Accueil🇫🇷Chercher

Bataille de Glendale

La bataille de Glendale, aussi connue sous les noms de bataille de Frayser's Farm, Nelson's Farm, Charles City Crossroads, New Market Road, ou Riddell's Shop, s'est déroulée le dans le comté de Henrico le sixième jour de la bataille des sept jours (Campagne de la Péninsule) de la guerre de Sécession[6] - [note 1].

Bataille de Glendale
Description de cette image, également commentée ci-après
« Combat du lundi. La bataille de la route de Charles City road. »
Alfred R. Waud (en), artiste, .
Informations générales
Date
Lieu Comté de Henrico, État de Virginie
Issue Résultat indécis[1]
Forces en présence
Armée du Potomac
40 000 hommes[3]
Armée de Virginie du Nord
45 000 hommes[4]
Pertes
Total de 3 797[5]
  • 297 tuĂ©s
  • 1 696 blessĂ©s
  • 1 804 disparus ou capturĂ©s
Total de 3 673[5]
  • 638 tuĂ©s
  • 2 814 blessĂ©s
  • 221 disparus

Guerre de SĂ©cession

Batailles

Campagne de la PĂ©ninsule


Bataille de Sept Jours
CoordonnĂ©es 37° 26′ 16″ nord, 77° 14′ 17″ ouest
Géolocalisation sur la carte : États-Unis
(Voir situation sur carte : États-Unis)
Bataille de Glendale
GĂ©olocalisation sur la carte : Virginie
(Voir situation sur carte : Virginie)
Bataille de Glendale

Les divisions confédérée du major général Benjamin Huger, James Longstreet, et A.P. Hill convergent sur l'armée de l'Union en retraite dans les environs de Glendale ou de Frayser's Farm. Les attaques de Longstreet et de Hill pénètrent les défenses de l'Union près de Willis Church. Les contre-attaques de l'Union comblent la brèche et sauvent leur voie de retraite le long de la route de Willis Church. La progression de Huger est stoppée sur la route de Charles City. Les divisions menées par le major général Thomas J. « Stonewall » Jackson sont retardées par le corps du brigadier général Willam Buel Franklin à White Oak Swamp. Le major général confédéré Theophilus H. Holmes fait une tentative d'attaque peu convaincante sur de flanc gauche de l'Union à Turkey Bridge mais est repoussé. C'était la meilleure chance de Lee de couper l'armée de l'Union du fleuve James. Cette nuit-là, l'armée de l'Union établit une forte position sur Malvern Hill[6].

Contexte

Situation militaire

La bataille des sept jours commence avec une attaque de l'Union lors de la bataille mineure d'Oak Grove le , mais McClellan perd rapidement l'initiative alors que Lee lance une série d'attaques à Beaver Dam Creek (Mechanicsville) le , Gaine's Mill le , les actions mineures à Garnett's et Golding's Farm les et et l'attaque sur l'arrière garde de l'Union à Savage's Station le . L'armée du Potomac de McClellan poursuit sa retraite vers la sécurité d'Harrison's Landing sur le fleuve James[7].

Après Gaines's Mill, McClellan laisse son armée sans instruction claires sur les voies de retraite et sans nommer un commandant en second. Le gros du Ve corps (moins McCall), sous les ordres du brigadier général Fitz John Porter, se déplace pour occuper Malvern Hill, pendant que les quatre corps restants de l'armée du Potomac opèrent principalement de manière indépendante lors de leurs combats au cours de la retraite. La plupart des éléments de l'armée semblent capables de traverser le White Oak Swamp Creek à midi le . Environ un tiers de l'armée a atteint le fleuve James, mais le reste marche encore entre White Oak Swamp et Glendale. Glendale est le nom d'une petite communauté à l'intersection de la route de Charles City et de la route Quaker, ou route de Willis Church, qui passe au-dessus de Malvern Hill vers le fleuve James)[8]. Après avoir inspecté la ligne de marche le matin, McClellan part vers le sud et embarque sur le cuirassé USS Galena sur le James[9].

Lee ordonne Ă  son armĂ©e de Virginie du Nord de converger sur les forces de l'Union en retraite, embouteillĂ©es sur le rĂ©seau routier inadĂ©quat. L'armĂ©e du Potomac, en manque de cohĂ©rence dans le commandement gĂ©nĂ©ral, prĂ©sente une ligne dĂ©fensive discontinue et irrĂ©gulière. Stonewall Jackson reçoit l'ordre de presser l'arrière garde de l'Union Ă  la traversĂ©e de White Oak Swamp pendant qu'une plus grande partie de l'armĂ©e de Lee, environ 45 000 hommes, attaquera l'armĂ©e du Potomac au milieu de la retraite Ă  Glendale, Ă  environ trois kilomètres (deux miles) au sud-ouest, la scindant en deux. La division de Huger attaquera en premier après une marche de cinq kilomètres (trois miles) sur la route de Charles City, soutenu par Longstreet et A. P. Hill dont les divisions sont Ă  environ onze kilomètres (sept miles) Ă  l'ouest, lors d'une attaque massive. Holmes doit bombarder les fĂ©dĂ©raux en retraite près de Malvern Hill[10].

Forces en présence

Union

Ordre de bataille unioniste de la bataille des sept jours (en)

Confédération

Ordre de bataille confédéré de la bataille des sept jours (en)

Bataille

Bataille des sept jours, .

Comme la plupart des batailles des sept jours, le plan de Lee est mal exĂ©cutĂ©. Huger est ralenti par des arbres tombĂ©s obstruant la route de Charmes City, rĂ©sultat des efforts des pionniers de la division du brigadier gĂ©nĂ©ral Henry W. Slocum. Les hommes de Huger passent des heures Ă  se frayer une nouvelle route dans les bois Ă©pais dans ce qui devient connu comme la « bataille des haches ». Il ne parvient pas Ă  prendre une route alternative, et, craignant une contre-attaque, Ă©choue Ă  participer Ă  la bataille. Ă€ 16 heures, Lee ordonne au major gĂ©nĂ©ral John B. Magruder de rejoindre Holmes sur la River Road et d'attaquer Malven Hill, le flanc gauche de la ligne de l'Union, puis lui ordonne d'assister Longstreet, aussi sa division passe la journĂ©e dans une contre-marche. Stonewall Jackson se dĂ©place lentement et passe la journĂ©e entière au nord du ruisseau, faisant seulement de petits efforts pour le traverser et attaquer le VIe corps de Franklin lors de la bataille de White Oak Swamp, tenant de faire reculer l'ennemi par un duel d'artillerie sans rĂ©sultat, aussi le pont dĂ©truit peut ĂŞtre reconstruit, mĂŞme si des guĂ©s possibles se trouvent Ă  proximitĂ©. MalgrĂ© ses victoires Ă©clatantes lors de la rĂ©cente campagne de la vallĂ©e, ou en raison de la fatigue de la campagne, les contributions de Jackson lors des sept jours sont marquĂ©es tout du long par une lenteur d'exĂ©cution et un jugement mĂ©diocre. La prĂ©sence de Jackson oblige deux des trois brigades du brigadier gĂ©nĂ©ral John Sedgwick, qui dĂ©fendent le carrefour de Charles City, Ă  partir vers le nord comme renforts. La division de McCall s'est arrĂŞtĂ©e au carrefour de Charles City au cours de sa marche pour rejoindre Porter. Le trou dans la ligne de Sedgwick est remarquĂ© et comblĂ© par ses trois brigades. Les troupes inexpĂ©rimentĂ©es de Holmes (de son dĂ©partement de Caroline du Nord, rattachĂ©es Ă  l'armĂ©e de Virginie du Nord) ne progressent pas contre Porter Ă  Turkey Bridge et Malvern Hill, et sont repoussĂ©es par des tirs d'artillerie et par les canonnières fĂ©dĂ©rales Galena et Aroostook (en) sur la James[11].

L'artillerie de Slocum engage celle d'Huger.

Ă€ 14 heures, alors qu'ils attendent le bruit de l'attaque espĂ©rĂ©e de Huger, Lee, Longstreet, et le prĂ©sident confĂ©dĂ©rĂ© Jefferson Davis en visite confèrent sur leurs chevaux lorsqu'ils se retrouve sous un sĂ©vère tir d'artillerie, blessant deux hommes et tuant trois chevaux. A.P. Hill, commandant ce secteur, ordonne au prĂ©sident et aux gĂ©nĂ©raux plus anciens de se retirer. Longstreet tente de rĂ©duire au silence les six batteries de canons fĂ©dĂ©raux tirant dans sa direction, mais les tirs d'artillerie Ă  longue distance se rĂ©vèlent inefficaces. Il ordonne au colonel Micah Jenkins de charger les batteries, ce qui aboutit Ă  une mĂŞlĂ©e gĂ©nĂ©rale vers 16 heures[12].

Bien que retardĂ©s et non lancĂ©s comme prĂ©vu, les assauts des divisions d'A.P. Hill et de Longstreet, sous le commandement global de Longstreet, se rĂ©vèlent ĂŞtre les seuls Ă  suivre l'ordre de Lee d'attaquer la concentration principale de l'Union. Les 20 000 hommes de Longstreet ne sont pas renforcĂ©es par les divisions confĂ©dĂ©rĂ©es de Huger et de Jackson, malgrĂ© leur regroupement dans un rayon de cinq kilomètres (trois miles). Elles lancent l'assaut contre la ligne de l'Union disjointe de 40 000 hommes, arrangĂ©s sur un arc nord-sud de trois kilomètres (deux miles) de l'intersection de Glendale, mais le plus gros des combats se concentre sur la position tenue pas la division des rĂ©serves de Pennsylvanie du Ve corps, 6 000 hommes sous les ordres du brigadier gĂ©nĂ©ral George A. McCall, juste Ă  l'ouest de la ferme Nelson, au nord de Willis Church[13] - [note 2]. La division de McCall comprend les brigades du brigadier gĂ©nĂ©ral George G. Meade sur la droite et du brigadier gĂ©nĂ©ral Truman Seymour sur la gauche et la brigade du brigadier gĂ©nĂ©ral John F. Reynolds (menĂ©e par le colonel Seneca G. Simmons depuis la capture de Reynolds Ă  Boatswain's Swamp après Gaines's Mill) en rĂ©serve[14].

Gravure de 1864 montrant le combat contre l'artillerie de McCall Ă  Glendale.

Trois brigades confédérées sont envoyées en avant à l'assaut, du nord vers le sud : la brigade du brigadier général Cadmus M. Wilcox, celle du colonel Micah Jenkins (brigade d'Anderson) et celle du brigadier général James L. Kemper. Longstreet ordonne leur mouvements en avant de façon fragmentée, sur plusieurs heures. Les Virginians de Kemper chargent au travers d'un bois épais en premier et sortent en face de cinq batteries de l'artillerie de McCall. Pour leur première expérience au combat, la brigade se conduit de manière désordonnée pour mèner un assaut enthousiaste, qui la pousse au-delà des canons et perce la ligne principale de McCall avec le soutien de Jenkins, suivis quelques heures plus tard par la brigade d'Alabamians de Wilcox. Les brigades confédérées rencontrent une résistance acharnée de Meade et Seymour dans des combats au corps à corps lors lorsque les hommes se battent à la baïonnette et utilisent les fusils comme des massues. Les officiers utilisent même leur épée (normalement ornementales) comme des armes. Meade est blessé dans le combat, deux de ses batteries sont capturées (celle du lieutenant Alanson Randol et celle du capitaine James Cooper), mais l'une est reprise. McCall est capturé lorsqu'il chevauche par erreur dans la ligne des piquets confédérés, à la recherche de positions pour y mettre ses hommes ralliés[15].

Sur le flanc nord de McCall, la division du brigadier gĂ©nĂ©ral Philip Kearny tient contre les attaques rĂ©pĂ©tĂ©es confĂ©dĂ©rĂ©es avec le renfort de la brigade de Caldwell et deux brigades de la division de Slocum. Sur le flanc sud, la division du brigadier gĂ©nĂ©ral Joseph Hooker repousse et poursuit des attaques mineures. La division de Sedgwick, dont les brigades sont revenues de White Oak Swamp, vient pour combler un trou après une contre-attaque brutale. Les combats sĂ©vères se poursuivent jusqu'Ă  20 heures 30. Longstreet engage pratiquement chaque brigade de la division sous son commandement , pendant que du cĂ´tĂ© de l'Union ils ont bouchĂ© les trous dans la ligne par des mouvements individuels lorsqu'ils apparaissaient[16].

Conséquences

La bataille est tactiquement indĂ©cise, bien que Lee ait Ă©chouĂ© Ă  atteindre son objectif d'empĂŞcher les fĂ©dĂ©raux de s'Ă©chapper et de paralyser l'armĂ©e de McClellan, sinon de la dĂ©truire. La prestation de Lonstreet a Ă©tĂ© mĂ©diocre, lançant brigade après brigade de façon dĂ©sordonnĂ©e, plutĂ´t que de frapper avec une force concentrĂ©e Ă  la manière pour laquelle il sera connu plus tard dans la guerre. Il n'a pas aussi Ă©tĂ© soutenu par Huger et Jackson, comme Lee l'avait planifiĂ©. Au lieu d’attaquer, les deux gĂ©nĂ©raux ont simplement gardĂ© leurs divisions sur la rive nord de White Oak Swamp et n'ont lancĂ© aucune action autre que des Ă©changes sporadiques d'artillerie Les pertes de l'Union s'Ă©lèvent Ă  3 797 (297 tuĂ©s, 1 696 blessĂ©s et 1 804 disparus ou capturĂ©s). Les pertes confĂ©dĂ©rĂ©es sont comparables au total - 3 673 (638 tuĂ©s, 2 814 blessĂ©s et 221 disparus - mais supĂ©rieures Ă  40 % en tuĂ©s et blessĂ©s. Longstreet perd plus d'un quart de sa division[17] Les gĂ©nĂ©raux de l'Union Meade et Edwin V. Sumner. et les gĂ©nĂ©raux confĂ©dĂ©rĂ©s Joseph R. Anderson, Dorsey Pender, et Winfield S. Featherston sont blessĂ©s[5].

Le soir du , McClellan, qui n'a rien vu des combats, envoie un tĂ©lĂ©gramme au dĂ©partement de la Guerre : « Mon armĂ©e s'est comportĂ©e superbement et a donnĂ© tout ce que les hommes pouvaient. Si aucun de nous ne s'Ă©chappe, nous aurons au moins fait honneur au pays. Je ferai de mon mieux pour sauver l'armĂ©e ». Il rĂ©clame plus tard un renfort de 50 000 hommes (que le dĂ©partement de la Guerre n'a aucune chance de fournir). « Avec eux, je retrouverai nos chances[18] ». McClellan est critiquĂ© significativement par les historiens pour son Ă©loignement de la bataille, naviguant sur le Galena, hors de portĂ©e, alors que ses hommes combattent. Ethan Rafuse Ă©crit qu'après avoir supervisĂ© le dĂ©ploiement de trois corps près du carrefour de Glendale, McClellan, qui ensuite « dĂ©fie quasiment l'opinion. ... MĂŞme si ses hommes sont Ă  ce moment engagĂ©s dans une bataille fĂ©roce près de Glendale ... il passe l'après-midi Ă  bord du Galena, dĂ©jeunant avec le [capitaine] Rodgers et voyageant en amont de la rivière pour regarder le bombardement d'une division confĂ©dĂ©rĂ©e qui a Ă©tĂ© aperçue marchant vers l'est le long de la route de la rivière vers Malvern Hill ». Brian K. Burton Ă©crit que, « plus aucun autre jour, le jugement de McClellan le est suspect. Il a organisĂ© les communications entre Malvern Hill et la rivière mais c'est un mĂ©diocre substitut. Laisser cinq corps diffĂ©rents Ă  un point vital sans commandant global est s'attendre Ă  une catastrophe ». Stephen W. Sears (en) Ă©crit que lorsque McClellan dĂ©serte son armĂ©e sur les champs de bataille de Glendale et Malvern Hill pendant la bataille des sept jours, il est en abandon de poste[19].

Après la bataille, Lee écrit que si « les autres commandement avaient coopéré lors de cette action, le résultat se serait révélé plus désastreux pour l'ennemi[20] ». Le major général confédéré D. H. Hill est encore plus direct : « si toutes nos troupes avaient été à Frayser's Farm, il n'y aurait pas eu de Malvern Hill[21] ». Le brigadier général confédéré Edward Porter Alexander écrit après la guerre que, « jamais, avant ou après, le destin a mis un tel prix entre nos mains. Je crois personnellement qu'à deux occasions en quatre ans, nous étions à deux doigts d'un succès militaire si important que nous aurions pu espérer terminer la guerre avec notre indépendance. ... La première était à Bull Run [en] juillet 1861 ... Cette [seconde] chance du m'a marqué plus que tout[22] ».

Lee aura une seule autre opportunité d'intercepter l'armée de McClellan avant qu'elle atteigne la sécurité du fleuve et termine la bataille des sept jours, à la bataille de Malvern Hill le [23].

Une partie de la bataille s'est déroulée sur Gravel Hill, une communauté fondée pour les esclaves émancipés par le quaker Robert Pleasants (en) avant 1800. Bien que l'école historique de Gravel Hill ait été détruite, elle a été remplacée par le temple baptiste de Gravel Hill en 1866, et la communauté reste très soudée de nos jours[24].

Voir aussi

Notes et références

Notes

  1. « Résumé de la bataille par le NPS », répertorie les noms alternatifs de la bataille, bien que la plupart des autres sources ne mentionnent pas Riddell's Shop. La maréchalerie du maréchal-ferrant de Riddell est située au carrefour de Glendale (Sears, Gates of Richmond, p. 278) et est un nom alternatif pour le carrefour de Glendale (Welcher, p. 825). Une autre bataille s'est déroulée dans cette zone le , pendant la campagne de l'Overland, et le nom de Riddell's Shop est généralement utilisé pour celle-ci.
  2. La ferme appartient maintenant à R.H. Nelson, mais beaucoup d'habitants de la région continue de l'appeler ferme de Frayser ou de Frazier

Références

  1. (l'Union poursuit sa retraite)
  2. Rafuse, p. 227 ; Sears, Gates of Richmond, pp. 280-81 ; Burton, pp. 241-42. Le commandant de l'armée du Potomac McClellan est absent pendant la bataille et n'a pas nommé de commandant en second. Le commandant de corps le plus ancien est le major général Edwin V. Sumner. Sears, Young Napoleon, p. 219, cite Samuel P. Heintzelman ayant dit que les généraux de McClellan ont manœuvré leurs troupes selon leur propre volonté.
  3. Kennedy, p. 100.
  4. Salmon, p. 113.
  5. Eicher, p. 293.
  6. Le résumé de la bataille par le NPS
  7. Salmon, p. 64.
  8. Burton, p. 165.
  9. Eicher, pp. 290-91 ; Kennedy, p. 98 ; Salmon, p. 113.
  10. Eicher, p. 291 ; Salmon, pp. 113-15 ; Burton, pp. 268-69 ; Sears, Gates of Richmond, p. 291.
  11. Burton, pp. 257-58, 273-75 ; Kennedy, p. 100 ; Salmon, p. 115 ; Eicher, pp. 291-92.
  12. Burton, p. 275 ; Sears, Gates of Richmond, p. 290 ; Kennedy, p. 100.
  13. Sears, Gates of Richmond, p. 294.
  14. Kennedy, p. 100 ; Salmon, p. 116.
  15. Burton, pp. 289, 295-96 ; Sears, Gates of Richmond, pp. 294-99 ; Kennedy, p. 100 ; Salmon, p. 116.
  16. Sears, Gates of Richmond, pp. 300-306 ; Burton, pp. 282-86 ; Kennedy, p. 100 ; Salmon, p. 116.
  17. Sears, Gates of Richmond, p. 307.
  18. Wert, 116-17.
  19. Rafuse, p. 227 ; Burton, p. 243 ; Sears, Controversies and Commanders, p. 17.
  20. Lee's battle report, Official Records, Series I, Vol XI/2 [S# 13].
  21. Alexander, p. 98.
  22. Alexander, pp. 109-110.
  23. Salmon, p. 66.
  24. (en) Melissa Scott Sinclair, « The Descendants », sur styleweekly.com, (consulté le ).

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • (en) Edward Porter Alexander (Ă©ditĂ© par Gary W. Gallagher), Fighting for the Confederacy : The Personal Recollections of General Edward Porter Alexander, Chapel Hill, University of North Carolina Press, , 692 p. (ISBN 0-8078-4722-4, prĂ©sentation en ligne). Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article.
  • (en) Brian K. Burton, Extraordinary Circumstances : The Seven Days Battles, Bloomington, Indiana University Press, , 524 p. (ISBN 0-253-33963-4, prĂ©sentation en ligne). Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article.
  • (en) David J. Eicher, The Longest Night : A Military History of the Civil War, New York, Simon & Schuster, , 990 p. (ISBN 0-684-84944-5, OCLC 3143643272).
  • (en) Vincent J. Esposito, West Point Atlas of American Wars, New York, Frederick A. Praeger, (OCLC 5890637).
  • (en) Frances H., The Civil War Battlefield Guide, Boston, Houghton Mifflin Co., , 2e Ă©d. (ISBN 0-395-74012-6). Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article.
  • (en) Ethan S. Rafuse, McClellan's War : The Failure of Moderation in the Struggle for the Union, Bloomington, Indiana University Press, (ISBN 0-253-34532-4). Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article.
  • (en) John S. Salmon, The Official Virginia Civil War Battlefield Guide, Mechanicsburg, PA, Stackpole Books, , 514 p. (ISBN 0-8117-2868-4, prĂ©sentation en ligne). Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article.
  • (en) Stephen W. Sears, Controversies & Commanders : Dispatches from the Army of the Potomac, Boston, Houghton Mifflin Co., (ISBN 0-395-86760-6). Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article.
  • (en) Stephen W Sears, George B. McClellan : The Young Napoleon, New York, Da Capo Press, , 482 p. (ISBN 0-306-80913-3).
  • (en) Stephen W Sears, To the Gates of Richmond : The Peninsula Campaign, New York, Ticknor and Fields, , 468 p. (ISBN 0-89919-790-6). Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article.
  • (en) U.S. War Department, The War of the Rebellion: a Compilation of the Official Records of the Union and Confederate Armies, U.S. Government Printing Office, 1880-1901 (lire en ligne)
  • (en) Frank J. Welcher, The Union Army, 1861-1865 Organization and Operations, vol. 1, t. The Eastern Theater, Bloomington, Indiana University Press, (ISBN 0-253-36453-1).
  • (en) Jeffry D. Wert, The Sword of Lincoln : The Army of the Potomac, New York, Simon & Schuster, , 559 p. (ISBN 0-7432-2506-6, prĂ©sentation en ligne). Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article.

(en) Service des parcs nationaux (lire en ligne).

Lectures complémentaires

  • Douglas Crenshaw, The Battle of Glendale : Robert E. Lee's Lost Opportunity, Charleston, SC, The History Press, (ISBN 978-1-62619-892-0).

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.