude. Avant de quitter le territoire communal, celui-ci se divise en plusieurs bras[4].

    Plusieurs ruisseaux affluents de ce cours d'eau sont également présents sur la commune : les rus du Moineau[5] et de Boisicourt[6], le ruisseau de Saint-Claude[7] et le fossé l'Évêque[8]. Le ru de Boisicourt, prenant sa source dans le fond de Berneuil (commune de Cambronne-lès-Clermont), rencontre un autre petit ruisseau lors de son arrivée sur le territoire. Il traverse ensuite un étang et passe à proximité du hameau de Mérard, près d'une petite mare, après la sa confluence dans le rû du Moineau, prenant sa source à Ansacq. Le ruisseau de Saint-Claude, naissant dans le fond d'Enfer, traverse également un étang avant de rejoindre les marais de Saint-Claude.

    Le fossé l'Évêque est un bras du Thérain qui s'en sépare à l'ouest de la commune, passe près du chef-lieu et rejoint le cours d'eau initial à Saint-Épin. L'étendue entre le Thérain et le fossé comporte deux petits étangs. Un petit ruisseau intermittent suit la vallée Gauthier et le fond du Val où se trouve en amont quelques bassins.

    Il existe deux lavoirs, l'un dans le bourg, l'autre à Saint-Claude ainsi qu'un puits à Mérard.

    • Lavoir de Saint-Claude, rue de la Plaine.
      Lavoir de Saint-Claude, rue de la Plaine.
    • Puits, hameau de Mérard, rue Émiles-Combes.
      Puits, hameau de Mérard, rue Émiles-Combes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 675 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[15] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[16] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 24 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[19] à 10,6 °C pour 1981-2010[20], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[21].

    Milieux naturels et biodiversité

    Hormis les espaces bâtis, qui s'établissent sur 119 hectares (7 % de la surface communale), le territoire est occupé à 49,8 % par des cultures sur plus de 850 hectares.

    Les espaces boisés, principalement étendus sur les coteaux de la vallée du Thérain et des vallons avoisinants (bois du Louard, de Beauvais, d'Arcy, Dernier bois et Travers) représentent plus de 40 % de la superficie sur plus de 685 hectares. Les vergers et prairies se regroupent sur 37 hectares tandis que les zones marécageuses, pour la plupart situées près du Thérain à l'exemple du marais de Saint-Claude représentent près de 4 hectares[22] - [3]. Les coteaux de la vallée de Mérard ainsi que les bois périphériques de la forêt de Hez-Froidmont (la Garenne Ouverte) sont inscrits en Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1 [23] - [24].

    Les différents coteaux permettent de constituer un corridor écologique potentiel à travers la commune[25].

    • Le chemin des Carrières.
      Le chemin des Carrières.
    • Le chemin des Vaches.
      Le chemin des Vaches.

    Urbanisme

    Typologie

    Bury est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [26] - [27] - [28]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mouy, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[29] et 11 154 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[30] - [31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[32] - [33].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (54,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,3 %), forêts (36,2 %), zones agricoles hétérogènes (6 %), zones urbanisées (4,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,7 %), prairies (0,7 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[35].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    L'habitat est réparti en plusieurs hameaux en complément du chef-lieu : Mérard au nord, Moineau au nord-ouest, Saint-Claude au sud-est, ainsi que les quartiers de Saint-Epin, Herminie et Moineaux[1]. On compte plusieurs écarts et lieux-dits constitués par des fermes : Boisicourt et Brivois au nord ainsi qu'Arcy au sud[3].

    • Le hameau de Mérard
    • L'ancienne mairie.
      L'ancienne mairie.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.
    • Remise de la pompe à incendie.
      Remise de la pompe à incendie.
    • Rue Émile-Combes
      Rue Émile-Combes
    • Le hameau de Saint-Claude
    • La rue Ferdinand-Buisson
      La rue Ferdinand-Buisson
    • La rue Ferdinand-Buisson.
      La rue Ferdinand-Buisson.
    • Ancienne ferme, dans la même rue.
      Ancienne ferme, dans la même rue.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Le lavoir.
      Le lavoir.

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 351, alors qu'il était de 1 302 en 2013 et de 1 254 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 91,4 % étaient des résidences principales, 1,2 % des résidences secondaires et 7,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 85,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 10,2 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bury en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,2 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (77,6 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Bury en 2018.
    Typologie Bury[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 91,4 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,2 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 7,4 7,1 8,2

    Voies de communications et transports

    L'ancienne route nationale 329 (actuelle RD 929) reliant Beaumont-sur-Oise à Clermont-en-Beauvaisis et Brunvillers-la-Motte à Albert, constitue une partie de la limite communale avec Angy, au nord-ouest. La RD 12, reliant Therdonne à Saint-Leu-d'Esserent, est le principal axe routier traversant la commune. Son itinéraire, suivant la vallée du Thérain, en arrivant d'Angy, passe à l'ouest du bourg puis près de Saint-Épin avant de traverser le hameau de Saint-Claude par la rue Fernand-Buisson. Elle rejoint ensuite Mello. La route départementale 137, reliant Noailles à Maimbeville, arrive depuis Mouy par la rue Duvivier en croisant la RD 12, puis traverse le bourg par les rues Pillon-Crouzet et Albert-Martin. Elle quitte le chef-lieu par l'est avant de rejoindre Liancourt.

    La route départementale 137D se sépare de la RD 137 au pont de la rue Anatole-France avant de croiser la RD 12 puis le sud de Mouy. La RD 144, débutant à Angy, traverse le hameau de Mérard par la rue Pasteur avant de rejoindre Ansacq.

    Plusieurs routes communales relient les différents écarts de la commune : les rues Aristide-Briand, Noël-Ruffier et Jean-Jaurès mènent le bourg à Saint-Épin par le hameau de Lombardie, le hameau de Mérard est joignable par les rues de Beauvais et des Roses, la route de Boisicourt et la rue Brivois relient Mérard à la D 137 par Boisicourt et Brivois, et une voie débutant à Saint-Épin rejoint Balagny-sur-Thérain. Une autre voie se sépare de la RD 137 pour rejoindre la RD 110 près de Rousseloy[3].

    La gare de Mouy-Bury.

    La gare de Mouy-Bury, située sur la ligne de Creil à Beauvais et modernisée en 2019[36], est desservie la ligne 20 du TER Picardie reliant Beauvais à Creil[37].

    Bury est desservie par plusieurs lignes de transports scolaires reliant la commune au collège de Mouy, ainsi qu'aux établissements secondaires de Clermont[38]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal dessert le bourg jusqu'à Rousseloy par les hameaux de Saint-Epin, Saint-Claude et Martincourt[39].

    L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de la commune et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se trouve à 37 km au sud-est. Il n'existe aucune liaison entre la commune et ces aéroports par des transports en commun.

    La commune est traversée par le sentier de grande randonnée no 124 (GR124), reliant Cires-lès-Mello (Oise) à Rebreuviette (Pas-de-Calais). Son itinéraire balisé arrive sur le territoire depuis Cires-lès-Mello par les marais de Saint-Claude, au sud, puis traverse le hameau du même nom par la rue Raspail. Il pénètre dans les bois d'Arcy, Beauvais et de Louard avant de rejoindre Lombardie par la rue du Château-Vert. Il suit une partie de la rue Jean-Jaurès, puis rejoint le bourg par un chemin, et la rue Émile-Zola. Il quitte celui-ci par Boulinval puis traverse Mérard par la côte du Baudron. Il quitte ce hameau par la rue Pasteur avant de prendre le chemin des Carrières et rejoindre Ansacq[3].

    Risques naturels et technologiques

    La commune se situe en zone de sismicité 1. Il existe une potentialité de mouvements de terrains[40].

    La commune est parfois concernée par des inondations dans les marais de la vallée du Thérain[40]. Les zones les plus basses du territoire sont situées au-dessus de plusieurs nappes phréatiques[41].

    Toponymie

    La localité a été désignée comme Bury-Angy et Buri, (Bureium, Buriacum , Birriacus[2].

    Histoire

    Bury, carte de Cassini (XVIIIe siècle.

    Présence humaine à l'époque gallo-romaine grâce à la présence de tombes.

    Louis Graves indique « Cette commune est encore une dés.plus anciennes du Beauvaisis ; elle fut brûlée au neuvième siècle par les Normands avec quelques autres villages.
    C'était le chef-lieu d'une châtellenie qui appartenait à l'évêque diocésain comme comte de Beauvais.
    Le pays fut mis au pillage en même terns qu'Angy,. par les ligueurs de Beauvais, le
    Bury avait le titre do bourg, ce qui indique. l'existence d'anciennes foires en ce lieu
    Sous le règne de Louis XIV , on y tenait une demi-compagnie de gardes du corps en quartier d'hiver[2] »

    En 1358, une entrevue a lieu entre le futur Charles V et le Charles le Mauvais, roi de Navarre à Domaslieu, un hameau de Bury aujourd'hui disparu.

    En 1843, une station du télégraphe Chappe de la ligne Paris-Lille était implantée au lieu-dit le Noyer-Bault, et il existait alors un moulin à eau, un moulin à foullon , plusieurs carrières, .des fabriques- de tissu de soie, de boutons, de toiles métalliques, de laine peignée,, de draperie, de calicot, de mérinos. Une partie de la population était employée dans les fabriques de Mouy ou confectionnait des galoches ou des cerceaux[2].

    Les travaux pour la création de la ligne de chemin de fer de Creil à Beauvais sont réalisés par la Compagnie des chemins de fer des Ardennes qui l'échange le 17 juin 1857 avec la Compagnie des chemins de fer du Nord. La ligne est inaugurée en 1857 et sa mise en service ainsi que celle de la gare de Mouy - Bury a lieu le [42], facilitant le déplacement des habitants et l'écoulement des marchandises produites dans les usines du secteur.

    • Bury au tout début du XXe siècle
    • La gare et la statue du duc de Mouchy.
      La gare et la statue du duc de Mouchy.
    • Les usines de Bury.
      Les usines de Bury.
    • Intérieur de la gare
      Intérieur de la gare

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Mouy[43]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Mouy

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la septième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Bury a du adhérer en 2013[44] à la communauté de communes du Clermontois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1960 sous le statut de district urbain et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[45]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790 M. Crouzet
    1792 M. Moisin
    1793 M. Desprez
    1826 Thomas Fourtin
    août 1864 Jean-Édouard Kiggen
    Les données manquantes sont à compléter.
    1950 mars 1977 Raymond Delacourt[Note 8]
    Les données manquantes sont à compléter.
    1992[46] mars 2014 Jean-Claude Godin DVD Maire honoraire
    mars 2014[47] En cours
    (au 20 janvier 2021)
    David Belval SE Professeur du secondaire et de l'enseignement technique
    Vice-président de la CC du Clermontois (2020 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[48] - [49]

    Équipements et services publics

    L'école Claude-de-Durant.

    La commune dispose d’une halte garderie, d’une bibliothèque, d’un stade, d’un city-stade, d’une salle socio-culturelle, d’une salle des fêtes et d’un poste de recharge pour véhicules électriques[1]. . Elle s'est doté en 2010 d'une salle multifonctions, dont le rez-de-chaussée est utilisé pour la cantine des enfants et l'étage comme salle des fêtes[50].

    Enseignement

    Bury dispose de plusieurs écoles en 2020 :

    • Ecoles maternelles Gilbert Lesueur, rue Raymond-Delacourt, des Moineaux, rue des Fauvettes et Claude-de-Durant (RPI de Bury-Rousseloy), rue Ferdinand-Buisson ;
    • Ecoles primaires de Mérard, rue Pasteur, Frédéric-Louis-Poiret, cité Saint-Épin et école du Centre, place du Général de Gaulle.

    Les enfants continuent leur scolarité au collège Romain-Rolland de Mouy[51].

    Santé

    La commune a favorisé la création en 2019 d'un pôle médical comprenant six cabinets médicaux et huit cabinets paramédicaux[52]

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune s'est dotée d'un dispositif de vidéosurveillance en 2021[53].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[55].

    En 2020, la commune comptait 2 951 habitants[Note 9], en diminution de 1,21 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1071 1141 2491 2681 4091 4301 4661 6381 576
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5381 6551 8812 2222 1692 4332 4482 3702 412
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 4082 4282 4812 2422 2302 1091 9301 9132 084
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    2 1392 5402 6622 6572 8222 8912 9712 9822 977
    2017 2020 - - - - - - -
    2 9712 951-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[56].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 449 hommes pour 1 517 femmes, soit un taux de 51,15 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[57]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    0,7
    4,5
    75-89 ans
    7,2
    15,6
    60-74 ans
    17,1
    22,9
    45-59 ans
    21,7
    19,5
    30-44 ans
    19,2
    16,4
    15-29 ans
    15,4
    20,6
    0-14 ans
    18,7
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[58]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Façade sud-ouest de l'église.

    La commune possède un monument historique sur son territoire ;

    • Église Saint-Lucien (XIe, XIIe et XIIIe siècles) : L'église Saint-Lucien (ancienne collégiale) fut fondée en 1140. L'édifice possède une partie romane (nef) et une partie gothique (chÅ“ur et transept). Elle possède une nef romane et façade avec tour cylindrique de 1140. La tour est désignée sous le nom de clocher Sainte-Barbe. En 1239, on construisit le chÅ“ur de l'église et ses deux transepts, qui présentent tous les caractères du style ogival à lancette. Dans le croisillon sud, se trouve un retable de la Passion de 1548. On peut y voir également des tableaux de Nicolas Bertin. Elle fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1862[59] - [60] - .

    On peut également signaler :

    • Portail de ferme du XIIIe siècle, rue Pillon-Crouzet. Une maison au fond de la cour comporte également des éléments médiévaux.
    • Maison du XIVe siècle : Maison à un étage située au 236 rue A.-Martin. Elle fait partie d'une ferme.
    • Lavoir couvert de la fontaine de l'Orme, rue Gambetta
    • Chapelle Saint-Maur de Mérard : Elle date du XVe siècle.
    • Manoir dit Cloître de Damaslieu, au hameau de Mérard : C'est une construction du XIIIe siècle qui fut la possession des religieuses de l'ordre de Sainte-Ursule. Tour d'allure moyennageuse. Tourelles d'escalier à flêches-écailles du XIIe siècle. Dans le bas-côté gauche, personnages sculptés (atlantes) aux retombées des voûtes.
    • Chapelle Saint-Claude de Dury, au hameau de Saint-Claude : Fondée en 1527 par Claude de Durant, chevalier et seigneur de Thury-sous-Clermont, puis de Dury-Saint Claude.
    • Lavoir couvert de Saint-Claude, rue de la Plaine.
    • Ls cités ouvrières Cité Herminie, construite en 1881, et Saint-Épin.
    • Porte de ferme du XIIIe siècle
      Porte de ferme du XIIIe siècle
    • Maison du XVIe siècle, rue Albert-Martin
      Maison du XVIe siècle, rue Albert-Martin
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.
    • Lavoir de la fontaine de l'Orme.
      Lavoir de la fontaine de l'Orme.
    • Chapelle de Mérard.
      Chapelle de Mérard.
    • Chapelle de Saint-Claude.
      Chapelle de Saint-Claude.
    • Lavoir de Saint-Claude.
      Lavoir de Saint-Claude.
    • Fronton de la cité Herminie
      Fronton de la cité Herminie
    • Cité Saint-Épin
      Cité Saint-Épin

    Personnalités liées à la commune

    • Le peintre Nicolas Bertin (1667-1736) a donné au père Pelletier, curé-prieur de Bury, chez qui il venait tous les ans passer l'automne, plusieurs tableaux datés de 1723,1725 et 1727 qui décorent l'église, bien qu'en mauvais état[61]
    • Alexandre Martin (né à Bury en 1815, mort à Mello en 1895), membre du Gouvernement provisoire de 1848 et représentant du peuple à l'Assemblée nationale constituante de 1848, surnommé "l'ouvrier Albert"[62].
    • Hector Dubois (1908-1991), agriculteur à Bury et maire-adjoint de 1945 à 1977, résistant, sénateur de l'Oise (1959-1983), conseiller général du canton de Mouy (1949-1973)
    • Henri levasseur (1926-1996), résistant, adjudant aux sapeurs pompiers de bury, cofondateur de la fanfare les cadets de Bury et conseiller municipal

    Héraldique

    Bury
    Blason de Bury Blason
    Taillé : au premier d'azur aux trois bandes d'or, au second d'azur semé de fleurs de lys d'or ; à la barre d'argent brochant sur la partition bordé d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Antoine-Joseph Warmé, Mouy et ses environs : Bury, Beauvais, Impr. de D. Père, , 520 p. (lire en ligne), p. 227-317, sur Gallica.

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Bury », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[12].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Une rue de la commune porte le nom de ce maire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. « Situation et chiffres clés », Découvrir Bury, sur https://mairie-de-bury.fr (consulté le ).
    2. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Mouy, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne [PDF]), p. 42-48.
    3. « Carte 1/15 000e » sur Géoportail..
    4. « Le rû du Moineau », sur services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
    5. « Le rû du Moineau », sur services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
    6. « Le rû de Boisicourt », sur services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
    7. « Le ruisseau de Saint-Claude », sur services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
    8. « Le fossé l’Évêque », sur services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    11. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    12. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    15. « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    16. « Orthodromie entre Bury et Airion », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Bury et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels sur la commune de Bury », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Coteaux de Mérard, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    24. « Bois périphériques de la forêt de Hez-Froidmont, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    25. « Corridor écologique potentiel sur la commune de Bury (carte) », sur www.donnes.picardie.developpementdurable.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    28. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    30. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    31. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    32. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    33. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    35. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    36. Laurent Lalo, « La gare modernisée de Mouy-Bury est arrivée », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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    40. « Risques naturels majeurs », sur macommune.prim.net (consulté le ).
    41. « Carte de remontée des nappes de la commune de Bury », sur www.inondationsnappes.fr (consulté le ).
    42. Ludovic Claudel, Atlas historique des chemins de fer français, t. 2 : Bretagne - Centre-Val de Loire - Hauts-de-france - Ile-de-France - Normandie - Pays de la Loire, Paris, Les Éditions La Vie du rail, , 400 p. (ISBN 2370620927), p. 259.
    43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    44. F. N., « Premiers pas de Bury dans l’interco », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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    46. Patricia Haute-Pottier, « Jean-Claude Godin a tenu son dernier conseil municipal », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3281,‎ , p. 14.
    47. « Bury : passation de pouvoir », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « David Belval (...) a été élu maire par ses 19 colistiers de la Liste d’union d’intérêt communal ».
    48. Patricia Haute-Pottier, « Bury. Les projets de David Belval », Le Bonhomme picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « David Belval a été réélu sans problème puisqu’il n’avait pas de liste d’opposition ».
    49. « Bury. Le maire et ses 4 adjoints ont été élus », Le Bonhomme picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    50. Aurélie Mandin, « Bury : la nouvelle salle est inaugurée », Le Bonhomme picard,‎ .
    51. Bury : Guide pratique 2019/2020, 15 p. (lire en ligne [PDF]), p. 9.
    52. Laurent Lalo, « Le pôle médical de Bury est opérationnel : Différents professionnels de santé s’y installent pour permettre d’améliorer l’offre de santé du secteur », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le sous-préfet Michaël Chevrier a précisé que sur la facture totale de 1 604 942 euros, l’État, dans le cadre de la DETR (Dotation d’équipement des territoires ruraux), a participé à hauteur de 500 000 euros, venant s’ajouter aux 400 000 versés par le conseil régional ».
    53. Nicolas Giorgi, « Bury, 3 000 habitants, s’équipe de 27 caméras de vidéosurveillance : Bury était jusqu’à présent l’une des seules communes de l’agglomération de Mouy à ne pas bénéficier de caméras de vidéoprotection. Vingt-sept sont en cours d’installation », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Un budget conséquent est déployé sur cette opération : 170 000 euros, une somme subventionnée pour moitié par le Département et l’État ».
    54. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    55. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    56. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    57. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bury (60116) », (consulté le ).
    58. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    59. « L'église Saint-Lucien », notice no PA00114557, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    60. Dominique Vermand, « Bury, église Saint-Lucien : Diocèse : Beauvais », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
    61. « Bury à travers le temps », Découvrir Bury, sur https://mairie-de-bury.fr (consulté le ).
    62. « Alexandre Martin dit Albert », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
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