Accueil🇫🇷Chercher

Boisseron

Boisseron est une commune française située dans le nord-est du département de l'Hérault, en région Occitanie.

Boisseron
Boisseron
Vue aérienne.
Blason de Boisseron
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Montpellier
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lunel
Maire
Mandat
Loïc Fataccioli
2020-2026
Code postal 34160
Code commune 34033
Démographie
Gentilé Boisseronnais
Population
municipale
2 113 hab. (2020 en augmentation de 11,15 % par rapport à 2014)
Densité 283 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 45′ 38″ nord, 4° 04′ 55″ est
Altitude 32 m
Min. 19 m
Max. 77 m
Superficie 7,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lunel
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Boisseron
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Boisseron
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Voir sur la carte topographique de l'Hérault
Boisseron
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Voir sur la carte administrative d'Occitanie
Boisseron

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Vidourle, la Bénovie, le Ribansol, le ruisseau de Courchamp et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« le Vidourle ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Boisseron est une commune rurale qui compte 2 113 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Boisseronnais ou Boisseronnaises.

    Géographie

    Carte du territoire communal.
    Cadastre napoléonien : plan de la section du Village et de La Plaine (1812).

    Le territoire communal occupe une surface d'environ 740 hectares et situé à une altitude minimale de 19 m et maximale de 77 m, sur un sol composé de molasses coquillières[1].

    Boisseron fait partie du canton de Lunel. Elle est voisine des communes de Junas, Sommières, Saussines, Restinclières, Saint-Christol et Saint-Sériès. La plus grande ville à proximité est Sommières, située à trois kilomètres au nord dans le département voisin du Gard. Lunel, chef-lieu du canton, est située au sud à onze kilomètres.

    Hydrologie

    Le territoire communal est essentiellement drainé par les cours d'eau du Vidourle, la Bénovie et le Rieutord, puis par un circuit secondaire avec les ruisseaux de : Nègue-Capelan, Mas de Planchenault et Courchamp[2].

    La commune de Boisseron est située à la confluence du cours d'eau de la Bénovie et du bassin versant du Vidourle[2], à l'intersection de la route départementale 34 et de la route nationale 110[1].

    Le , un premier plan de prévention du risque inondation (PPRI), basé sur un aléa de crues centennales, est approuvé par arrêté préfectoral sur la commune de Boisseron comprenant également les communes de Saturargues, Saint-Sériès et Villetelle[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[3].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 16,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 17,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 758 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villevieille », sur la commune de Villevieille, mise en service en 1970[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,6 °C et la hauteur de précipitations de 754,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 17 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 15,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[14].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « le Vidourle »[16], d'une superficie de 209 ha, présentant un intérêt biologique tout particulier au regard de l'existence d'espèces aquatiques et palustres remarquables et singulières par rapport à d'autres cours d'eau de la région. Le Gomphe de Graslin, libellule d'intérêt communautaire, justifie notamment l'inscription du Vidourle au réseau Natura 2000[17].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[18] :

    • le « bois du puech Bouquet » (121 ha), couvrant 2 communes dont une dans le Gard et une dans l'Hérault[19] ;
    • le « cours du Vidourle de Salinelles à Gallargues » (153 ha), couvrant 10 communes dont six dans le Gard et quatre dans l'Hérault[20],
    • les « plaines de Beaulieu et Saussines » (1 986 ha), couvrant 7 communes du département[21] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 6] - [18] : la « vallée du Vidourle de Sauve aux étangs » (691 ha), couvrant 21 communes dont 16 dans le Gard et cinq dans l'Hérault[22].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Boisseron.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Boisseron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [23] - [I 1] - [24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (69,1 %), zones urbanisées (17,4 %), zones agricoles hétérogènes (8,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,9 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Boisseron est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Vidourle et la Bénovie. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1994, 2001, 2002, 2005, 2014 et 2015[28] - [26].

    Boisseron est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 9] - [29].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Boisseron.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 728 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 728 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[31].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[32].

    Toponymie

    Boisseron, pour les Romains un lieu couvert de buis, dénommé « Buxedonis Lucus Â».

    Les premières mentions archivistiques du village sont datées du XIIe siècle : « castro buxedone Â» en 1110 cité dans le cartulaire de Nîmes, « castrum de Boisedono Â» en 1168 cité dans le manuscrit d'Aubais[1] et « castrum de Buxedone Â» en 1219 cité dans le cartulaire de Maguelone. En 1222, le village porte le nom de « Boyssezon Â»[33]. Sous l'Ancien Régime (1666-1773), Boisseron est identifié sous la variante de « Bouisseron Â»[34].

    En occitan, Boisseron se traduit par « boicharon » (selon le Petit Thalamus de Montpellier).

    Histoire

    Avec diverses traces d'habitats présentes sur la commune des périodes néolithiques, chalcolithiques et âge du fer. Au Ier siècle de notre ère, un castrum miliaire est installé pour la surveillance du pont édifié à Sommières par les légionnaires de l'Empereur Tibère[1], le pont de Boisseron est édifié pour enjamber la rivière de la Bénovie et assurer une voie romaine secondaire de communication entre les Cévennes et le littoral par le golfe d'Aigues-Mortes[35].

    Boisseron ainsi d'ailleurs que Saussines, Restinclières se trouvaient reliées à la cité de Sommières avant garde de l’opulente Nîmes l'une des plus belles villes de la Gaule d'où était originaire la famille de l'Empereur Antonin, ce qui entraîna la création de nombreuses garnisons préservant le village des attaques barbares.

    En 1222, le village est composé d'habitat médiéval, lorsque la croisade des Albigeois menée par Amaury de Montfort met à sac le village et déplace toute la population[36].

    La seigneurie appartient à la famille Bermond de Sauve jusqu'au XVIe siècle[1], sous la protection de l'évêque de Maguelone en 1243, 1265, 1333. En 1591, elle est vendue à la famille de Gondin[1]. En 1789, Thomas Le Sage d'Hauteroche d'Hulst vote sous le nom de seigneur de Boisseron aux assemblées de la noblesse[1].

    En 1620, une avocate de Nîmes, Anne Rulman, établit une esquisse complète du village, en décrivant l'enceinte fortifiée avec ses remparts et douves et les caractéristiques du château[1].

    Par mariage, le château passe de la famille Le Sage d'Hauteroche d'Hulst à la famille de Galard, comte de Béarn Brassac, et par vente en 1847 à la famille Moynier Chamberand[1]. En 1856, le château est vendu à la famille Silhol. En 1965, le château a été vendu à l’association nationale des membres du mérite sportif et des médaillés de la jeunesse et des sports,et a hébergé à cet effet de nombreux sportifs retraités.

    Ce château et ses dépendances qui n'a jamais appartenu à une collectivité publique deviendra par la suite maison de convalescence pour personnes âgées puis maison de vacances et ensuite vendu à un particulier en 2004 qui en est toujours le propriétaire en 2022.(château et dépendances bâti et non bâti).[1]

    Ce château de base médiévale qui a fait l'objet de modification, de forme en U est passé en forme en L à la suite d'un incendie vers 1870[1].

    En , le bassin versant du Vidourle est frappé par une crue majeure qui a marqué les esprits des riverains et l’opinion publique par son ampleur et sa puissance dévastatrice[37]. Cette crue, conséquence d’une pluviométrie d’une intensité rare à exceptionnelle est la plus importante parmi toutes les autres crues historiques connues à Sommières, y compris celle d', malgré la création des barrages écrêteurs de crues de Ceyrac, Conqueyrac et La Rouvière[2].

    En 2011, le bâti à usage de château d’eau, édifié au carrefour de la route de Saussines, représentant une masse de 250 tonnes de béton, devenu obsolète est détruit par un brise-béton hydraulique en quelques secondes. Bâtit en 1961, la construction pouvait contenir un volume de 250 m3, pour une hauteur de 24 mètres et un diamètre de 8 mètres. Hors service depuis les années 90, il a été remplacé par le réservoir dit de « Planchenault Â» afin d’améliorer l'alimentation en eau de la commune et de sa voisine Saussines[38] - [39] - [40].

    Le parc dénommé « Louis Armand » qui rassemble les équipements sportifs, stade football Pierre Sadoul, courts de tennis (2), terrains de boules et jeux pour enfants, est situé à l'ancienne gare qui a vu sa destination changée du fait de la désaffection de la ligne de chemin de fer Sommières-Montpellier, la partie bâti propriété communale est destinée à l'habitation pour partie et pour autre partie aux associations, une voie verte saint géniez des mourgues-boisseron a été aménagée et pratiquement terminée.

    Héraldique

    Blason de Boisseron

    Les armes de Boisseron se blasonnent ainsi :

    « d'or à un buis de sinople, au chef d'azur chargé de trois trèfles du champ »[41].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires depuis 1944[42].
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1964 Arthur Salançon
    1965 1989 Jacques Lafont[44] gaulliste Avocat, résistant sous le pseudonyme « Legrand Â»
    Membre du conseil de l'ordre de 1953 à 1957 puis bâtonnier en 1977 et 1978
    Président du comité d’éthique du CHU de Montpellier en 1992[44]
    1990 1995 Jacques Grimard
    1996 2020 Francis Pratx DVG Viticulteur
    2020 En cours
    (au 28 mai 2020)
    Loïc Fataccioli[45] - [46] SE Directeur technique du bureau d'études de Semofi[47] - [48]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[50].

    En 2020, la commune comptait 2 113 habitants[Note 10], en augmentation de 11,15 % par rapport à 2014 (Hérault : +7,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    195177217280299331333343365
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    409423446458522687572538541
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    518510546553546586555501538
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    5605836438649811 1511 3131 3191 719
    2015 2020 - - - - - - -
    1 9092 113-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 791 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 2 043 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 150 â‚¬[I 4] (20 330 â‚¬ dans le département[I 5]). 52 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 12] (45,8 % dans le département).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]9,2 %10,1 %7,4 %
    Département[I 7]10,1 %11,9 %12 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 1 176 personnes, parmi lesquelles on compte 79,2 % d'actifs (71,8 % ayant un emploi et 7,4 % de chômeurs) et 20,8 % d'inactifs[Note 13] - [I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 324 emplois en 2018, contre 411 en 2013 et 331 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 858, soit un indicateur de concentration d'emploi de 37,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,8 %[I 10].

    Sur ces 858 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 133 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 89,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,6 % les transports en commun, 4,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    207 établissements[Note 14] sont implantés à Boisseron au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 15] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble207100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    83,9 %(6,7 %)
    Construction4421,3 %(14,1 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    3717,9 %(28 %)
    Information et communication21 %(3,3 %)
    Activités financières et d'assurance31,4 %(3,2 %)
    Activités immobilières115,3 %(5,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    4521,7 %(17,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    3516,9 %(14,2 %)
    Autres activités de services2210,6 %(8,1 %)

    Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 21,7 % du nombre total d'établissements de la commune (45 sur les 207 entreprises implantées à Boisseron), contre 17,1 % au niveau départemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[53] :

    • Rouille Coulon, transports routiers de fret interurbains (21 489 k€)
    • ST Groupe, travaux de revêtement des sols et des murs (14 351 k€)
    • ST Consulting, activités des sociétés holding (2 187 k€)
    • Chauffclim, travaux d'installation d'équipements thermiques et de climatisation (572 k€)
    • L.holding, activités des sociétés holding (455 k€)

    Agriculture

    La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[54]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations37362414
    SAU[Note 17] (ha)275348269446

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 37 lors du recensement agricole de 1988[Note 18] à 36 en 2000 puis à 24 en 2010[56] et enfin à 14 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 62 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[57] - [Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 275 ha en 1988 à 446 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 7 à 32 ha[56].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le château, ravagé partiellement par les flammes en 2013[58] et son parc avec ses arbres magnifiques (certains sont classés) autour de la Bénovie est une propriété privée, il est dans un état de total abandon ;
    • L'enceinte de Boisseron et la porte fortifiée représentent la ceinture d'un bourg castral attesté depuis le XIIe siècle[59]. Par arrêté préfectoral du , l'enceinte urbaine, comprenant les remparts et les douves, est inscrite au titre des monuments historiques[1]. Un arrêté préfectoral du inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques, la porte fortifiée, construite entre le XIIIe et le XVe siècle ;
    • Pont romain : construit au Ier siècle, sur le cours d'eau de la Bénovie, pour le passage d'une bretelle de Nîmes à Vendargues, entre la vieille route de Nîmes à Vieille-Toulouse et la Voie Domitienne, il avait à l'origine 5 arches de plein cintre, une longueur de 50,60 mètres, une largeur de 3,57 mètres, et une voie unique. Vers 1830, il a été dénaturé, par un élargissement côté amont, l'ajout d'une 6e arche en rive droite, et l'obstruction des ouïes d'évacuation. Les arches ont été édifiées en deux anneaux indépendants, technique que l'on rencontre aussi dans la région (pont de Sommières, d'Arnia à Nages et à l'aqueduc du Gard). Inscrit parmi les monuments historiques depuis le , le pont romain de Boisseron est classé depuis 2008[35] ;
    • Église Saint-Laurent de Boisseron (XIXe) avec son clocher du XXe ;
    • Le temple protestant de Boisseron (XIXe) ;
    • L'hôtel de ville et son original clocheton-campanile à coupole en zinc (XIXe) ;
    • La cave coopérative édifiée après la guerre de 1939-1945 par les frères Rodier avec des pierres de la carrière de Boisseron a fait l'objet d'un agrandissement en 1954, elle présente un côté architectural spécifique à l'entrée du village côté Lunel.
    • L'ancienne petite gare du type « 2 portes PLM » (propriété de la commune) qui possède notamment le timbre (cloche) d'annonce des trains ;
    • Des domaines avoisinants le village sont présents, tels que les domaines les domaines de Gajan, Le Théron, Landau et Planchenault.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Paul Soubeiran, La seigneurie de Boisseron, S.l., s.n., , 12 p.
    • Jean Lalanne, Boisseron : village du Moyen Age, S.l., s.n., ca 1951, 61 p.
    • Jean Lalanne, Boisseron : village du Moyen-âge, S.l., Jean Lalanne, ca 1953, 48 p.
    • Francis Obert, Boisseron, vieux village du Languedoc, Bougival, s.n., , 35 p.
    • Francis Obert, Boisseron, un village du Languedoc, Boisseron, Francis Obert, , 62 p.
    • Francis Obert, Boisseron : une seigneurie du Bas-Languedoc, Boisseron, Boisseron Patrimoine, , 262 p.
    • Vivienne Miguet (dir.), Mathilde Biagioli, Anne Bouchy et Sylvie Montès, Mission Archives 34 : Répertoire numérique détaillé des archives communales de Boisseron, Montpellier, DRAC du Languedoc-Roussillon, Conseil général de l'Hérault et Archives départementales, , 104 p., 21 Ã— 29,7 cm (présentation en ligne, lire en ligne [PDF]). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[15].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    12. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    13. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    14. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    15. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    16. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    17. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    18. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[55].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Boisseron » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Boisseron » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Boisseron » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Boisseron » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Répertoire numérique détaillé des archives communales de Boisseron, p. 5.
    2. [PDF] Plan de prévention du risque inondation de la commune de Boisseron (Rapport de présentation), page 39 sur 110, publié le sur le site du Ministère de l'Écologie (consulté le ).
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Villevieille - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Boisseron et Villevieille », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Villevieille - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Boisseron et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Boisseron », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « site Natura 2000 FR9101391 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    18. « Liste des ZNIEFF de la commune de Boisseron », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF le « bois du puech Bouquet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF le « cours du Vidourle de Salinelles à Gallargues » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF les « plaines de Beaulieu et Saussines » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF la « vallée du Vidourle de Sauve aux étangs » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. « Les risques près de chez moi - commune de Boisseron », sur Géorisques (consulté le )
    27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    28. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    29. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    31. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Boisseron », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    32. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    33. A.M. Montpellier AA9, année 1222 : édition, publié le sur le site du Petit Thalamus de Montpellier (consulté le ).
    34. Archives communales déposées de Boisseron (1666-1773), publié sur le site du service interministériel des archives de France (consulté le ).
    35. « Pont romain de Boisseron », notice no PA34000054, base Mérimée, ministère français de la Culture (consulté le ).
    36. Jean-Louis Bachelet et Bernard Ollivier (ill. Benjamin Van Blancke), Histoire de France en 99 marches, Paris, Arthaud, coll. « Beaux livres », , 191 p., 23 cm (ISBN 978-2-08-141979-7, OCLC 1078982744, BNF 45664890, SUDOC 232720282, présentation en ligne, lire en ligne), p. 16.
    37. [PDF] Édition spéciale du Midi-Libre du , publié sur le site euzet-les-bains.fr (consulté le ).
    38. Le château d’eau détruit en quelques secondes, publié le sur le site du Midi-Libre (consulté le ).
    39. Photos de la démolition du château d'eau de Boisseron en 2011, publié sur le site smgc-eau.fr (consulté le ).
    40. [PDF] Apport annuel 2018 du syndicat mixte de Garrigues Campagne, page 17 sur 154, publié le sur le site smgc-eau.fr (consulté le ).
    41. Didier Catarina et Jean-Paul Fernon, Armorial des communes de l'Hérault, Artistes en Languedoc, (ISSN 1264-5354), p 33.
    42. Les maires de Boisseron, publié sur le site francegenweb.org (consulté le ).
    43. Caves coopératives de vinification de Boisseron (Hérault), publié le sur le site cavescooperatives.fr (consulté le ).
    44. Notice : Jacques, Ernest, Albert Lafont, publié le par Olivier Dedieu, sur le site Le Maitron (consulté le ).
    45. Résultats au 1er tour des élections municipales et communautaires 2020 de Boisseron, publié sur le site du ministère de l’Intérieur (consulté le ).
    46. Le conseil municipal a désigné Loïc Fataccioli nouveau maire, publié le sur le site du Midi-Libre (consulté le ).
    47. Résultats des élections municipales 2020 de Boisseron, publié sur le site de L'Indépendant (consulté le ).
    48. [PDF] Journée technique d’information et de retour d’expérience de la gestion des sols pollués, page 3 sur 7, publié le sur le site ssp-infoterre.brgm.fr (consulté le ).
    49. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    51. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    53. « Entreprises à Boisseron », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    54. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    55. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    56. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Boisseron - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    57. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Hérault » (consulté le ).
    58. « Boisseron : le vieux château en feu », sur scoop34.blogspot.com, (consulté le ).
    59. « Enceinte urbaine de Boisseron », notice no PA00135389, base Mérimée, ministère français de la Culture (consulté le ).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.