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Conqueyrac

Conqueyrac est une commune française située dans le centre du département du Gard, en région Occitanie.

Conqueyrac
Conqueyrac
L'église romane Saint-André de Conqueyrac
Blason de Conqueyrac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Le Vigan
Intercommunalité Communauté de communes du Piémont Cévenol
Maire
Mandat
Jacques Dautheville
2020-2026
Code postal 30170
Code commune 30093
Démographie
Population
municipale
101 hab. (2020 en diminution de 7,34 % par rapport à 2014)
Densité 3,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 56′ 51″ nord, 3° 54′ 33″ est
Altitude Min. 100 m
Max. 368 m
Superficie 27,18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Vigan
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Conqueyrac
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Conqueyrac
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Conqueyrac
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Conqueyrac

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Vidourle, le Rieu Massel, la Rivière Crespenou, le ruisseau de Thomas et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « gorges de Rieutord, Fage et Cagnasse ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Conqueyrac est une commune rurale qui compte 101 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 201 habitants en 1911. Ses habitants sont appelés les Conqueyracois ou Conqueyracoises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-André, inscrite en 1973.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Conqueyrac est située au nord-ouest du département du Gard entre Saint-Hippolyte-du-Fort et Sauve. Elle est située administrativement dans le canton du Vigan et dans l'arrondissement de la même ville.

    La commune se trouve dans le piémont des Cévennes.

    Hydrographie et relief

    Deux cours d'eau principaux traversent la commune : le Vidourle qui est souterrain dans sa traversée du territoire communal et son affluent le Rieumassel. Ils sont équipés chacun de barrage écréteur de crue :

    Barrage de Ceyrac, barrage écrêteur de crues du Rieumassel, affluent du Vidourle, mise en service en 1968.
    Barrage de Conqueyrac, barrage écrêteur de crues du Vidourle, mis en service en 1982.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 14,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 17,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 068 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1991 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[6]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records CONQUEYRAC (30) - alt : 135 m 43° 56′ 24″ N, 3° 54′ 00″ E
    Statistiques établies sur la période 1991-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1991 au 03-02-2020
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,9 0,9 3,8 7 10,8 14,3 16,8 16,5 12,4 9,7 4,6 1,5 8,3
    Température moyenne (°C) 6,3 7,1 10,6 13,6 17,7 21,9 24,8 24,5 19,5 15,2 10 6,6 14,9
    Température maximale moyenne (°C) 11,7 13,3 17,5 20,2 24,7 29,5 32,9 32,6 26,6 20,8 15,4 11,7 21,5
    Record de froid (°C)
    date du record
    −11
    30.01.05
    −14,4
    05.02.12
    −11
    02.03.05
    −2,4
    05.04.19
    0,7
    07.05.19
    5,4
    03.06.06
    8,9
    31.07.15
    6,5
    30.08.1998
    2,9
    17.09.08
    −3,7
    30.10.12
    −9,5
    23.11.1998
    −11,5
    16.12.01
    −14,4
    2012
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    24
    28.01.02
    24,9
    22.02.19
    30,5
    18.03.1997
    33,1
    08.04.11
    37,5
    29.05.01
    43,5
    28.06.19
    41
    11.07.03
    44,1
    12.08.03
    37,3
    04.09.16
    35,4
    11.10.11
    26,4
    16.11.15
    22,5
    11.12.1994
    44,1
    2003
    Précipitations (mm) 92,7 61 57,6 91 90 54,4 30,6 45 179,5 175 117,9 128,5 1 123,2
    Source : « Fiche 30093003 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « gorges de Rieutord, Fage et Cagnasse »[8], d'une superficie de 12 308 ha, comportent des milieux escarpés, des falaises, et sont un biotope de prédilection pour l'avifaune rupestre parmi laquelle on relève des espèces à très forte valeur patrimoniale : l'Aigle de Bonelli, le Grand Duc d'Europe, le Circaète Jean-le-Blanc[9].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[10] : la « plaine de Pompignan, Conqueyrac et Saint-Hippolyte-du-Fort » (5 432 ha), couvrant 3 communes du département[11] et une ZNIEFF de type 2[Note 5] - [10] : les « plaines de Pompignan et du Vidourle » (12 043 ha), couvrant 12 communes dont 9 dans le Gard et 3 dans l'Hérault[12].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Conqueyrac.
    • Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Conqueyrac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [13] - [I 1] - [14]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (61,9 %), forêts (21,9 %), zones agricoles hétérogènes (10,5 %), cultures permanentes (5,6 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Conqueyrac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Vidourle, le Rieu Massel et la rivière Crespenou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1994, 1995, 2002, 2010 et 2014[18] - [16].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Conqueyrac.

    La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[19]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 58,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 60 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 34 sont en en aléa moyen ou fort, soit 57 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].

    Toponymie

    Occitan Counqueira, du roman Concayrac, Conquerac, du bas latin Concayracum, Concayratum[23].

    Histoire

    Moyen Âge

    Concayrac en 1256, Conquerac en 1435, Conqueyrac en 1582[24].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 2014 Marc Le Fraper du Hellen DVD Président de la communauté de communes Cévennes-Garrigues
    Vice-président de la communauté de communes du Piémont cévenol
    2014 En cours Jacques Dautheville
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

    En 2020, la commune comptait 101 habitants[Note 7], en diminution de 7,34 % par rapport à 2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9682112103129132124133114
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    106122103119121116115135147
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    158163201197182163120125101
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    918382123133122104111102
    2020 - - - - - - - -
    101--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 4]4,8 %1,6 %14,1 %
    Département[I 5]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 54 personnes, parmi lesquelles on compte 70,2 % d'actifs (56,1 % ayant un emploi et 14,1 % de chômeurs) et 29,8 % d'inactifs[Note 8] - [I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3] - [I 7]. Elle compte 40 emplois en 2018, contre 46 en 2013 et 39 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 34, soit un indicateur de concentration d'emploi de 116,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49,9 %[I 8].

    Sur ces 34 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 10 travaillent dans la commune, soit 31 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 75 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,8 % les transports en commun, 11,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 11,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    21 établissements[Note 9] sont implantés à Conqueyrac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10] - [I 11]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,6 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 21 entreprises implantées à Conqueyrac), contre 14,9 % au niveau départemental[I 12].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations9964
    SAU[Note 11] (ha)1 547349232220

    La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[29]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la viticulture[Carte 4]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (neuf en 1988). La superficie agricole utilisée est de 220 ha[31] - [Carte 5] - [Carte 6].

    Culture locale et patrimoine

    Édifices religieux

    Patrimoine environnemental

    Le territoire de Conqueyrac est couvert par des zonages ayant trait à la protection de la biodiversité, des milieux naturels et des paysages. Il est situé sur le bassin versant du Vidourle, sur l’unité paysagère « Plaine du Vidourle de St Hippolyte du Fort » et dans l’emprise d’une zone importante pour la conservation des oiseaux (ZICO), d’une Zone de Protection Spéciale (ZPS) du réseau natura 2000 (directive oiseaux) dite gorges du Rieutord, Fage et Cagnasses, d’une superficie totale de 12 308 hectares, et de zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de 2e génération de type 1 et 2 (ZNIEFF Plaine de Pompignan, Conqueyrac et Saint Hippolyte du Fort – no 3010-2068 et Plaines de Pompignan et du Vidourle – no 3010-0000). Les espèces principalement concernées sont l’aigle de Bonelli et le rollier d’Europe.

    Personnalités liées à la commune

    • Béatrice Le Fraper du Hellen, diplomate française, Ambassadeur de France à Malte en 2014, elle est nommée Ambassadeur de France en République de Libye en 2018. Elle est la fille du maire Marc Le Fraper du Hellen.

    Héraldique

    Blason de Conqueyrac Blason
    De gueules à la fasce d'or accompagnée de trois coquilles du même[24].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[7].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    10. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[30].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Conqueyrac » (consulté le ).
    5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Conqueyrac » (consulté le ).
    9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Conqueyrac » (consulté le ).
    12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
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