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Bû

Bû est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Bû
Bû
L'église Notre-Dame
Logo monument historique Classé MH (1963)[1].
Blason de Bû
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Dreux
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Dreux
Maire
Mandat
Pierre Sanier
2020-2026
Code postal 28410
Code commune 28064
Démographie
Gentilé Buxois (anciennement Bus ou Bdédrus)
Population
municipale
2 026 hab. (2020 en augmentation de 6,18 % par rapport à 2014)
Densité 90 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 47′ 50″ nord, 1° 29′ 47″ est
Altitude Min. 89 m
Max. 141 m
Superficie 22,6 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Anet
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Bû
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Bû
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Bû
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Bû
Liens
Site web http://www.bu-28.fr

    Les habitants sont les Buxois.

    Géographie

    Situation

    Bû se situe au nord de la région Centre-Val de Loire, à la frontière des régions Normandie et Île-de-France. Elle est plus proche de Paris que de sa capitale régionale Orléans.

    Elle se trouve dans la région naturelle et agricole du Drouais[2].

    • Situation géographique
    • Bû dans son arrondissement.
      Bû dans son arrondissement.
    • Carte de la commune de Bû.
      Carte de la commune de Bû.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 645 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1996 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[9]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records BU_SAPC (28) - alt : 132 m 48° 48′ 00″ N, 1° 29′ 30″ E
    Statistiques établies sur la période 1996-2010 - Records établis sur la période du 01-10-1996 au 04-01-2022
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,2 1,7 3,1 4,7 8,3 10,9 12,9 13 10,3 7,8 4,2 1,4 6,7
    Température moyenne (°C) 3,8 5 7,4 10 13,7 16,7 18,7 18,9 15,8 11,9 7,2 3,9 11,1
    Température maximale moyenne (°C) 6,4 8,3 11,7 15,2 19 22,6 24,6 24,8 21,3 16 10,2 6,4 15,6
    Record de froid (°C)
    date du record
    −14,9
    08.01.10
    −13,9
    12.02.12
    −11,6
    13.03.13
    −4,9
    06.04.21
    −1,3
    06.05.19
    1,1
    01.06.06
    5,8
    21.07.12
    3,9
    28.08.1998
    0,6
    30.09.18
    −5,1
    30.10.1997
    −9,8
    30.11.10
    −10,2
    29.12.1996
    −14,9
    2010
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    15,3
    27.01.03
    19,9
    27.02.19
    24,3
    31.03.21
    27,9
    21.04.18
    30,6
    27.05.05
    37,7
    27.06.11
    41,4
    25.07.19
    39,1
    10.08.03
    34
    15.09.20
    28,6
    01.10.11
    20,8
    07.11.15
    15,9
    07.12.00
    41,4
    2019
    Précipitations (mm) 49,9 43,9 47 47,3 51 48,9 61,1 49,4 39,1 68,5 60,4 69,1 635,6
    Source : « Fiche 28064002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Bû est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [10] - [11] - [12].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[13] - [14].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,6 %), forêts (27,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,3 %), zones urbanisées (3,8 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Bû est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Aqueduc de l'Avre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2000 et 2016[18] - [16].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bû.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile, des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des effondrements généralisés[19]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 61 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 875 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 508 sont en en aléa moyen ou fort, soit 58 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 1995 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].

    Toponymie

    Beutum, vers 1186 (Archives départementales d'Eure-et-Loir-H, Abbaye de Coulombs) ; Bu, vers 1190 Archives départementales d'Eure-et-Loir-Livre journal de l’église de Broué) ; Beu, août 1386 (Archives nationales-JJ 129, no 129, fol. 82) ; Sur le chemin entre Faveroles et Bu, novembre 1388 (Archives nationales.-JJ 133, no 216, fol. 123) ; Bû, avril 1393 (Archives nationales.-JJ 148, no 14, fol. 8) ; Bu, novembre 1402 (Archives nationales.-JJ 157, no 235, fol. 144 v°) ; Bû, février 1495 (Archives nationales.-JJ 226B, no 1177, fol. 222) ; Bu ; XVIIIe siècle (Carte de Cassini).

    Beutum semble venir de l'abréviation du bas latin Beucum ou Beutum, nom sous lequel cette commune est citée vers 1186. Substantif d’origine germanique, bur = résidence ; ou français buc, but, bu = tronc d’arbre (FEW, XV(2), 3a).

    Histoire

    Les Gaulois

    La tribu gauloise des Durocasses est installée dans la région vers 500 av. J.-C. Le peuple des Carnutes lui céda une partie de son territoire. Contrairement aux Carnutes qui résistèrent longtemps à la domination romaine, les Durocasses se montrèrent davantage conciliants avec l'occupant (références ?).

    L'époque gallo-romaine

    De cette époque de « paix » reste le sanctuaire du Bois des Fours à Chaux occupé entre le Ier et le IVe siècle de notre ère. C'est une construction orientée d'est en ouest, longue de trente mètres et large de vingt. On peut penser que ce sanctuaire était enclos d'une vaste enceinte qui répondait au souci de matérialiser le domaine sacré du dieu ou de la déesse. Le site est classé monument historique depuis fin 1986. Un second temple semi-circulaire, repéré par des photos aériennes existerait en contrebas du premier.

    Le Moyen Âge

    Le christianisme s'installe petit à petit, puis arrive la période des grandes invasions, qui ravagent le pays. Pendant ces moments difficiles, on sait que les moines de Jumièges possédèrent un vignoble à Bû en 632.

    C'est vraisemblablement au début du Moyen Âge que le village s'est réellement créé. Au début du XIIe siècle, les moines buxois étaient seuls administrateurs.

    En 1145, le seigneur de Dreux, Robert (fils de Louis VI le Gros et frère du roi Louis VII) fit construire un fort à Bû. Celui-ci faisait partie d'une seconde ligne de défense contre l'envahisseur normand. La construction de cet édifice démarra vers 1158 et dura environ quarante ans.

    La séparation de Bû

    Les religieux de Bû s'indignèrent de cette intrusion du comte de Dreux dans leur fief et s'en plaignirent au pape. Celui-ci confia l'arbitrage de cette querelle à l'évêque de Chartres qui procéda à la séparation de Bû en deux paroisses. Beu-le-Chastel a assez vite disparu, mais Beu-la-Vieuville se retrouve plus tardivement dans certains écrits.

    Les protestants à Bû

    Les guerres de religion ont certainement sévi à Bû comme ailleurs. La plus sanglante bataille de la région eut lieu près de Dreux, entre Nuisement et Marville-Moutiers-Brûlé, le . En 1585, les protestants de Bû durent abjurer ou quitter le royaume dans les plus brefs délais.

    Entre 1598 et 1685, les cultes se pratiquaient à Blainville, hameau de Marville-Moutiers-Brûlé puis à Fontaine-sous-Prémont, hameau d'Ouerre.

    En , puis de à , 54 huguenots de Bû abjureront en l'église Saint-Pierre de Dreux et en l'église d'Abondant. En 1812, le nombre de protestants à Bû était de 76, contre 57 en 1851. Vers 1900, leur nombre tombera à une quinzaine, ce qui entraînera la désaffectation du temple après la Première Guerre mondiale. Il a été transformé en maison individuelle.

    XXe siècle

    Entre le 29 janvier 1939 et le 8 février, plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution[23], dont Bû[24]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[25]. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé[26].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires à partir de 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1975 1977 Mme Chardin
    1977 1983 Louis Bernasconi
    1983 1989 Jean-Pierre Lesage PS
    1989 2001 Jacques Fleury RPR
    2001 2014 Évelyne Lefebvre UMP-LR Conseillère générale d'Eure-et-Loir depuis 2014
    mars 2014 En cours Pierre Sanier[27] - [28] Cadre de la fonction publique

    Population et société

    Démographie

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3951 4121 5111 5491 5501 5781 5191 5051 467
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3831 3111 2861 2101 1601 0761 024997914
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    873855830835797805773760731
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    6967788611 0621 4191 6891 7711 8091 831
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 9082 0072 026------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Église Notre-Dame

    L'église de style roman, très ancienne, de nombreuses fois remaniée, avec une verrière remarquable occupant toutes les ouvertures. Elle est classée monument historique depuis 1963[1].

    • L'église Notre-Dame.
    • Façade ouest et clocher.
      Façade ouest et clocher.
    • Façade XIIIe siècle.
      Façade XIIIe siècle.
    • Vitraux de l'église Notre-Dame.
    • Abside.
    • Saint Sébastien, sainte Barbe.
      Saint Sébastien, sainte Barbe.
    • Signature du Carmel du Mans.
      Signature du Carmel du Mans.
    • Saintes Rose, Marguerite et Geneviève.
      Saintes Rose, Marguerite et Geneviève.
    • Signature Duhamel-Marette, Évreux 1876.
      Signature Duhamel-Marette, Évreux 1876.

    Ancien temple protestant

    Désaffecté après la Première Guerre mondiale, il a été transformé en maison individuelle[31].

    Sanctuaire gallo-romain

    Les vestiges d'un temple gallo-romain sont visibles sur un terrain dont le nom était "pièce de l'église" sur le cadastre. Classé monument historique en 1986[32], il était probablement consacré au traitement des maladies des yeux comme en témoignent de nombreux ex-voto en forme de loup découverts lors de la campagne de fouilles des années 1960.

    Dans les années 1980 d'autres fouilles ont permis de mettre au jour les fondations d'un temple plus ancien que celui qui est visible actuellement. De nombreuses fouilles y ont été entreprises mais le site se dégrade en raison de la fréquentation.

    Ancien château de Bû

    Ce château est démoli par les Buxois à la Révolution[33].

    Patrimoine naturel

    Sous l'appellation « forêt de Dreux », a été classée en 2004, comme forêt de protection, la forêt domaniale d'une superficie d'environ 3 917 hectares, s'étendant dans le nord du département d'Eure-et-Loir sur les huit communes d'Abondant, Anet, Boncourt, Bû, Montreuil, Rouvres, Saussay et Sorel-Moussel[34].

    Héraldique

    Les armoiries de Bû se blasonnent ainsi :

    De sinople à la gerbe d'or et à une faux, une houe et une cognée d'argent emmanchées au naturel et posées en bouquet, le tout lié par un bandeau de gueules dont l'une des extrémités noue un sécateur d'argent pendu par sa bride au manche de la cognée.
    Couleurs, restituées par Christian Léger, Jean Paul Fernon et Denis Joulain. Adoptées officiellement le 14 octobre 2011.

    Personnalités liées à la commune

    Auguste Vavasseur.
    Auguste Vavasseur en 1900.
    • Robert Ier de Dreux (1217-1281), premier seigneur de Beu (Bû) ;
    • Étienne Claye (1740-?), cultivateur et maire de Bû, député de 1791 à 1792 ;
    • Auguste Vavasseur (1823-1905), officier de la Légion d'honneur, officier de l'Instruction publique, né à Bû le 9 juin 1823. Avocat à la cour d'appel de Paris, maire du IIe arrondissement, ancien maître des requêtes[35] ;
    • Costa-Gavras (1933-), homme de cinéma ;
    • Jacques Périlliat, ancien préfet de Région ;
    • Alexandre Carlin (1973-), compositeur et arrangeur.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Église », notice no PA00096986, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    2. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le )
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Fiche du Poste 28064002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le )
    10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    16. « Les risques près de chez moi - commune de Bû », sur Géorisques (consulté le )
    17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    18. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    19. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bû », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
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