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Mouy

Mouy est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Mouy
Mouy
Mairie de Mouy.
Blason de Mouy
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes du Clermontois
Maire
Mandat
Philippe Mauger
2020-2026
Code postal 60250
Code commune 60439
Démographie
Gentilé Mouysards, Mouysardes
Population
municipale
5 270 hab. (2020 en augmentation de 0,59 % par rapport à 2014)
Densité 534 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 19′ 00″ nord, 2° 19′ 13″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 123 m
Superficie 9,87 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Mouy
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mouy
(bureau centralisateur)
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Mouy
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Mouy
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Mouy
Liens
Site web www.mouy.fr

    Ses habitants sont appelés les Mouysards et les Mouysardes.

    Géographie

    Localisation

    Communes limitrophes

    La commune se situe à 64 kilomètres au sud d'Amiens, à 22 kilomètres à l'est de Beauvais, à 38 kilomètres à l'ouest de Compiègne et à 51 kilomètres au nord de Paris[1].

    Communes limitrophes

    Topographie et géologie

    La commune s'étend entre 37 mètres et 123 mètres au-dessus du niveau de la mer. Le site le plus élevé se trouve à la limite ouest du territoire avec Cauvigny tandis que le point le plus bas se situe dans le lit aval du Thérain l'intersection des limites communales avec Bury et Balagny-sur-Thérain, au sud-est. La ville, située dans la vallée du Thérain (à l'est et au nord), se trouve au pied du plateau de Thelle, occupant le centre et l'ouest du territoire, où se trouve la ferme de Janville. Un ensemble de vallons (val Saint-Jean et fond de Guival, au nord et vallons entre Fourneaux et Janville, au sud) et de coteaux (côte de lagate, au nord) compose le dénivelé entre le plateau et la vallée. La mairie se situe aux alentours de 40 mètres d'altitude, tout comme le centre-ville. Le quartier de NÅ“ud, se trouve entre 50 et 75 mètres, Coincourt à 46 mètres, Fourneaux, à 43 mètres, le quartier de la gare à 41 mètres, le hameau de Saint-Jean à 60 mètres et la ferme de Janville (à l'ouest), à 107 mètres au-dessus du niveau de la mer[2]. La commune se situe en zone de sismicité 1[3].

    Hydrographie

    La commune se situe sur la rive droite du Thérain, sous-affluent de la Seine prenant sa source à Grumesnil et se jetant dans l'Oise à Saint-Leu-d'Esserent. Une partie de cours sert de limite communale avec Hondainville, Angy et Bury. Arrivant sur le territoire au pont de la D 512E, au nord de la commune, il traverse l'agglomération où il se divise en plusieurs bras. Il passe ensuite à proximité de la gare et se divise une nouvelle fois en deux bras avant de quitter le territoire. Plusieurs affluents du Thérain se trouvent sur la commune : le ruisseau Saint-Jean, prenant sa source dans la vallée du même nom, passe à Mouchy-la-ville avant de rejoindre le chef-lieu par les bois Aulnay et de Nœud, située le fond de la vallée du Thérain. Au sud de la commune, un ruisseau intermittent naissant dans le vallon en contrebas de Janville rejoint d'autres ruisseaux de ce type, en formant alors un petit cours d'eau, traverse les marais du Haut de Mouy avant de rejoindre le quartier de Fourneaux. Quelques rus traversent également la zone industrielle, à l'est du chef-lieu. Plusieurs étangs se situent sur le territoire, au nord du centre-ville et du quartier du Nœud, près du Thérain, dans le val Saint-Jean, au lieu-dit « le Baton » (au nord de la commune), ainsi que dans les marais du haut de Mouy (au sud). Deux réservoirs à eau se trouvent au sommet du coteau dominant le chef-lieu et une station d'épuration se situe dans la zone industrielle[2]. Une fontaine se trouve rue Gambetta.

    La commune est parfois sujette à des inondations[3], les zones les plus basses du territoire sont situées au-dessus de plusieurs nappes phréatiques[4].

    • Le Thérain depuis la rue de la Gare.
      Le Thérain depuis la rue de la Gare.
    • Roue à aubes d'un ancien moulin sur le Thérain, jardin public, avenue du 8-Mai-1945.
      Roue à aubes d'un ancien moulin sur le Thérain, jardin public, avenue du 8-Mai-1945.
    • Fontaine, rue Gambetta.
      Fontaine, rue Gambetta.

    Voies routières

    La ville de Mouy est traversée par dix routes départementales : la D 55, la D 86, la D 137 et son antenne la D 137D, la D 512, la D 512E, la D 550, la D 929 et ses variantes, les D 929E et D 929F. La route départementale 929, ancienne route nationale 329 reliant Beaumont-sur-Oise à Clermont-en-Beauvaisis et Brunvillers-la-Motte à Albert, arrive sur le territoire depuis Balagny-sur-Thérain puis traverse la zone industrielle par les avenues du 11-Novembre-1918 et du 8-Mai-1945. Elle rejoint ensuite Angy par les rues de la Gare, de la République et Jean-Corroyer.

    La D 929E, ancienne route départementale 929 déclassée, traverse la ville par les rues du Général-Leclerc, Gambetta et les places Cantrel et du Docteur-Avinin. La D 929F constitue uniquement la rue des Caves. La route départementale 137, reliant Noailles à Maimbeville, arrive depuis l'ouest en suivant les rues de Noailles, Auguste-Baudon, Jean-Corroyer et Noël-Ruffier avant de rejoindre Bury.

    La D 137D, se séparant de la D 137 à Bury, traverse le Thérain, puis croise la D 929 avant de rejoindre la D 929E. La route départementale 55, débutant rue Jean-Corroyer, suit la rue Frédéric-Guillaume et quitte la commune par le nord. La route départementale 86 débute depuis la rue du Général-Leclerc et rejoint Ully-Saint-Georges par la rue Gaston-Fournival. La route départementale 512 se sépare de la rue de Noailles et accède à la commune d'Heilles par la rue du même nom.

    La D 512E relie cette dernière à la D 55. La rue de Janville relie le quartier de Coincourt au nord pour rejoindre le hameau de Cousnicourt (commune d'Ully-Saint-Georges) par la ferme isolée de Janville, au sud. Depuis la commune voisine de Bury, on peut rejoindre la route départementale 12 reliant les villes principales de Beauvais à Creil[2].

    Une voie de contournement de la route départementale 137 par le sud de la ville est à l'étude en 2013. Celle-ci devrait prolonger l'actuelle D 137D jusqu'à l'ouest de la commune[5]

    Transports en commun

    La gare de Mouy-Bury.

    La gare de Mouy-Bury est située sur la ligne de Creil à Beauvais, qui correspond à la ligne 28 du TER Picardie[6]. La ligne traverse la commune du nord vers l'est, dans le fond de la vallée du Thérain[2].

    La gare, rénovée en 2019 pour 500 000 â‚¬, dont les trois quarts ont été apportés par la Région Hauts-de-France, offre depuis un système d'information dynamique, des portes automatiques, des balises sonores, des locaux accessibles aux personnes à mobilité réduite, un éclairage renforcé, des sièges et bancs renouvelés, ainsi qu'une façade rénovée[7] - [8]

    La gare est également desservie par le réseau Pass' Thelle Bus, géré par la communauté de communes du Pays de Thelle[9]. Plusieurs lignes de transport scolaire sont assurées vers le collège communal et de Cauffry, vers les établissements scolaires de l'agglomération de Clermont ainsi que vers le lycée du Saint-Esprit de Beauvais[10].

    L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 22 km à l'ouest de la commune et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se trouve à 38 km au sud-est[1]. Il n'existe aucune liaison entre la commune et ces aéroports par des transports en commun.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 634 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[17] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[18] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 22 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[21] à 10,6 °C pour 1981-2010[22], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[23].

    Milieux naturels

    Le parc municipal.

    Hormis le tissu urbain, qui s'étend sur 17,3 % de la surface communale soit 177 hectares, le territoire est composé à 41,8 % de cultures. Les espaces boisés, issus principalement des coteaux et du fond de la vallée du Thérain comme les bois Aulnays, de Nœud et le parc municipal rassemblent 353 hectares, pour 34,5 % de la superficie. Les vergers et prairies comptabilisent 48 hectares tandis que les espaces humides et marécageux ne rassemblent que 5.6 hectares, à la limite sud-est. Enfin, la commune comprend 4 hectares de cours d'eau ainsi que 3 hectares de squares et de petits espaces verts[24] - [2]. Les prairies humides des Halgreux, au nord de la commune, sont inscrites en Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1[25]. Les coteaux du plateau de Thelle et le fond de la vallée du Thérain constituent un corridor écologique potentiel[26].

    La faune et la flore sont caractéristiques des milieux aquatiques. Rivières, marais et étangs favorisent la présence d'oiseaux migrateurs tels que hérons et canards sauvages ainsi que diverses variétés de plantes et d'arbres tels que les roseaux ou les saules pleureurs.

    Urbanisme

    Typologie

    Mouy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [27] - [28] - [29]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mouy, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[30] et 11 154 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[31] - [32].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[33] - [34].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (48,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,9 %), forêts (33,8 %), zones urbanisées (13,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,7 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %)[35].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[36].

    Quartiers et lieux-dits

    La ville est divisée en plusieurs quartiers de part et d'autre du centre-ville : le quartier de la gare à l'est, le faubourg de Nœud à l'ouest, Coincourt au nord-ouest, et Fourneaux au sud. On trouve en dehors de l'espace urbain plusieurs écarts constitués par des exploitations agricoles : la ferme Saint-Jean au nord-ouest, la ferme de Janville au sud[2].

    Projets urbains

    La friche Rabourdin, de 1,7 ha, qui fut une usine de métallurgie, vacante depuis 2011 après 98 années d'activité, située en centre-ville, à proximité des équipements publics et du Thérain, est réhabilitée, dépolluée et transformée en logements, avec l'aide de l'établissement public foncier de l'Oise (EPFLO). Leur livraison devrait commencer en 2021/2022[37].

    Histoire

    Moyen Age

    Les terres de Mouy semblent avoir été possession des Sires de Moÿ de Vermandois également seigneurs des terres de Moÿ dans l'Aisne. Cette famille est connue depuis l'an 1045.

    À partir du XIIe siècle, Mouy était une place forte dépendante de la châtellenie de Mouchy-le-Chatel.

    En 1459, on parle de Mouy comme d'un village de 300 feux et dont le cœur est constitué par une église, un château et ses dépendances. Lors de la rénovation de la place Cantrel, 23 sépultures médiévales ont été découvertes en 2018[38] - [39].

    Époque moderne

    Le château dont il ne reste qu'une petite partie, servit de refuge aux protestants de la région durant les guerres de Religion du XVIe siècle, le Seigneur de l'époque étant partisan de la réforme.

    Cette citadelle, enjeu de plusieurs combats, fut prise et reprise tout au long de ces périodes troublées et connut les destructions et les représailles du pouvoir catholique que pareille situation suppose. Le dernier des Vaudrey-Coligny (famille possédant les terres de Mouy depuis 1449) étant resté le seigneur de Mouy après les événements que la place avait dû endurer, il devint le serviteur le plus zélé de Henri IV. Mouy, par le jeu des seigneurs morts sans postérité et des successions multiples, finira par échoir à Monsieur le Frère du Roi avant la Révolution.

    Époque contemporaine

    Si en 1790 Mouy est encore un gros village de 400 maisons, en 1830, le nombre d'habitations a quasiment doublé. Cet essor se poursuit tout au long du XIXe siècle. Les Mouysards de l'époque semblent acquis aux idées nouvelles si on en croit le curé Sallentin qui prend fait et cause pour la Révolution française et demande à ses paroissiens de soutenir le nouveau régime. Une large part de la population partageait ces sentiments puisqu'en 1792, parmi les volontaires combattant les armées royalistes venant de l'étranger, on relève le nom d'une femme patriote, Marie Geneviève Prothais, ce qui n'était pas habituel dans la région.

    Ces idées de progrès et de liberté restent fortement ancrées et le , les résultats au plébiscite de Louis-Napoléon Bonaparte placent le canton de Mouy en tête des votes négatifs du Département (moyenne départementale 4 %) avec Mouy à 30 %.

    Dans le même temps, on assiste à un développement industriel considérable de la Ville grâce au Thérain qui fournit la force motrice nécessaire à l'implantation de l'industrie textile relayée dans les années 1860 par celles des cuirs et peaux et de la brosserie.

    De cette croissance, il ne reste que des grandes bâtisses, maisons de maître du XIXe siècle dont l'architecture emprunte beaucoup au mouvement haussmannien, et quelques chapelles vétustes dans l'ancien cimetière. Ces constructions témoignent d'une richesse insolente pour quelques-uns et de beaucoup de misère pour une population laborieuse dépourvue de tout, au point qu'il faut la création d'une cantine scolaire en 1894 pour que les enfants indigents fréquentent l'école.

    Après la Première Guerre mondiale, les industries s'affaiblissent peu à peu. La manufacture de tapis, vestige des anciennes filatures, les fabriques de chaussures ferment une à une. La tannerie disparaîtra dans un incendie. Seule l'industrie de la brosserie s'adapte aux nouveaux modes de production et continue de nos jours. Elle semble néanmoins connaître ses dernières heures.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la septième circonscription de l'Oise.

    Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Mouy[40]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est désormais le bureau centralisateur, est modifié, passant de 11 à 35 communes.

    Intercommunalité

    La commune, qui n'était jusqu'alors membre d'aucune intercommunalité à fiscalité propre, a rejoint en 2013 la communauté de communes du Clermontois[41] - [42].

    Tendances politiques et résultats

    Au second tour des élections municipales de 2020, où s'opposaient cinq listes, celle menée par Philippe Mauger (DVG, ancien maire-adjoint avant 2008) a obtenu la majorité des voix avec 30,89 % des suffrages exprimés, devançant celles de Karim Lamaazi (Div C, 26,73 %), de Frank Deruem (DVD, 18,82 %) de la maire sortante, Anne-Marie Delafontaine (DVG, 18,76 %) et celle de Laurent Hadzamann (RN, 4,81 %). L'abstention s'est élevée à 49 % des inscrits[43] - [44].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[45]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790 M. Guyart
    1791 Charles Horoy
    1791 Jean Racine
    1792 François Haquin
    1794 M. Rannequin
    1795 M. Saint-Omer
    1797 M. Méan
    1799 M. Saint-Omer
    1799 M. Carpentier
    1805 1807 M. Burgaud
    1807 1815 M. Rannequin
    1815 1816 M. Maupin
    1816 1824 M. Baudelocque
    1824 1831 M. Warmé
    1831 1839 Jean-François Bertaut Conseiller général de Mouy (1833 → 1837)
    1835 1845 M. Bertaut
    1846 1851 Auguste Baudon
    1852 1854 M. Demorlaine
    1854 1860 M. Chantepie
    1860 1871 M. Poupet
    février 1885 Alphonse Veret-Commois
    février 1888 Pierre Henry Brispot
    septembre 1893 Théodore Baudon[46] Rad. Médecin
    Député de l'Oise →(1897 → 1910)
    Conseiller général de Mouy (1883 → 1913)
    1937 1940 Lucien Leblond[47] SFIO Contremaître dans une usine de chaussures puis commerçant
    Dirigeant de l’union sportive de Mouy des années 1920 à 1958
    Mandat écourté par la dissolution du conseil municipal
    1940 1944 Fernand Derobert[48] Commerçant forain
    Président de la délégation spéciale puis nommé maire en 1941 par le Gouvernement de Vichy
    Résistant déporté
    1944 1947 Lucien Leblond[47] PCF Résistant
    Commerçant
    1947[47] 1959 Fernand Derobert[48] SFIO Commerçant forain, résistant-déporté
    Les données manquantes sont à compléter.
    1961 mars 1965 André Briot[Note 8]
    mars 1965 mars 1983 Guy Comeau-Montasse[Note 9] Médecin
    mars 1983 mars 2008 Jean Sylla[49] PCF Employé de la Sécurité sociale
    Conseiller général de Mouy (1973 → 2004)
    Vice-Président du Conseil Général (1982 → 1985)
    Conseiller régional de Picardie (1979 → 1982)
    mars 2008[50] juillet 2020 Anne-Claire Delafontaine[51] - [52] - [53] PS
    puis DVG
    Fonctionnaire
    Conseillère générale du canton de Mouy (2004 → 2015)
    Vice-présidente du conseil général de l'Oise (2011 → 2014)
    juillet 2020[54] - [55] En cours
    (au 8 juillet 2020)
    Philippe Mauger PCF Mécanicien ajusteur retraité
    Vice-président de la CC du Clermontois (2020 → )

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[57].

    En 2020, la commune comptait 5 270 habitants[Note 10], en augmentation de 0,59 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6651 8401 8572 0992 3722 6012 6932 7812 766
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 7842 9553 0893 2013 2523 2653 2733 3473 305
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 4443 4543 6163 2263 4783 1322 9022 9923 284
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    3 7813 7914 5814 8125 0345 3285 2455 2395 321
    2020 - - - - - - - -
    5 270--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[58].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,6 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 2 527 hommes pour 2 728 femmes, soit un taux de 51,91 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[59]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3
    90 ou +
    1,6
    4,7
    75-89 ans
    7,9
    13,8
    60-74 ans
    14,5
    20,0
    45-59 ans
    17,5
    22,2
    30-44 ans
    20,4
    18,9
    15-29 ans
    18,9
    20,1
    0-14 ans
    19,1
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[60]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Sports

    • Football : Le club de l'US Mouy Football Fondée en 1912 fête son centenaire en 2012, chose rare de nos jours, avec un nombre avoisinant les 175 licenciés, partenaire du téléthon, le club de football est un acteur majeur de l'insertion sportive dans tout le canton de Mouy.
    • Cyclisme : le VTT ROUTE Club de Mouy a été fondé en 1995 par deux habitants de la commune passionnés de VTT, Jean-Louis Alonzo et Michel Gaudfroy. Quelques années plus tard, face au nombre d'adhésion grandissant, une section cyclisme sur route a été créée. Le club organise tous les ans fin septembre la Mouysarde.
    • Tennis : Le TC Mouy a été fondé en 1969 par Gérard Vercoustre. Il est un des quatre seuls clubs isariens a posséder des véritables terres battues extérieures (2). Le club compte également une terre battue synthétique en salle et deux quicks extérieurs, rénovés en 2013.

    Économie

    En 2018, la municipalité souhaite relancer le marché hebdomadaire du samedi matin, qui s’est considérablement réduit au fil des années[61].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Léger : Ce bâtiment de style gothique a été construit à partir de 1160/1175 et a connu plusieurs phases d'édification à travers les siècles.
      Ses dimensions (longue de 45 mètres, large de 27 mètres au transept et de 19 mètres à la nef) laissent supposer que la population du XII-XIIIe siècles était déjà conséquente. Le chÅ“ur de l'église, de forme polygonale, fut la première partie bâtie dans la deuxième partie du XIIe siècle. Puis, fin XIIe-début XIIIe, le transept fut adjoint au chÅ“ur. La nef vint compléter l'édifice durant le XIIIe siècle. Mais les architectes, voulant réaliser le plus grand édifice gothique du moment, furent trop ambitieux et les voûtes du chÅ“ur s'écroulèrent en 1284.
      La sacristie ne fut construite qu'à la fin du XVIe-début du XVIIe siècle. Le clocher date de 1757. Mais, à l'origine, il y avait une flèche de pierre fine et élancée qui fut emportée par un ouragan en 1450 et au XVIIIe siècle.
      L'église est classée monument historique depuis 1936[62], et sa rénovation s'engage en 2019[63].
    • La Maison Bordez-Greber (début du XXe siècle), inscrite monument historique depuis 1990[64].
    • L'église Saint-Léger.
      L'église Saint-Léger.
    • La façade occidentale de l'église Saint-Léger.
      La façade occidentale de l'église Saint-Léger.
    • La maison Bordez-Greber.
      La maison Bordez-Greber.

    Personnalités liées à la commune

    Plaque commémorative du cimetière de Picpus

    Le Vertigo de Des Moulins

    En 1849 le malacologue français Dominique Dupuy a décrit l'espèce Vertigo moulinsiana, dont la localité type est officiellement la commune de Mouy.

    Héraldique

    Blason de Mouy Blason
    D’azur à la roue d’engrenage d’or, chargée d’un fuseau et d’une navette d’argent passés en sautoir, eux-mêmes surchargés d’un rencontre de bélier du même[66].
    Devise
    Le travail ennoblit l’homme
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Mouy
    Alias du blason de Mouy
    D'or à un sautoir de gueules, cantonné de 4 merlettes du même.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • René Parmentier, « Le prieuré de Saint-Jean-du-Vivier », Congrès archéologique de France : séances générales tenues en 1905 à Beauvais, Pais / Caen, A. Picard / H. Delesques,‎ , p. 450-470 (lire en ligne)
    • René Parmentier, « Le prieuré de Saint-Jean-du-Vivier », Mémoires de la Société archéologique et historique de Clermont, Clermont (Oise), Imprimerie Daix frères, no 3,‎ , p. 1-16 (ISSN 1160-3844, lire en ligne)
    • Antoine-Joseph Warmé, Mouy et ses environs : Mouy, Beauvais, Impr. de D. Père, , 520 p. (lire en ligne), p. 1-190

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[14].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Une rue de la commune honore la mémoire d'André Briot
    9. Une résidence de personnes âgées porte le nom du Dr Guy Comeau-Montasse
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
    2. « Carte 1/15 000e » sur Géoportail..
    3. « Risques naturels majeurs », sur macommune.prim.net (consulté le ).
    4. « Carte de remontée des nappes de la commune de Mouy », sur www.inondationsnappes.fr (consulté le ).
    5. « La future déviation de Mouy », sur oise.equipement-agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Gare de Mouy-Bury », sur Ter-Sncf.com (consulté le ).
    7. Julien Heyligen, « La gare modernisée de Mouy-Bury conforte l’avenir de la ligne Creil-Beauvais : 500 000 € de travaux ont été effectués sur cet arrêt situé sur un axe ferroviaire dont la fermeture a plusieurs fois été évoquée ces dernières années », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Et l'arrivée annoncée pour 2024 de la ligne Roissy-Picardie, qui reliera Creil à l'aéroport, rendra le secteur proche d'une considérable zone d'emplois ».
    8. Laurent Lalo, « La gare modernisée de Mouy-Bury est arrivée », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    9. « Dessertes du Pass' Thelle Bus », sur www.passthellebus.com (consulté le ).
    10. « Lignes de transports en commun desservant Mouy », sur Oise mobilité (consulté le ).
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    13. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    14. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    15. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    16. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    17. « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    18. « Orthodromie entre Mouy et Airion », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    20. « Orthodromie entre Mouy et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    24. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels sur la commune de Mouy », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Prairies humides des Halgreux, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    26. « Corridor écologique potentiel sur la commune de Mouy (carte) », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    29. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Unité urbaine 2020 de Mouy », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
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    32. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
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    34. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    35. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    36. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    37. Julien Heyligen, « Mouy : la friche industrielle géante retrouve un avenir : À l’abandon depuis 2011, le site Rabourdin va être rasé et dépollué pour laisser place d’ici 2 à 3 ans à des logements. Les travaux commencent », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    38. Julien Heyligen, « Mouy : la découverte de 23 tombes stoppe les travaux de la place : Les archéologues ont mis au jour 23 sépultures datant du Moyen Age. Les commerçants s’inquiètent de l’impact sur la durée du chantier », Le Parisien,édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    39. J.H., « Mouy : les travaux de la place vont reprendre autour des tombes : Le chantier avait été arrêté à la suite de la découverte de ce patrimoine archéologique », Le Parisien,édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. « Le Clermontois accepte Mouy et Bury », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Au terme du vote, les deux tiers des conseillers communautaires se sont dits prêts à accueillir les deux villes de la vallée du Thérain quand un tiers n'en veut pas. Le dernier mot reviendra à la commission départementale qui pourra proposer au préfet une alternative ».
    42. « L'adhésion au Clermontois inquiète l'opposition à Mouy », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La maire PS de Mouy a en effet tout fait pour que sa ville adhère à la communauté de communes du Pays du Clermontois (CCPC) au lieu de celle du Pays de Thelle, comme le prévoyait le préfet (...) Les premières décisions de la CDCI sont tombées cet hiver, dont celle d'autoriser Mouy à rejoindre le Clermontois. Une perspective qui inquiète la liste Ensemble avec les habitants de Mouy. L'opposition de gauche a déposé une question écrite au maire lors du dernier conseil municipal ».
    43. « Mouy : Philippe Mauger gagne la mairie, la maire sortante, quatrième : https://www.oisehebdo.fr/2020/06/28/mouy-philippe-mauger-gagne-la-mairie-la-maire-sortante-quatrieme/ », Oise Hebdo,‎ .
    44. « Mouy 60250 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr/ (consulté le ).
    45. « Les maires de Mouy », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
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    47. Jean-Pierre Besse, « Leblond Lucien, René : Né le 3 juillet 1903 à Mouy (Oise), mort le 9 avril 1990 à Clermont-de-l’Oise (Oise) ; maire socialiste puis communiste de Mouy de 1937 à 1940 puis de 1944 à 1947 », Le Maitron en ligne, (consulté le ).
    48. Jean-Pierre Besse, « DEROBERT Fernand : Né le 17 septembre 1897 à Estrées-Saint-Denis (Oise), mort le 5 octobre 1976 à Mouy (Oise) ; commerçant (marchand forain) ; militant socialiste, résistant, déporté ; maire de Mouy (1941-1942, 1947-1959) », Le Maitron en ligne, (consulté le ).
    49. « Jean Sylla à Mouy », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « A 70 ANS, Jean Sylla s'attaque à son quatrième mandat de maire. Au cours de la première réunion du nouveau conseil municipal, le conseiller général a obtenu 23 des 29 suffrages exprimés ».
    50. V. F., « L'adjointe socialiste au maire présente sa liste », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Pour la première fois depuis 1977, il n'y aura pas de liste commune entre communistes et socialistes lors des prochaines élections municipales à Mouy. Samedi, la socialiste Anne-Claire Delafontaine, conseillère générale depuis 2004, adjointe au maire de Mouy chargée des affaires scolaires, a présenté sa propre liste ».
    51. « Les ambitions d'Anne-Claire Delafontaine (PS) pour Mouy », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Six ans après avoir ravi la mairie de Mouy à ses ex-alliés du Parti Communiste (PC) Anne-Claire Delafontaine (PS) entend bien poursuivre sa tâche ».
    52. Patricia Haute-Pottier, « Mouy : Jean-Pierre Fouquier rate l'élection à 40 voix », Le Bonhomme picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    53. « Anne- Claire Delafontaine élue maire mais... Jean- Pierre Fouquier a déposé un recours en annulation », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3284,‎ , p. 12 (ISSN 1144-5092).
    54. Julien Heyligen, « Municipales à Mouy : « Ce travail de longue haleine, c’est ce qui m’a fait gagner » : Philippe Mauger, ancien militant syndicaliste et membre du Parti communiste, prendra les rênes de la commune ce vendredi lors du conseil municipal d’installation », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Philippe Mauger entre en politique en 1983 aux côtés de Jean Sylla, emblématique maire communiste de Mouy. Chargé successivement des affaires socio-économiques, du comité des fêtes puis premier adjoint, il se met en retrait en 2008 quand Anne-Claire Delafontaine, alors socialiste et dans la majorité municipale, fait sécession et s'empare de l'hôtel de ville ».
    55. « Philippe Mauger élu maire de Mouy en l’absence de sa devancière, Anne-Claire Delafontaine : Le nouveau maire communiste a été élu vendredi 3 juillet en conseil municipal. Il a décidé de réduire le nombre d’adjoints de huit à six », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Philippe Mauger, membre du Parti communiste, mais à la tête d’une liste divers gauche, a donc été élu par 22 voix pour, contre quatre à Karim Lamaaizi et trois bulletins nuls ».
    56. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    57. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    58. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    59. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Mouy (60439) », (consulté le ).
    60. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    61. Julien Heyligen, « Mouy : la ville veut relancer le marché du samedi : Gratuité des emplacements jusqu’à la fin de l’année, nouveaux commerçants annoncés… Des mesures sont mises en place pour attirer vendeurs et clients », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    62. « Église Saint-Léger », notice no PA00114765, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    63. Julien Heyligen, « Église de Mouy : coup d’envoi d’une restauration « qui va durer plusieurs années » : Une première phase de travaux va être menée cet automne pour assurer l’avenir du monument et éviter sa dégradation », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    64. « Maison Bordez-Greber », notice no PA00114989, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    65. Volumes consacrés à l'histoire de l'Ordre du Saint-Esprit. CXXI-CXXIX Seconde série de volumes consacrés à l'histoire de l'Ordre du Saint-Esprit. Recueil chronologique de notices généalogiques, pièces, dessins et portraits peints ou gravés concernant les membres de l'Ordre. CXXI Années 1578-1585., 1501-1800 (lire en ligne)
    66. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
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