Maimbeville
Maimbeville est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Maimbevillois et les Maimbevilloises.
Maimbeville | |||||
Le village depuis l'ouest. | |||||
Héraldique |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Clermontois | ||||
Maire Mandat |
Guillaume Vannier 2020-2026 |
||||
Code postal | 60600 | ||||
Code commune | 60375 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Maimbevillois, Maimbevilloises | ||||
Population municipale |
394 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 69 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 24′ 58″ nord, 2° 31′ 18″ est | ||||
Altitude | Min. 73 m Max. 156 m |
||||
Superficie | 5,75 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Clermont | ||||
Législatives | Septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
Liens | |||||
Site web | www.maimbeville.pagesperso-orange.fr | ||||
Géographie
Localisation
Le village de Maimbeville est située à 63 km au nord de Paris, 32 km à l'est de Beauvais, 22 km à l'ouest de Compiègne et 56 km au sud d'Amiens[1].
Topographie et géologie
L'altitude de la commune varie entre 73 et 156 mètres. Le village se situe à 124 mètres. Le point le plus haut de la commune est situé à la limite nord de la commune sur la route de Cernoy et le point le plus bas au lieu-dit « la Sonnerie », dans un vallon partant du village et se dirigeant vers Saint-Aubin. Le cimetière, au sud du territoire, se situe à 86 mètres d'altitude[2]. Le territoire, exposé au sud, est coupé par plusieurs vallons dépourvus d'eau (fonds de l'Hardière, Jude, fosses Monet, de la Gorgue et du Bailly, vallée des Chats-Huants). Une vallée principale courant de l'est à l'ouest passe au-dessous du chef-lieu[3].
La craie occupe le territoire des vallons. Dans le vallon près du chef-lieu, très fiable, elle se délite à l'air. Les silex y abondent tellement que l'emploi en est impossible comme pierre d'appareil. On voit en abondance une quantité de cailloux. Ceux-ci sont accumulés au fond d'un dilivium argileux. Cette espèce de sol se trouve dans le bois de Morne. On remarque des dépôts d'argile fine, peu compacte, de couleur fauve entre le village et Saint-Aubin-sous-Erquery[4]. La commune se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire très faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[5].
- Le lieu-dit "la Sonnerie" depuis la D 532.
- Le sud de la commune depuis la D 532.
Hydrographie et eau potable
Aucune présence de rivière ou de cours d'eau ne traverse le territoire. Le relief vallonné montre toutefois l'ancienne existence de cours d'eau dans la commune. Deux mares sont présentes dans le village, rue de Rémécourt et Grande rue. Un château d'eau se trouve à l'angle de la Grande rue et de celle du Maronnier, une prise d'eau et une station de pompage à eau se situent au sud du village[2]. Les zones les moins élevées de la commune sont situées au-dessus de plusieurs nappes phréatiques sous-affleurantes[6].
Voies de communications et transports
La commune est accessible par deux routes départementales, la D 137 et la D 532 : La route départementale 532 (D 532), qui relie Saint-Aubin-sous-Erquery à Fouilleuse est le principal axe traversant le village. Celui-ci pénètre sur le territoire par la grande rue à l'ouest et quitte la commune par la rue de l'ormaie à l'est. La route départementale 137 (D 37), qui débute à l'entrée ouest du village, rejoint Catenoy puis s'étend jusqu'à Noailles en passant par les chefs-lieux de cantons Liancourt et Mouy. Plusieurs routes communales relient également Maimbeville aux communes voisines : ainsi, les rues d'Épineuse (au sud-est), de Rémécourt (au nord-ouest) se dirigent vers les communes du même nom. Le chemin de la Croix de Justice, transformé en route, relie la commune à la D 37. Cette dernière, axe régional, suit l'itinéraire Clermont-Gournay-sur-Aronde et longe la limite nord de la commune[2].
Les gares les plus proches de la commune sont celles de Clermont à 8,8 km au sud-ouest, sur la ligne Paris-Nord - Lille et d'Estrées-Saint-Denis à 9 km au nord-est[1], sur la ligne d'Ormoy-Villers à Boves. La commune est desservie par le réseau Kéolis Oise du conseil général de l'Oise par une ligne de transports scolaires rejoignant les établissements secondaires de l'agglomération de Clermont par un unique arrêt situé dans le village[7]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal dessert Maimbeville et la commune voisine de Catenoy par ce chef-lieu et le hameau de Luchy[8].
L'aéroport de Beauvais-Tillé se situe à 30 km à l'ouest et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se trouve à 45,7 km au sud[1]. Il n'existe aucune liaison entre la commune et ces aéroports par des transports en commun.
Le sentier de grande randonnée 124 (GR 124), reliant Cires-lès-Mello (Oise) à Rebreuviette (Pas-de-Calais) arrive sur le territoire par le fond de l'Hardière (au sud-est) puis passe par le fond Jude et rentre dans le village par le bois de Morne, à l'est. L'itinéraire balisé suit ensuite les rues des Fosses et de l'Église puis quitte le chef-lieu par le nord-ouest. Il rejoint le village de Rémécourt par la fosse du Bailly, à l'ouest[2]. Les circuits n° 8 et n° 9 du GEP Centre Oise traversent également le territoire. Le circuit n° 8, partant de Fitz-James, arrive dans la commune par le fond de la Gorgue (au sud-ouest), passe au sud du village puis rejoint le fond de l'Hardière. Il rejoint le GR 124 puis le quitte au niveau du bois de Morne. Celui-ci passe à proximité du village sort alors du territoire en rejoignant le lieu-dit « le Chausson » puis se dirige vers Rémécourt. Au niveau de la croix de Justice, une variante rejoint le moulin de Fouilleuse. Le circuit n° 9, partant de Rémécourt, suit le circuit n° 8 à l'envers jusqu'à la D 532 où il suit un chemin passant au nord du chef-lieu. Il quitte la commune en rejoignant le GR 124 au niveau de la rue de Rémécourt[9].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[16] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[17] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 30 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[20] à 10,6 °C pour 1981-2010[21], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[22].
Milieux naturels
Hormis les espaces bâtis, qui couvrent 4,2 % de la commune sur 24 hectares, le territoire se compose à 87 % de cultures sur 511 hectares. Les espaces boisés que compte la commune tel que le bois de Morne à l'est et les parcelles situées sur les coteaux des fonds Jude, Monet de la Gorgue rassemblent 44 hectares pour 7,6 % de la surface communale. Les vergers et prairies regroupent quant à eux 6 hectares[23] - [2].
Urbanisme
Typologie
Maimbeville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [24] - [25] - [26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[27] - [28].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,4 %), zones agricoles hétérogènes (7,1 %), zones urbanisées (4,8 %), forêts (0,4 %), prairies (0,3 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[30].
Hameaux et lieux-dits
L'habitat se concentre en majeure partie dans le chef-lieu de Maimbeville. L'ancien hameau de la Vallée, situé rue des Vallées, n'est plus occupé que par quelques maisons. Une habitation unique se trouve également le long de la D 137[2].
Les lieux-dits sont les suivants : le Chausson, les Longues Haies, le Pré, le Muid, la Pale, les Tailles, le Tirefort, les Pierrettes, la Crainquaine, sur les Vallées, Vignes de la Ville, la Gollière, la Gorgue, la Sonnerie, les Grouettes et Coteron[2].
Toponymie
Le village a souvent changé de nom au cours de son histoire[a 2] :
- 1157 : « Manduville » (également « Maimboldi villa », « Meinbuevilla », « Manduvilla » ou « Manubevilla »).
- 1209 : « Meinboeville »
- 1267 : « Meinbeville »
- 1281 : « Maimbevile »
- 1303 : « Maimbeville » (également « Mainbeville » ou « Méneville »)
- De nos jours : « Maimbeville » a pris son nom de « Maimboldi Villa », c'est-à-dire « la villa », la ferme Maimbold.
Histoire
Moyen Âge et Renaissance
La seigneurie appartenait au XIIe siècle à une famille qui avait pris le nom de la commune : on peut citer, en 1181, Renaud de Maimbeville, en 1209 et 1218, Simon, en 1267 et 1281, Jean, chevalier. En 1373, Aubert et Philippe de Maimbeville tenaient leurs fiefs à Warty et au Metz[a 2]. Dès 1157 la cure était à la collation de l'abbaye Saint-Lucien de Beauvais, qui percevait les dîmes du terroir[a 2]. Il y avait aussi à Maimbeville une chapelle à la collation de l'abbaye Saint-Lucien[a 3].
En 1539, Galarche de Berthancourt était seigneur de Maimbeville ; la terre fut saisie en 1621 sur Louis de Berthaucourt et acquise par Nicolas Thibault, seigneur de Beaurains et de Courcelles, maître des comtes[a 2].
Époque moderne
En 1743 la seignerie de Maimbeville était aux héritiers d'Anne-Catherine Thibault ; elle passa ensuite à Henri-François de Clinchamp, et, en 1777, à M.Richer, qui la possédait encore en 1789[a 2]. Près du cimetière, s'élevait l'ancien hameau de la Vallée, dont il ne subsiste qu'une maison[a 3]. La population n'a d'autre occupation que l'agriculture : en 1763, 470 mines de terre, dont 195 mines de bonne terre, 175 de médiocre et 101 de mauvaise, étaient cultivées par leurs propriétaires et 817 étaient tenues à ferme. La commune, avec ses coteaux exposés au sud, se prêtait à la culture de la vigne, qui fut longtemps la principale ressource des habitants; en 1763, les vignes ne s'étendaient déjà plus que sur 44 arpents. De 20 hectares en 1789, la contenance du vignoble était descendue à 15 hectares en 1836, elle ne tarda pas à décroître encore, et aujourd'hui il ne reste plus trace des vignes de Maimbeville. Le vignoble était divisé en très petites parcelles, puisqu'en 1789 on ne comptait pas moins de 39 vignerons ; il n'y avait, dans la paroisse, à cette date, que 7 laboureurs et 11 manouvriers. On trouvait autrefois deux moulins à vent sur le territoire de la commune[a 3].
Dans leurs cahiers de doléances rédigés en 1789, les habitants se plaignaient : être écrasés par les impôts tandis que les bois, pares, remises, forêts, ne paient rien au roi ; d'être imposés trop haut pour la corvée, alors que les grandes routes ne sont fréquentées que par les carrosses, les postes, les grosses voitures publiques et marchandes; de la cherté du sel ; des dommages causés par les grandes chasses qui passent à travers les blés et de la multiplication du gibier de toute espèce ; des procédures accumulées pour rendre la justice ; des extractions des huissiers priseurs et des huissiers ordinaires ; d'être accablé par le grand nombre de pauvres ; d'être accablés par la charge de bâtir et réparer les presbytères ; de n'avoir obtenu aucune diminution d'impôts. Les députés de la paroisse à l'assemblée du bailliage de Clermont furent Jacques Bourré, laboureur, et Jean Beaufils, vigneron[a 4].
La commune de Fouilleuse fut annexée à Maimbeville de 1828 à 1834[a 2]. Jean Roblot, de Maimbeville, décédé à Paris en 1833, a légué aux pauvres de la commune 450 francs de rente, qui ont servi à fonder le bureau de bienfaisance. Le , un violent incendie réduisit en cendres 22 maisons du village et leurs dépendances. L'année précédente, la fièvre typhoïde y avait sévi et fait beaucoup de victimes[a 5]. En 1890, près de l'église, se trouvaient les ruines de l'ancienne maison seigneuriale, dont il ne subsistait que deux grosses tours et de vastes souterrains[a 3]. La population du chef-lieu était de 273 habitants[a 6].
Politique et administration
Municipalité
Le conseil municipal est composé d'un maire, de trois adjoints (maximum) et de SIX conseillers municipaux. Le maire et le premier adjoint sont membres délégués auprès de la communauté de communes du Pays du Clermontois[31].
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].
En 2020, la commune comptait 394 habitants[Note 8], en diminution de 1,99 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 16,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 195 hommes pour 211 femmes, soit un taux de 51,97 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
Monuments historiques
La commune possède un unique monument historique sur son territoire.
- Vue générale de l'église Saint-Martin.
- Le chœur de l'église depuis le nord.
- Église Saint-Martin, rue de l'Église (classée monument historique par arrêté du [42]) : Elle a été construite sous une seule campagne pendant la première moitié du XVIe siècle, dans le style gothique flamboyant. À l'extérieur, le clocher trapu et la faible hauteur des murs des bas-côtés de faible hauteur suggèrent une modeste église rurale, et les fenêtres sans remplage évoquent une construction rustique. Le transept et l'abside autrement élancés paraissent en décalage avec les parties occidentales. À l'intérieur, l'église Saint-Martin s'avère tout au contraire homogène, mais également inachevée. La nef est tout aussi élevée que le chœur, et la largeur du vaisseau central est considérable. Les grandes arcades, les piliers ondulés et les voûtes d'ogives des parties orientales sont très soignés. Ainsi c'est l'ambition du projet architectural qui empêcha certainement le voûtement de la nef et des bas-côtés, et retarda l'exécution du bas-côté sud, tandis que les fenêtres semblent bien avoir possédé des réseaux flamboyants, qui semblent seulement avoir disparu. Sur le modèle de l'église de Nointel, la nef a finalement été munie de voûtes d'ogives en matériaux légers après 1870, alors que les bas-côtés conservent leurs plafonds plats provisoires.
Autres monuments
- Tour en ronde en briques rue Neuve.
- Croix, place de Verdun.
Personnalités liées à la commune
- Michel Dubost (né en 1943), écrivain passa de longues périodes de 1950 à 1973 dans la propriété de ses parents, souvent appelée « le Château ».
Héraldique
|
Les armes de Maimbeville se blasonnent ainsi : Taillé d'argent à trois bandes d'azur et aussi d'argent semé de fleur de lys aussi d'azur, à la barre du même brochant sur le tout. |
---|
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[13].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Ouvrages
- A. Debauve et E. Roussel, Clermont et ses environs, Res Universalis, , 160 p.
- p. 146
- p. 147
- p. 148
- p. 148/149
- p. 113
- p. 149
Autres sources
- « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
- « Carte 1/15 000e » sur Géoportail..
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Clermont, arrondissement de Clermont (Oise), 1838, 211 pages, page 113
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Clermont, arrondissement de Clermont (Oise), 1838, 211 pages, pages 12 à 14
- « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Maimbeville », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
- « Transports en commun à Maimbeville (carte, lignes et arrêts) », sur Oise mobilité (consulté le ).
- « Navette de regroupement pédagogique intercommunal de Maimbeville », sur Oise mobilité (consulté le ).
- 14 randonnées en Centre Oise, GEP Centre Oise, carte page 16.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Maimbeville et Airion », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Maimbeville et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels sur la commune de Maimbeville », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Les adjoints de la mairie », sur maimbeville.pagespro-orange.fr (consulté le ).
- « La liste des maires de Maimbeville », sur marquedorre.free.fr (consulté le ).
- Justine Esteve, « Oise / Maimbeville : pourquoi les habitants étaient appelés à voter », Le Bonhomme picard, (lire en ligne, consulté le ) « Une élection municipale partielle. Elle fait suite à la démission de la maire Myriam Decuignière en juin dernier ».
- Justine Esteve, « Maimbeville : Guillaume Vannier est le nouveau maire », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Guillaume Vannier a été élu pour la première fois en 2014. Conseiller municipal durant six ans, il avait refusé un poste d’adjoint en cours de mandat. “Je ne me sentais pas prêt aussi rapidement“, confie-t-il. Pour son second mandat d’élu, il a fait le choix de ne pas se lancer en tête de liste ».
- Catherine Reuchet-Boixader, « Avec son nouveau maire, la commune de Maimbeville prête à aller de l’avant : Élu par le conseil municipal, Guillaume Vannier, 38 ans, sera le maire de Maimbeville pour les trois années à venir. Il avoue avoir pris goût à la fonction lors de son intérim », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Maimbeville (60375) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- « Église Saint-Martin », notice no PA00114736, base Mérimée, ministère français de la Culture.